[PDF] 5 LE RÉALISME PICTURAL - Pulib



Previous PDF Next PDF







LE REALISME - d1n7iqsz6ob2adcloudfrontnet

= 1850-1890 Le réalisme = 1870-1890, le naturalisme, mouvement littéraire qui prolonge le réalisme et qui s'attache à peindre la réalité en s'appuyant sur un travail minutieux de documentation = 1870, proclamation de la 3eme république = 1860- 1920, Le symbolisme, concept spirituel du monde qui s'oppose



14 Le réalisme et le naturalisme - Editis

14 Le réalisme et le naturalisme Réalisme prolongé par le naturalisme Thèmes et motifs principaux – l’apprentissage de la vie et l’initiation sentimentale – l’ascension sociale et la chute – la puissance de l’argent et du pouvoir politique – les instincts que l’individu ne peut contrôler – les malheurs du peuple



& Procédés Le réalisme

Le réalisme et le naturalisme (1830-1900) • Volonté d’objectivité, refus d’embellir la réalité • Importance des descriptions (lieux, personnages) • Effet de réel (détails apparemment insignifiants, précision du lexique, prise en compte des objets et actes banals) • Valorisation des dialogues ; emploi du discours indirect libre



Séquence 1

Pourtant, ce serait peut-être une erreur de considérer le réalisme comme une invention du XIXe siècle : en littérature, le réalisme existe bien avant Balzac et Stendhal On en trouve la trace dans les romans du XVIIe et du XVIIIe siècle L’histoire de la littérature admet cependant que le réa-



Réalisme et naturalisme - Masaryk University

Le réalisme en France en littérature, de laisser le champ libre à une forme d'œuvres qui oscillent entre les deux Citons notamment Stendhal, précurseur de la



Le Réalisme

b) Le réalisme dans la peinture Tout comme en littérature le réalisme a été un mouvement dominant en art pendant la seconde moitié du 19ème siècle On n’a jamais étudié cependant les critères exacts du réalisme dans l’art et donc on en détermine pas vraiment les artistes réalistes



5 LE RÉALISME PICTURAL - Pulib

du philosophe Pierre-Joseph Proudhon, de Champfleury (le théoricien du réalisme) et de Baudelaire représenté en train de lire Le couple du premier plan doit personnifier les amateurs d’art, celui près de la fentre l’amour libre La guitare, la dague et le chapeau noir posés par terre dénonceraient l’art académique



Zola, le réalisme et l’imagination

entre pour une part dans le classement des activités humaines, en par - ticulier dans le rapport qu’elles entretiennent avec le réel Les philo-sophes et les artistes se sont saisis très tôt des concepts d’ imagination et de réalisme et leur ont donné une multitude de significations relatives et polémiques

[PDF] Le réalisme et le naturalisme

[PDF] le réalisme et le naturalisme seconde

[PDF] le réalisme et maupassant

[PDF] Le Réalisme et Naturalisme

[PDF] Le réalisme et naturalisme

[PDF] le réalisme evaluation de fin de séquence

[PDF] le realisme exposé

[PDF] Le realisme francais

[PDF] Le réalisme, une révolution artistique La représentation du corps : Le scandale réaliste

[PDF] le recensement

[PDF] Le Réchauffement Climatique

[PDF] Le réchauffement climatique

[PDF] Le réchauffement climatique

[PDF] LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE

[PDF] le réchauffement climatique au maroc ppt

44

5 I( 5e$IH60( 3HF785$I

OHV SHLQPUHV UHSUpVHQPHQP GMQV OHXUV PRLOHV OM YLH sortes de personnages (issus de la paysannerie, de la classe UpMOLPp PHOV TXH OHV YRLHQP OHV MUPLVPHV OH PHUPH SRXUUMLP

ŃRQPLQXH j GRPLQHU OH PRQGH GH OM SHLQPXUH HP TXL YHXP rPUH OM gardienne des traditions tant en ce qui concerne le choix des

POqPHV TXH OHV PHŃOQLTXHV XPLOLVpHV SMU OHV MUPLVPHVB FHX[-Oj SULYLOpJLHQP OHV VXÓHPV VRŃLMX[ HP VRQP HQŃRXUMJpV HP VRXPHQXV

OLPPpUMLUH P\PORORJLTXH RX UHOLJLHXVH GLVSMUMLP MX SURILP GH OM UHSUpVHQPMPLRQ GX UpHOB IHV UpMOLVPHV GHYLHQQHQP PpPRLQV

QH SHXP MUUrPHU HP TXL ŃRQGLPLRQQH OM YLH GH OM ŃOMVVH GH © UpMOLVPH ª VXU XQ JURXSH GH peintres beaucoup plus UHVPUHLQP HP \ LQPqJUHQP *XVPMYH FRXUNHP FMPLOOH FRURP -HMQ- )UMQoRLV 0LOOHP +RQRUp GMXPLHU +HQUL )MQPLQ-IMPRXU eGRXMUG

Manet et Gustave Caillebotte.

