intro auxiliaire menace libération asservissement
La technique libère-t-elle l’homme ? [intro]La technique est vue tantôt comme un auxiliaire de l’humanité, tantôt comme une menace pour l’homme et la nature Dans un cas, elle provoque de l’espoir d’une libération et dans l’autre, elle provoque de la crainte d’un asservissement
La technique - e-monsite
- la technique fournit à l'homme des moyens de plus en plus puissants pour réaliser ses objectifs La technique ne risque-t-elle pas de se mettre au services de projets déraisonnables et délirants ? La technique n'est elle qu'un instrument (moyen) à notre service, ou bien est-elle porteuse d'un projet (fin) qui lui est propre : la domination ?
ةيسنرف ةغل :ةدبولا ةكرتشولا ةّيويدبكلأا ةئي ìلا ببادآ
4 -C La thèse du locuteur: la machine a libéré l'homme plus qu'elle ne l'a asservi 5 -A Grâce à la technique, les métiers odieux ont diminué « La technique a créé beaucoup moins de métiers ingrats odieux » (L 10-11) 5 -B On a préservé la place de la culture
Compte rendu de séances La technique nous rend-elle meilleur
Il y a la thèse des technophiles selon laquelle la technique est utile à l'homme Effectivement, l'objet technique libère un potentiel d'action humain ou soulage l'homme de la pénibilité d'une tâche Par exemple, s'il faut 100 hommes pour moissonner un champ de blé, en investissant dans
LE TRAVAIL ET LA TECHNIQUE
l’homme doit tirer de lui-même tout ce dont il a besoin 3 La technique : une contrainte vitale L’homme est obligé d’inventer et de fabriquer des objets parce que : La nature ne lui a pas donné, d’emblée, tout ce dont il a besoin (lits, voitures) De plus, le milieu naturel est hostile à l’homme (froid, aridité, etc )
Dissertation de philosophie - Scribbr
de Prométhée » En effet, la technique désignant toutes les fariations de l’Homme, elle englo e aussi le travail puisque l’être humain en est le « fabriquant » Au déut, l’Homme est un être naturel omme les animaux, or il
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Modèle pour la dissertation
(analyse et problématisation, introduction, plan détaillé)La culture nous rend-elle plus humains ?
EXEMPLE DE TRAVAIL PRÉPARATOIRE AU BROUILLON : analyse du sujet et problématisationinterroger l'influence de la culture sur la nature humaine. En ce sens, il est important de montrer que
l'un des prĠsupposĠs du sujet (et donc l'un des points ă interroger lors du dĠǀeloppement) est
l'edžistence d'une ͨ nature humaine » qui pourrait, sous l'influence de la culture, se dégrader (en
devenant moins humaine) ou s'amĠliorer (en deǀenant plus humaine).restreindre la culture à un ensemble statique de règles valables dans une société mais envisager la
culture comme une activité de formation produisant des effets positifs ou nĠgatifs (c'est l'un des
Problématiques possibles :
différents sens de l'edžpression ͨ rendre plus humain » :- Mais plus peut également exprimer une amélioration qualitative = grâce à la culture,
C'est d'ailleurs l'un des autres sens de l'adjectif humain = " être humain ͩ, ce n'est pas
seulement disposer des qualités qui définissent objectivement l'homme, c'est aussi unede développer les compétences qui le définissent et le distinguent de l'animal ne rend pas
révèlent son appartenance ă l'espğce humaine ; mais, en même temps, la culture peut déshumaniser
S Doit- processus ce qui tend à le rendre moins humain voire complètement inhumain ?La culture permet--t-elle en lui la
naissance dle moralité ?INTRODUCTION
à certaines idéologies ou à certaines valeurs " culturelles » peut justifier " barbarie nazie » ou des génocides). De même les courants " transhumanistes sur les récentes avancées technologiques afin de promouvoir une nouvelle visio efficaces. Pour ces deux raisons, il semble nécessaire de se poser la question suivante : la culture nous rend-elle plus humains ? humains ? En efquestion nous invite à envisager la possibilité que la culture soit réellement un moyen pour
