[PDF] Optique ondulatoire : Exercices - WordPresscom



Previous PDF Next PDF







OPTIQUE ONDULATOIRE Cours - FEMTO

Jimmy ROUSSEL OPTIQUE ONDULATOIRE Cours Accessible en ligne : https://femto-physique fr/optique/ Dernière mise à jour : 22 août 2019



classe pr pa © Nathan, - WordPresscom

LÕÏil humain est un syst me optique quivalent une len- tille dont on peut faire varier la distance focale gr ce un muscle (processus dÕaccommo- dation) et qui fournit une image r elle des objets sur une surface sensible (la r tine)



Optique ondulatoire : Exercices - WordPresscom

Optique ondulatoire RAPPELS DE COURS ET EXERCICES Agnès MAUREL Gilles BOUCHET BELIN 8, rue Férou 75278 Paris cedex 06 www editions-belin com BELIN Physique 3032_00_p001_002 27/06/07 17:13 Page 1



3 Optique ondulatoire 2013-14 - LTC

Optique ondulatoire 13GE – 2013/14 W4 La figure 1 montre l’application du principe de Huygens sur des ondes d’eau lors de leur passage à travers une ou plusieurs fentes Interférence de la lumière Conformément à l’interférence des ondes mécaniques (cf 12GE), on observe une



Introduction à loptique ondulatoire Notes de cours

Introduction à l'optique ondulatoire Notes de cours mardi 12 décembre 2017 I- Onde lumineuse 1 Chemin optique Le modèle scalaire de la lumière revient à dire que : la polarisation de la lumière n'est pas dé nie; et le milieu est isotrope (il se comporte de la même manière pour toutes les directions de polarisation)



Cours d’optique géométrique et ondulatoire

dans le cadre de l’optique ondulatoire) Pour une fente de 1 cm, nous avons sensiblement l’image projetée de la fente jusqu’à une distance inférieure à 200m, c'est-à-dire dans la région Fresnel Ces notions sont très importantes dans la théorie des antennes et sont très largement abordées III – Propagation en milieux inhomogènes



Cours dOptique Physique SMP 3-SMC 3 2013 2014

l'Optique Ondulatoire L'optique géométrique est basée sur la notion de rayon lumineux Elle permet de décrire la formation des images par la plupart des appareils; ainsi, la position et la taille des images peuvent être déduites par des conditions géométriques dans le plan Quand les dimensions du système optique sont grandes devant la



Cours doptique général

optique de RDDC va en diminuant Afin de combler partiellement cette lacune, ce cours a été conçu pour initier le personnel scientifique aux notions de base en optique géométrique et physique Ce cours n’est qu’un survol de l’optique, qui est un domaine très vaste Cependant, il donne



Optique physique cours pdf - WordPresscom

Optique physique cours pdf DOWNLOAD DIRECT DOWNLOAD Optique physique cours pdf 1 Aspect ondulatoire de la lumière 2 Interférences à deux ondes 3 Division du front donde 4 Division damplitude Loptique physique ou optique ondulatoire est la discipline qui étudie la lumière en la considérant comme étant une onde électromagnétique et