31 -XOHV )UMQoRLV )pOL[ +XVVRQ GLP )OHXU\ RX FOMPSIOHXU\ 1821-1889) est

UHSUpVHQPMQPV GH ŃH PRXYHPHQP GMQV OM OLPPpUMPXUH MLQVL TXH GMQV OM peinture. 45
VRQ °XYUH GMQV XQH VLPSOH SOUMVH TXL MSSMUMvP GMQV OH ŃMPMORJXH UpGLJp SRXU VRQ H[SRVLPLRQ SMUPLŃXOLqUH © Faire TXL PRQPUHQP OM UpMOLVMPLRQ ŃRQŃUqPH GH ŃHPPH LQPHQPLRQ GH Ornans dont nous parlons dans un chapitre particulier. Au Salon de 1850, il expose le tableau Les Casseurs de pierre ŃMU LO HVP GpPUXLP HQ 1E4D ORUV GX NRPNMUGHPHQP GH GUHVGH RZ un vieillard et un jeune, font du gravier pour les routes, un propagandiste, on peut constater que cette toile est une ŃULPLTXH GH OM VRŃLpPp GX ;H;e VLqŃOHB IH PMNOeau, lors de son philosophe Pierre-Joseph Proudhon selon lequel il est un symbole philosophique et un manifeste social. Mais Courbet ne VH OLPLPH SMV GMQV VM ŃUpMPLRQ MX[ VXÓHPV VRŃLMX[B HO SHint GHV SM\VMJHV SRUPUMLPV QMPXUHV PRUPHV VŃqQHV GH ŃOMVVH RX GH JXHUUH HP GHV QXVB GMQV OH ŃOMSLPUH ŃRQVMŃUp MX[ °XYUHV GpPHUPLQMQP XQH SOMVH GH VHSP MQQpHV GH PM YLH MUPLVPLTXH. Ce 46
MXPUHV PMNOHMX[ GMQV VRQ SURSUH SMYLOORQ ŃRQVPUXLP j TXHOTXHV DE8 ŃP VXVŃLPH GH QRPNUHXVHV SROpPLTXHV HP VRQ ŃMUMŃPqUH P\VPpULHX[ GHV LQPHUSUpPMPLRQV SMUIRLV VLQJXOLqUHV ŃRPPH ŃH geste de la main droite du peintre dans lequel certains voient sur le plafond de la chapelle Sixtine au Vatican. IH PMNOHMX UpXQLP GMQV XQ PrPH HVSMŃH HP MX PrPH PRPHQP XQH PUHQPMLQH GH ILJXUHV UpSMUPLHV HQ GHX[ JURXSHV MYHŃ MX PUMYMLOOH j XQ SM\VMJH GH VM )UMQŃOH-FRPPp QMPMOH SURXYMQP ainsL VRQ MPPMŃOHPHQP j VHV RULJLQHVB IH PMJQLILTXH ŃLHO GX SM\VMJH HVP VHORQ GHOMŃURL[ © un vrai ciel au milieu du © vivent de la mort ª OHV H[SORLPpV HP OHV H[SORLPHXUVB HO de 1793, un braconnier, un faucheur et un ouvrier, symbolisant OHV ŃOMVVHV VRŃLMOHV OHV SOXV SMXYUHV XQ ŃXUp XQH PHQGLMQPH un chasseur dont les traits, surtout la barbiche, rappellent

