[PDF] Le modèle classique - Free



Previous PDF Next PDF







L’école classique et ses

V- Les limites et critiques de l’école classique VI- Le prolongement des classiques 5 1- Henri FORD a) Biographie b) Les principes du Fordisme 5 2- Kiichiro TOYODA a) Biographie b) Les principes du toyotisme



La vision de l’organisation selon l’école classique(exposé)

B- Naissance de l’école classique : plusieurs grands courants de pensées se dessinent, chacun privilégiant une approche particulière de l’organisation De l’école classique à l’école de la gestion par les systèmes, chaque mouvement se développe en réaction à celui



1) LEcole classique - WordPresscom

1) L'Ecole classique Parmi les principaux précurseurs de la théorie des organisations, apparaissent le français FAYOL et l'américain TAYLOR, et l'allemand WEBER Tous trois sont considérés comme les fondateurs de ce qu'on a coutume d'appeler "l'Ecole classique du management" et leurs idées



COURS THEORIE DES ORGANISATIONS Ecole de Néo-classique Et

inspirée de l'école classique (d'ou son nom ), mais qui a su incorporer ce qui paraît bénéfique dans les courants postérieurs Fin des années soixante, les principes sur lesquels reposait le management traditionnel (organisation scientifique du travail, centralisation, planification opérationnelle, etc ) deviennent insuffisantes



Chapitre I : la théorie des organisations à travers les

Chapitre I : la théorie des organisations à travers les courants de la pensée I- L’école classique Taylor, Fayol, weber Le but de l’école classique du management est : la division du travail horizontalement et verticalement L’augmentation de la productivité et la maximisation du profit



Chapitre 4 : Les principales approches en gestion

En étudiant les principes de l’école classique et ceux de l’école des relations humaines, on remarque qu’elles ont négligé la relation de l’entreprise avec son environnement, et elles se sont plutôt limitées à ce qui se passe à l’intérieur de cette entreprise



Théories des Organisations - FPL

L'ÉCOLE CLASSIQUE la 1 ière école qui s'est intéressée au fonctionnement et à la gestion des entreprises Principes fondés sur des règles scientifiques, rationnelles, générale et universelles Les courants de l'approche classique sont :-L’OST de Frederick Taylor : rationaliser le travail par l'OST



Le modèle classique - Free

Toutefois, les théoriciens néoclassiques se sont bien sur basés sur les grands principes de leurs ancêtres de l’école classique du 18° siècle Rappel : En histoire des faits économiques, on peut distinguer trois grandes périodes : - Le 16° siècle : C’est la naissance de la pensée économique Le courant du 16° siècle c’est le

[PDF] les principes de l'etat de droit

[PDF] les principes de l'etat de droit pdf

[PDF] les principes de la grammaire générative

[PDF] les principes de la justice

[PDF] les principes de la philosophie

[PDF] les principes de la philosophie descartes

[PDF] les principes de la république française

[PDF] les principes de la république française 3ème

[PDF] les principes du developpement durable a Jakarta

[PDF] les principes du nouveau roman

[PDF] Les Principes du réalisme

[PDF] les principes et les valeurs de la république

[PDF] Les principes et les valeurs de la République française

[PDF] les principes fondamentau de la justice

[PDF] les principes fondamentau de la justice

eco.um1.free.fr TD3 :

Le modèle classique :

Quand on parle du modèle classique, On parle du modèle lié aux théoriciens néoclassiques.

Toutefois, les théoriciens néoclassiques se sont bien sur basés sur les grands principes de leurs

ancêtres de l'école classique du 18° siècle. Rappel : En histoire des faits économiques, on peut distinguer trois grandes périodes :

- Le 16° siècle : C'est la naissance de la pensée économique. Le courant du 16° siècle c'est le

mercantilisme. C'est une doctrine qui est fondée sur la croyance de la prééminence des métaux précieux. Ce qui signifie qu'une nation est puissante quand elle à accumulée énormément de métaux précieux (or, argent, etc...).

