[PDF] Les chauves-souris



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La Les chauves-souris - Pollinator Partnership

Les chauves-souris nectarivore ont des museaux allongés, de longues langues à pointe de pinceau et des dents qui sont réduites en taille et en nombre Toutes les chauves-souris nectarivore ont un sens aigu de l’odorat, et les fleurs produisent souvent un parfum musqué pour les attirer Les chauves-souris de la famille Phyllostonidae, qui



Les chauves-souris

Les chauves-souris, chasseuses hors pair, au régime alimentaire spéci-fique, sont souvent aperçues pendant les nuits d’été Il peut arriver de découvrir dans la cave ou les combles de sa maison ce petit mammifère intrigant, pendu la tête en bas au plafond ou au mur Les chauves-souris n°125 - janvier 2012 La chauve-souris en quelques



Les chauves-souris - agglo-royanfr

Les chauves-souris du site Natura 2000 n°36 n°01 L es chauves-souris sont des mammifères nocturnes qui virevoltent à la tombée de la nuit En France elles sont exclusivement insectivores et mangent à 90 des Diptères (mouches, moucherons ou moustiques) et des Lépidoptères (papillons de nuit) ; le reste



(Première partie) Les chauves- souris

Dans les 18 familles de chauves-souris, dont plusieurs ne sont représentées que par une seule espèce, celle des vespertilio-nidés en compte environ 320 Les chiroptères qui totalisent pas loin de 900 espèces, dont seulement 30 en Europe, sont répartis en 2 sous-ordres: les Mégachiroptères, généralement de grande taille, telles les



Les chauves-souris - Eau et Rivières de Bretagne

Les principales proies des chauves-souris sont les diptères (tipules, moustiques ), les papillons de nuits (noctuelles, tordeuses ), les coléoptères (bousiers, hannetons ), et d’autres insectes en-core Les périodes de chasse les plus utilisées sont le début de nuit et l’heure qui précède le lever du soleil



Les chauves-souris - ffspeleofr

Les chauves souris, espèces fragiles 1 Présentation des chauves souris Les chauves souris sont des Mammifères de l’ordre des Chiroptères Elles sont toutes protégées par la loi du 10 juillet 1976 relative à la protection de la nature, l'article L 411-1 du Code de l’Environnement et par arrêté ministériel du 23 avril 2007



Chauves-souris et virus : des relations complexes

Mais ce qui nous intéresse ici chez les chauves-souris, et qui, pour le coup, serait une bonne raison de les redouter, est le rôle que, partout dans le monde, ces animaux jouent dans la circulation de très nombreux agents infectieux, notam-ment des virus L’Ordre des Chiroptères Quelques données générales sur les chauves-souris ne sont



Plan de rétablissement de la chauve-souris rousse (Lasiurus

compte les besoins écologiques de ces espèces Un premier plan, publié en 2019, porte sur les trois espèces de chauves-souris résidentes en situation précaire, alors que le présent Plan porte sur la chauve-souris rousse Néanmoins, ce plan contient des éléments susceptibles de favoriser les autres espèces migratrices



Pour conserver les échantillons - chauve-sourisca

chauves-souris Ces informations seront utiles et serviront à cibler les groupes d’insectes qui, suite à la diminution des densités de chauves-souris, pourraient connaître une augmentation de population Les fèces de chauves-souris sont segmentées, étirées et friables ( voir annexe ) comparativement

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[PDF] les chiens de memeres

[PDF] LES CHIFFRES

[PDF] les chiffres en espagnol

[PDF] les chiffres en lettres de 1 a 10000

Le maillage de sites Natura 2000

s'étend sur toute l'Europe de façon à rendre cohérente cette initiative de préservation des espèces et des ha- bitats naturels.

