[PDF] Approche technique et biomécanique Du lancer de poids



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FORMATION DES OFFICIELS Les lancers en fauteuil

Note : Les techniques de lancer incluant une roue sont interdites Lancer de la Massue Catégories F31-32 et F51 Les règles pour le lancer de massue sont les mêmes que celles du disque (ex : mettre « massue » à la place de « disque » du début à la fin de la règle 32 – sauf pour les spécifications matérielles)



Académie de Rouen Bac général et technologique Epreuve pour

Projets de l'élève Projet Perf 0 1 2 Hors fourchette Dans fourchette Fourchette restreinte + ou - 50 cm Préparation à l’épreuve 0 1 2 Inexistante Inadequate En cohérence avec le handicap et l’activité Académie de Rouen Bac général et technologique Bac général et technologique Epreuve pour HANDICAPES : étape 8 LANCER de MASSUE



Les facteurs limitatifs de la pratique de masse du lancer du

Au Sénégal, malgré l’évolution notée au niveau de l’athlétisme, le lancer du marteau fait partie des disciplines les moins pratiquées Cela nous amène à soulever entre autres problématiques celle qui, aujourd’hui, fait l’objet de ce mémoire : les facteurs pouvant limiter la pratique de masse du lancer du marteau au Sénégal



Approche technique et biomécanique Du lancer de poids

Du lancer de poids Règlement : Engin lourd posé obligatoirement dans le creux de l’épaule et doit y rester jusqu’à réalisation du jet (sécurité = pour empêcher lancer à bras cassé) Historique : Première technique = sursaut latéral puis deux styles se sont imposés : - style O’BRIEN ou sursaut en translation



ATHLÉ HANDISPORT

De nombreuses épreuves de lancer en fauteuil nécessitent un équipement spécifique pour la pratique de l’athlétisme handisport : le poids, le disque, le javelot et la massue Les athlètes peuvent utiliser certains dispositifs de maintien tels que spécifiés dans les règles IPC d’athlétisme



Etude du lancer de poids :optimisation de l’angle de lancement

Dans son mouvement de lancer le sportif aura à coeur de faire en sorte que l'ombre de son lancer épouse sur le mur la ligne de référence Après quelques coups d'essai le cerveau aura mémorisé l'angle et notre futur champion olympique pourra passer sur la piste 6b- Si l'on se réfère aux équations du mouvement, non En fait la masse



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lancer de medecine ball assis lancer de medecine ball debout lancer de medecine ball costal lancer bas de medecine ball lancer de medecine ball au-dessus de la tÊte Évaluation de la masse grasse grÂce À la mesure des circonfÉrences mesure des plis cutanÉs test myotypologique les tests de raccourcissements musculaires



Biomécanique du lancer de disque: Etude des paramètres

Biomécanique du lancer de disque Sport Science Review, Vol XVIII, Nr 5-6, 2009 53 Fig 1 Patron d’activation musculaire (moyennes et écart-types pour l’ensemble des es- sais) des muscles



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Un lancer franc au basket Voici l’analyse d’un tir en lancer franc par un TRANSFERTS D’ENERGIE CHAPITRE 13 Activité 3 : THEOREME ENERGIE CINETIQUE Chronophotographie d’un tir en cloche ballon de basket de masse m = 0,624kg, assimilable à un point matériel L’action de l’air sur le système {ballon} est

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Approche technique et biomécanique

Du lancer de poids

Règlement :

Engin lourd posé obligatoirement dans le creux de l"épaule et doit y rester jusqu"à réalisation du jet

(sécurité = pour empêcher lancer à bras cassé)

Historique :

Première technique = sursaut latéral puis deux styles se sont imposés : - style O"BRIEN ou sursaut en translation - BARYCHNIKOV en volte (rotation)

Actuellement, la technique en translation est plus utilisée mais théoriquement, celle en rotation serait plus

efficace.

Les premiers lanceurs étaient " grands et lourds », privillégiant la force à la technique. Puis passage à une

représentation du lancer plus basée sur la vitesse d"éxécution, l"explosivité ;

Les qualités d"un lanceur seraient donc :

FORCE + VITESSE + COORDINATION Force maxi accélération rythme

Puissance placement

Le poids étant un engin non planeur, le facteur d"efficacité déterminant est balistique = la vitesse de

projection (dépasse 14 m / s chez les meilleurs)

Sur le plan biomécanique, cette vitesse doit être obtenue par une force explosive déployée par des groupes

musculaires puissants (jambes, tronc, bras) de façon coordonnée dans un temps très court sur un chemin

d"accélération optimal.

