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LETTRINES ET ENLUMINURES - WordPresscom

rares Les moines les décorent avec des lettrines et des enluminures La lettrine est une lettre, généralement majuscule, simple ou ornée, de taille supérieure ou plus grasse que le caractère employé dans le texte, et pouvant occuper la hauteur de plusieurs lignes



Les enluminures au Moyen age - Eklablog

enluminures on appelle ces les lettrines, marquent le les lettrines se prolongent parfois en dÉbut des chapitres ou des paragraphes



Abécédaire** de*Lettrines*de*couleurs*ornées* àimprimer*

Les Lettrines sélectionnées sont issues de la base de données ‘Enluminures’ du ministère de la Culture C’est le fruit de recherches



L nluminure - Girl kissed by fire

C/ Différents types d'enluminures es Lettrines Les moines enluminent différentes parties des manuscrits Une des partie de la page la plus ornée est l'initale, ou la lettrine Il en existe de différente sorte Elles peuvent être peintes ou rubriquées (c'est-à-dire rouge) Elles peuvent être simples, champies (dorées



Les enluminures - Eklablog

Les enluminures Qu’est-ce qu’une enluminure? Au moyen-âge, les enluminures servaient à décorer les manuscrits Les enluminures aidaient le lecteur à se repérer dans la page Comme elles étaient souvent décorées de dessins, elles aidaient ceux qui ne savaient pas lire à comprendre le texte Qu’est-ce qu’un manuscrit?



ARTS PLASTIQUES : réaliser une enluminure à partir de son

Lettrines au jardin (Ecole Gambetta, Begles - Classe Anaïs Criquet, 2015-16 Compétences visées : - Education du regard et acculturation : observer des lettres enluminées afin de repérer des éléments de ce langage plastique, - prendre la parole pour partager des découvertes lors de la rencontre avec des œuvres d’arts du Moyen



CCCCycle 3ycle 3ycle 3 A Les enluminures éclairante

CCCCycle 3ycle 3ycle 3 Les enluminures Pratique éclairante A Concernant les lettrines construites, demander de chercher à quel élément, quel animal, quelle scène peut bien faire penser la forme de lettre à insérer Cette forme pourra être utilisée pour créer le visuel 2 Création de la lettrine 10’ Création



La biblie de Souvigny - lewebpedagogiquecom

chapitre : les lettrines Un personnage apparaît sur chaque vignette, il ressemble beaucoup à l ˇhomme allongé, représenté en bas de page C ˇest en fait une image de Dieu qui crée la Terre, les végétaux, les animaux et enfin l ˇhomme et la femme Un fond d ˇor est présent derrière



La petite fille qui aimait trop les allumettes

à des siècles et des siècles, avec lettrines et enluminures, si je sais ce que ça veut dire, mais il ne s’y trouvait point d’article qui entretînt avec la situation un rapport même lointain Je replaçai le rouleau dans sa boîte pous-siéreuse, la boîte dans son armoire, et je dis à mon frère: —Entre Ouvre la porte et entre



LIVRES ANCIENS ET MODERNES - Tajan

LETTRINES À LARGES RINCEAUX Voir la reproduction 9 TEXTE & ORNEMENTATION Seize lignes par page, écriture gothique à l’encre noire, rubriques, nombreuses lettrines,quatre enluminures encadrées de bordures à fleurs, feuilles d’acanthe et oiseaux COMPOSITION • Calendrier : ƒƒ 2 - 13 ; • Heures : - ƒƒ 22 v° - 30 : matines ;

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Gouttebroze Sarah

Manon Ariane

Master 1 Métier du Livre

Le 4 Avril 2011

L' nluminure

I/ Définitions et Pratiques

A/ Manuscrit

e mot manuscrit vient du latin : manus la main et scribere : écrire, il s'agit donc d'un texte écrit à la main. Les manuscrits sont les livres écrits à la main, sur du parchemin, et donc des objets uniques. La confection d'un manuscrit est un travail réalisé en plusieurs étapes. Jusqu'au XIVe siècle, le texte est écrit sur une peau de bête (le plus précieux, le velin étant fait en peau de veau mort-né) appelée parchemin.e parchemin est découpé en feuilles qui sont regroupées en cahiers. Les couvertures étaient en cuirs et parfois incrustées de métaux plus ou moins précieux. La reliure est parfois décorée, notamment par estampage à froid de petits fers juxtaposés. Les livres précieux du culte peuvent être dotés de reliures comportant des morceaux d'ivoire et de l'orfèvrerie. ur chaque page, des lignes verticales et horizontales sont tracées avec un calame pour guider l'écriture. Le texte est écrit à l'encre noire, les rubriques à l'encre rouge et se répartit sur deux colonnes.

