Le PIB mesure-t-il notre bonheur
Le produit intérieur brut (PIB) est une mesure de l'activité économique de chaque pays, à l'intérieur de son territoire national Le produit national brut (PNB) comptabilise l'activité économique des personnes physiques (ressortissants) et morales (entreprises) de chaque pays, quelle que soit le lieu où elle s'exerce
TD n°4 – Le PIB est-il un bon indicateur? - APSES
A - Le PIB permet de mesurer la richesse réellement créée dans un pays Argument 1 : Le PIB est la somme des valeurs ajoutées, ce qui évite des doubles comptes (doc 2 et 4 + cours) et permet donc d'avoir
La mesure de la croissance - Hattemer Academy
II - Une définition plus formelle du PIB 1 Mesure de la croissance Le PIB ou Produit intérieur brut mesure la richesse créée par un pays en une année, c'est-à-dire qu’il indique la valeur de la production de biens et services d’un pays en une année C’est un agrégat qui additionne la richesse créée dans le pays par ses agents
Quelles sont les sources de la croissance économique
Toutefois, le PIB même corrigé en volume permet-il de traduire la réalité économique ? 2 Les limites des instruments de mesure de la croissance Le principal indicateur de la mesure des richesses créées est le prix du marché Ce mode de comptabilisation est donc aisé pour toutes les activités marchandes déclarées
Circuits économiques et indicateurs macroéconomiques
2 1 1 Le Produit intérieur brut (PIB) C’est l’agrégat le plus utilisé Il mesure la valeur de l’ensemble des biens et services finals produits par les unités résidentes sur le territoire économique d’un pays durant une période donnée (une année en général) Il peut s’obtenir selon trois optiques : Optique revenu
LE PATRIMOINE COMPRÉHENSIF AU CANADA - MESURER CE QUI IMPORTE
comme le suggère la citation ci-dessus Pour comprendre si la nation se développe réellement, il faut par conséquent comprendre l’évolution de son patrimoine compréhensif au lieu de s’en tenir uniquement au rythme de croissance du PIB Et pourtant, aucun pays, y compris le Canada, ne mesure actuellement le patrimoine compréhensif
Évolution du PIB par habitant La croissance de la Suisse est
pagnent, il n’est pas possible, statistiquement parlant, d’observer une croissance du revenu par habitant Soit Mais n’oublions pas que le monde commence seule-ment à se relever lentement de la crise de 2008/2009, la plus grave qu’il a connue depuis le choc pétrolier de 1972, et que la Suisse, qui n’est pas une île, n’a pas été
- SES- CHAPITRE 2 : Comment crée-t-on des richesses et
Q2 : Par combien a été multiplié le PIB entre 1900 et 1950 ? Entre 1950 et 2000 ? Q3 : Peut-on dire que la croissance a suivi une évolution régulière depuis 2 millénaires ?
S PHOCAS Science économique Chapitre 1 : Quels sont les
1) Le PIB était moins élevé en 2015 qu’en 1950 2) Le PIB a baissé de 2,9 points en 2009 3) La croissance a augmenté de 3 en 1952 4) La croissance du PIB a été moins forte en 2012 qu’en 2011 5) Entre 1975 et 2007, le PIB a augmenté de 2 30 6) Le PIB a baissé de 1,9 points de entre 2000 et 2001
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economiesuisseÉvolution du PIB par habitant
La croissance de la
Suisse est meilleure
que sa réputationIntroduction
02La croissance économique de la
Suisse est-elle surtout quantitative ?
