[PDF] LIAISONS ENTRE LES QUANTITÉS DE MATIÈRE SÈCHE DE FOURRAGES



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Bilan 2018 de la gestion des matières résiduelles au Québec

Bien qu’au niveau résidentiel les quantités de matières récupérées aient diminué au cours des dernières années, notamment à la suite de la baisse des journaux mis en marché et de la réduction de poids pour plusieurs contenants et emballages, les quantités reçues par les centres de tri sont demeurées à peu près stables



Table des matières - UPS

Traitement d’un envoi de matières et produits dangereux 5 Modification d’enregistrements chimiques Matières et produits dangereux 15 Aperçu d’enregistrements chimiques Matières et produits dangereux 20 Dry Ice 25 Quantités exceptées 26 Piles au lithium 27 Réimprimer les documents concernant les matières et produits dangereux 29



LIAISONS ENTRE LES QUANTITÉS DE MATIÈRE SÈCHE DE FOURRAGES

C Demarquilly, Ph Weiss, J -M Boissau, G Cuylle, A Hoden, et al LIAISONS ENTRE LES QUANTITÉS DE MATIÈRE SÈCHE DE FOURRAGES VERTS INGÉRÉES PAR LES MOUTONS ET CELLES INGÉRÉES PAR LES BOVINS Annales de zootechnie, INRA/EDP Sciences, 1971, 20 (2), pp 119-134 ￿hal-00887077￿



OUTIL D INVENTAIRE DES MATIÈRES RÉSIDUELLES POUR LES PGMR

d’estimer les quantités de matières résiduelles générées à partir des démarches présentées ci-après, issues de recherches dans la littérature Toutefois, ces estimations comportent une marge d’erreur qui peut parfois être appréciable, puisqu’elles sont basées sur des moyennes québécoises et non sur des données régionales



TP 9 :boisson et sport : étude des quantités de matières

FICHE TP : MATERIEL : Les boissons et le sport : Etude des quantités de matières Paillasse élève : Matériel : - Balance électronique - Fioles jaugées 250 mL - Capsule ou verre de montre - Spatule - Pissette d’eau distillée Produits chimiques : - Glucose - NaCl



N -PROLIFÉRATION des ARMES NUCLÉAIRES SÉCURITÉ NUCLÉAIRE

« protocole relatif aux petites quantités de matières » (PPQM), qui a pour effet de suspendre l’application de la plupart des dispositions détaillées des AGG tant que les quantités de matières nucléaires dans l’État ne dépassent pas certaines limites ou tant que l’État n’a pas de matières nucléaires dans une installation



Guide d’application des garanties pour les États ayant des

illicite de matières nucléaires Plus de 100 ENDAN signataires du TNP détiennent de très petites quantités de matières nucléaires et ont conclu des protocoles annexés à leurs AGG qui se substituent à de nombreuses procédures de la partie II d’un AGG Ces protocoles s’appellent « Protocoles



Tchernobyl — Dix ans après

pas encore entièrement d'accord sur les quantités de matières radioactives rejetées par l'explosion du réacteur, les meilleures estimations — de l'ordre de 10 " becquerels (le becquerel est l'unité internatio­ nale d'activité) — rendent bien compte de l'ampleur de la catastrophe Deux éléments chimiques présents AIEA BULLETIN, 3/1996



CHAPITRE 34 MARCHANDISES DANGEREUSES EMBALLÉES EN QUANTITÉS

c Dans le cas de mélanges homogènes de la classe 3 contenant de l'eau, les quantités spécifiées désignent uniquement la matière de la classe 3 contenue dans lesdits mélanges d Pour les numéros ONU 2315, 3151, 3152 et 3432 transportés dans un appareillage, les quantités maximales par emballage intérieur sont fixées par appareillage



TMD Les quantités limitées

Les quantités limitées Parties du règlement exemptées ›Documentation ›Indications de danger ›Contenant ›Formation ›Plan d’intervention d’urgence (PIU) ›Exigences relatives aux rapports Conditions ›Il ne s’agit pas d’explosifs ›La capacité du contenant intérieur doit être égale ou inférieure au chiffre de la

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[PDF] les questions que j'arrive

[PDF] les questions que je n'arrive pas à répondre

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LIAISONS ENTRE LES

QUANTITÉS

DE MATIÈRE SÈCHE

DE FOURRAGES VERTS INGÉRÉES PAR LES MOUTONS

ET CELLES INGÉRÉES PAR LES BOVINS

C.

DEMARQUILLY

Ph. WEISS

J.-M. BOISSAU,G. CUYLLE,

A. HODENB.

MARQUIS

Statian de Recherches sur

l'Élevage des

Ruininants,

Centre de Recherches de Clermont-Ferrand,

I. N. R. A.,

63 -

Saint-Genès-Cham!anelle

RÉSUMÉ

i. Pour savoir s'il était possible de prévoir les quantités de fourrage ingérées par les bovins

à partir

des quantités ingérées par les moutons, nous avons, de 1961
1966,
mesuré les quantités d'herbe verte ingérées par des vaches laitières en lactation ou des boeufs à l'engrais, en leur distri- buant à l'auge 125 des 9go

échantillons

de fourrages verts étudiés d'autre part sur des moutons. 2 . Les fourrages verts, fauchés chaque matin, ont

été

distribués à volonté (10 p.

