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Le Diable au corps Raymond Radiguet (1923)

Le Diable au corps Raymond Radiguet (1923) Le Diable au corps est un oman dont l’action se déoule duant la Pemièe Gue e mondiale Il a été écrit par Raymond Radiguet quand il avait 17 ans et est paru pour la pemièe fois en 1923, l’année de sa mot (il était alos âgé de 20 ans) Les personnages principaux Le narrateur



mes-cours-de-lycee

Radiguet publie le Diable au corps à 20 ans en 1923 Ce roman à scandale va connaitre un succès fulgurant grâce notamment à une campagne publicitaire sans précédent Ce roman raconte la liaison adultère pendant la première guerre mondiale entre François le narrateur et Marthe dont le mari Jacques est parti au front



RAYMOND RADIGUET - pagesperso-orangefr

Le livre fut publié en 1924, à titre posthume, son auteur ayant été emporté par la fièvre typhoïde, le 12 décembre 1923, à l’âge de 20 ans Deuxième roman de Radiguet, après Le Diable au Corps, paru en 1923, chez Bernard Grasset, Le Bal est, certes, aujou d’hui moins lu et moins étudié ue le premier



CHAPITRE 1 LES ÉPREUVES : COMMENTAIRE, DISSERTATION

et de formuler le fi l rouge guidant tout le commentaire Annoncez le plan que votre commentaire va suivre Développement : 2 ou 3 grandes étapes 2 ou 3 grandes parties (aussi appelées « axes d’étude ») : chaque partie propose une idée directrice qui est déjà une réponse partielle à la problématique (on y répond peu à peu)



Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) - Le blog du bac Français

il n’est pas maître de son corps « c’est le Diable qui tient les fils qui nous remuent » (vers 13) « chaque jour vers l’Enfer nous descendons d’un pas » (vers 15) On a donc l'image d’un homme sans volonté et dominé par le Mal Cette volonté est caractérisée par un lexique laudatif « riche métal », tel une pierre



Charles Baudelaire, « Au lecteur », Les Fleurs du Mal, 1857

Charles Baudelaire, « Au lecteur », Les Fleurs du Mal, 1857 Lecture analytique et commentaire composé de la Lettre II Par Julie Cuvillier, professeur de lettres, académie de Nantes



ANGLAIS ÉPREUVE À OPTION : ÉCRIT COMMENTAIRE COMPOSÉ DE

l’épreuve le rappelle, le commentaire attendu est un commentaire « composé », ce qui implique de la part des candidats la conception d’un plan qui ne suive pas le développement du texte Le commentaire linéaire, dans le cas du texte de Jean Rhys, aurait d’ailleurs été d’autant plus maladroit que le texte adopte une forme circulaire



Baudelaire, Les Fleurs du Mal (1857) - Le blog du bac Français

· Système de l’interlocution depuis le vers 1, repris au vers 37 « vous » + le tiret de ponctuation · V39-40 : succession d’épithètes laudatives qui contrastent avec les péjoratives données à la bête · V41 : « reine des grâces » est la femme élue du cœur Référence à l’antiquité, guerre de Troie



BB n°1 : Commentaire du poème de Damas - Défi au labyrinthe

colonialiste On peut le décomposer en trois mouvements : le premier occupe les vers 1 à 14 et parle des vêtements et du corps dans la société Le deuxième mouvement se situe entre les vers 15 et 26 et expose les habitudes de la vie en société Enfin le denier prend des vers 26 à 36 et parle des “instincts” ou “passions”

