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LES FIGURES DE STYLE ET LES PROCÉDÉS LITTÉRAIRES Théorie et

apostrophe dans les figures de style à la page 84 Pour les besoins de la cause, entendons-nous pour dire qu’un procédé littéraire est un moyen qu’on utilise pour raconter un bout d’une histoire



Les figures de style - s1bbf413d1c936f3fjimcontentcom

plusieurs phrases, de plusieurs vers, de plusieurs paragraphes a te e n n s n n te t les assonances u Les figures de style pdf Created Date: 5/2/2019 10:17:55 AM



LES FIGURES DE STYLE 1/4 - LES FIGURES DE STYLE 2/4

- LES FIGURES DE STYLE – 1/4 - LES FIGURES DE STYLE – 2/4 La figure de style est un procédé qui consiste à exprimer une idée et à l’enrichir au-delà de la simple communication du message Voici les principales figures de style, classées en fonction de leur objectif



Les figures de style Exercice Exercice d’application Surligne

Les figures de style – Exercice Exercice d’application – Surligne la figure de style présente dans chacune de ces phrases et nomme-la : A) Il vendait et des fraises, et des oranges, et des cerises, et des bananes Polysyndète B) Cassé, cassé C’est un bien grand mot Disons simplement que ton smartphone va un peu moins bien marcher



Classe de Seconde Contrôle sur les figures de style Prénom

Classe de Seconde Contrôle sur les figures de style Prénom : Nom : Classe : Exercice 1 Identifiez en les soulignant les figures de style suivantes et interprétez-les Rédigez des phrases complètes (8 points) 1 Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie ; J'ai chaud extrême en endurant froidure



Verlaine, « Mon rêve familier » La poésie lyrique

Périphrase: figure de style qui consiste à dire en plusieurs mots e u’on pou ait di e en utilisant un seul terme Ici, « les moiteurs de mon front blême » désignent la sueur du poète Comparaison: figure de style qui rapproche deux objets (le comparant et le comparé) grâce à un outil comparatif



I Courage - LeWebPédagogique

II Paris et les Parisiens (figures de style et interprétation) FIGURE DE STYLE UTILISÉES EXEMPLES INTERPRÉTATIONS Personnification Paris a faim Paris a froid v 1 Paris ne mange plus v 2 et tout au long du poème avec tu Paris , capitale de la France, désigne les Pa i-siens mais également le peuple fançais, sa patrie



Roméo et Juliette - medias2ftvakamaizednet

naissent les figures de style L’oxymore, les métaphores enrichissent la langue pour que les êtres humains puissent exprimer par des alliances de mots l’extraordinaire de leurs sentiments TEXTE 1 : extrait de l’Acte I, scène 1 de Roméo et Juliette, de Shakespeare (1597) Traduction de François-Victor Hugo (1868) BENVOLIO - Hélas



Leçon sur la poésie lyrique - WordPresscom

enrichissant le vocabulaire, en utilisant des figures de style Au XIXe siècle surtout, avec le courant romantique, les descriptions de paysage sont nombreuses et permettent souvent au poète de faire jaillir leur mélancolie On aborde alors la notion de « sublime » : les poètes sont dépassés par la beauté, par

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Synthèse établie par D-A Carlier.

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La figure de style est un procédé qui consiste à exprimer une idée et à

O·HQULŃOLU MX-delà de la simple communication du message. Voici les principales figures de style, classées en fonction de leur objectif. FHV ILJXUHV GH VP\OH UHSRVHQP VXU OM UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQH VPUXŃPXUH GH phrase, afin de mettre en valeur une idée (celle qui est répétée) : I·$1$3+25( : UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQ JURXSH GH PRPV HQ GpNXP de phrase, de vers ou de proposition : " Rome, l'unique objet de mon ressentiment ! /Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !/ Rome qui

» (Racine, Horace)

I·e3H3+25( : UpSpPLPLRQ G·XQ PRP RX G·XQ JURXSH GH PRPV HQ ILQ GH phrase, ex : " 0XVLTXH GH O·HMXC $PPLUMQŃH GH O·HMX » (courant en poésie) LA RÉPÉTITION : un même mot est répété plusieurs fois dans le texte, mais les mots répétés sont séparés dans la phrase ou dans le texte : " La terre était grise, le blé était gris, le ciel était gris » (Giono) LE PARALLÉLISME : consiste à reprendre la même construction de SOUMVH V\QPM[LTXH RX OH PrPH U\POPH HQ GHX[ HQGURLPV G·XQ pQRQŃp : "

» (Corneille).

LE CHIASME : est un parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée, selon le schéma AB/BA : " qui appartient au Prince,

Prince qui appartient à . » (Diderot)

I·$FF808I$7H21 : consiste à ajouter des termes de même nature et de même fonction (afin de produire un effet de quantité ou de variété) : " ils ont des pointes, des épines, des lames, des griffes, des ongles » LA GRADATION : consiste à accumuler des termes de même nature, GRQP O·LQPHQVLPp HVP ŃURLVVMQPH RX GpŃURLVVMQPH : " Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! " (Molière) : gradation ascendante ; " Mme de Cambremer serait ravie heureuse contente. » (Marcel Proust) : gradation descendante I. Les figures de répétition C G·LQVLVPMQŃH : LA PRÉTÉRITION : elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire TXHOTXH ŃORVH MORUV TX·RQ HVP justement en train de le faire : " Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas » ŃHOM SHUPHP G·MPPLUHU

