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mystère de la chambre jaune-aymeric lafarge

Si Gaston Leroux est avant tout connu comme l'auteur de Rouletabille (Le Mystère de la chambre jaune, Le Parfum de la dame en noir, 1907, Rouletabille chez Krupp, 1920), il ne se résume pas entièrement à cette série On lui doit d'autres œuvres fameuses de la littérature populaire :Le Fantôme de l'Opéra (1910), La Reine de



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Aymeric L. le 20/11/2000

3é2

Le Mystère de la chambre jaune

Présentation

L'auteur se nomme Gaston LEROUX (1868-1927).

Il écrivit le livre Le Mystère de la chambre jaune !! en 1892.

Présentation du livre :

L'histoire se déroule à partir d'octobre 1892, moment des crimes jusqu'en janvier

de l'année suivante, période où l'affaire est merveilleusement élucidée par Rouletabille.

L'histoire se passe bien entendu en France. Tous les crimes et mystères se produisent au château du Glandier ( un des plus vieux châteaux d'Ile de France), sur la lisière de la forêt de Sainte-Geneviève, au-dessus d'Epinay-sur-Orge, chez le professeur Stangerson. Quelques discussions et mystères également se passent à l'auberge du Donjon, non loin du château. On peut aussi citer, Paris, où travaille Rouletabille et l'Amérique, à Philadelphie, lieu dans lequel Rouletabille découvrira ou plutôt prouvera que ses idées étaient fondées et qu'il avait, quoiqu'on en dise, raison.

Biographie de l'auteur

Si Gaston Leroux est avant tout connu comme l'auteur de Rouletabille (Le Mystère de la chambre jaune, Le Parfum de la dame en noir, 1907, Rouletabille chez Krupp,

1920), il ne se résume pas entièrement à cette série. On lui doit d'autres oeuvres

fameuses de la littérature populaire :

Le Fantôme de l'Opéra (1910), La Reine de Sabbat (1910), L'Epouse du soleil (1912), et surtout la série des Chéri Bibi (Les Cages flottantes, 1913, Le Coup d'Etat de Chéri Bibi, 1925).

Auteur truculent, Gaston Leroux joue avec les mots et les genres, développant une véritable "esthétique du mirobolant" (Jacques Goimard), une littérature excentrique qui goûte les expressions paradoxales ("il y eut un grand silence pendant lequel ils se parlaient" Le Coeur cambriolé), qui manie le bizarre et le fantastique (dans Chéri Bibi, on échange les visages ; dans Le Fantôme de l'opéra, les sous-sols de Paris deviennent un monde fantasmatique), qui s'amuse de ses propres effets... Gaston Leroux mélange tous les genres, policier et aventures dans la série des Rouletabille, policier et fantastique dans L'Homme qui a vu le diable, aventure, exotisme, frasque sociales, mélodrame, voire réflexions politiques dans tous les récits. Gaston Leroux tire

à la ligne avec une jubilation qui ferait pâlir Alexandre Dumas. Sa littérature tient autant

de l'aventure que de tous les genres populaires. Si son style est souvent faible, s'il

utilise parfois des procédés éculés, le foisonnement de ses récits lui confère un charme

qui rend sa lecture encore agréable aujourd'hui.

Résumé du Mystère de la chambre jaune !

Tout débute au château du Glandier, où l'on tenta d'assassiner Mathilde Stangerson, fille de l'illustre professeur Stangerson. Cette tragédie toucha tout le monde de la science, et même tout le monde en général. Rouletabille et Sinclair sont envoyés au château pour un rapport sur l'affaire. Ils ne sont bien sûr pas seuls, mais Rouletabille, grâce à sa malice, arrive à y pénétrer avec son ami, en disant une simple phrase à Robert Darzac, que personne ne comprit sauf ces deux personnes. Rouletabille avait tellement touché Darzac, que ce dernier l'invita même à coucher au château, à l'incompréhension de tout le monde. Rouletabille commenca à enquêter au côté de Larsan, le plus célèbre policier au monde. Le mystère de la chambre jaune était inexplicable, comment quelqu'un avait pu entrer, essayer d'assassiner Mathilde Stangerson dans sa chambre, en sortir par la porte obligatoirement, pendant qu'il y avait quatre personnes devant celle-ci. Tout le monde ne comprenait rien, mais Larsan et Rouletabille, après un peu de recherche chacun de leur côté, étaient d'accord sur une chose : la marque de main ensanglantée sur le mur de la chambre jaune était celle de l'assassin blessé par Mathilde lors du crime. On interrogea alors Mathilde qui se remettait gentiment, elle ne dit rien, de même que Darzac, on sentait qu'ils cachaient un