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ANGLAIS

ÉPREUVE À OPTION : ÉCRIT

COMMENTAIRE COMPOSÉ DE LITTÉRATURE ÉTRANGÈRE

Hélène Aji, Charlotte Coffin

Coefficient : 3 ; Durée : 6 heures

Sur un total de soixante-trois candidats ayant choisi cette épreuve, soixante-deux ont composé, parmi lesquels deux ont rendu une copie blanche. Les chiffres d'ensemble sont

constants par rapport à l'année dernière. La présence de ces copies blanches, ainsi que de

deux ou trois copies présentant à peine l'amorce d'une lecture du texte, a amené le jury à

réfléchir sur les motivations qui poussent les candidats à choisir cette épreuve. Les compétences linguistiques ne sont pas une raison suffisante, même si celles-ci sont

absolument nécessaires à une bonne compréhension du texte et à une expression soignée et

nuancée. Le sujet de cette année, extrait du roman de Jean Rhys, Wide Sargasso Sea, ne

pouvait laisser indifférent un candidat véritablement préoccupé de littérature, tandis que le

jury prenait le risque de dérouter ceux qui ne s'étaient pas préalablement posé les questions

centrales de l'écriture littéraire et des enjeux du commentaire qui en sont les corollaires. Le

jury renouvelle donc aux candidats son conseil d'un choix pesé de l'option du commentaire,

car il implique un engagement réel dans une réflexion sur le texte littéraire dans la langue

choisie. Les candidats qui ont pris le texte à bras-le-corps et proposé des commentaires

intéressants sont assez nombreux. La moyenne générale est légèrement plus élevée que

l'année dernière, à 08,66 sur 20. L'étalement des notes est très large : de 00 à 18 sur 20.

Dans le détail, 32 copies obtiennent une note strictement inférieure à 08, avec 19 copies à 05 ou moins. Les notes de ces 19 copies s'expliquent par la combinaison de plusieurs défauts : d'un point de vue formel, des problèmes de langue qui handicapent visiblement la

réflexion du candidat ; le non-respect du plan annoncé en introduction ou, d'une manière plus

globale, le non-respect des conventions rhétoriques du commentaire composé (nous

reviendrons plus loin sur les attentes du jury à cet égard) ; un commentaire qui se cantonne à

la description du texte et/ou plaque sur ce texte des notions d'histoire littéraire, voire de civilisation, incongrues. Entrent également dans cette catégorie les copies qui, au grand étonnement du jury, ont fait le choix d'un commentaire linéaire. Comme l'intitulé de l'épreuve le rappelle, le commentaire attendu est un commentaire " composé », ce qui implique de la part des candidats la conception d'un plan qui ne suive pas le développement du texte. Le commentaire linéaire, dans le cas du texte de Jean Rhys, aurait d'ailleurs été d'autant plus maladroit que le texte adopte une forme circulaire. Les copies autour de 10 sur 20 sont celles de candidats dont les méthodes ont besoin d'être revues et dont la langue anglaise doit être polie. Le jury rappelle qu'il s'agit d'une

épreuve de spécialité, qu'il espère que les candidats reçus avec les options d'anglais

deviendront des spécialistes dans les domaines de recherche de la discipline et qu'il est donc particulièrement sensible aux copies qui montrent une grande attention à la langue anglaise, tant dans leurs remarques stylistiques que dans leur expression personnelle. Les candidats qui sont parvenus à trouver un juste équilibre entre un commentaire précis dans l'analyse, mais synthétique dans son expression, ont obtenu des notes allant de 12

à 18 sur 20. Cette dernière note, excellente, récompense un travail de haute qualité, inspiré et

inspirant, dont la pensée s'est distinguée par la clarté et la finesse. Le candidat a su trouver

une progression logique efficace pour son commentaire, partant de la façon dont le rêve, dans

ce texte, est imité par l'écriture littéraire ; montrant l'inversion dramatique des relations entre

rêve et réalité, quand le rêve devient ce qui commande à la réalité de la narratrice, contre toute

vraisemblance mais dans un effet de déstabilisation radicale ; pour enfin souligner la manière

dont le texte littéraire de Rhys (en grand texte moderniste) se construit sur les dédoublements

vertigineux et aliénants. La grande qualité de cette copie est de garder constamment à l'esprit

la problématique de l'écriture littéraire et de mettre continûment en évidence ce que le texte

de Rhys a de spécifique et d'original dans le mode narratif dans lequel il s'inscrit. Le sujet de 2006 s'avère donc un sujet discriminant, creusant l'écart entre les

candidats qui ne sont pas encore prêts à produire un commentaire littéraire efficace d'un texte