[PDF] comportement ondulatoire des electrons

[PDF] optique ondulatoire exercices corrigés pdf

[PDF] comment utiliser httrack

[PDF] httrack tutorial

[PDF] comment utiliser httrack pdf

[PDF] httrack erreur de copie

[PDF] httrack profondeur maximale

[PDF] comment aspirer un site avec httrack

[PDF] httrack comment ça marche

[PDF] assabah pdf

[PDF] embrevement en about

[PDF] comment faire une coupe en sifflet

[PDF] guide des assemblages de charpente pdf

[PDF] assemblage poutre bois bout ? bout

[PDF] technique assemblage charpente bois

Optique ondulatoire

RAPPELS DE COURS

ET EXERCICES

AgnèsMAUREL

Gilles BOUCHET

BELIN

8, rue Férou 75278 Paris cedex 06

www.editions-belin.com BELIN

Physique

3032_00_p001_002 27/06/07 17:13 Page 1

DANS LA COLLECTIONBELINSUPSCIENCES

A. MAUREL

Optique gŽomŽtrique, cours

A. M

AURELet J.-M. MALBEC

Optique gŽomŽtrique, rappels de cours et exercices M. S

AINT-JEAN, J. BRUNEAUXet J. MATRICON

J. B

RUNEAUX, M. SAINT-JEANet J. MATRICON

DANS LA COLLECTIONBELINSUPHISTOIRE DESSCIENCES

A. BARBEROUSSE

La mŽcanique statistique. De Clausius ˆ Gibbs M. B LAY La science du mouvement. De GalilŽe ˆ Lagrange

Photo de couverture© DigitalVision

SchŽmas: Laurent Blondel/Coredoc

3032_00_p001_002 27/06/07 17:13 Page 2

Sommaire

1.Lesondeslumineuses................................................... 5

2.Polarisation d'uneondelumineuse....................................... 23

3.Interférencesàdeux ondespardivision dufrontd'onde.................... 49

4.Interférencesàdeux ondespardivision d'amplitude.Le Michelson......... 81

5.Interférenceà troisondesou plus.Réseaux................................ 125

6.Diffractiond'uneondelumineuse........................................ 173

7.Interférenceet diffraction.Réseaux optiquesréels......................... 203

3

Chapitre1

Les ondes lumineuses

Un peu d histoire´

Un dÈbat sur la lumiËre

Líoptique connaÓt un vÈritable renouveau auXVII e siËcle. Les scientiques de la

premiËre moitiÈ du siËcle se consacrent principalement ‡ líoptique gÈomÈtrique, et

dËs 1604, Johan Kepler prÈcise les lois de la propagation rectiligne de la lumiËre. optiques. Les premiËres lunettes ‡ oculaire divergent sont construites au tout dÈbut du siËcle. GalilÈe (1564-1642qui estl e premier ‡s íen servir, publie seso bserva- tions du ciel en 1610. Si celles-ci suscitent díabord une certaine mÈance quant ‡ leur vÈracitÈ, Kepler dÈmontre dËs 1611 leur bien-fondÈ dans un livre (leDiop-

trice) entiËrement consacrÈ ‡ líoptique gÈomÈtrique des lentilles et de la lunette

astronomique. En 1637, Descartes dÈtermine la loi de la rÈfraction, dite loi des sinus.

Dans la seconde moitiÈ du siËcle, les thÈories physiques, cíest-‡-dire líÈtude de

la nature de la lumiËre, prennent leur essor. En 1665, Francesco Maria Gri- maldi (1618-1663met en Èvidence l esphÈnomËnes de diffraction, tandis que Robert Boyle (1627-1691puis Robert Hooke (1635-1703effectuent lesp re- miËres recherches sur les phÈnomËnes díinterfÈrence. Isaac Newton (1642-1727 dÈmontre que la lumiËre blanche níest pas pure et homogËne comme on le pensait mais un mÈlange de lumiËres homogËnes de couleurs diffÈrentes. En 1675, Olaus Rˆmer (1644-1710dÈtermine l av itessede la lumiËre.

Jusquíau milieu du

XIX e siËcle, les physiciens vont travailler ‡ líÈlaboration díune thÈorie de la lumiËre qui rende compte de tous les phÈnomËnes nouvellement observÈs. Ils se regroupent autour de deux grandes thÈories concurrentes,hÈritiËres des conceptions de Descartes qui sont reprises et modiÈes : certains, comme Newton, considËrent que la lumiËre est un corps (thÈorie corpusculaire); díautres, comme Christian Huygens (1629-1695la rapprochentdu mouvement d íun corps sans transport de matiËre (thÈorie ondulatoire).