- Le 18° siècle : Le 18° siècle est marqué par le courant classique anglais et les physiocrates en

France.

o Les physiocrates : Pour eux, la terre est un don de la nature, la puissance d'un pays est basée sur la richesse agricole. o Les classiques : Pourquoi ce courant est né en Grande Bretagne et pas en France ? Les classiques sont contemporains de la première révolution industrielle qui à eu lieu tout d'abord en Grande Bretagne, et ils ont cherché à expliquer l'émergence de ce nouveau système économique. - La moitié des 19° - 20° siècles : o Le marxisme remet en cause totalement les principes du libéralisme. Pour K. Marx, le capitalisme a amené la misère. C'est l'affrontement de deux classes sociales : La bourgeoisie détenteurs des moyens de production et le prolétariat qui ne possède que sa force de travail. Et Marx démontre que le prolétariat est exploité par la classe bourgeoise. o Le Keynésianisme : Keynes remet juste partiellement en cause les principes du libéralisme. Pour lui, le système ne s'autorégule pas automatiquement, il y a parfois intervention de l'Etat. Nous on va s'intéresser au modèle du 18° siècle au travers des Principaux auteurs classiques :

- Adam Smith (1723 - 1790) : Considéré comme le père fondateur du libéralisme. Keynes disait

même qu'Adam Smith était même le père de la science économique. Son oeuvre majeure " Recherche sur la nature et les causes de la richesse des nations » publié en 1776. Deux grandes théories illustrent cet homme. eco.um1.free.fr o La main invisible : Selon Smith, tous les agents économiques recherchent un intérêt individuel et une force, une main invisible, fait que la recherche de l'intérêt individuel conduit inévitablement à l'intérêt collectif. o La théorie des avantages absolus : Ça ne nous intéressera pas trop

- David Ricardo (1772-1825) : Il a écrit en 1817 : " des principes de l'économie politique et de

l'impôt ». Deux théories : o Théorie des avantages comparatifs (ou avantages relatifs) : Le pays doit se spécialiser là où il a un avantage le plus fort etc... ça nous intéresse pas trop non plus. o Théorie de la valeur : La valeur d'un bien dépend de la quantité nécessaire de travail pour produire ce bien. C'est déjà l'une des grandes différences avec les néoclassiques, parce que chez les néoclassique c'est la rareté d'un bien, son utilité marginale qui définie sa valeur.

- J.B Say (1767-1832) : Son oeuvre majeure est le " traité d'économie politique » publié en

1803. Il présente la loi des débouchés " Tout offre crée sa propre demande ».

Le point de départ de l'analyse classique c'est l'offre. L'offre c'est la production de biens et de

services qui engendre de la valeur, que l'économie va transformer en revenus et l'ensemble des

revenus distribués sera dépensé dans l'achat de biens de production. Donc on aura toujours offre

globale = Demande globale. Les grands principes de l'école classique du 18° :

C'est donc :

- " La main invisible » de Smith - La permanence de l'équilibre sur les marchés - La non intervention de l'Etat - La régulation des marchés par la concurrence

Les néoclassiques :

Comparaison avec les classiques : Ils conservent

- La non intervention de l'Etat - La permanence de l'équilibre - La régulation des marchés par la concurrence.

Et la valeur d'un bien chez les néoclassiques s'appuie par ailleurs sur la rareté et non plus sur la

quantité nécessaire de travail pour construire un bien.

