[PDF] LES FIGURES DE STYLE ET LES PROCÉDÉS LITTÉRAIRES Théorie et



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LES FIGURES DE STYLE ET LES PROCÉDÉS LITTÉRAIRES Théorie et

Figure de style dans laquelle on trouve une suite de mots ou de propositions qui sont de même nature (noms, verbes, etc ) et de même fonction (sujets, compléments, etc ) Les éléments de l'énumération sont parfois



FICHE BAC LES FIGURES (OU PROCÉDÉS) DE STYLE

LES FIGURES (OU PROCÉDÉS) DE STYLE Une figure de style, c'est une façon pour l'auteur d'exprimer une idée ou un sentiment grâce à une façon d'utiliser les mots en leur donnant une force particulière C'est une technique d'écriture et c'est en y ayant recours que vous pouvez effectuer efficacement la caractérisation d'un texte



TABLEAU RECAPITULATIF DES PRINCIPALES LES FIGURES DE STYLE

tableau recapitulatif des principales les figures de style On appelle figures de style (ou de rhétorique) les procédés d’expression par lesquels, en s’écartant de l’usage banal de la langue, un auteur cherche à attirer l’attention séduire, émouvoir ou convaincre ses lecteurs



Les figures de style - Heritage

Les figures de style Les figures de style sont des procédés d’expression qui permettent notamment de transformer le langage standard en un langage plus éloquent et communicatif Exemple 1 : Langage standard : les arbres étaient agités sous le vent Personnification : les arbres dansaient sous la caresse du vent Exemple 2 :



Les figures de style (Lettres) (French Edition)

— l’élocution : quels procédés de style — parmi lesquels les figures — sont les plus aptes à séduire l’auditeur ; les figures sont un ornement du discours ; — la mémoire : comment aider l’auditeur à mémoriser les arguments développés ; les figures ont là aussi un rôle à jouer, la répétition par exemple ;



LES FIGURES DE STYLE Les figures d’insistance

Pour cela l’orateur utilise divers procédés : -Les pronoms qui n’ont pas clairement de référents comme le « on » à valeur générale Il y’a effacement de l’homme au profit de tous les acteurs de la vie -Le conditionnel qui pose le fait, mais envisage sa réalisation comme incertain



LES PROCEDES LITTERAIRES - Académie de Versailles

III Les procédés stylistiques (figures de style) : voir fiche distribuée NB : N’oubliez pas certains éléments liés au genre du texte : • Points de vue (texte narratif) • Versification en poésie • Longueur des répliques, nombre de personnages en scène (texte théâtral)



Les figures de style : révisions (classe de 1ère)

importe dans les textes, ce sont les idées que vous expliquez en vous appuyant sur des procédés Ont volontairement été omis dans cette fiche les figures de style qui permettent d'étudier plus spécifiquement les textes en vers Cela sera travaillé plus tard Vous retrouverez une fiche complète sur les figures de style sur mon site en



FICHE D’AIDE POUR LE BACCALAUREAT

Les figures de style sont tous les procédés rhétoriques utilisés par l'auteur pour attirer l'attention du lecteur et être persuasif Elles font la spécificité et le caractère littéraire d’un texte

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FICHE BAC

LES FIGURES (OU PROCÉDÉS) DE STYLE

Une figure de style, c'est une façon pour l'auteur d'exprimer une idée ou un sentiment grâce à une façon d'utiliser les mots en leur donnant une force particulière. C'est une technique d'écriture et c'est en y ayant recours que vous pouvez effectuer efficacement la caractérisation d'un texte.

Celles que vous connaissez déjà

La comparaison : deux éléments sont rapprochés à cause d'un point commun. Le rapprochement s'effectue grâce à un mot-outil de comparaison: comme, tel, sembler, pareil à ... Ex : Il est beau comme un dieu. Elle avait des yeux pareils à des agates. Ce champ de blé ressemble à un océan. La métaphore : il s'agit d'une comparaison sans mot-outil entre deux éléments qui n'ont d'habitude pas de point commun évident. Elle est plus frappante que la comparaison. Ex : Ce garçon, c'est un dieu! Les agates de ses yeux brillaient. Cet océan de blé est superbe. La personnification : c'est la représentation d'une chose ou d'un animal sous une forme humaine. (c'est un cas particulier de la métaphore) Ex : Le vent mugissait dans les branches et hurlait sous les portes. L'énumération : il s'agit de la juxtaposition de mots ou d'expressions séparés par des virgules. Ex : Les trompettes, les fifres, les hautbois, les tambours, les canons... L'hyperbole : exagération dépassant la réalité. Ex : Tu es un génie, je suis mort de faim. L'anaphore : Un mot ou une expression est répétée en tête de phrase, de vers. Ex :

Rome, l'unique objet de mon ressentiment !