Tout projet de plans, programmes,

travaux ou aménagements suscep- tible d'affecter de façon notable un site Natura 2000 doit faire l'objet d'une évaluation de ses incidences au regard des objectifs de conserva- tion.Dans l'Oise, 17 sites sont répertoriés dont 14 ont le statut de site ou propo- sition de site d'importance commu- nautaire et 3 de zone de protection spéciale.

10 ont recensé au moins une espèce

de chauve-souris parmi les espèces animales présentes sur leur territoire.

Evaluation des incidences Na-

tura 2000 Le décret n°2010-365 du 9 avril 2010 relatif à l'évaluation des incidences Natura 2000 pré- cise le type d'autorisation qui requiert une

évaluation des incidences Natura 2000. La

liste nationale prévue à l'art. L414-4 du code de l'environnement a été complétée d'une liste locale publiée par arrêté préfectoral et accessible sur le site internet de la DDT de l'Oise. L'autorité environnementale peut être le CGEDD, le préfet de région ou le préfet de département (ex: planification territoriale).

L' évaluation des incidences concerne les

projets, mais aussi les plans et programmes pouvant avoir une incidence notable sur un site Natura 2000, même si le projet, plan ou programme est situé en dehors dudit site.

Le contenu d'une étude d'incidences Natura

2000 est décrit à l'article R414-21 du code

précité et doit être effectuée pour l'ensemble des espèces et/ou habitats ayant conduit à la délimitation du site, conformément au formu- laire standard de données.

Si cette évaluation des incidences venait à

démontrer que le projet a des incidences no- tables sur une des espèces ou habitat du site, elle devra comporter un volet visant à expliquer comment ces effets seront suppri- més, réduits ou compensés. Un référent Na- tura 2000 est présent dans chaque DDT afin de vous aider dans vos démarches.

Dans le cas de la planification territoriale, si

l'évaluation des incidences Natura 2000 dé- montre la présence d'incidences du projet communal ou intercommunal sur un site Na- tura 2000, le plan peut être soumis à une évaluation stratégique environnementale (art.

L121-10 et suivants du code de l'urbanisme)

génèrant l'émission d'un avis spécifique de l'autorité environnementale dont le service instructeur est la DREAL.

Directeur de la publication :

Philippe Guillard

Réalisation - impression :

DDT de l'Oise

BP 20317 - Bld Amyot d'Inville

60021 BEAUVAIS Cedex

ml : ddt@oise.gouv.frRéalisation :

Service de l'Aménagement, de l'Urbanisme et

de l'Energie

Marie Banâtre

Bureau Connaissance du Territoire

ml : ddt-saue-ct@oise.gouv.fr tel : 03 44 06 58 71Présentes partout dans le monde, les chauves-souris font partie des rares mammifères à avoir colonisé l'espace aérien et constituent l'ordre le plus important chez les mammifères après les rongeurs.

Généralement actives la nuit, les

chauves-souris ont développé, pour se diriger dans l'obscurité totale, une vision acoustique appelée écholoca- tion.

Ce système de sonar est basé sur la

production d'ultra-sons (son de très haute fréquence inaudible pour l'oreille humaine, mais audible pour nombre d'animaux). Elles en captent la réflexion et obtiennent une image très précise de leur environnement, lo- calisant ainsi leurs proies et les obs- tacles.

Chaque espèce émet des ultra-sons

différents permettant aux biologistes de les différencier.

Les chauves-souris d'Europe se nour-

rissent presque exclusivement d'in- sectes de toute sorte et de toute taille.Pendant leur période d'activité, elles consomment entre un quart et un tiers de leur poids chaque nuit. L'été, elles vivent dans des endroits où les insectes sont en abondance et peuvent ainsi ingurgiter quelques

60 000 moustiques ou moucherons

entre mai et octobre.

Avec la raréfaction de leur nourriture

en période de froid, elles hibernent, survivant grâce à leurs réserves de graisse accumulées pendant l'au- tomne et attendent ainsi des jours meilleurs.

