[PDF] Chapitre 1 : Comprendre et maîtriser sa sexualité



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Partie 1 : chez l’Homme Connaissances de départ

Arrêt de la libération de LH et FSH par l’hypophyse antérieure Les neurones produisent ( ?) la FSH et LH (mais la terminaison des neurones est loin de l’hypophyse antérieure), ils sont indispensables à cette production Stimulation électrique de ces mêmes amas de neurones Augmentation brutale de la libération de LH



Partie 2 : la régulation des fonctions de reproduction

- 4 : Présence de FSH et LH C’est bien la GnRH qui stimule la production de FSH et LH Destruction des cellules en 3 Prise de sang aux niveau 2, 4 - 2 : présence de GnRH - 4 : pas d’hormones Ce sont les cellules de l’hypophyse antérieure qui produisent la FSH et la LH Au niveau de l’hypothalamus : Des neurones produisent une molécules



Physiologie de lovulation

•La décharge ovulante de FSH et surtout le pic LH vont modifier l'ovocyte et les cellules folliculaires, l’ovulation survient 37 à 40 h plus tard •la décharge LH induit la dissociation du cumulus ophorus puis la libération de l'ovocyte de 1er ordre avec 2n chromosome entouré de la corona radiata



L’appareil reproducteur masculin (30min)

libération de LH et FSH Doc 2 Expériences réalisées sur le complexe lamo-hypophysaire Doc 3 Effet sur la spermatogénèse chez l’homme de l’inhibition de la sécrétion de LH (hormone lutéinisante) et de FSH (folliculostimuline), puis de L’injection de FSH



Chapitre 1 : Comprendre et maîtriser sa sexualité

Le rétrocontrôle est négatif si les hormones ovariennes diminuent la libération de LH et de FSH Le rétrocontrôle est positif si les hormones ovariennes augmentent la libération de FSH et de LH Les hormones ovariennes en faible quantité durant la majeure partie du cycle, inhibent la sécrétion des



Le contrôle endocrinien du fonctionnement de l’appareil

Arrêt de libération de LH et de FSH par l’hypophyse antérieure Prélèvement à l’aide d’une canule très fine, de sang dans le réseau vasculaire de la tige hypophysaire Possibilité d’isoler une substance très active, la GnRH, déclenchant la libération des gonadostimulines Retour à la banque de données



Activité 14 L’ACTIVITE TESTICULAIRE ET SA REGULATION

neurones augmente brutalement la libération de LH et de FSH par l’hypophyse 6- L'injection d'extraits hypothalamiques (GnRH= Gonado-Releasing Hormon ) à un animal dont on a lésé l'hypothalamus corrige les troubles provoqués: il y a de nouveau sécrétion de LH et FSH



Chapitre 2 - Le fonctionnement des organes reproducteurs

- L’hypothalamus produit de la GnRH qui active la production de LH et FSH par l’hypophyse -Lors de la phase folliculaire, la FSH stimule le développement du follicule faisant ainsi augmenter la production d’œstrogènes qui augmente l’épaisseur de la muqueuse utérine - Juste avant l’ovulation, on observe un pic de LH et de FSH



L’HYPOGONADISME HYPOGONADOTROPE NORMOSMIQUE ISOLE (HHnI)

potentiel du GnIH Le GnIH diminue la synthèse et libération des gonadotrophines LH et FSH La mélatonine, hormone libérée pendant l’obscurité, stimule la libération de GnIH Cette boucle intègre les effets inhibiteurs sur la reproduction observés pendant les longues nuits de l’hiver chez les animaux saisonniers

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Chapitre 1 : Comprendre et maîtriser sa sexualité

I) Comprendre les fonctions de reproduction

3 cycles sexuels chez la femme :

Le cycle ovarien

Le cycle utérin

Le cycle de la glaire cervicale

a) Les ovaires produisent des hormones : En début de cycle ou phase folliculaire, les follicules produisent

b) Les hormones ovariennes contrôlent le cycle utérin :

En début de cycle (jusqu'au 4e jour), le faible taux plasmatique d'hormones ovariennes provoque

reconstitution de l'endomètre utérin.

c) Les hormones ovariennes contrôlent le cycle de la glaire cervicale : Pendant la période d'infécondité, la

glaire cervicale obstrue le col de l'utérus et présente un maillage serré de filaments protéiques, qui

immobilise les spermatozoïdes. Lors de la période de fécondité, la glaire cervicale devient perméable aux

spermatozoïdes grâce à une détente du maillage. des spermatozoïdes possible. Le fonctionnement des ovaires est contrôlé par le complexe hypothalamo-hypophysaire d) Le fonctionnement du complexe hypothalamo-hypophysaire : rétrocontrôle.

Le rétrocontrôle est négatif si les hormones ovariennes diminuent la libération de LH et de FSH.

Le rétrocontrôle est positif si les hormones ovariennes augmentent la libération de FSH et de LH.