mystère dont ils étaient affligés. Larsan s'acharna alors sur Darzac, pour lui, il était le

responsable, mais pour Rouletabille il n'en était rien. Rouletabille remarqua néanmoins que Larsan travaillait avec une canne, qu'il nia avoir acheter, mais qu'il utilisait en étant en parfaite santé. Alors, survint le deuxième incident qu'on peut appeler la galerie inexplicable. Mathilde depuis son accident était bien entourée, dans sa chambre par deux gardes et par son père. Mais voilà que Darzac vint un jour vers Rouletabille et lui dit qu'il devait partir très vite. Rouletabille lui demanda des explications car lors de l'accident de la chambre, Darzac s'était déjà absenté pour revenir le lendemain. Mais il ne voulait toujours rien dire, mais néanmoins avisa Rouletabille de prendre soin de sa bien-aimée car l'assassin reviendrait ce soir. Rouletabille s'appliqua donc à sa tâche et mit un plan sur pied. L'assassin ne pourrait s'enfuir car il plaça quelqu'un à toutes les issues possibles : le père Jacques, Sinclair, M. Stangerson et lui-même. Tout se passa comme il le voulait, l'assassin arriva et fut pris en flagrant délit. Il s'enfuit de la chambre de Mathilde et courra dans le couloir, étant suivi par Rouletabille et M. Stangerson, ils le touchèrent presque, ils devaient rencontrer le père Jacques et Larsan. La rencontre fut

bel et bien effectuée, mais l'homme, l'inconnu n'était plus là, ils n'étaient que les quatre,

ébahis. Ils ne comprenaient rien de ce qui leur arriver. L'assassin n'avait encore une fois pas pu s'enfuir. Larsan continua d'accuser Darzac, pendant que Rouletabille essayait de trouver des preuves pouvant l'acquitter. Puis quelques jours plus tard, Darzac du repartir, toujours pour des raisons inconnues, on sentait que Rouletabille n'était pas loin de comprendre. On attendit donc à nouveau l'assassin, un plan fut remis en place, cette fois-ci seul Sinclair et Rouletabille y prenaient part. Des choses étaient bizarres, Larsan s'évanouit dans un dîner le soir même et M. Stangerson de même que les gardes de chambre furent empoisonnés par Mathilde. Rouletabille commençait à comprendre. Il savait que Mathilde et Darzac connaissaient le nom de l'assassin, mais

qu'ils préféraient mourir que de l'avouer, d'avouer ce fabuleux mystère. Voilà, l'assassin

était dans la chambre, il fut repéré et Sinclair le suivit, Rouletabille devait les rejoindre,

mais rien il n'était pas là. Il avait aussi été empoisonné, alors Sinclair continua à suivre

l'homme, ils étaient maintenant dehors, Sinclair tira, mais ne le toucha pas, alors le père Bernier, un concierge arriva et tira à son tour. L'ombre tomba, c'était le garde du château. Horreur, on constata qu'il n'était pas mort d'un coup de revolver, mais d'un coup de couteau donné par l'assassin, cette même arme qui avait blessé Mathilde auparavant. Personne ne comprit comment il avait pu s'enfuir dans un si petit bout de cour où il y avait quatre personnes. Larsan avait ce qu'il voulait, le lendemain, Darzac fut arrêté. Rouletabille partit alors en voyage en Amérique, pour chercher des preuves. Mais il savait qui était l'assassin, mais il lui fallait encore quelques preuves. Deux mois s'écoulèrent quand le jour du procès tant attendu arriva. Larsan accusa Darzac, tout le monde s'allia à sa cause. Soudain, Rouletabille que l'on attendait impatiemment, surgit comme un lion dans le tribunal et affirma qu'il savait le nom de l'assassin. On attendait, mais il dit qu'il ne pouvait donner ce nom qu'après six heures et demie. Le président s'impatientait quand Rouletabille commença à expliquer sa version sur l'assassinat du garde. Son explication était tellement précise et logique qu'on le croyait. La séance fut donc suspendue jusqu'à six heures et demie. Rouletabille revint à l'heure et dit haut et fort, dans un silence de mort que l'assassin n'était autre que Frédéric Larsan. On lui demanda bien sûr une preuve, Rouletabille appela immédiatement Larsan à la barre, mais personne ne vint, il était loin, partit, disparu. Rouletabille dit qu'il y avait quelques heures, il avait dit à Larsan qu'il allait l'accuser et qu'ainsi il avait pu s'enfuir, car pour lui, un reporter n'était pas là pour accuser les gens et les mettre en prison. Le président attendait des explications sur la chambre jaune et la galerie inexplicable, et c'est alors que Rouletabille expliqua ces mystères comme si ils coulaient de source, alors que tous les esprits les plus malins n'y avaient rien compris. Il commença par donner la véritable identité de Larsan, il n'était autre que Ballmeyer, un des plus grands escrocs au monde et recherché par toutes les polices au monde. Mais il était encore Jean Roussel, un homme qui avait épousé Mathilde quand elle et son père travaillaient encore en Amérique. Quand Roussel fut découvert, Mathilde n'osa rien dire à son père, alors on comprit les silences de Darzac et de Mathilde. Larsan voulait une revanche, il voulait empêcher le mariage de Darzac et de Mathilde, il y arriva. Puis il nous expliqua la galerie inexplicable, où tout simplement Larsan avait fuit son poste en se déguisant, était allé dans la chambre de Mathilde et étant découvert revenait vite en son poste en enlevant en deux trois mouvements son costume. On n'y vu que du feu, sauf Rouletabille bien sûr. Puis la chambre jaune, Rouletabille expliqua clairement et