Dans les espaces réservés par le copiste au

début des textes, l'enlumineur peint les miniatures et les initiales ornées ou historiées et, dans les marges, il peut réaliser des décors végétaux, minéraux, ou des petites scènes de la vie courante.es ouvrages représentaient donc un travail long, compliqué et minutieux, ce qui explique le petit nombre qui en a été produit et leur coût.

B/ Enluminures

nluminer vient du latin " illuminare », c'est-à-dire

éclairer, illuminer. Les

enluminures sont de petites peintures qui décoraient les manuscrits, les premières lignes des chapitres ou des images pieuses prenant une page entière. Néanmoins, ce terme désigne à partir du XIIIème siècle les dorures.n parle aussi de miniatures, mot qui vient de l'Italien " miniatura », issu du latin " miniare » et qui signifie donc " enduire de minium » c'est-à-dire l'oxyde de plomb rouge qui servait pour tracer les initiales et les titres, nommés rubrique (mot lui-même dérivé de " ruber » qui signifie " rouge », en latin.

C/ Différents types d'enluminures

es Lettrines

Les moines enluminent différentes

parties des manuscrits. Une des partie de la page la plus ornée est l'initale, ou la lettrine. Il en existe de différente sorte. Elles peuvent être peintes ou rubriquées (c'est-à-dire rouge).Elles peuvent être simples, champies (dorées sur fond peints, avec des motifs stéréotypés), filigranées (avec un motif végétal dessiné avec une plume relativement fine), ornées (avec des entrelacs d'animaux, de plantes et même de personnages), synthétiques (le décors forme la lettre) ou encore historiées (des scènes narratives sont représentées dans les espaces libres de la lettre). es pleines pages

Entre plusieurs pages de textes, il arrive

que l'on trouve une ou deux pleines pages d'images. Celles-ci sont souvent d'une grande importance et sont de petits tableaux d'une grande finesse. À l'époque Carolingienne où elles deviennent plus fréquentes, elle se trouvent au début de l'ouvrage pour l'illustrer, plus tard, les enluminures gothiques et romanes représentent la plupart du temps des scènes religieuses. es marges

Les marges sont apparues tardivement.

La ligne qui descendait de la lettrine s'élargit et devient un espace à lui seul. Dans ce nouvel espce se juxtapose les motifs sacrés et profanes : scènes de la vie du Christ, passage des saisons, des événements (guerres, fêtes...), motifs floraux et géométriques ornent à présent le tour des pages.Bientôt les marges sont aussi appropriés par les étudiants des universités qui rajoutent eux aussi leurs propres dessins dans les marges ainsi que leurs annotations personnelles. Les marges deviennent donc définitivement le lieux de la liberté et le meilleur endroit pour retrouver les indices de l'Histoire.

Les Grotesques

e terme de grotesque s'applique depuis l'Antiquité à des décors qui ornaient le tour de peintures plus importantes. Pour couvrir les murs intérieurs des maisons romaines autour des fresques principales, on rajoutait des décors végétaux et des figures étranges, parfois mi-animales, mi-humaines. Au Moyen-age ce bestiaire s'élargit avec les créatures fantastiques venues d'Orient, avec les conquêtes Arabes, et les nouveaux monstres asiatiques que l'on découvre avec les routes de la soie.ans les manuscrits, les grotesques ornent parfois le tour des pages, au même titre que les motifs floraux ou les petites scènes de la vue quotidienne.