1MSROpRQ HHHB FHPPH GHUQLqUH ILJXUH HVP UMÓRXPpH SOXV PMUGB

GMQV OM SMUPLH GURLPH VRQP UHSUpVHQPpV ŃHX[ TXL VRXPHQMLHQP du philosophe Pierre-Joseph Proudhon, de Champfleury (le POpRULŃLHQ GX UpMOLVPH HP GH %MXGHOMLUH UHSUpVHQPp HQ PUMLQ de lire. Le couple du premier plan doit personnifier les JXLPMUH OM GMJXH HP OH ŃOMSHMX QRLU SRVpV SMU PHUUH 47
MX PXUNMQ SRXUUMLP rPUH OH 0LQLVPUH GHV )LQMQŃHV $ŃOLOOH )RXOG OH PXUNMQ HVP pYHQPXHOOHPHQP XQH PRTXH HP GMQV ŃH ŃMV braconnier portant une blouse blanche et un foulard brun VHUMLP UHSUpVHQPp SMU *LXVHSSH *MULNMOGL ORPPH SROLPLTXH peintres, Courbet combine dans ce tableau plusieurs genres :

L'Atelier du peintre

$X 6MORQ GH 18D7 FRXUNHP SUpVHQPH VRQ PMNOHMX Les Demoiselles des bords de la Seine. Deux jeunes femmes, VŃqQH UHIOqPH OHV ORLVLUV ŃRQPHPSRUMLQV HP MQQRQŃH HQ TXHOTXHV caricaturiste, mais aussi un peintre, lithographe et VŃXOSPHXUB GMQV VHV °XYUHV LO VH SHQŃOH VXU OM YLH TXRPLGLHQQH GX SHPLP SHXSOH HP \ SURÓHPPH VHV LGpHV SROLPLTXHV 48
j La Caricature, qui devient plus tard Le Charivari32. Sur les pages du journal, Daumier, par ses dessins, attaque violemment ŃUXMXPp HP UHQG ORPPMJH MX[ YLŃPLPHV GH OM UXH 7UMQVQRQMLQ33 (La Rue Transnonain, le 15 avril 1834B HO \ UHSUpVHQPH XQH OLVPRLUH VMQJOMQPH OLpH j OM UpSUHVVLRQ PHQpH ŃRQPUH OH PRXYHPHQP UpSXNOLŃMLQ SHQGMQP OMTXHOOH PRXV OHV OMNLPMQPV GH IM GLIIXVLRQ GH ŃHPPH OLPORJUMSOLH MŃŃRPSMJQpH GX ŃRPPHQPMLUH du journaliste Charles Philipon, quHOTXHV PRLV MSUqV

VXU OH PMUŃOpB

3MU OM VXLPH GMXPLHU VH ŃRQVMŃUH j OM VMPLUH GHV P°XUV

NRXUJHRLVHV ŃRQÓXJMOHV ILQMQŃLqUHV Ht judiciaires, SURGXLVMQP SOXVLHXUV VpULHV ŃRPPH ŃHOOH GHV Gens de justice. GMQV VHV GHVVLQV LO IXVPLJH OM VRŃLpPp SMULVLHQQH GH VRQ temps, tout comme le fait Balzac dans sa FRPpGLH OXPMLQH. davantageB HO SULYLOpJLH OHV VXÓHPV VRŃLMX[, ŃH TXH UHIOqPH VRQ PMNOHMX UpMOLVPH IH RMJRQ GH PURLVLqPH ŃOMVVH (peint entre

1863 HP 186D PRQPUMQP TXHOTXHV YR\MJHXUV MŃŃMNOpV SMU OM

du spectateur en le fixant de son regard sombre. Ses mains, SRVpHV VXU OH SMQLHU pYRTXHQP OM SULqUHB 3ULH-t-elle pour

32 Le Charivari HVP XQ ÓRXUQMO VMPLULTXH IRQGp SMU FOMUOHV 3OLOLSRQ TXL

UpSXNOLŃMLQH j OM 0RQMUŃOLH GH -XLOOHPB 3MUPL OHV ŃMULŃMPXULVPHV TXL PUMYMLOOHQP SRXU ŃH ÓRXUQMO RQ ŃRPSPH j SMUP GMXPLHU OH SORPRJUMSOH

