INTEGRATION (Partie 1) - Maths & tiques
utilisé au XIVe siècle, pour désigner le calcul intégral A cette époque, on partait de l’équation de la courbe pour calculer l’aire sous la courbe, c’est à dire du « bord » de la surface à la surface entière (intégrale) Au milieu du XIXe siècle, les sciences sociales reprennent le mot
Travail et aire sous la courbe - Collège de Maisonneuve
Lorsque la force n’est pas constante, l’équation précédente n’est plus valide et le calcul de l’aire sous la courbe devient nécessaire l suffit de couper la surface Pour ce faire, i en petits rectangles de travail
Intégrales et primitives
définir la fonction comme étant l'aire sous la courbe sur l'intervalle Remarque La fonction F est définie sur [a ;b] et : puisque l'aire sur un domaine de largeur nulle est nulle Exemple Reprenons l'exemple précédent : On a alors Si on utilise la méthode de l'aire du trapèze pour calculer cette intégrale, nous avons : On vérifie
LES CUMULS THERMIQUES - agrireseaunet
Figure 1 : Aire sous la courbe représentant le cumul des degrés-jours sur une période de 2 jours (48 heures) La méthode standard est la plus facile d’utilisation, et la plus utilisée Elle consiste à soustraire la température de base (Tbase) de la température moyenne de la journée Si le résultat est
Méthode de Monte-Carlo
4 La proportion de l'aire sous la parabole par rapport à l'aire du carré a une proba-bilité de 0;95 d'être entre 0;2 et 0;4 Et puisque l'aire du carré est 1 cela signi e que l'aire sous la parabole est entre 0;2 et 0;4 avec une probabilité de 0;95 5 vecA n = 1000 le programme m'indique que 366 sont sous la parabole donc : f= 0;366
Méthode de Monte-Carlo
IICalcul de l'aire sous une parabole Exercice 2 Il s'agit d'un problème de quadrature, i e un problème de calcul d'aire On considère l'arc de parabole P qui est la courbe représentative de la fonction f: ˆ [0;1] R x 7 x2 dans un repère orthonormé (O;I;J) Notons A(1;1)
Principes de Pharmacocinétique
AUC = Aire sous la courbe = - si toute la dose administrée PO est absorbée => BD absolue = 100 (= IV)-une BD absolue de 50 signifie que seule la moitié de la quantité administrée est retrouvée dans le circulation générale-La BD relative est la comparaison de 2 galéniques pour une même voie BD absolue et relative Notion de
Le calcul dans la joie - University of Ottawa
vi Avant-propos Ce livre contient plusieurs exercices : les questions accompagn´ees du sym-bole Fdemandent un peu plus de travail Les r´eponses de la majorit´e des
Paramètres pharmacocinétiques
2 Surface sous la courbe : C Calcul: 1 Méthode graphique : méthode des trapèzes Le mode de calcul le plus simple est la méthode graphique qui consiste à découper la courbe expérimentale en autant de trapèzes qu’il existe de points expérimentaux 2 Méthode mathématique: Modèles pharmacocinétiques 06/08/2016
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Bulletin d'information POMMIER
No 03 - 9 mai 2012
Secrétariat du RAP : 200, chemin Sainte-Foy, 10 e étage, Québec (Québec) G1R 4X6 Téléphone : 418 380-2100, poste 3551 ou 3581Télécopieur : 418 380-2181 Courriel : rap@mapaq.gouv.qc.ca Page Web : http://www.agrireseau.qc.ca/rap
LES CUMULS THERMIQUES
(Dominique Plouffe et Gaétan Bourgeois, CRDH/AAC) Le tableau des observations inclus dans les avertissements phytosanitaires Pommier indique traditionnellement les degrés-jours base 5 °C (DJ 5 ) selon la méthode standard. Mais, depuis cette année, les DJ 5apparaissent aussi selon le calcul de la méthode Baskerville. Les deux méthodes calculent les DJ
5différemment, mais le calcul de la méthode standard est plus simple à réaliser que celui de la méthode
Baskerville, qui nécessite l'emploi d'outils informatiques. Ce bulletin d'information vous informera sur la
façon de calculer le cumul thermique pour ces deux méthodes. De plus, il présente un tableau comparatif
des DJ requis pour l'atteinte de chacun des stades repères de développement du pommier.Les cumuls thermiques sont utilisés en agriculture afin d'évaluer le développement des végétaux et des
ravageurs durant la saison de croissance. Ils sont basés sur le lien étroit qui existe entre leur
développement et la température ambiante. Ces cumuls thermiques pe rmettent donc de prédire le momentde certains stades importants de développement, comme la date de débourrement, la date de floraison ou
le pic de population d'un insecte. Des observations sur chaque stade phénologique d'une culture ou d'un
stade de développement d'un ravageur doivent d'abord être obtenues expérimentalement. Par la suite, les
cumuls sur un territoire donné sont calculés et comparés au seuil requis pour un stade précis d'une culture
ou d'un ravageur, ceci dans le but de prédire un seuil critique ou de planifier certaines interventionsphytosanitaires. Plusieurs méthodes de calcul des cumuls thermiques sont disponibles, mais pour le cumul
des degrés-jours, les plus utilisées sont la méthode standard et la méthode sinus simple (Baskerville).
La température de base (Tbase) d'un organisme est la température au-dessous de laquelle il ne peut se
développer. Quant à la température supérieure de développement (Tsup), c'est la température au-dessus
de laquelle le taux de croissance ou de développement diminue ou cesse complètement. Les degrés-jours
correspondent à la surface sous la courbe de température, entre la température de base d'un organisme
vivant et sa température supérieure (fig. 1).Figure 1 : Aire sous la courbe représentant le cumul des degrés-jours sur une période de 2 jours (48 heures).
La méthode standard est la plus facile d'utilisation, et la plus utilisée. E lle consiste à soustraire la température de base (Tbase) de la température moyenne ( ) de la journée. Si le résultat est négatif, il n'y a aucun degré-jour accumulé. Les degrés-j ours calculés chaque jour sont ensuite totalisés à partir d'une date de début des calculs.Dans le cas de la méthode sinus simple (Baskerville), on stipule que la courbe de température journalière
est semblable à une courbe sinusoïdale et les degrés-jours sont calculés en évaluant l'aire sous cette
courbe (fig. 2).Figure 2 : Cumul des degrés-jours selon la méthode sinus (Baskerville) sur une période de 3 jours
(a = aire sous la courbe sinusoïdale, b = courbe réelle de température).La méthode sinus a été sélectionnée pour le développement des modèles prévisionnels en raison de sa
plus grande précision. Mais, malgré son qualificatif de " simple », elle nécessite l'emploi d'outils
informatiques (ex. : CIPRA) et le calcul est plus complexe que pour la méthode standard. Les deuxméthodes ne sont pas interchangeables et le tableau 1 fournit les valeurs des degrés-jours selon les deux
méthodes de calcul pour les stades repères du pommier, cultivar 'McIntosh'. POMMIER Bulletin d'information No 03 - 2012, page 2 POMMIER Bulletin d'information No 03 - 2012, page 3Tableau 1 : Degrés-jours nécessaires pour atteindre les différents stades repères du pommier
(cv 'McIntosh'), calculés selon la méthode standard et la méthode sinus (Baskerville). Température de base = 5 °C, début des calculs = 1 er mars