Des endroits à humidité fixe, chauds

(par rapport à la température exté- rieure froide), calmes et isolés, comme des cavités, des anciennes carrières de pierre ou des vieux troncs font l'affaire.

Dès le mois d'avril, les chauves-souris

entrent dans leur phase active. Elles quittent leurs lieux d'hibernation et s'installent dans des endroits tran- quilles et chauds pour leur repos diurne, 20 heures par jour, et l'élevage de leurs petits.Les chauves-souris, chasseuses hors pair, au régime alimentaire spéci- fique, sont souvent aperçues pendant les nuits d'été. Il peut arriver de découvrir dans la cave ou les combles de sa maison ce petit mammifère intrigant, pendu la tête en bas au plafond ou au mur.Les chauves-sourisn°125 - janvier 2012

La chauve-souris

en quelques chiffres

Poids : 4 à 60 g

Envergure : 20 à 40 cm

Durée de vie : jusqu'à 30 ans

1 000 à 1 200 espèces

recensées dans le monde

34 en France

21 en PicardieGrand rhinolophe

- 1 -La prise en compte dans les Natura 2000

Avec la constitution du réseau Natura 2000, l'Europe s'est lancée dans la réalisation d'un ambitieux réseau de

sites écologiques dont les deux objectifs sont : préserver la diversité biologique et valoriser le patrimoine

naturel de nos territoires.

Pour en savoir plus

Déclinaison régionale picarde du plan d'action chiroptère 2009/2013 - Picardie Nature - mars 2010

Identification des territoires de plus grande sensibilité potentielle pour la conservation des chauves-souris en Picardie -

Picardie Nature - octobre 2009

Découvrons et préservons les chauves-souris du Parc - PNR Oise-Pays de France La lettre d'infos n°58 - Conservatoire d'espaces naturels de Picardie - hiver 2011

Connaître et protéger les chauves-souris en Picardie - actualisée par le conservatoire d'espaces naturels de Picardie avec le

concours financier de l'Union Européenne (FEDER), la DREAL Picardie et le Conseil Régional de Picardie

Le portail Internet de l'Office National des Forêts : www.onf.fr Le réseau Natura 2000 - département de l'Oise - 8 -Grand rhinolophe

Rhinolophes, murins, sérotines, pipistrelles, noctules et oreillards sont les espèces que l'on peut voir voler au-

dessus de nos têtes dans le ciel de l'Oise à la nuit tombante.Quelques espèces de l'Oise

Le Grand rhinolophe

Espèce de grande taille reconnaissable à son nez en forme de fer à cheval et ses grandes oreilles pointues.

Gîte hivernal : grottes, caves, mines avec

température constante et élevée Gîte estival : milieu bâti chaud (grenier, comble d'église, château) Déplacement : principalement sédentaire. Les déplacements entre les gîtes d'hiver et d'été dépassent rarement 30 km Territoire de chasse : endroits boisés et lisières avec prairies paturées en périphérie dans un rayon de 5 à 10 kmLe Petit rhinolophe

Une des plus petites chauves-souris de notre

région, au nez en forme de fer à cheval et aux grandes oreilles pointues. Gîte hivernal : grottes, caves, mines relative- ment chaudes et très sombres Gîte estival : milieu bâti chaud (grenier, comble d'église, château) Déplacement : principalement sédentaire, gé- néralement 5 à 10 km

Territoire de chasse : 2,5 km autour de son

gîte d'été - prairies, lisières, prairies pâturées entrecoupées de haies et milieux aquatiques importants pour les femelles reproductricesLe Grand murin L'espèce la plus grande de la région, au pe- lage brun et gris clair, au museau court et large et aux oreilles longues et larges.