logiquement ce mystère. L'instant où Mathilde criait au désespoir, elle rêvait, elle faisait

un cauchemar, celui où son malfaiteur l'attaquait et où elle se défendait avec un fusil. On sut qu'elle avait été en début de soirée et qu'elle avait réussi à cacher ses blessures, et que la nuit venue, c'était simplement un cauchemar, la tentative

d'assassinat avait déjà été effectuée. Tout le monde était ébahi de voir avec quelle

logique et quelle facilité, le jeun reporter expliquait ces mystères, mais on voulait savoir comment il avait été mis sur la piste de Larsan. Le jeun héros répondit, que pendant que Larsan s'était évanoui, au moment de la galerie inexplicable, il s'était accroupi, avait regardé sa main et enlevait cette fameuse canne pour y découvrir dans la paume une cicatrice de balle de revolver. Aussitôt ceci dit, on comprenait tout et plus personne

ne doutait en la crédibilité du témoignage du jeun Rouletabille qui fut accueilli en héros

après ces aveux fantastiques.

Présentation des personnages

Joseph Rouletabille, journaliste renommé de dix-huit ans seulement, au journal l'Epoque. C'est lui qui expliquera toute l'affaire et qui sera le héros. M. Sinclair, le " je ", narrateur dans l'histoire, écrivain français. Il accompagne

Rouletabille tout au long de l'histoire.

M. Stangerson, professeur et chercheur, père de la victime Mlle Mathilde Stangerson, fille du professeur, elle aussi chercheuse, victime tout au long de l'histoire Robert Darzac, fiancé de Mathilde Stangerson, chercheur lui aussi. D'une certaine manière, il est aussi victime de cette affreuse histoire.

Frédéric Larsan, policier attitré, connu du monde entier, il enquête aussi sur les lieux du

crime, mais est en désaccord d'idées avec le jeune Rouletabille.

Conclusion

J'ai vraiment adoré ce livre, de la première à la dernière page. Vraiment on est pris dans l'histoire, on essaie de s'imaginer cette chambre, cette galerie, ce bout de cour. On veut comprendre ce mystère entre Mathilde et l'assassin. De plus, le fait que le dénouement et toutes les explications sont données dans les deux derniers chapitres nous donne du suspens, on essaie parfois nous-mêmes de trouver l'assassin, de comprendre comment il s'enfuit. Mais on constate bien vite qu'on est très loin du compte et que la réflexion qu'a du faire Rouletabille pour en arriver à ses conclusions est incroyable, presque irréelle. L'histoire en elle-même est magnifique, l'histoire d'amour entre Mathilde et Larsan, Roussel, Ballmeyer est splendide, autant qu'elle en est tragique. C'est incroyable de voir que Mathilde préfère mourir que de tout avouer son passé, son mystère, sa honte à son père. Ou encore Darzac qui suit les ordres que

lui donne Larsan, il arrive à partir loin de sa bien-aimée, pour qui il se tuerait tellement il

l'aime, en sachant que celle-ci va être attaquée, peut-être même tuée. L'histoire tourne

quand même essentiellement autour de ces deux histoires d'amour qui finiront les deux en tragédie, puisque Mathilde ne se remettra jamais de ce que Larsan lui aura fait subir et que Darzac amoureux et aimé de Mathilde ne pourra jamais l'épouser car telle est la volonté.quotesdbs_dbs47.pdfusesText_47