D/ Le travail de l'enlumineur

ans les monastères, les moines avaient des tâches bien définies. Ce n'étaient pas les mêmes moines qui préparaient les peaux et qui enluminaient. Mais même parmi les moins copistes, celui qui posait les feuilles d'or n'était pas forcément celui qui recopiait.

Le travail de copiste était pénible, les

monastères souvent froids et mal éclairés. Les tâches étaient réparties, les uns traçaient les traits, les autres copiaient. L'un traçait le tour de l'initiale et du dessin à la mine de plomb réhaussé à l'encre, le suivant appliquait la couleur et le dernier les feuilles d'or. Les couleurs étaient faites à partir de pigments, d'eau et de liants, quant à la pose à la feuille d'or, elle était complexe et très minutieuse. Le travail des moines enlumineurs

était minutieux, un vrai travail d'orfèvre.

La fabrication des couleurs étaient elle aussi

complexe (voir les annexe) et leur utilisation précise, chacune signifiait quelque chose de précis comme nous le verrons plus tard.

II/ Historique

ujourd'hui le terme d'enluminures englobe l'ensemble de l'ornementation des manuscrits. L'enluminure est donc le décoré réalisé à la main ornant ou illustrant un texte presque toujours manuscrit (des livres imprimés sont aussi enluminés). C'est pourquoi l'histoire de l'enluminure est fortement corrélée avec celle du livre puisqu'il en est le support. Ceci fait de lui un art à part.

Au XIX siècle on parle de miniatures, mot qui

vient de l'Italien " miniatura », issu du latin " miniare » et qui signifie donc " enduire de minium » c'est-à-dire l'oxyde de plomb rouge qui servait pour tracer les initiales et les titres, nommés rubrique (mot lui-même dérivé de " ruber » qui signifie " rouge », en latin. Le terme " miniature » désignait les lettrines peintes en rouge. Au départ très modeste, cet élément décoratif a joué un rôle important dans la mise en page des textes. Les initiales enluminées servaient notamment de repères pour distinguer les différentes articulations d'un texte.

Au début du Moyen Age, l'enlumineur ne

cherche pas l'originalité. Il copie et décorent les manuscrits liturgiques en copiant des exemples célèbres et prestigieux déjà présent dans son monastère ou prêté par d'autre abbaye. Les premiers siècles du moyen âge donnent la priorité aux textes sacrés. Les textes ne sont pas toujours dotés de peintures.

Celles-ci sont uniquement présentes dans les

exemplaires de luxe, les grands volumes placés sur les lutrins dans le choeur des

églises.

Au XIIIème siècle, la peinture sur panneau en Italie apparaît et se répand rapidement dans tout l'occident. Celle-ci donne le ton des ma- nuscrits car elle s'inscrit rapidement comme un art majeur. Enlumineurs et peintres n'étant pas forcément, à l'époque, deux professions distinctes.

On assiste a une division du travail au sein

des ateliers : le miniator décore les marges et les initiales puis le peintre d'ystoir s'occupe des illustrations en pleine page.u cours de l'époque médiévale, les initiales enluminées ont connu de nombreuses transformations liées à l'évolution des types d'écriture, des styles et des techniques picturales. A partir de la seconde moitié du XIIIe siècle, la lettre ornée a été dotée de prolongements qui ont donné naissance aux bordures et aux encadrements végétaux et floraux. Chaque lettre est souvent rattachée a une représentation, par exemple ou utilise souvent le T pour illustrer la crucifixion et on loge les statues de Saints dans les I. Généralement de la première lettre s'échappe une longue baguette qui descend tout le long de la page. Dans le même temps apparaissent des ateliers laïcs (suite à l'ouverture des universités et le développement du mécénat) qui donnent lieu à une généralisation des pratiques. En effet, l'ouverture des ateliers laïcs génèrent une production importante d'oeuvres profanes et font de l'enluminure un véritable commerce, notamment pour des nobles en quête de reconnaissance sociale. La longue baguette rattachée à la lettrine prend son indépendance pour donner naissance à un nouvel espace primordiale dans l'histoire de l'enluminure : la marge, lieu d'invention et de liberté. En effet dans les marges se juxtaposent les motifsquotesdbs_dbs12.pdfusesText_18