en anglais et ceux qui maîtrisent l'épreuve et se distinguent par des études perceptives, voire

ingénieuses ou brillantes. Les remarques qui vont suivre se répartissent en deux catégories :

remarques générales sur les objectifs de l'épreuve et les attentes du jury ; remarques ponctuelles sur le texte proposé à la sagacité des candidats. Remarques générales et conseils méthodologiques : Le préalable à tout commentaire est l'analyse linéaire précise du texte : on ne peut en aucun cas faire l'économie de ce moment crucial, mais il ne s'agit pas de produire pour autant un commentaire linéaire. Il ne s'agit pas seulement de lire et de comprendre le texte, même si

cela peut déjà poser quelques difficultés. Le jury est reconnaissant aux candidats qui savent

être attentifs aux modes de fonctionnements du texte, en gardant toujours à l'esprit l'objectif

de l'exercice, qui est de définir et d'argumenter une thèse à propos de ce texte et dans la perspective d'une réflexion sur l'écriture littéraire. L'introduction au commentaire doit en conséquence remplir plusieurs fonctions : décrire rapidement le texte, son contenu, afin d'éliminer le risque de la paraphrase dans le corps du commentaire ; définir une problématique (une question fondamentale) à laquelle le commentaire se propose de répondre ; annoncer les différents points du développement, en exhibant leurs articulations logiques et leur progressivité. Nous rappelons sur ce point que ce

moment de l'introduction où le plan est annoncé doit être clair et sans ambiguïté et qu'il

équivaut à un contrat de lecture passé entre le candidat et ses correcteurs : les points annoncés

en introduction doivent correspondre rigoureusement à la démarche démonstrative suivie dans le développement du travail. Ce développement doit suivre une logique de progression allant des constatations les plus simples et les plus évidentes sur le texte vers des remarques de plus grande envergure et plus abstraites sur l'écriture de ce texte et son importance dans le cadre d'une réflexion sur le texte littéraire. Il s'agit de mener pas à pas une démonstration et non de passer en revue une suite de points différents. Nous soulignons que le jury n'attend jamais un plan particulier : les candidats ne doivent donc surtout pas essayer de deviner le plan

" magique », mais tout au contraire se concentrer sur la cohérence interne de leur démarche.

Le jury a mis des notes bonnes, voire très bonnes, à des copies dont la logique, originale, s'impose et permet un commentaire complet des aspects essentiels du texte. La conclusion n'est pas simplement un passage obligé, une formalité : elle doit poser l'aboutissement du commentaire, répondre au questionnement initial de la problématique. Il

ne s'agit donc jamais de résumer ce qui vient d'être dit dans le développement. Les meilleures

conclusions proposent également une ouverture sur les conséquences littéraires de ce texte. Le

jury n'attend jamais des candidats qu'ils connaissent l'oeuvre dont le texte est tiré. Il est d'ailleurs arrivé que ces connaissances bloquent la réflexion (certains candidats savaient que

Wide Sargasso Sea est une réécriture de Jane Eyre, mais se sont limités à mentionner ce fait

sans en tirer les conséquences ou se sont du coup retranchés derrière des remarques sur

l'intertextualité sans voir les autres résonances de ce texte). Par contre, le jury espère toujours

trouver dans les copies une pensée du texte littérairequi dépasse les limites d'un seul texte,

d'un seul auteur, tout en en respectant les particularités. Remarques ponctuelles sur le texte proposé dans le sujet de 2006 : Puisqu'aucun plan de commentaire spécifique n'était attendu, le jury ne proposera pas de

corrigé, mais une série de remarques, non hiérarchisées. Il s'agit de points saillants du texte

sur lesquels nous attendions les réactions et commentaires des candidats. Certaines de ces remarques ont également pour but d'éclairer les candidats sur des commentaires possibles, que nous n'avons pas eus, mais dont l'absence n'a pas été pénalisante. Une bonne ou très bonne copie pouvait fort bien ne pas rassembler la totalité de ces points ou en développer

d'autres, mais présenter une argumentation forte et précise qui se révélait suffisante ou tout

aussi pertinente.

