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Devoir maison : commentaire de texte
Victor Hugo en énumérant « des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes, femmes, jeunes filles, enfants » (l 19) cherche à toucher la sensibilité du plus grand nombre de personnes A travers ces nombreux procédés, Victor Hugo met en place un registre pathétique pour décrire la sitation actuelle de la misère en France
Correction : explication linéaire de « A quoi songeaient les
Introduction : lecture du texte, romantisme de Hugo (pensez aux tableaux étudiés dans le chapitre 5, notamment ceux de Caspar David Friederich, auxquels le titre peut faire penser), place dans le recueil (parlez des particularités du livre IV), ce qui amène au thème du poème : une « songerie » sur la mort
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Devoir maison : commentaire de texte
En France, sous le régime Impérial, s'ouvre le 9 juillet 1849, un débat parlementairesur les lois relatives à la prévoyance et à l'assistance publique. Victor Hugo, récemment élu à
l'assemblée législative, participe à celui-ci et est d'ailleurs le premier à prendre la parole. Son
" Discours sur la misère » est rapporté dans cet extrait. Comment Victor Hugo aborde-t-il l'état des lieux sur la misère et que soulève ce constat ? Dans un premier temps, nous étudieront le registre pathétique utilisé par Victor Hugo pour dresser l'état des lieux alarmant, puis dans un second temps, nous verrons en quoi ce constat soulève une polémique au sein de l'assemblée. Dans son discours sur la misère, Victor Hugo utilise le registre pathétique afind'établir un état des lieux plus qu'alarmant sur la misère en France au XIXème siècle.
En effet, l'auteur utilise les champs lexicaux de la tristesse et de la douleur : " souffrance »(l.1), " mon dieu » (l.13 et 23), " tristes » (l.13), " souffrantes » (l.15), " guérir le mal »
(l.16), " plaies » (l.16), »malheureux » (l.23, " mort de faim » (l.25), " douloureux » (l.26),
" le peuple souffre » (l.35), " désespère » (l.36)), " meurt de faim » (l.38), " souffrance
publique » (l.41). Ces champs lexicaux sont accompagnés de l'anaphore du mot " misère »qui accentue la douleur et la tristesse. L'omniprésence de ce mot reflète l'ampleur de la misère
à cette époque, laissant supposer une très grande misère qui ne cesse de s'accroître en France.
Victor Hugo insiste sur ce pays par l'anaphore et l'opposition " je ne dis pas », " je dis » (l.10
et 11). Cette insistance traduit la triste réalité. De plus, la ponctuation joue un rôle important dans le texte de Victor Hugo puisqu'ellecaractérise le registre pathétique. A maintes reprises l'auteur utilise des phrases exclamatives
et interrogatives (l.6, 11, 12, 16, 26, 28, 30, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 40, 41, 43 et 47). EnfinVictor Hugo en énumérant " des familles, des familles entières, vivent pêle-mêle, hommes,
femmes, jeunes filles, enfants » (l.19) cherche à toucher la sensibilité du plus grand nombre
de personnes. A travers ces nombreux procédés, Victor Hugo met en place un registre pathétiquepour décrire la sitation actuelle de la misère en France. Par la suite l'auteur utilise le registre
polémique pour montrer la nécessité de réagir. Dans la seconde partie de son discours, Victor Hugo met en place un registrepolémique pour prouver et persuader les autres députés présents à l'assemblée qu'il faut réagir
face à la misère en France. Tout d'abord, l'auteur en utilisant l'analogie " La misère est une
maladie du corps social comme la lèpre était une maladie du corps humain ; la misère peutdisparaître comme la lèpre a disparu. » (l.5) cherche à rassurer les gens présents à l'assemblée
que la misère n'est pas quelque chose de fatal et qu'il n'est pas trop tard pour la détruire. Ensuite, Victor Hugo, par de nombreuses gradations telles que " je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire » (l.4) et " n'ayant pour lits, n'ayant pour couvertures, j'ai presque dit pour vêtements » (l.20) et à l'aide de nombreuses phrases interrogatives et affirmatives (l.6, 11, 12, 16, 26, 28, 30, 33, 34, 35, 36, 37, 38, 40, 41, 43 et47) essaye de choquer, de provoquer et même de révolter les gens présents dans la salle afin
que ceux-ci réagissent à ses propos.Enfin, en utilisant de fréquentes parenthèses comme " (Réclamation-Violentes dénégations à
droite.) » (l.2), " (Nouveaux murmures à droite) » (l.4), " (Oui ! oui ! à gauche) » (l.6)
l'auteur montre la distinction, au début du texte, entre le parti de droite et le parti de gauche,
qui, au fur et à mesure du texte disparaît " (Sensation universelle) » (l.8), " (très bien !) »
(l.16), " (Sensation) » (l.28), " (Sensation prolongée) » (l.33), " (Très bien ! très ! Vive et
unanime adhésion) » (l.35), " (Acclamation) », " (C'est vrai ! c'est vrai !) » (l.46) et
" (Mouvement prolongé sur tous les bans) » (l.17), même si d'entrée, la droite s'oppose à la
gauche, celle-ci ne peut pas nier les faits énoncés par Victor Hugo et finit par être du même
avis que son parti adverse.En se servant de divers procédés Victor Hugo arrive à créer un registre polémique afin
de convaincre les députés de voter une loi contre la misère. Dans ce discours, Victor Hugo parvient à mettre en place un registre pathétique pour décrire l'état des lieux en France en 1849 afin de toucher le plus grand nombre de personnesprésentes et un registre polémique pour les faire réagir face à la misère de plus en plus
importante à cette époque.quotesdbs_dbs5.pdfusesText_10