[PDF] LE HIP HOP - Collège Martin Luther King



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Rap : Travailler Groupe : TTC

secret par tous les autres rappeurs) et Tido Berman (le truand8 de classe, qui conna t tous les secrets et les garde pour lui), ont pris dans leur quipe les plus fins techniciens: DJ Orgasmic, capable de faire pleurer et danser9 avec le m me scratch; et le duo de producteurs Tacteel et Para



Le RAP - monecolefr

Le RAP Le Rap est un genre de musique né au milieu des année 1970 dans les ghettos (les banlieues) des Etats-Unis Son nom vient du verbe « to rap » qui signifie bavarder Il consiste à dire des couplets parfois rimés sur un rythme très marqué par des rythmes, les « beats » Le Rap découle du funk, du disco et du R'n B Dans les



SÉQUENCE 3 : « Muses et sentiments

Hip-Hop = art de rue, né dans les années 70 dont découlent : - le rap - le graff - le break - la mode - le scratch Le rap connu au milieu des années 90 en France = NTM, IAM, MC Solaar :Observation Les actions du petit frère Il fume de l’herbe Il casse les voitures Il veut jouer du révolver Il a déserté le terrain de jeu Il a 13 ans



LE HIP HOP - Collège Martin Luther King

écriture, le plus souvent un pseudonyme, stylisée LES ORIGINES DU RAP Le rap, c'est la partie musicale du hip hop Une voix accompagnée par des boucles musicales, c'est-à-dire le MCing accompagné par le Djing Il trouve ses oringines dans les musiques afro-américaines, dans la tradition des joutes verbales et



EDUCATION MUSICALE Niveau : 3ème - HAZEBROUCK

Les « enfants » du reggae, les dérivés, se nomment : dub (reggae instrumental, mixé par des DJ’s, auquel on ajoute des effets sonores comme le scratch, des échos, etc ), le raggamuffin (mélange de rap et de reggae) C'est donc dans un contexte de rébellion des consciences face à l' "oppression blanche" symbolisée par le KKK qu



À Primaire Secondaire LE RAP - CNDP

Le rap puise tout à la fois dans la tradition des griots africains, des prêcheurs des églises afro‐américaines et dans les injonctions rythmés des M C (Maîtres de Cérémonies) jamaïcains pour stimuler leurs danseurs Le rap appartient au hip‐hop, un mouvement culturel



racines - Culture

Le rap, culture noire Le rap s’inscrit dans l’histoire des musiques noires américaines : blues, gospel, jazz, rythm’n blues, rock, soul, funk Il est basé sur l’improvisation, la rime, le rythme, le vécu et se déroule sur la musique des platines du DJ Le langage rap trouve ses origines dans les "dirty dozens", joutes verbales de la



RECUEIL DE CHANSONS 2009 CRÉER PAR LEWIN ET SCRATCH

un cerf dans une grande maison p 11 la ferme À maturin p 11 scions, scions du bois p 12 un soir dans sa cabane p 13 le pÈre abraham p 13 artouille p 13 la chasse au lion p 14 le clown samuel p 14 Ô rÉgina p 14 le petit prince p 15 les patates p 15



Séquence 2 : Musique et Métissage

Le groupe Sweetbox mélange ici deux styles de musique : la musique baroque et le Rap Américain Il y a deux plans sonores : le chant en anglais au premier plan (paroles inventées par le groupe Sweetbox) et au second plan l’Aria de la 3ème suite pour orchestre de Jean-Sébastien BACH

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LE HIP HOP Le hip-hop est un mouvement culturel et artistique qui est apparu aux États-Unis dans le Bronx à

New York au début des années 1970 qui mêle des aspects festifs et revendicatifs. Il est originaire des ghettos

noirs de New York. Il se répandra rapidement à l'ensemble du pays puis au monde entier dans les années 80 au

point de devenir une culture urbaine importante.

1. LE TERME " DJING » vient des initiales de Disc Jockey; le DJ

est celui qui fait fonctionner les platines. - LE SCRATCH (ou scratching) est un procédé consistant à modifier à la main la vitesse de lecture d'un disque vinyle sous une tête de lecture de platine vinyle. La technique du scratch est un tournant important pour la naissance du rap car c'est là que l'usage de la boucle va se systématiser.