Les hormones ovariennes en faible quantité durant la majeure partie du cycle, inhibent la sécrétion des

NB : Différents paramètres externes comme le stress, la malnutrition peuvent agir directement sur

II- Molécules de synthèse et régulation des naissances.

Distinction effet contraceptif (empêche la fécondation) / effet contragestif (empêche la nidation) / effet

abortif (agit après la nidation = interruption de grossesse) a) La contraception hormonale.

La compréhension des mécanismes biologiques liés à la reproduction humaine a permis la mise au point de

molécules de synthèse permettant une maîtrise de la procréation. L'action contraceptive des pilules est

ovariens (FSH et LH), bloquent l'ovulation, perturbent le cycle utérin et rendent le mucus du col imperméable

aux spermatozoïdes.

Chez l'homme, la contraception préventive repose sur le même principe et a pour conséquence une

diminution considérable de la production de spermatozoïdes. Cependant, la prise de ce contraceptif doit se

faire par des injections et n'est efficace qu'au bout de deux mois environ. b) Des réponses à des situations exceptionnelles

Les " pilules du lendemain ou surlendemain » sont utilisées en contraception d'urgence. Prises dans des

délais précis, elles peuvent bloquer l'ovulation ou empêcher la nidation.

Le RU 486 provoque la destruction de la muqueuse utérine (règles), entraînant l'élimination de l'embryon

implanté. Elle contient une molécule de structure voisine de la progestérone. En bloquant les récepteurs à

la progestérone, elle empêche l'action de cette hormone indispensable à la gestation. La grossesse étant

stoppée, le nom de " pilule abortive » est donné à ce produit. Le RU 486 doit être utilisé avant la 5ème semaine

de grossesse. III- La procréation médicalement assistée

L'infertilité ou la stérilité masculine sont généralement dues à la qualité du sperme ou à des anomalies des

trompes consécutives à une IST.

Les techniques de procréation médicalement assistée (PMA) permettent d'améliorer la fertilité quand celle-

ci est insuffisante, voire de contrer certaines des infertilités (FIVETE, ICSI).

Suivant le cas, le médecin peut proposer :

- un traitement hormonal adapté qui favorise la maturation des follicules ovariens et par ailleurs stimule

- une insémination artificielle permet de court-circuiter la glaire cervicale (stérilités cervicales) et de

rapprocher les spermatozoïdes des ovocytes (stérilités masculines, stérilités inexpliquées).

Après stimulation ovarienne on utilise du sperme du conjoint (IAC) ou de donneur (IAD). Le sperme est

Le sperme des donneurs est conservé dans l'azote liquide (-196°C) puis transmis sous forme de paillettes aux

médecins.

- une fécondation in vitro avec transfert d'embryons (FIVETE) après stimulation ovarienne puis prélèvement

d'ovocytes et de spermatozoïdes, elle permet de court-circuiter les trompes (stérilités féminines) et de

rapprocher les spermatozoïdes des ovocytes (stérilités masculines). La fécondation est réalisée en

laboratoire, soit en mettant les gamètes (qui peuvent provenir d'un don) en présence soit par injection

intracytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) dans le cas de stérilités masculines sévères. Le jeune embryon

est ensuite transféré dans l'utérus.

Échographies et dosages hormonaux sanguins permettent de contrôler et d'adapter les traitements en

fonction de chaque patiente. Les molécules de synthèse sont des aides à la fécondation et/ou à la gestation

dans les cas d'infertilité.

L'assistance médicale à la procréation fait l'objet d'une législation depuis l'application des premières lois de

bioéthique, en juillet 1994. Ces lois posent des principes généraux concernant le respect du corps humain

dès le commencement de sa vie et la protection de l'embryon humain. Ces lois fixées définissent les

La bioéthique liée à la PMA est perpétuellement questionnée par des débats qui secouent la société en prise

avec l'évolution des pratiques et des connaissances médicales. Les recherches sur les molécules chimiques

appliquées dans la procréation continuent de progresser et proposeront peut-être dans le futur des

techniques plus simples, moins contraignantes pour le couple et plus souvent couronnées de succès.

IV- Comportements individuels et propagation des infections sexuellement transmissibles ou IST.

Les IST sont dues à des agents infectieux très variés (bactéries, champignons ou virus). Ces agents infectieux

pathogènes se transmettent lors des relations sexuelles. Leur développement dans l'organisme entraîne des

troubles plus ou moins graves pouvant, en l'absence de traitement, mener à la stérilité ou même jusqu'au

décès (cancer, SIDA).

La disparition des symptômes ne signifie pas que l'infection a disparu. Il est donc important de consulter

systématiquement un médecin en cas de doute.

Afin de limiter la propagation de ces maladies, il est essentiel d'adopter un comportement citoyen préventif

en faisant usage du préservatif et en pratiquant régulièrement des tests de dépistage.

Des campagnes de vaccination visent à limiter la propagation d'autres IST causées par des virus (hépatite B,

papillomavirus).quotesdbs_dbs4.pdfusesText_8