Situation de départ
03La croissance du PIB par habitant
et ses facteurs d'in→uenceStructure des calculs
06Un modèle pour l'analyse de la
croissance économique suisseRésultats
11Croissance nettement plus robuste
depuis 2002 11Résultats de l'analyse de régression
14La spéci?cation alternative de la
conjoncture intérieure ne modi?e que faiblement le résultat 16Quel est l'impact pour la Suisse de
son avantage en matière de croissance ?18 Des résultats très robustes
Conclusion
20La croissance en Suisse : meilleure
qu'escompté22 Annexe
28Bibliographie
Sommaire
ACCÈS DIRECT AUX
MARCHÉS MONDIAUX
En tant que nation exportatrice, la Suisse a besoin d'un accès aisé aux marchés étrangers. Les principaux instruments sont des accords de libre- échange et les accords bilatéraux avec l'Union européenne, de même qu'un engagement au sein d'organisations internationales importantes comme l'OMC ou l'OCDE. Ne disposant pas des mêmes moyens que les grandes puissances, les standards et conventions internationaux sont dans l'intérêt de la Suisse. Ainsi, en cas de conflit, elle peut compter sur l'intervention d'un tribunal international.DES MARCHÉS DE L'EMPLOI
LIBRES ET OUVERTS
Un marché du travail ouvert et flexible contribue de manière significative à la prospérité de la Suisse.Les entreprises trouvent la main-d'oeuvre dont
elles ont besoin pour croître. En temps de crise, elles peuvent cependant réduire les effectifs, sans bureaucratie excessive, pour assurer leur survie. Cette flexibilité associée à un partenariat social qui fonctionne évite un taux de chômage élevé et des revers sociaux. Hélas, ces derniers temps, certains cercles remettent en question le caractère libre du marché du travail. L'appel à des interventions réglementaires se fait plus insistant. Au final, des interventions nuiraient également aux travailleurs. Il importe de préserver la flexibilité et l'ouverture. L'Union patronale suisse s'engage tout particulière- ment dans ce sens.Les neuf facteurs de succès sont accessibles
sous www.economiesuisse.ch / facteurs-de-succesNous défendons ces
facteurs de succèsAUTEURS
FABIAN SCHNELL
était responsable de projets Politique écono- mique générale chez economiesuisse jusquà la ?n janvier 2016.Les neuf facteurs de succès sont accessibles
sous www.economiesuisse.ch / facteurs-de-succesROMAN ELBEL
est stagiaire Politique économique générale chez economiesuisse.RUDOLF MINSCH
est chef économiste et responsable Politiqueéconomique générale chez economiesuisse.
1AVANT-PROPOS
Une image fidèle de la
croissance en SuisseRUDOLF MINSCH
Chef économiste
d'economiesuisse → Chère lectrice, cher lecteur, Foncièrement, l'économie suisse est en bonne forme, comme le con?rme sa remarquable compétitivité. Ces dernières années, sa croissance a dépassé la moyenne internationale. Mais à ce propos - en rapport avec les accords bilatéraux surtout - des doutes n'ont cessé d'être exprimés quant à savoir si, et dans quelle mesu- re, toute la population a pro?té de cet essor. Il est vrai que depuis la mise en application des accords bilaté- raux et de l'ouverture économique dont ils s'accom- pagnent, il n'est pas possible, statistiquement parlant, d'observer une croissance du revenu par habitant. Soit.Mais n'oublions pas que le monde commence seule-
ment à se relever lentement de la crise de 2008/2009, la plus grave qu'il a connue depuis le choc pétrolier de1972, et que la Suisse, qui n'est pas une île, n'a pas été
épargnée par ces derniers événements.
Des méthodes économétriques permettent d'isoler les facteurs de distorsion pour déterminer l'évolution ef- fective de l'économie suisse. Il apparaît alors que la croissance par habitant comparativement basse qu'a connue la Suisse ces dernières années est principale- ment imputable à la faiblesse de la conjoncture euro- péenne. En tenant dûment compte de ce paramètre, on constate que depuis la signature des accords bilatéraux avec l'UE, le revenu par habitant progresse en Suissenettement plus vite qu'auparavant.En vue des importantes décisions que devra prendre notre pays dans les mois et les années à venir en ma-
tière de politique européenne, l'évaluation de l'impact économique des accords bilatéraux joue un rôle tout à fait déterminant. Il est d'autant plus nécessaire de s'assurer que cette évaluation ne repose pas sur une image faussée. La présente analyse entend y contribuer. Pour leur accompagnement critique de nos évaluations économétriques, nous remercions ici les professeurs versité de St-Gall) et Jan-Egbert Sturm (KOF, EPFZ). Il va sans dire que les calculs et les conclusions fon- dées sur ceux-ci présentés dans la présente étude sont sous l'entière responsabilité de ses auteurs.