On situe le démarrage de l'école néoclassique dans les années 1870. Ce courant de pensée a été

animé d'abord par 3 économistes : - Le britannique Stanley Jevons (1835-1882) - Carl Menger (1840-1921)

- Léon Walras (1834-1910) : On lui doit la théorie de l'équilibre général. Cela correspond à

l'égalité des offres et demandes sur tous les marchés. eco.um1.free.fr

Ce courant est donc traversé par de nombreuses écoles (autrichiennes, anglaises, françaises) et leur

analyse diverge sur de nombreux points (par exemple sur l'emploi, la valeur, l'efficacité des marchés). On appelle ce courant de pensé la révolution marginaliste. Les hypothèses du modèle classique (néoclassique) : - Les agents économiques : Les agents économiques sont rationnels et maximisateurs. Donc les néoclassiques ont créés un modèle type de l'agent économique appelé homoeconomicus. Le terme rationnel chez les néoclassiques signifie que le comportement de l'agent

économique vise l'efficacité et la satisfaction en fonction de ses ressources et de contraintes

données. Le producteur cherchera à maximiser son profit, l'agent économique prendra des décisions à partir de variables réelles (les prix), à partir de son pouvoir d'achat. - Les marchés sont parfaitement concurrentiels : Le cadre institutionnel crée par les néoclassique c'est la structure de marché de la concurrence pure et parfaite. Atomicité du marché : Un agent économique seul ne peut pas influer sur le marché. L'homogénéité des produits : Tous les produits sont identiques ou substituables. Pas de barrière à l'entrée : On peut intervenir sur tous les marchés La transparence de l'information : J'ai l'information totale sur tous les produits Mobilité des facteurs de production : déplacement possible du capital et du travail là où c'est le plus rémunérateur.

- Le modèle est statique : Ca veut dire qu'il est étudié en courte période. Nous aurons un

facteur de production constant (le capital).

- Le rôle de l'état : Trois fonctions pour l'état selon les classiques : Faire respecter les libertés

économiques, assurer les fonctions régaliennes et fourniture de biens collectifs. - L'économie est une économie d'offre

- La production globale de l'économie : La production globale de l'économie est caractérisée

par la loi des rendements décroissants. La fonction de production est représentée par un seul facteur de production variable, pour mettre ainsi en évidence la loi des rendements décroissants. La production augmente à un rythme plus faible que la quantité du facteur

utilisé. Si j'ai K constant et le travail variable, l'explication de la décroissance du rendement

est l'accroissement de la main d'oeuvre devenue moins rentable. - Le travail est dit homogène : Le facteur travail est un facteur de production. Les employeurs considèrent les différents individus offrant leur travail, strictement identiques (même qualification, même productivité). eco.um1.free.fr - La monnaie est neutre : Elle est simplement un instrument pour faciliter les échanges et n'est utilisée que pour des motifs de transaction. - Dichotomie entre la sphère économique et la sphère monétaire : Il y a une parfaite

séparation entre le marché du travail le marché de la production (sphère économique) et le

marché des titres (sphère monétaire). L'un n'influence pas l'autre.

Les variables exogènes :

- La vitesse de circulation de la monnaie - Le taux d'intérêt - L'offre de monnaie - Le niveau des prix.

Les variables endogènes :

- La demande de monnaie - L'offre de travail - La production de biens et services Question 2 : La fonction de production dépend du travail. On est à court terme, le capital est constant. La fonction de production est fonction croissante du travail.

Les marchés dans le modèle classique :

3 marchés sur 4 sont en équilibre, c'est

suffisant pour que le dernier soit en équilibre également

- Marché du travail : Chez les classiques, le marché du travail permet de déterminer le niveau

du salaire, le niveau de l'emploi. Quand il y a équilibre sur le marché du travail, il y a égalisation entre l'offre de travail et la demande de travail. L'offre de travail vient des entreprises, la demande de trava il par les travailleurs. Donc à l'équilibre on atteint un niveau optimal d'emploi et on atteint un salaire réel d'équilibre. Chez les classiques, ce niveau optimal d'emploi correspond au plein emploi. Cela ne veut pas

dire que l'ensemble des travailleurs sont embauchés ou travaillent. C'est ceux qui ont décidé

d'être embauché à ce prix, à ce salaire réel d'équilibre. Ceux qui refusent sont des chômeurs

considérés comme des chômeurs volontaires chez les classiques. Grâce à la flexibilité des

salaires, même si pendant un temps on aura un peu de chômage involontaire, ça sera corrigé

en peu de temps. - Marché des B et S : Détermination du prix et de la quantité des biens. - Marché des titres et des capitaux : Rencontre entre l'offre de capitaux et la demande de capitaux. eco.um1.free.fr

- Marché monétaire : sera déterminé le niveau général des prix avec la rencontre de l'offre de

monnaie déterminée par les autorités monétaires et la demande de monnaie qui vient des agents non financiers.

