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de notre époque), Willy Burkhard, Helmut Bornefeld, Siegfried

La dictature hitlérienne, ennemie de toutes les activités intel lectuelles et spirituelles, conduit la jeune entreprise au bord de la ruine Le coup le plus terrible lui est porté peu avant la fin de la guerre: les 8 et 9 mars 1945, tous ses bâtiments, y compris l'imprimerie et la totalité des réserves emmagasinées,



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Hitlérienne Enfant 9 Destiné Convertisseur d'énergie actionné par le vent Rangs Soustrais musique jamaïcaine Agi par jeu, sans intention sérieuse



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METROPOLIS: LA MUSIQUE A noter aussi que dans ce film, beaucoup de sons ont été visualisés Une partition originale a été écrite pour la sortie du film par Gottfried Huppertz Huppertz était présent sur le plateau, Lang expliquait que sa musique était joué pendant le tournage des séquences, ils se retrouvaient les WE



B La mise en place du totalitarisme en Allemagne En quoi l

La Marche de la jeunesse hitlérienne (extraits) « Refrain Notre drapeau claque devant nous Un par un, nous avançons vers l’avenir Nous marchons pour Hitler, à travers la nuit et la misère, Avec le drapeau de la jeunesse, pour la liberté et le pain Second couplet Jeunesse Jeunesse nous sommes les soldats de l’avenir, Jeunesse



Exil - helenebellettosusselfileswordpresscom

Exil 1Er hatte einen bewegten Tag hinter sich, das Diktat in die Setzmaschine hatte Gehirnschmalz von ihm verlangt, es war tief in der Nacht, er hatte einiges getrunken,





QUE FAIRE DE LALLEMAGNE - aaarghvhoorg

hitlérienne, est ce qui laissa à l'Angleterre le temps de préparer sa défense La France se trouvait donc simplement plus voisine de l'assassin armé jusqu'aux dents, et n'avait aucune



De Mathius Shadow-Sky À Jean-Luc Moudenc

Nov 22, 2017 · massive (conçue par la dictature hitlérienne et utilisée par les Alliers ) qui a fait réagir la jeunesse : être gouverné par une vieillesse irresponsable qui met volontairement la vie de millions d'êtres humains en péril Le soulèvement de la jeunesse, il y a 50 ans, a été motivé d'abord par ça Comment est-il possible



ANALYSE PSYCHOLOGIQUE DE LA NOUVELLE « LE SILENCE DE LA MER

Les Français résistent à la barbarie hitlérienne par un silence épais et immobile En revanche, le jeune officier vit dans un rêve, il voit la guerre comme « la merveilleuse union » de l’Allemagne et de la France « Pardonnez-moi : peut-être j’ai pu vous blesser Mais ce que je disais je le pense



LES TOTALITARISMES

« Les terribles résultats d'une femme ivrogne » En 83 ans, elle a eu 894 descendants, dont 40 indigents, 67 criminels, 7 meurtriers, 181 prostituées

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METROPOLISAllemagne - 1927 - de Fritz Lang

Fritz Lang

Les constantes de son oeuvre

L'expressionnisme allemand

Metropolis : le film

Metropolis : lectures politiques du film

Metropolis : les chiffres

Metropolis : la musique

FRITZ LANG

Fritz Lang est né à Vienne en 1890 d'un père architecte réputé. Il décède en 1976 à Hollywood.

Sa carrière se divise en 3 grandes périodes :

·la période allemande d'avant-guerre qui débute dans la période du muet avec des films inoubliables et

qui font partie du patrimoine cinématographique mondial (M le maudit en 1931, son premier film

parlant - Le docteur Mabuse, film dans lequel il met dans la bouche du personnage central des slogans

que les nazis n'osent pas encore proclamer - Metropolis ...)

·la période américaine qui débute après 1933, date à laquelle Lang s'enfuit d'Allemagne en laissant sa

femme Théa Von Arbou qui avait collaboré aux films précédents et qui avait adopté la cause

hitlérienne. A noter que Goebbels lui propose de diriger l'industrie cinématographique allemande. C'est

le jour même de cet entretien qu'il fuit à Paris, puis aux Etats Unis où il est engagé par la Metro

Goldwyn Mayer, un des grands studios américains, basé à Hollywood, dont la puissance est

considérable mais dont les exigences sont importantes. C'est durant la période américaine qu'il réalise

trois westerns, L'ange des maudits étant chronologiquement le dernier. En 1940, Le retour de Frank

James et en 1941, Western union. Il réalise aussi Les contrebandiers de Moonfleet en 1955.

·la période allemande d'après-guerre : peut-être la moins connue et pourtant il réalisera trois films

importants : un diptyque Le tigre du Bengale et Le tombeau hindou et l'oeuvre ultime composé du dernier épisode du Docteur Mabuse : Le diabolique Docteur Mabuse

A noter qu'on peut le voir jouant son propre rôle dans ce qui est peut-être le plus beau film de Godard en

1963 : Le mépris.