Dès la première lecture, certains éléments apparaissaient sur lesquels il était utile de

s'attarder : l'utilisation de la répétition comme moteur de la progression et de l'intensification ; l'utilisation de la parataxe et de la juxtaposition qui vise à souligner la succession rapide des actions, mais produit également un effet de fragmentation et de

dislocation qui amène à interroger la logique de ces actions ; l'insistance sur le mouvement et

le parcours de la narratrice, un voyage dans le château qui équivaut à un itinéraire mémoriel et

introspectif ; l'insistance sur les distorsions de la perception (vue, ouïe...) alliée à une

utilisation d'un éclairage typique de l'atmosphère du roman gothique.

Ce fil de l'élément gothique permettait de renvoyer, le cas échéant, à une tradition littéraire

que ce texte imite voire caricature notamment par l'utilisation, très lourde dans un espace

textuel si restreint, de ressorts multiples : la symbolique religieuse et le renvoi aux séances de

spiritisme et de magie noire ; les structures ternaires à tonalité mystique ; la référence à

l'idolâtrie ; la purification apocalyptique par le feu ; la littéralisation du nom du diable

(Lucifer) dans les actions de la narratrice ; les visions de fantômes, les peurs et les dangers de

l'ombre ; la circularité qui permet un puissant effet de prédestination et de révélation à la fin

du texte.

Restait à voir ce qui est révélé, dans un discours à la première personne dont la cohérence

semble pour le moins menacée. Il était judicieux, comme l'ont fait certaines copies, de se

demander si les difficultés de lecture n'étaient pas calculées et intentionnelles, avec pour

objectif de rendre la schize de la narratrice. L'écriture du rêve et la perméabilité entre le

monde du rêve et la réalité émergeaient alors comme les moyens de mettre en question les

pouvoirs de la fiction : l'histoire que raconte la narratrice donne à lire plus qu'elle ne dit, de

sorte que le texte provoque la lecture psychanalysante. De telles lectures, mettant en valeur le brouillage temporel dans le travail de la mémoire et le trajet complexe entre temps du rêve, temps de la narration et temps de l'enfance, ou encore soulignant la mimesis entre structure du rêve et structure du texte, ont permis à des candidats de percevoir le détachement pathologique de la narratrice et la mise en application, là aussi presque systématique, de la théorie freudienne. Encore fallait-il relire le texte en tant que tel, en tant que composition donnant à penser le pouvoir du texte : le fait que le rêve (la fiction ?) devienne programmatique pouvait devenir le

point d'accroche d'une réflexion sur le caractère performatif de l'écriture qui déforme et

reforme ses objets au rythme d'une quête esthétique, amplifiée par les emprunts

mythologiques, littéraires et théoriques, où s'incarne le travail de l'imagination dans la lutte

contre la folie et le silence. Ces deux éléments ont été moins souvent traités dans les copies :

comment le langage foisonnant du texte et la flamboyance de l'imagerie venaient combler le

vide d'une existence recluse. Quand l'intertexte avait été repéré, nous aurions alors aimé avoir

des propositions sur le travail de cet écrivain qui donne voix aux personnages de la littérature

qui n'ont existé qu'en négatif. Mais, au risque de nous répéter, ce dernier travail n'était pas

attendu. Le sujet de 2006 visait à favoriser des réflexions riches et nuancées sur les enjeux de la littérature du XX e siècle, dans une de ses dimensions principales, celle de la reprise des

structures du passé pour se les approprier, les détourner, les intensifier tout en les interrogeant.

Nous encourageons les candidats s'entraîner à ce type de réflexion, que ce soit en langue anglaise ou dans les autres champs de la littérature. Pour le commentaire composé en langue anglaise, la connaissance de l'histoire littéraire est utile mais elle ne l'emporte jamais sur l'analyse précise et nuancée du texte. Nous remercions les candidats qui ont su ménager l'équilibre entre ces divers éléments dans leurs copies et nous offrir un certain nombre d'études passionnantes.quotesdbs_dbs18.pdfusesText_24