[PDF] Le marché est-il toujours une garantie defficacité économique



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Dissertation

Dissertation avait ses avantages et ses inconvénients Si le marché est efficace pour satisfaire des choix individuels, l'intervention de l'État elle est indispensable pour mener à bien



Le marché est-il toujours une garantie defficacité économique

Limite : si un pays n'a aucun avantage absolu, il ne peut pas participer au commerce international Avantages comparatifs (D Ricardo): un pays a intérêt à se spécialiser dans la production du bien dans laquelle il est le moins inefficace ou au contraire dans laquelle il est le plus efficace



Chapitre 3 : Le marché est-il toujours efficace

Document 1 : Simulation, Le marché du sapin de Noël 2- Secrètement chaque élève décide, selon qu’il est vendeur ou acheteur, du prix auquel il est prêt à vendre / acheter un sapin 3- Reportez les réponses de la classe dans le tableau ci-dessous Prix de réserve d’un sapin d’1 mètre Nombre de vendeurs



Le monopole est-il toujours inefficace

Le coût marginal est le coût supplémentaire supporté par le monopoleur lorsqu’il produit une unité supplémentaire d’output : dy dc(y) Cm(y) Exemple : si c(y) = F + ay + by2 alors Coût marginal (Cm) Cm(y) 2 \



Dissertation : L’action publique contre le changement

A Le marché carbone européen n’a pas toujours été efficace pour inciter les entreprises à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre Voir l’argument rédigé dans la méthodologie B La coopération internationale en matière de lutte contre le changement climatique se heurte aux priorités nationales



Sciences économiques et sociaes - educationfr

Une défaillance du marché désigne une situation où le marché n’est pas efficace puisqu’il n’aboutit pas à la meilleure situation pour la collectivité La présence d’effets externes, l’existence de biens communs et de biens collectifs, les asymétries



DCG session 2009 UE5 Economie Corrigé indicatif

bien dans laquelle il est le plus efficace, dont le coût de production est inférieur à celui des autres pays Limite : si un pays n'a aucun avantage absolu, il ne peut pas participer au commerce international Avantages comparatifs (D Ricardo): un pays a intérêt à se spécialiser dans la production



LA DISSERTATION - Académie de Lyon

le sujet Le sujet est cité, puis expliqué Le plan est annoncé : seulement les parties "Un personnage n'est pas un individu en mieux", affirme le romancier Malraux Cet auteur indique par là qu'un personnage de roman n'est pas toujours un héros ; il peut en effet être sympathique ou détestable, avec des défauts et des qualités

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DCG session 2009 UE5 Economie Corrigé indicatif

Partie I DISSERTATION

Le marché est-il toujours une garantie d'efficacité économique ?

Sont attendus les points essentiels suivants :

- présentation de la concurrence pure et parfaite et de ses 5 hypothèses ;

- le système ou le rôle des prix walrassien (information, incitation, élément central

de Pareto ; - la notion de déséquilibre ou de dysfonctionnement (Keynes...) ; - les défaillances de marché at sinon de manière ponctuelle ou en conclusion ;

- les situations de concurrence imparfaite qui aboutissent à une certaine efficacité : monopole

naturel, marchés contestables, position dominante sans abus de position dominante ;

- les limites des marchés déréglementés (marchés financiers, marché du travail, marchés de

biens et services).

Partie II : QUESTIONS

Question n°1 : La crise de 1929 : processus et conséquences Les mécanismes de la crise doivent être précisés pour expliquer le processus en amont : - insuffisance de la demande aux Etats-Unis due à un partage salaires /profit inégal - insuffisance de la demande en Angleterre liée à la politique de change (livre forte) - endettement - vente massive de titres sur les marchés financiers - éclatement de la bulle financière - passage de la crise financière à la crise bancaire - crise de liquidités

Les conséquences :

- les spéculateurs endettés ne peuvent pas rembourser leurs prêts - panique des épargnants - raréfaction du crédit - crise de confiance généralisée - défaillance de tous les agents économiques endettés - reflux de capitaux sur le plan mondial - contagion au reste du monde - début des politiques économiques keynésiennes (exemple New-Deal) - début de la régulation sur le plan mondial www.comptazine.fr

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Question n°2 : Les théories du commerce international

Avantages absolus (A. Smith): chaque pays a intérêt à se spécialiser dans la production du

bien dans laquelle il est le plus efficace, dont le coût de production est inférieur à celui des

autres pays. Limite : si un pays n'a aucun avantage absolu, il ne peut pas participer au commerce international.