TD3 (suite) :

Question 3 : Déterminez la demande de facteur travail L D

émanant des entreprises et commentez

sa forme.

Expression de la demande de travail :

Sur le marché du travail, nous somme en situation de CPP (concurrence pure et parfaite). L'ensemble des entreprises et l'ensemble des travailleurs s'y trouvent. La fonction de demande de travail dépend des entreprises, elle est le résultat du comportement rationnel des entreprises. En

économie, une entreprise rationnelle cherche la maximisation de son profit. L'équation du profit

peut être la suivante :

Ʌ= hT - CT (recette totale moins cout total)

Ou bien : Ʌ= P.F (K, L) - wL - rK

On rappelle qu'on est en situation de courte période et que le capital est constant.

Les conditions de premier ordre sont : P.F'

L = w

PmL = w/P

dQ/dL d'où Q'(N) = w/P or Q'(N) = (1/2) 40. N -1/2

Donc N

-1/2 = ((w/P)/20) N = 400/((w/P)²) = L D

La maximisation du profit est telle que : dérivée de la fonction profit par rapport au travail = 0

L'entreprise maximise son profit total sous contrainte de sa fonction de production, l'optimum est atteint lorsque la valeur de la productivité marginale est égale à celle du salaire.

Fonction L

D décroissante dérivée de N par rapport à (w/p) < 0 si W/P augmente, LD diminue.

Avec Q = 40N

1/2 Dérivée partielle de N par rapport à (w/p) = - 800 (w/p) -3 donc < 0

Question 4 :

Nous allons déterminer l'équilibre sur le marché du travail. On suppose que L 0 est une constante. A

l'équilibre il y a égalité entre la demande de travail et l'offre de travail. A l'équilibre L

0 = L D . Chez les classiques, à l'équilibre nous sommes en situation de plein emploi.

Donc L

0 = 400 / (w/p)² (w/p)² = 400 / L 0 (w/p) = racine carée de (400/L 0 ) (w/p) = 20/(L 0 1/2 (w/p) = 20(L 0 -1/2 L'équilibre du marché du travail détermine le niveau d'emploi, d'où N* = L 0 = L D eco.um1.free.fr

La production à l'équilibre Q* = 40(L

0 1/2 = 800/(w/p) .Ici les entreprises qui offrent du travail et les demandeurs d'emploi sont satisfaits, car elles embauchent toute la main d'oeuvre présente sur le marché. Il ne reste donc que les chômeurs volontaires. - Dans le cas où w/p > (w/p)*, les entreprises demanderons moins de travail. - Dans le cas où w/p < (w/p)*, les entreprises demanderons plus de travail.

Question 5 :

On fixe M constant (M

0 ), car l'offre de monnaie est une variable exogène. Sachant que la demande de monnaie dépend du TQM :

Mv = PQ = M

0 = (PQ)/V M 0 = PQ

P = (Mv) / Q

Ce qui se passe sur le marché de la monnaie est indépendant car le modèle classique est

dichotomique (la monnaie est totalement neutre). Chez les classiques l'épargne existe quand même.

L'économiste qui s'est appuyé sur cette TQM dans les années 1960 c'est Milton Friedman. Il a utilisé

cette TQM pour démontrer qu'un accroissement de la masse monétaire (une augmentation des moyens de paiements dans l'économie) allait avoir une influence directe sur les prix.quotesdbs_dbs46.pdfusesText_46