et de devenir plus . grâce à la culture, entenduesimplement comme ensemble statique de règles et de valeurs propres à une société, que
cultiver » sa nature. les capacitésanimaux. Mais sans la culture, il ne pourrait pas non plus développer certaines qualités
morales essentielles, notamment sa capacité à " être humain », -à-dire à " faire preuve
» . La culture serait alors synonyme, non
pas de régression ou de déperdition, mais de progrès intellectuel et moral. Cette question souligne donc à la fois le danger et la nécessité de la culture. Elle son humanité -à-dire immoral ou barbare) mais elle est aussi pleinement un homme. Dès lors, doit- développer toutes les ce qui tend à le rendre moins humain, voire complètement inhumain rendre plus humain » souligne bien cette ambivalence : plus indique-t-il seulement un développement quantitatif (être davantage) ou un changement qualitatif (devenir meilleur) ? En ? La problématique que nous pouvons adopter pour traiter ces questions est la suivante : la culture permet- simplement humain ou favorise-t-véritable moralité ? (" humain Enfin, nous chercherons à déterminer les conditions sous lesquelles la culture peut rendrePLAN DÉTAILLÉ (ne sont ici formulées que les idées essentielles et les principaux moments
de l'argumentation) :I. La culture, condition de notre humanité
a. de la nature essentielles du travail et de la technique outils adaptés façonne son propre milieu de vie et devient ainsi " comme maître et possesseur de la nature » (Descartes, Discours de la méthode, 6ième partie). cours sur le travail) : Marx, Le Capital.par ce mouvement, sur la nature extérieure et la modifie, il modifie sa propre nature, et développe les facultés
qui y sommeillent. »Par son traǀail, l'homme agit sur la nature et modifie son enǀironnement afin de produire les
ressources nécessaires à sa survie, mais il est lui-même modifié par cet environnement modifié,
cultivant la nature, il cultive sa propre nature (i.e. actualise certaines des potentialités inscrites dans
sa nature). ne se contente pas sur la nature extérieure b. La culture (comprise comme éducation) humanise elle le conduit non seulement à maîtriser sa nature (pulsions, réactions mais aussi à développer positivement les qualités qui font de lui un montre Kant dans ses , la discipline la " partie négative oudiscipline constitue la condition de toute véritable " instruction » définie par Kant
comme la " partie positivepeut développer les qualités qui définissent son humanité (habileté, prudence,
moralité). c. La réside dans la capacité proprement humaine à évoluer. plus » humain une nature aux parmi les hommes pas originairement. Mais comme le souligne Rousseau perfectibilité ne signifie pas amélioration ou dégradation. plus humain », il peut aussi devenir " moins humainAutre référence utile pour développer cet argument : Merleau-Ponty, Phénoménologie de la
perception, Ière partie, chapitre 6L'homme se dĠfinit par une certaine capacitĠ d'ͨ échappement » qui permet ă l'homme de ͨ se
dérober à la simplicité de la vie animale ».Transition :
moralement bon ?II. La culture permet- ?
faire preuve a. Il faut dissocier progrès intellectuel et progrès moral de vue cosmopolitique, § 7, Kant dresse le constat suivant : " Nous sommes hautement cultivés civilisés de beaucoup que nous puissions déjà nous tenir pour moralisés. » s termes,être civilisé » (i.e. de se
conformer à certaines règles de conduites ou de " civilité ») ou " cultivé » (i.e. de
attitude qui consiste à agir de manière morale en prenant réellement comme fin de nos actionsforme de moralité (règles de politesse, bienséances) mais sans être vraiment animé par
des intentions morales. -être par b. dégraderDans le Second Discours,
Rousseau insiste sur le caractère foncièrement ambivalent du passage à la culture
(cette ambivalence de la culture étant elle- " perfectibilité ») certaines de ses qualités premières naturelles compétences sans dégradation. Ainsi, Rousseau montre que le développement de dont les effets directement positifs sont le développement des arts et des savoirs,