Avantages comparatifs (D. Ricardo) : un pays a intérêt à se spécialiser dans la production

du bien dans laquelle il est le moins inefficace ou au contraire dans laquelle il est le plus efficace. Tout pays a donc intérêt à participer au commerce international.

Limites :

- la répartition des gains entre pays peut être inégale

- la spécialisation génère des coûts collectifs difficiles à supporter (réallocation des

- l'origine de la spécialisation n'est pas précisée Les dotations factorielles (E. Hecksher, B. Ohlin, P. Samuelson) ou théorème HOS : un

pays a intérêt à se spécialiser dans la production du bien qui nécessite une grande quantité de

facteur de production qu'il possède en abondance (capital, travail, terre). Ceci aboutit à une

tendance à l'égalisation de la rémunération des facteurs de production (théorème de Stolper-

Samuelson).

Ces théories, dites traditionnelles, ne permettent pas d'expliquer le commerce intra-branche. La prise en compte de la possibilité de rendements d'échelle croissants est une autre source d'explication du commerce international : - demande représentative (Linder) : les producteurs nationaux produisent d'abord pour leur marché national. Plus le marché intérieur est grand, plus les producteurs vont pouvoir bénéficier d'économies d'échelle. Les exportations sont un commerce de surplus par rapport à la consommation intérieure. Puisque les pays de même niveau de développement ont des demandes représentatives similaires, leurs surplus exportables porteront sur les mêmes produits. - la théorie du cycle de vie d'un produit (Vernon). L'innovation est permise dans des

pays à stock de capital physique et humain élevé. Le coût élevé de l'innovation est

amorti car ces biens nouveaux peuvent s'écouler sur un marché intérieur suffisamment grand et solvable et grâce aux exportations. - le CI est le fait de grands groupes en situation de concurrence monopolistique ou d'oligopoles : les échanges internationaux sont la conséquence du goût pour des

produits différenciés, qui engendre une demande pour les variétés étrangères et des

rendements d'échelle croissants pour les entreprises, qui favorise l'effet d'attractivité des marchés (Krugman, Lancaster, Dixit, Stiglitz). Les rendements d'échelle peuvent aussi être externes Il existe des externes du secteur ou du pays. Lorsque de telles économies existent, toutes les entreprises du secteur, ient leurs coûts de production diminuer suite à une

augmentation de la production globale. Le coût unitaire de production dépend alors de la taille

du secteur, mais pas de celle de la firme spécifiquement. En présence d'externalités,

l'intervention de l'Etat peut alors se justifier pour favoriser les branches produisant ces

externalités : www.comptazine.fr

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- la politique commerciale stratégique (J. Brander, B. Spencer, P. Krugman) : des politiques de soutien à la recherche-développement (source d'externalités), par des subventions par exemple, peuvent favoriser des entreprises nationales au détriment des entreprises étrangères et permettre à un pays de faire émerger un avantage comparatif (exemple : Sans subvention, Airbus aurait eu beaucoup de difficultés pour se développer et concurrencer Boeing) - la protection des industries naissantes (F. List) : pour une industrie naissante, les quantités produites par les entreprises sont insuffisantes pour bénéficier d'économies

d'échelle qui résultent des effets d'expérience. Il peut donc être efficace de protéger

temporairement une industrie naissante par un droit de douane par exemple, de façon à

ce que les entreprises d'un pays bénéficient des économies d'échelle et puissent

devenir compétitives faces aux entreprises étrangères.

Limites des théories interventionnistes :

dollar consacré à la R&D dans l'industrie des semi-conducteurs produira-t-il dix cents de bénéfices externes, ou dix dollars ? (P. Krugman, la mondialisation n'est pas coupable.). il est donc difficile de déterminer quels sont les secteurs à aider.

- elles nécessitent des ressources qui auraient peut-être été mieux utilisées ailleurs ;

- risque de représailles des autres pays qui peuvent à leur tour mener des politiques interventionnistesquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46