Gîte hivernal : caves, greniers, cavités

Gîte estival : combles, greniers, grottes, arbres creux dans des paysages ouverts et lé- gèrement boisés

Déplacement : environ 10 km entre les gîtes

estivaux et hivernaux, rarement plus de

100 km

Territoire de chasse : sous-bois peu denses,

parcs, champs, prairies, pelouses rases et près des maisons dans un rayon de 5 à 15 km

Le Murin de Daubenton

Espèce de petite taille relativement commune

en France au pelage gris-brun et gris clair et aux oreilles triangulaires.

Gîte hivernal : grottes, galeries de mines,

éboulis instables, caves où il s'enfonce dans les fissures, anciens puits Gîte estival : anfractuosités de vieux murs, arbres creux, zones boisées à proximité d'un plan d'eau Déplacement : 50 km entre les gîtes d'hiver et d'été

Territoire de chasse : plans d'eau calme,

cours d'eau dans un rayon entre 2 et 8 kmLe Murin à moustaches De très petite taille, au pelage brun, au ventre plus clair et aux oreilles et à la membrane de ses ailes brun noirâtre. Gîte hivernal : cavités (grottes, galeries, caves) plutôt fraiches Gîte estival : endroits resserrés (fentes des murs, derrière des volets, ...), combles, cavi- tés, arbres creux

Déplacement : déplacements saisonniers de

25 à 40 kilomètres

Territoire de chasse : sous-bois, haies, cours

d'eau dans un rayon de 600 m à 3 km autour du gîte de mise-basLe Murin à oreilles échancrées Taille moyenne, pelage à l'aspect laineux, roux sur le dos et gris-jaunâtre sur le ventre.

Gîte hivernal : grottes, galeries sans courant

d'air Gîte estival : combles, greniers à proximité des agglomérations avec des parcs, des jar- dins, de l'eau en abondance

Déplacement : assez sédentaire. En moyenne

4 km environ à rarement plus de 50 km entre

son gîte d'été et celui d'hiver Territoire de chasse : à 15 kilomètres, à proximité de zones humides, dans les parcs, jardins et au-dessus des eaux courantes - 2 -- 7 -Des sites pour protéger les chauves-souris Le Conservatoire d'espaces naturels de Picardie a recensé quelques sites remarquables dans l'Oise abritant et protégeant des colonies de chauves-souris.

Le château impérial de Com-

piègne abrite une colonie (une cen- taine de femelles) de mise-bas pour le Grand murin et le Petit rhino- lophe, cette dernière espèce utili- sant les souterrains en hiver pour hiberner.

Le château d'Ollencourt à Tracy-

le-Mont est le plus important site connu de mise-bas du Petit rhino- lophe de la Picardie qui loge dans les combles durant l'hibernation.

L'église de Fontaine-Lavaganne

est un lieu de mise-bas de Sérotine commune.

Le château d'Achy renferme une

colonie de mise-bas de Grands mu- rins.

La cavité souterraine du Petit Bla-

mont à Marseille-en-Beauvaisis est un habitat naturel pour les chiro- ptères. Le rôle du Conservatoire d'espaces naturels de Picardie est de maintenir ce site accueillant pour l'hibernation une colonie de chau- ves-souris, particulièrement le Murin

à oreilles échancrées.

Pour éviter de détruire le site et de

perturber la tranquillité des chiro- ptères en hibernation dans l'en- semble de la carrière, une grille a

été posée à l'entrée du site.

La Tête de Pigau (Béthisy-Saint-

Martin) est une ancienne carrière

d'extraction de pierres calcaires dont la superficie et la situation en font une des carrières les plus im- portantes à protéger en vallée de l'Automne. Elle héberge, principale- ment pendant l'hiver, différentes es- pèces comme le Petit rhinolophe, le

Grand rhinolophe, le Murin de

Bechstein, le Murin de Natterer ou

encore l'Oreillard.

Ce projet a été soutenu par la fon-

dation Nature et Découvertes.