1. LES ONDES LUMINEUSES5

1. LA LUMIÈRE : UNE ONDE ÉLECTROMAGNÉTIQUE

Lesondeslumineusesappartiennent ‡ la famille des ondes ÈlectromagnÈtiques, dÈcrites par deux champs vectoriels,électrique

E(r,t)etmagnétique

B(r,t)quivÈrient

líÈquation díonde suivante dans un milieu transparent, homogËne et isotrope :

E(r,t)

1 v 2 2 t 2

E(r,t)

0

B(r,t)

1 v 2 2 t 2

B(r,t)

0 vdÈsigne la vitesse de propagation de líonde dans le milieu considÈrÈ. Sinestl'in- dice optiquedu milieu, on avc ?n, o˘ c est la vitesse de la lumiËre (dans le vide, c3 10 8 m?s).

2. LUMIÈRE MONOCHROMATIQUE

Une onde lumineuse monochromatiqueest une onde dont la dÈpendance temporelle est sinusoÔdale. Le champ Èlectrique síÈcrit alors :

E(r,t)

E 0 (r)cos 5 tkr 1 ou en notation complexe :

E(r,t)

E 0 (r)exp l i 5 tkr 13

B(r,t)sedÈduitde

E(r,t) par la relation :

B(r,t)1

kE(r,t) kest levecteur d'ondeassociÈ ‡ la propagation de líonde lumineuse etlapulsation. Líonde a donc une double pÈriodicitÈ, temporelle avecT2 ?et spatiale avec 2 ?k(k, module du vecteur díonde, est appelÈ lenombre d'onde). On dÈnit

Ègalement la frÈquencef1

?T2?de líonde sinusoÔdale.

La relationcTpermet díÈcrirekc.

3. STRUCTURE D'UNE ONDE LUMINEUSE

3.1. Dénition

Une onde lumineuse monochromatique est dite :

planesi son champ

EsíÈcrit

E(r,t)

E(x,t)

E 0 exp[i(tkx)],avec E 0 de norme constante, 6 sphériquesi son champ

EsíÈcrit

E(r,t)

E(r,t)

A 0 rexp[i(t kr)],avec A 0 de norme constante, cylindriquesi son champ

EsíÈcrit

E(r,t)

E(r,t)

A 0 rexp[i(t kr)],avec A 0 de norme constante. Rappelons enn que sikdÈsigne le nombre díonde díune onde se propageant dans le vide ‡lavitessecetavecunepulsation, líonde passant dans un milieu díindicengarde la mÍme pulsation : on dit que la pulsation est uninvariantde la propagation. Sa vitesse de propagation est donnÈe parvc /netsonnombredíondedevient: k n /vnk

3.2. Plan et surface d"onde

Unplan d'ondeest dÈni comme le plan localement perpendiculaire au vecteur díonde en tout point du rayon lumineux. de la propagation de la lumiËre dans un faisceau lumineux. Par convention, lorsquíon reprÈsente plusieurs surfaces díonde, on espace les plans díonde correspondants díune distance Ègale ‡ la longueur díondele long des rayons lumineux.

4. INTENSITÉ LUMINEUSE

4.1. Dénition

L'intensitélumineuse(ouéclairement) díune onde dÈcrite par son champ Èlectrique E est proportionnelle ‡ la moyenne deE 2 (t), notÈe-E 2 ≈(ou, en notation complexe, ‡ la moyenne deE(t)E 5 (t)avecE 5 le complexe conjuguÈ deE). Cette moyenne síeffectue sur le temps de rÈponsedu dÈtecteur (par exemple líúil) : I(t) 1 t t 1 E 2 (t l )dt l

4.2. Expression

Si le temps caractÈristique du dÈtecteur est trËs supÈrieur ‡ la pÈriodeT2/de E(t)E 0 cos(t), líintensitÈ ne dÈpend pas du temps et síidentie au carrÈ du module deE:quotesdbs_dbs8.pdfusesText_14