O·MPPHQPLRQ VXU ŃH TXL YM VXLYUHB

Les ILJXUHV G·MPSOLILŃMPLRQ ŃRQVLVPHQP j MŃŃHQPXHU OM IRUŃH RX OM YLROHQŃH G·XQH

LGpH RX G·XQ VHQPLPHQPB IHV ILJXUHV G·MPPpQXMPLRQ VHUYHQP j O·LQYHUVH j MPPpQXHU j MGRXŃLU OM GXUHPp G·XQH UpMOLPp RX G·XQH pPRPLRQB I·+K3(5%2I( : procédé qui consiste à exagérer une perception, un VHQPLPHQP HQ OH JURVVLVVMQP j O·H[PUrPH H[ : " je meurs de faim » LA LITOTE : SURŃpGp TXL ŃRQVLVPH j GLUH PRLQV SRXU VLJQLILHU SOXVB F·HVP une atténuation qui sert à amplifier une idée, ex : " je ne te hais point » (Corneille), ce qui signifie en fait " ». I·(83+e0H60( : SURŃpGp G·MPPpQXMPLRQ TXL ŃRQVLVPH j HPSOR\HU XQ mot ou une expression plus faible pour désigner une réalité plus dure, afin de O·MGRXŃLU H[ : " il nous a quittés » au lieu de " il est mort ». IHV ILJXUHV G·RSSRVLPLRQ UMSSURŃOHQP GHV PHUPHV GRQP OH VHQV HVP ŃRQPUMLUHB IH but est de créer un effet de contraste pour souligner la tension entre deux idées, deux personnages. I·$17HTHÈSE : UMSSURŃOH GHX[ pOpPHQPV RSSRVpV MX PR\HQ G·XQH construction symétrique : " je vis, je meurs : je me brûle et me noie » (L. Labé) I·2;K025( : deux mots opposés sont juxtaposés ou coordonnés ; le but est de créer un effet inattendu, surprenant : " Cette obscure clarté qui tombe des étoiles » (Corneille) HHB IHV ILJXUHV G·MPSOLILŃMPLRQ C G·MPPpQXMPLRQ :

HHHB IHV ILJXUHV G·RSSRVLPLRQ :

Synthèse établie par D-A Carlier.

- LES FIGURES DE STYLE ² 3/4 - LES FIGURES DE STYLE ² 4/4 LE PARADOXE : énoncé qui parait contenir une contradiction. Le paradoxe est très efficace dans une argumentation, car il surprend et remet en cause les évidences. " On est quelquefois aussi différent de soi-même que des autres ». (La Rochefoucauld). I·$77(I$*( : il rapproche deux compléments désignant un élément concret et un élément abstrait, ex : " âme et les dentelles de sa jupe. » (Flaubert). Ici, le rapprochement de " O·kPH » et de la " jupe » provoque un effet comLTXH HP LOOXVPUH O·LURQLH IOMXNHUPLHQQHB Ces figures consistent à remplacer un mot ou une idée par un autre mot ou une autre expression qui va apporter une nuance ou un effet inattendu. LA MÉTONYMIE : on remplace un mot par un autre terme avec lequel LO HQPUHPLHQP XQH UHOMPLRQ ORJLTXH G·MSSMUPHQMQŃH G·RULJLQH GH ŃRQPLJXwPp : ex : " » (le lieu est employé pour désigner

République))

ex : " boire un verre » (le contenu (liquide) est remplacé par le contenant) ex : " Peugeot LA SYNECDOQUE : est une forme de métonymie qui consiste à remplacer un mot par un autre terme avec lequel il entretient un rapport G·LQŃOXVLRQ H[ : " il y a une voile » (une partie désigne ici un tout : la voile désigne le bateau). LA PÉRIPHRASE : on remplace un mot par une expression qui le définit, ex : " Le pays du Soleil levant » ( = le Japon) I·$17H3+5$6( : ILJXUH SOMUH GH O·LURQLH HOOH ŃRQVLVPH j H[SULPHU OH contrMLUH GH ŃH TXH O·RQ YHXP GLUH H[ : " Que tu es intelligent ! » Ces figures rapprochent deux termes en établissant entre eux une équivalence de sens. LA COMPARAISON : met en relation deux termes ayant un point ŃRPPXQ XQ ŃRPSMUp HP XQ ŃRPSMUMQP j O·MLGH G·XQ RXPLO GH ŃRPSMUMLVRQ ŃRPPH PHO TXH MLQVL TXH VHPNOMNOH j GH PrPH TXH" H[ : " La musique souvent me prend comme une mer » (Baudelaire). LA MÉTAPHORE : met en relation deux termes (un comparant et un comparé) mais sans outil de comparaison, ex : " roman

» (Beaumarchais).

LA PERSONNIFICATION : est une métaphore qui accorde des caractéristiques humaines à un objet, à un animal ou à un être inanimé, ex : " Venise pour le bal » (Musset) consiste à attribuer des caractéristiques animales à L·$1H0$IH6$7H21 : un être humain, ex : " les ménagères réunissaient leurs mioches pour assemblent leurs »donner la pâtéeoiesbêtes consiste à représenter un être vivant sous la forme LA RÉIFICATION : d·une chose, d·un objet : " Tes yeux sont la où boivent mes ennuis » citerne I·$IIe*25H( : proche de la personnification, elle consiste à représenter une idée abstraite sous forme concrète, ex : la mort représentée sous les traits ; la femme brandissant le drapeau dans le tableau de Delacroix, La Liberté guidant le peuple. LA PROSOPOPÉE : IRUPH GH SHUVRQQLILŃMPLRQ TXL YM ÓXVTX·j GRQQHU OM parole à des êtres inanimés, des concepts abstraits, ou à des morts, ex : " Et la rivière dit : " Je ne veux rien savoir,/ hommes » (Supervielle).

IV. Les figures de substitution :

V. Les ILJXUHV G·pTXLYMOHQŃH :

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