Description technique : les différentes phases

A ) technique en translation :

1) départ - mouvement initial :

Départ :

- pieds parallèles, un peu décalés à l"arrière du cercle - poids repose sur pied droit, posé dans le creux de l"épaule (tenu par base des doigts) - lanceur de dos Mouvement initial : objectif = vaincre l"inertie - bascule du tronc à l"horizontale - poids atteint son niveau le plus bas

2) sursaut :

objectif = prise d"avance (mise en tension) - extension rapide et rasante de la jambe gauche dans la direction du lancer - poussée jambe droite par le talon lorsque le CG dépasse la verticale appui droit - extension simultanée des deux jambes - puis jambe droite ramenée activement sous le corps pour pose appui sur plante au milieu du cercle, pied légèrement tourné vers l"intérieur

les deux jambes ont pris de l"avance, le tronc est en arrière, épaules toujours orientées vers l"arrière alors que le

basin reste de profil (angle de 90° donc torsion)

3) Position de force

(début double appui) - extension / rotation jambe droite - pied gauche se place contre butoir

- repère important = le poids reste en arrière de l"appui droit (retard des épaules et du bras)

4) Finale :

- extension des deux jambes (attention ! ce n"est pas qu"une simple poussée dans une perspective fonctionnelle, voir Alain PIRON. Cela correspond au renvoi suite à la mise en tension) - rotation du tronc = détorsion amorcée par prise d"avance côté gauche - succession importante des rotations = jambe droite, hanche droite, tronc (retard du haut) - le côté gauche reste fixé au moment du lancer = sert de levier et axe du pivot - extension du bras droit et des doigts en finale

5) Rattrapé :

- changement de pied - mouvement absorbé par jambe droite

B) technique en rotation :

Nous ne présenterons que les spécificités par rapport au lancer en translation. La technique est très proche de

al volte au disque.

1) position de départ :

Poids tenu coude plus haut

2) Pivot :

- rotation autour jambe gauche, genou gauche fléchi

- déclenchée par jambe droite (transfert du poids sur jambe gauche) qui pousse et tourne autour de

la jambe gauche

3) volte :

- c"est une phase en suspension qui correspond à une impulsion vers le centre du cercle

- la torsion générée par le mouvement initial est supprimée mais l"axe des épaules ne doit pas

dépasser l"axe des hanches (retard)

4) rotation pied droit :

- peut être considérée comme une partie de la volte - le pied droit reprend contact au centre du cercle - puis pivot autour du pied droit - enfin, la jambe gauche est ramenée rapidement devant la droite en direction en direction du

butoir : cela correspond à une accélération du train inférieur et retard du haut = prise d"avance en

rotation donc mise en tension... - repère intéressant : le bras gauche reste allongé à l"opposé du lancer

5) position de force et finale

: (double appui) - la jambe gauche se pose près du butoir - idem technique en translation, les pieds plus serrés, tronc plus redressé - extension des deux jambes, alignement P-B-E et blocage grâce à fixation côté gauche C) analyse biomécanique de la technique en rotation :

La majorité des principes biomécaniques est en faveur de la technique en rotation. Différentes études ont

montré la supériorité théorique de cette technique qui se trouve confirmée par les performances actuelles des

athlètes.

Une forte vélocité initiale (4 m/sec, comparer avec le tableau 4) caractérise cette technique. Elle s©est produite

dans la phase de pré - accélération, d©une part par la détorsion de la torsion initiale, par le large rayon de

rotation du chemin de lancement circulaire du poids et par la haute vitesse angulaire qui découle du pivot des

jambes et du tronc ; d©autre part, une accélération complémentaire est produite par l©action de la jambe droite

dans la rotation et par l©impulsion de la jambe gauche pour créer la suspension. Enfin le rapprochement des

masses près de l©axe de rotation pendant la volte (par le redressement du tronc, le rapprochement du bras libre

près du corps et la pose du pied droit au centre du cercle) a également pour effet de créer une accélération. Une

baisse importante de la vitesse (de 4m/sec à 1.4m/sec, voir tableau 4) peut être observée lors de la phase d©accé-

lération principale au moment de la pose du pied droit au milieu du plateau. Elle peut s©expliquer par une

diminution de la vitesse pendant la période de suspension et par la friction de la plante du pied sur le sol

pendant le pivot. Elle peut aussi s©expliquer par le fait que l©axe des hanches avance par rapport à celui des

épaules au moment de la prise d©avance sur l©engin dont la vitesse se trouve ainsi légèrement diminuée.

Ce n©est que lors de la position de force en double appui qu©il sera possible d©accélérer l©engin de nouveau.

L©accélération dans la phase principale est nettement plus grande que dans la technique en translation (de 1,4 à

12,1 m/sec). Cette augmentation importante est le résultat de la torsion prononcée qui produit une tension plus

grande au niveau des muscles du tronc. La détorsion immédiate quand la tension maximale est atteinte, affecte,

quand elle atteint son maximum, l©explosivité de la phase finale de l©ensemble du geste. Les désavantages de la

rotation résident primitivement dans sa faculté de perturbation et dans une augmentation sensible de la

fréquence des jets mordus. Au moment où, dans la finale, il n©y a plus de contact avec le sol, et pendant

l©extension simultanée des jambes et du bras, le lanceur doit, par un blocage du corps, éviter une sur - rotation.

Souvent, le tronc continue de tourner après que l©extension des jambes et du bras aient déjà dépassé leur

maximum.

Le transfert du mouvement de rotation en mouvement linéaire est la cause de problèmes majeurs de

coordination pour le lanceur en rotation.

Cependant c©est là que réside la possibilité de réaliser de meilleures performances dans le futur si l©on effectue

très tôt une préparation de coordination technique adaptée.

Source bibliographique :

revue AEFA n° 172 " le poids, toute une histoire », Michel TRANCHANT.quotesdbs_dbs8.pdfusesText_14