2. LE TERME " MCING » vient des initiales de Master of Ceremony.

Le MC est celui qui toast. Le toasting est le mot qui désigne la façon caractéristique qu'ont les rappeur de

scander leur texte. On appelle " flow » le débit, la façon de rythmer, d'enchaîner les mots propre à chaque MC.

(Écoutes: NTM et IAM)

3. LE BREAK DANCE OU B-BOYING.

BBoying vient de Beat Boys qu'on pourrait traduire par " les enfants de la pulsation ». Break dance provient de la notion de break, de " cassure » rythmique. Le break dance est un terme utilisé pour désigner un style de danse développé à New York dans les années 1970 caractérisé par son aspect acrobatique et ses figures au sol. Le Popping est une danse d'origine Californienne dont le principe de base est la contraction et la décontraction des muscles en rythme.

4. LE GRAFFITI HIP HOP

Le graffiti existe depuis toujours mais de nouvelles techniques se sont développées en milieu urbain avec le mouvement hip hop. Il permet au graffeur de se réapproprier son environnement, et de marquer son mobilier urbain. Généralement réalisé à l'aide de bombes aérosols, le graffiti fait intervenir de nombreuses notions plastiques (stylisation, géométrisation, équilibre, etc.) mais se trouve également en relation avec d'autres domaines artistiques

(infographie, photographie, bande dessinée, etc.)LA CULTURE HIP-HOP CONNAÎT QUATRE EXPRESSIONS PRINCIPALES :

Le Djing, le Mcing, le B-boying, ou break dancing, le graffiti, auxquels on adjoint le human beatboxing

Il faut distinguer graffiti, "throw-up" et tag.

- Le graffiti est l'art qui consiste à réaliser à la canette de peinture des lettrages complexes ou des

représentations de personnages par exemple

- On peut parler de "throw-up" (flop) pour un graffiti en deux couleurs (une pour le remplissage rapide

et pas forcément parfait et une autre pour le contour (outline) formant généralement des lettres de forme

arrondie ou facilement lisible ) faisant office de signature - Le tag est, en un sens, la signature qui peut être soit associée à un graff', soit être une simple trace laissée sur un mur ou au détour d'un arrêt de bus. Un tag est " unifilaire », il s'agit simplement d'une écriture, le plus souvent un pseudonyme, stylisée.

LES ORIGINES DU RAP

Le rap, c'est la partie musicale du hip hop. Une voix accompagnée par des boucles musicales, c'est-à-

dire le MCing accompagné par le Djing.

Il trouve ses oringines dans les musiques afro-américaines, dans la tradition des joutes verbales et

dans la tradition jamaïcaine du sound system.

1. LES MUSIQUES AFRO-AMÉRICAINES COMME LA SOUL ET LE FUNK.

L'écoute comparative de Sex Machine (James Brown) et de B-Boy Boogie (Dj Kool Herc) montre le lien de parenté entre la musique funk et le hip hop, même rythmique qui invite à la danse et une voix qui s'adresse directement à l'auditeur pour le stimuler. Chez Dj Kool Herl, pas de musiciens sur scène mais un accompagnement joué aux platines sur des disques vinyles déjà existants.

2. LES TRADITIONS AFRO-AMÉRICAINES DE JOUTES VERBALES COMME LE DIRTY

DOZENS.

Dans les Dozens, deux rivaux sont face-à-face dans une compétition improvisée, souvent bon enfant et

très directe. Tour-à-tour, ils profèrent des insultes et des vannes sur un membre de la famille de l'autre (souvent

la mère). C'est celui qui montre le plus de répartie, de self-contrôle et d'humour qui l'emporte tandis que se

trouver à court d'imagination entraîne une défaite immédiate. Mais savoir accepter la défaite entraîne aussi le

respect de toute l'assistance.

Il se pourrait que ces " battles » (joutes, combats) aient eu pour fonction réelle d'éviter la violence

physique parmi les esclaves dans les plantations puis dans les quartiers durs des grandes villes.

LES LIEUX PUBLICS.

En Jamaïque, dès les années 60, on installait sur la place publique un sound system (une sono), on passait de la musique (du ska, du reggae ou du dub) et le DJ encourageait les gens à danser en leur parlant dans le micro. Ces encouragements deviendront bientôt des textes construits puis viendra le temps du message social et politique, aux USA dans le rap.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46