LES CONSTANTES DE SON OEUVRE

Fritz Lang explore :

·les dysfonctionnements d'un ordre social et les conséquences sur le comportement des individus

·les thèmes de la culpabilité et de la fatalité à laquelle l'individu ne peut se soustraire

L'EXPRESSIONNISME ALLEMAND

C'est un mouvement cinématographique qui est à son apogée dans les années. L'Allemagne se remet

difficilement de la Première Guerre mondiale et l'industrie cinématographique, alors en pleine expansion, a du

mal à rivaliser avec les productions luxueuses et extravagantes d'Hollywood à cause de la récession

économique. Les réalisateurs des studios allemands UFA développent alors une méthode pour compenser le

manque de moyens, en utilisant le symbolisme et la mise en scène pour créer une atmosphère et une profondeur

expressive aux films. Les premiers films expressionnistes, en particulier Le Cabinet du docteur Caligari

(Robert Wiene, 1919), Le Golem (Carl Boese, 1920) et Nosferatu le Vampire (F. W. Murnau, 1922) sont des

récits filmés hautement symboliques et s'approchant du surréalisme.

Ce mouvement cinématographique fut suivi par ce que l'on a appelé par la suite Le réalisme de la nouvelle

objectivité qui avait une visée très différente à savoir de montrer le monde sans artifice.

Ce qui motive ce mouvement cinématographique, c'est de créer un langage visuel permettant de sonder les

âmes.

Il y a des codes qui sont mis en scène :

·les lumières très dramatisantes, l'usage des reflets, des miroirs et des ombres ·l'art du contraste, de l'utilisation symbolique, dramatique et plastique du noir et blanc ·les décors géométriques (cf Le cabinet du Dr Caligari) ·la soumission des gestes et des visages à un grossissement caricatural

Il y a aussi des sujets :

·les dysfonctionnements d'un ordre social et les conséquences sur le comportement des individus. une

Allemagne qui suait encore la caserne et les claquements de talons

·une société d'hommes d'affaires qui souhaitait développer à n'importe quel coût humain le progrès

technique ·une civilisation urbaine qui dévore les êtres humains

C'est un mouvement cinématographique qui porte les angoisses collectives de la défaite allemande.

Metropolis est une sorte de film-somme de tous ces codes et caractéristiques de l'expressionnisme allemand.

C'est un film qui est un véritable " drame pour l'oeil ». C'est aussi un film qui a comme objectif de redonner

une vitalité et une grandeur au cinéma allemand d'où un investissement énorme, colossal en terme financier.

METROPOLIS : LE FILM

Film sorti le 10 janvier 1927, réalisé par Fritz Lang et produit par la UFA.

Plusieurs versions ont été projetées.

La version présentée est sans doute la plus complète à ce jour.

A l'origine du film, il y a un scénario de Thea Von Arbou qui a puisé dans le fond mythologique qui va du

Golem à Faust. Ce scénario oriente le film plus vers une " collaboration de classes » que vers une " lutte des

classes ».

La cité qui est présentée dans ce film est inspiré d'un voyage fait en 1924 par Lang et son producteur aux Etats-

Unis. L'histoire raconte qu'en arrivant de nuit devant Manhattan Lang trouva là la matrice visuelle de

Metropolis.

Lang est à l'origine un architecte. Il se sert dans ce film à la fois de la lumière et des mouvements de foule pour

construire des espaces géométriques chers au mouvement expressionniste allemand. La cité Metropolis

deviendra démesurée, cauchemardesque, angoissante avec une ville haute et une ville basse. En ce sens, il

s'agit d'un film de science fiction : déshumanisation de la technologie, création de la vie artificielle, peur de

l'inconnu... C'est aussi le premier film à explorer les phobies liées à la science et à la découverte de l'inconnu.

Film qui est une référence pour nombre de réalisateurs. Il faut aussi noter que beaucoup de films font

quasiment des citations visuelles à ce film : Blade runner, Batman, Star Wars, The Wall mais aussi Le roi

et l'oiseau et Les temps modernes...

Lang a renié la conclusion de ce film dont l'idée revient à Thea Von Arbou : réconciliation entre les

oppresseurs et les opprimés, union sacrée du capital et du travail. " Le coeur doit être le médiateur entre le

cerveau et la main ».

METROPOLIS : LECTURES POLITIQUES DU FILM

•certains pensant qu'il y a là souterrainement des germes de la société nazie (sans doute une

surinterprétation)

•d'autres définissant l'idée d'un monde dans lequel les patrons devraient être meilleurs dans leur rapport

au monde ouvrier pour éviter qu'ils cèdent aux mirages communistes : c'est le thème développé par

Thea Von Arbou, la réconciliation entre le capital et le monde du travail

•d'autres enfin considèrent ce film comme une annonce d'une société où la classe ouvrière est esclave

des machines.. Le monstre machine, le Moloch dévore les ouvriers.

METROPOLIS : LES CHIFFRES

310 jours et 60 nuits de tournage du 2 mai 1925 au 30 octobre 1926. 8 acteurs principaux, 750 acteurs, 25000

figurants, 11000 figurantes, 1100 têtes chauves, 25 chinois pour un film qui a dépassé tous les budgets de l'époque (36 millions de francs).

METROPOLIS : LA MUSIQUE

A noter aussi que dans ce film, beaucoup de sons ont été visualisés.

Une partition originale a été écrite pour la sortie du film par Gottfried Huppertz. Huppertz était présent sur le

plateau, Lang expliquait que sa musique était joué pendant le tournage des séquences, ils se retrouvaient les

WE.

La version de Giorgio Moroder, auteur de la BO de Midnight Express, qui en 1984 propose une version rock

du film. L'idée étant de rendre l'oeuvre accessible aux nouvelles générations et à un public non cinéphile.

Suite à une nouvelle restauration du film en 2001, Metropolis fut le premier film inscrit sur le Registre de la

Mémoire du Monde de l'UNESCO.

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