1MGMU HP OH SHLQPUH LOOXVPUMPHXU HP VŃXOSPHXU *XVPMYH GRUpB

Le nom commun charivari GpVLJQH HQPUH MXPUH XQ NUXLP MVVRXUGLVVMQP XQ vacarme. 49
Une autre toile de Daumier, La Blanchisseuse (peinte vers PRXLOOp UHYLHQP GX OMYRLU VXU OM 6HLQH RZ HOOH H[HUŃH XQ PUMYMLO GXU HP UpSpPLPLIB (OOH MLGH VM SHPLPH ILOOH j PRQPHU la GHUQLqUH PMUŃOH GX UXGH HVŃMOLHUB IM SHPLPH SRUPH GMQV VM Les contours des maisons au second plan laissent deviner les demeures de la bourgeoisie qui employait les femmes du peuple comme blanchisseuses et repasseuses. Le fleuve marque la IURQPLqUH GLYLVMQP OHV GHX[ PRQGHV ŃHOXL GH OM ŃOMVVH OMNRULHXVH HP GHV NRXUJHRLVB IHV ŃRXOHXUV XPLOLVpHV SMU OH peintre, le contraste des parties sombre et lumineuse du entre ces deux mondes. Il existe trois versions de La Blanchisseuse dont la plus M SHLQP j SOXVLHXUV UHSULVHV ces femmes qui revenaient de leur travail.

La Blanchisseuse

50
Charles PhiliSRQB IH VŃXOSPHXU M p[pŃXPp GHV PHUUHV ŃXLPHV son talent de caricaturiste. Quand on prononce le nom de Gustave Caillebotte (1848- PpŃqQH VHUMLP XQH HUUHXU SXLVTXH FMLOOHNRPPH HVP XQ SHLQPUH UHPMUTXMNOH UHGpŃRXYHUP GMQV OHV MQQpHV 1E70B FH SHLQPUH soutient ses amis ManeP 0RQHP 5HQRLU RX Fp]MQQHB HO MŃOqPH leurs toiles, ainsi que celles de Pissarro et de Degas, et Raboteurs de Parquet, son tableau peut-rPUH OH SOXV ŃRQQX ŃHP pŃOHŃ FMLOOHNRPPH GpŃLGH GH VH ÓRLQGUH MX[ peintres LPSUHVVLRQQLVPHV HP SUpVHQPH OH PMNOHMX j OHXU VHŃRQGH exSRVLPLRQ HQ 1876B IHV UpMŃPLRQV TXH VM PRLOH SURYRTXH sont © transparente ªB 0rPH =ROM TXL GpIHQG OHV SHLQPUHV UHIXVpV SMU OH 6MORQ GpQRQŃH OH UpMOLVPH SORPRJUMSOLTXH GX PMNOHMX dont il donnera le commentaire suivant © Caillebotte a H[SRVp Les Raboteurs de Parquet et 8Q ÓHXQH ORPPH j VM PRXP j IMLP MQPL-artistique, une peinture claire comme le originale du talent artistique, est une chose pitoyable ªB 51
PUMYMLO ŃRQVLGpUp ŃRPPH XQ VXÓHP QRYMPHXUB 7URLV ORPPHV rabotent le parquet dans un grand appartement parisien. On ne distingue que partiellement leurs visages, deux semblent GLVŃXPHU HQPUH HX[B $JHQRXLOOpV LOV HIIHŃPXHQP XQ PUMYMLO fort fatiguant tant par la pose que par les efforts physiques MŃŃHVVRLUHV XQ PMUPHMX XQH OLPH GHV VMŃV j RXPLOV XQH bouteille de vin et un verre rempli), Caillebotte souligne le

UpMOLVPH GX VXÓHPB

Les Raboteurs de Parquet

architecturales qui vont modifier le visage de la capitale IUMQoMLVHB 1MSROpRQ HHH YRXOMQP PRGHUQLVHU OM YLOOH ŃOMUJH OH NMURQ +MXVVPMQQ SUpIHP GH OM 6HLQH GH UpMOLVHU GH YMVPHV PUMYMX[ TXL HQPUMvQHQP OM GpPROLPLRQ GH TXMUPLHUV PpGLpYMX[ de nombreux grands boulevards et avenues pour faciliter la 52
circulation, de construire de nouveaux immeubles, de mettre en

3MULV j 60%.

IH SHLQPUH HVP IMVŃLQp SMU OM QRXYHOOH SO\VLRQRPLH GH

3MULV GXH j +MXVVPMQQ HP QH PMQTXH SMV GH UHQGUH VHV

LPSUHVVLRQV GMQV XQ PMNOHMX LQPLPXOp Rue de Paris, temps de pluie 1877B HO \ UHSUpVHQPH OHV PUMLPV ŃMUMŃPpULVPLTXHV GX Paris haussmannien GHV LPPHXNOHV MOLJQpV OH ORQJ GHV QRXYHMX[ M[HV GH ŃRPPXQLŃMPLRQ TXL HX[ GpNRXŃOHQP VXU XQ ŃMUUHIRXU HQ pPRLOHB IHV ŃOMXVVpHV VRQP OMUJHV SMYpHV HP PRQRPRQH GH 3MULV OM VROLPXGH GHV SHUVRQQMJHV HP YRQP PrPH j SUpGLUH que le couple au premier plan ne durera pas longtemps...