Rome, à qui vient ton bras d'immoler mon amant !

Rome qui t'a vu naître, et que ton cur adore !

Celles que vous devez connaitre

L'allégorie : on utilise un être vivant ou une chose pour représenter une idée. Ex : la mort est souvent symbolisée par une femme armée d'une faux. La justice est une femme aux yeux bandés tenant une balance d'une main et une épée de l'autre. L'antithèse : deux idées ou expressions s'opposent. Ex : J'ai su monter, j'ai su descendre. J'ai vu l'aube et l'ombre en mes cieux. L'oxymore : C'est le rapprochement de deux mots normalement, opposés. Ex : le noir soleil de la mélancolie un mort-vivant, un jeune vieux. Le paradoxe : énoncé qui parait contenir une contradiction. Le paradoxe est très efficace dans une argumentation, car il surprend et remet en cause les évidences. " On est quelquefois aussi différent de soi-même que des autres ». L'antiphrase : expression d'une idée par son contraire. Ex : Ah, tu es belle comme ça! =ça ne va pas du tout. C'est la figure phare de lironie, elle est abondamment utilisée dans la moquerie. Ex : " Que tu es intelligent ! » Le parallélisme : répétition de la même construction dans 2 phrases ou 2 propositions. Ex : (...) cria-t-elle en lui jetant une pierre; (...) hurla-t-il en se précipitant vers lui. L'euphémisme : on choisit un terme plus faible que ce que l'on veut dire (souvent afin de ne pas choquer) Ex : Il nous a quittés pour Il est mort. Les non-voyants pour les aveugles. La litote : il s'agit d'atténuer la réalité en utilisant notamment une tournure négative. Implicitement, le sens dépasse ce qui est dit. Ex : Elle n'est pas mal! (= elle est superbe) La métonymie : on remplace un mot par un autre terme avec lequel il entretient une relation logique (dappartenance, dorigine, de contiguïté) Ex : " LElysée a déclaré

ce matin » (le lieu est employé pour désigner lactivité qui sy exerce (ici la

présidence de la République)) ex : " il est sorti dune Peugeot » (la marque remplace le nom de lobjet) La gradation : consiste à accumuler des termes de même nature, dont lintensité est croissante ou décroissante : " Je me meurs, je suis mort, je suis enterré ! " (Molière) : gradation ascendante ; " Mme de Cambremer serait ravie (), heureuse (), contente. » (Marcel Proust) : gradation descendante

Celles que vous pourriez connaître

Le chiasme : est un parallélisme qui dispose ses termes de manière croisée, selon le schéma AB/BA : " Ce nest pas lEtat qui appartient au Prince, cest le Prince qui appartient à lEtat. » La synecdoque : est une forme de métonymie qui consiste à remplacer un mot par un autre terme avec lequel il entretient un rapport dinclusion, ex : " il y a une voile à lhorizon » (une partie désigne ici un tout : la voile désigne le bateau). La périphrase : on remplace un mot par une expression qui le définit, ex : " Le pays du Soleil levant » ( = le Japon)

Le pléonasme : répétition superflue de termes . Ex : Un géant vraiment grand.

Descendre en bas.

La prosopopée : forme de personnification qui va jusquà donner la parole à des êtres inanimés, des concepts abstraits, ou à des morts, ex : " Et la rivière dit : " Je ne veux rien savoir,/Je coule pour moi seule et jignore les hommes » (Supervielle).

Si vous voulez passer professionnel

La prétérition: elle consiste à faire semblant de ne pas vouloir dire quelque chose alors quon est justement en train de le faire : " Je ne voudrais pas me mêler de ce qui ne me regarde pas, mais » (cela permet dattirer lattention sur ce qui va suivre). L'attelage : il rapproche deux compléments désignant un élément concret et un élément abstrait, ex : " Il admirait lexaltation de son âme et les dentelles de sa jupe. » (Flaubert). Ici, le rapprochement de " lâme » et de la " jupe » provoque un effet comique et illustre lironie flaubertienne. L'anacoluthe : Rupture de la construction syntaxique intervenant en cours de phrase, de telle manière que, sans qu'il y ait rupture du lien logique, la fin de la phrase n'est plus grammaticalement en harmonie avec son début; p. ex. dans cette phrase : ,,Les autres éternellement sur nous, j'étouffe!`` (j'étouffe en proposition exclamative au lieu de : font que j'étouffe) et il y en a bien d'autres... Pour ceux que ça intéresse, je vous signale deux ouvrages :

Les figures de style,

illustrées par Plantu

Les figures de style, d'Axelle Beth

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