100 de

refus enlevés chaque matin)

à la fois

à des

moutons mâles Texel castrés, maintenus en cage métabolisme et pesant de 45
8 0 kg suivant les essais et des bovins soit des vaches laitières F. F. P. N. et Normandes en stabulation entravée (le nombre et les caractéristiques de ces vaches sont reportés au tableau i) soit à i 5 ou 18 bocufs

Charolais et Normands de

30
mois maintenus en stabulation libre par lots de 5 ou 6. Ces boeufs, pesant au départ entre 42o
et 45o
kg ont reçu de l'herbe verte de la mise à l'herbe (avril) jusqu'à leur départ pour l'abattoir (septembre ou octobre). 3 Les

échantillons de

graminées ont été ingérés, par unité de poids métabolique, en plus grande quantité par les vaches que par les moutons : en moyenne i io,2 g contre

72,1 g

de matière sèche par kg P O ,75. Il existe une liaison étroite (r o,!.lg***) entre les quantités ingérées par les vaches et les moutons (fig. i, tabl. 2).

La liaison est encore

plus

étroite si on

supprime les 4

échan-

tillons de dactyle (r o,824*** pour n 28)
et les échantillons ingérés en quantité supérieure 8 0 g/kg P O ,15 par les moutons (r o,go2*** pour n 18). 4 Les 32
échantillons de luzerne ont de même été ingérés en plus grande quantité par les vaches que par les moutons : en moyenne I

Io,5 g

contre 79,0
g de matière sèche/kg P O ,75. Laliaison entre la quantité ingérée par les vaches et celle ingérée par les moutons n'est cependant pas très

étroite

(r 0 ,442 P 0 ,02 pour n 32)

à cause des

9 repousses de

1964 qui

avaient

été distri-

buées avec des quantités d'aliment concentré très variables. Elle devient plus

étroite

si on supprime ces 9 repousses (r o,83g*** pour n --- 23)
ou si on ne considère que les 19

échantillons du

ier cycle de végétation (r

0,895***)

(fig. 2). 5 Les 5 8

échantillons

de graminées ont été ingérés en plus grande quantité par les boeufs que par les moutons : 103,0
g contre 68,1
g/kg

PO,75. En éliminant les

9

échantillons étudiés

durant 1

Adresse

actuelle : Institut

Technique

des Céréales et des

Fourrages,

8, avenue du Président Wilson 75 -
Paris 16!. le premier mois de chaque essai, mois pendant lequel les boeufs ont dû s'habituer à s'alimenter à travers un cornadis, la liaison entre les quantités ingérées par les bœufs et par les moutons est moins étroite (r

0,562 pour

n =

49) (tabl. 2) que

celle observée entre les vaches et les moutons et cela pour deux raisons : la qualité des fourrages a varié beaucoup moins et les marges de variation de la quantité ingérée ont donc été plus étroites ; les essais se sont déroulés sur des périodes longues (6 mois) pendant lesquelles l'appétit des bceufs a diminué au fur et à mesure que leur état d'engraissement augmentait. 6. La quantité d'herbe ingérée par les bovins a été beaucoup plus

étroitement liée à celle

ingérée par les moutons qu'à la digestibilité de l'herbe (fig. 3 ; tabl. 3 mais les variations de la digestibilité ont entraîné des variations de la quantité ingérée pratiquement identiques chez la

Vache et le Mouton.

7

Les liaisons entre les

quantités d'énergie nette (exprimée en unités fourragères), de four- rages ingérées par les bovins et les moutons sont beaucoup plus

étroites

(tabl. 2) que celles entre les quantités de matière sèche ingérées, car la valeur

énergétique

de l'herbe est le facteur prépon- dérant de la quantité d'UF ingérée et cela d'autant plus qu'elle influe elle-même sur la quantité de matière sèche ingérée.

8. Il ressort de ces résultats

que le Mouton est un animal intéressant pour

étudier les facteurs

de variation, liés au fourrage, de la quantité ingérée.

Il sera

possible (tabl. 4 et 5) de prévoir les quantités ingérées par des bovins semblables à ceux utilisés pour ces essais, à partir des quantités mesurées sur les moutons.

INTRODUCTION

La valeur alimentaire d'un

fourrage ne dépend pas seulement de sa digestibilité mais aussi de la quantité qui en est volontairement ingérée par le ruminant. A la différence de la digestibilité, la quantité de fourrage ingérée et ses facteurs de varia- tions sont mal connus parce que jusqu'à ces dix dernières années, rares étaient ceux qui mesuraient la quantité ingérée et même qui s'y intéressaient. Actuellement la majorité des chercheurs étudiant les facteurs de variation de la quantité ingérée liés au fourrage, le font avec des moutons pour des raisons évidentes de facilité et d'éco- nomie. Les résultats de Br,axT!x et al. (1962 etquotesdbs_dbs13.pdfusesText_19