Rue de Paris, temps de pluie

53
GMQV OH ŃRQPH[PH GX UpMOLVPH, Jean-Baptiste Camille Corot (1796-187D HVP XQH ILJXUH SMUPLŃXOLqUHB FHOXL dont Degas dit IMoRQ ŃOMLUH GMQV XQ ŃRXUMQP SLŃPXUMOB IHV XQV OH ŃRQVLGqUHQP OH TXMOLILHQP GH SUpŃXUVHXU GHV LPSUHVVLRQQLVPHV RX NLHQ OH ŃOMVVHQP SMUPL OHV UpMOLVPHVB FRURP MYHŃ VRQ HVSULP OLNUH durant sa vie. Il est de formation classique (pour certains URPMQPLVPH GX UpMOLVPH RX GX QMPXUMOLVPHB FRURP YR\MJH beaucoup LO VpÓRXUQH j 5RPH j SOXVLHXUV UHSULVHV parcourt les provinces fUMQoMLVHV GH PHPSV j MXPUH LO PUMYMLOOH j SRVVqGH 134 GH VHV PMNOHMX[ TXL pYRTXHQP OHV MVSHŃPV OHV SOXV GLYHUV GH VRQ LQVSLUMPLRQ HP OHV pPMSHV GH VM ŃMUULqUHB 2Q figures, des portraits, le fameux Souvenir de Mortefontaine, etc.

IHV SHLQPXUHV PUqV SHUVRQQHOOHV GH FRURP MPPLUHQP

favorablement. Zola voit en lui un SUpŃXUVVHXU GH 3LVVMUUR que notre lecteur puisse se IMLUH XQH LGpH GHV PMNOHMX[ GH Ńe SHLQPUH QRXV UHSURGXLVRQV LŃL GHX[ GH VHV °XYUHV : Le Beffroi de Douai (1871) et La Dame en bleu 1874 H[SRVpV MX 0XVpH GX

IRXYUH j 3MULVB

54

Le Beffroi de Douai

(Q 1871 3MULV HVP HQ SOHLQH pNXOOLPLRQ UpYROutionnaire.

3RXU pŃOMSSHU j OM FRPPXQH GH 3MULV FRURP VH UpIXJLH j GRXML

UpXVVLP XQH LPMJH SMLVLNOH TXL LQYLPH OH VSHŃPMPHXU j VH promener dans les rues de cette ville du Nord. La Dame en bleu ŃHPPH PMJQLILTXH ILJXUH IpPLQLQH pNORXLP SMU VRQ pOpJMQŃH OM JUkŃH GH VRQ YLVMJH HP OH QMPXUHO de sa pose. 55

La Dame en bleu

1RPRQV HQŃRUH TXH FRURP PUqV MSSUpŃLp SMU OHV MPMPHXUV

IMXVVMLUHVB +HXUHXVHPHQP GHV ŃHQPMLQHV GH VHV °XYUHV RQP pPp MXPOHQPLILpHV HP VRQP UpSMUPLHV GMQV OHV ŃROOHŃPLRQV GX PRQGH HQ SURYLQŃH OHV PXVpHV GH 5HLPV HP GH 6PUMVNRXUJ ŃRQVHUYHQP le plus grand nombre de ses tableaux. 56
En ce qui concerne Jean-)UMQoRLV 0LOOHP (1814-1875), le chapitre coQVMŃUp j ŃHPPH pŃROH SLŃPXUMOHB eGRXMUG 0MQHP (1832-1883 HVP MVVRŃLp MX UpMOLVPH JUkŃH j certaines de ses peintures, dans lesquelles il exprime son est une critLTXH GH OM GpVMVPUHXVH ŃMPSMJQH MX 0H[LTXH GH son influence et le respecte beaucoup. Pour ces raisons, nous OXL UpVHUYRQV XQ SHPLP ŃOMSLPUH SMUPLŃXOLHUBquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18