Les anciennes carrières souter-

raines du larris Millet de Saint-

Martin-le-Noeud sont un gîte d'hi-

bernation important du Pays de

Bray. La protection de cet habitat

permet à plus d'une centaine de chauves-souris, dont essentielle- ment des Murins à oreilles échan-crées, de trouver un endroit calme, sombre et humide où hiberner à l'abri des dérangements intempes- tifs. Une grille a été posée à l'entrée du site.

Sur le plateau du Vexin français, à

Montagny-en-Vexin, les grandes

carrières présentent différents mi- lieux riches en habitats naturels et espèces protégés.

Le site renferme notamment des ca-

vités souterraines où des popula- tions de chauves-souris hibernent.

Le château de Troissereux, situé à

proximité de Beauvais, dans la val- lée du Thérain, renferme la plus grande colonie de mise-bas de

Grands murins de Picardie. Plus de

300 femelles s'y réunissent entre

avril et septembre. Le conservatoire d'espaces naturels de Picardie par- ticipe à l'organisation de manifesta- tions spéciales et sensibilise le pu- blic lors d'événements tels que la nuit de la chauve-souris ou les jour- nées du patrimoine.

La carrière Libertreux, à la fron-

tière entre l'Oise et l'Aisne sur la commune de Saint-Pierre-lès-Bitry, est une ancienne carrière d'extrac- tion de pierre ayant servi de refuge pendant la Première Guerre mon- diale. Le site héberge une impor- tante colonie de mise-bas du Petit rhinolophe comptant environ 60 in- dividus.

Sur la commune de Béhéricourt, la

cavité souterraine de Bois Gras est située au sein d'un boisement privé.

Avec plus de 720 individus et 8 es-

pèces de chauves-souris, ce site héberge le plus grand effectif de chiroptères en Picardie et dans le

Nord de la France de manière gé-

nérale. Le site regroupe notamment les plus grandes populations d'hi- bernation de la Picardie concernant le Petit rhinolophe, le Murin de Nat- terer et le Murin à oreilles échan- crées. Une grille a été posée à l'entrée de ce site privé. (Extraits de la rubrique "Espaces naturels" publiée sur le site internet du Conservatoire d'espaces naturels de Picardie)Montagny-en-Vexin

Béhéricourt

Troissereux

Tracy-le-MontCarrière LibertreuxLa Tête de Pigau

Cette synthèse, rédigée en octobre

2009, concerne les espèces mena-

cées : Grand et Petit rhinolophe,

Grand murin, Murin à oreilles échan-

crées et Murin de Bechstein.

Cette étude aboutit à une cartogra-

phie des territoires de plus grande sensibilité en superposant l'occupa- tion du sol et le réseau des sites ma- jeurs d'hibernation, de parades et de mise-bas.

Des territoires vitaux ont ainsi été

identifiés, classés et cartographiés.

Les territoires de plus grande

sensibilité

Les grands massifs forestiers

Le massif forestier de Compiègne-

Laigue-Ourscamps et abords est un

réservoir démographique fondamen- tal en Picardie, dans le nord de la

France et aussi pour les plaines du

nord-ouest européen pour le Petit rhi- nolophe.

Le massif des 3 forêts (Halatte,

Chantilly et Ermenonville) est relati-

vement pauvre en chiroptères com- paré au massif de Compiègne et à la vallée de l'Automne très proches, mais il peut toutefois être considéré de sensibilité potentielle globalement

élevée.

Les petits massifs des buttes et

vallées - le Noyonnais, en particulier le bois de Thiescourt - la vallée de l'Automne de sensi- bilité très élevée pour les Grands et Petits rhinolophes et le Murin de Bechstein.

Ces coteaux sont fondamentaux en

terme de continuité boisée entre les grands massifs sud-picards et favo- rables à l'installation de nouvelles co- lonies. Les effectifs de certaines es- pèces, comme le Murin à oreilles

échancrées, sont en augmentation.

Les territoires bocagers et/ou prai-

riaux - le Beauvaisis jusqu'au nord duquotesdbs_dbs46.pdfusesText_46