[PDF] Poèmes saturniens de Paul VERLAINE : étude d une œuvre



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Verlaine, « Mon rêve familier » La poésie lyrique

1 Verlaine, « Mon rêve familier » La poésie lyrique 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 « Mon rêve familier » Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant



Mon Rêve Familier - Tonys Blog

Mon Rêve Familier Poèmes saturniens (1866) Paul Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend Car elle me comprend, et mon coeur, transparent



Mon rêve familier - Collège de Montréal

De Paul Verlaine, Poèmes saturniens 1- Dans le poème Mon rêve familier, quelles sont les cinq figures de style les plus omniprésentes? Explique, pour ha une d’entre elles, les effets qu’elles produisent A Figure de style : L’allitération Dans le poème Mon rêve familier, l’allitération est fréquente Les



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Mon rêve familier Paul Verlaine o 5 e ø oe Transcrivez phonétiquement en respectant les hémistiches (deux fois six pour chaque vers) Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime, Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend



Mon rêve familier, Verlaine, Poèmes saturniens, 1866 I

Le poète parle de lui autant que de son rêve Verlaine n'écrit pas, banalement : "J'ai fait un rêve", ou "j'ai rêvé de " ; ces formules s'appliqueraient à un rêve unique "Je fais souvent ce rêve" introduit, par le présent de vérité générale et l'adverbe "souvent", l'idée de répétition : il s'agit d'un rêve



SEQUENCE 1 – VISIONS POÉTIQUES DU MONDE - 3EME

ÉVALUATION DE FIN DE SÉQUENCE ANALYSE D'UN POEME « Mon rêve familier », Paul Verlaine, 1866 Mon rêve familier Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant D'une femme inconnue, et que j'aime, et qui m'aime Et qui n'est, chaque fois, ni tout à fait la même Ni tout à fait une autre, et m'aime et me comprend



Séance 4 Lecture analytique : « Mon rêve familier » Support

Séance 4 Lecture analytique : « Mon rêve familier » obj : analyser l'évocation d'un amour idéal Support : poème de Paul Verlaine, extrait des Poèmes saturniens , 1866 1 Le poète Dans la 2ème strophe, le poète dresse un autoportrait pathétique (champ lexical de la souffrance : « moiteurs, front blême, problèmes »)



Poèmes saturniens de Paul VERLAINE : étude d une œuvre

Verlaine a écrit un "Art poétique" dans lequel il dit : « De la musique avant toute chose » Il recherche la musicalité dans ses poèmes comme dans « Mon rêve familier » Verlaine s’inspire ici de la figure de la Sylphide mise en scène par Chateaubriand aussi bien dans Les Mémoires d’Outre-tombe que son roman, René



SEQUENCE 2 Objet d’étude LA POESIE 4ème

Dec 06, 2017 · - Compende le fonctionnement et la potée de l’œuve poétique Corpus : Lectures analytiques 1 Pierre de Ronsard, Odes, « Ode à Cassandre », 1552 (P188-189) 2 Louise Labé, « Je vis, je meurs », vers 1555 (P191) 3 Paul Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier », 1866 (P198) 4



Évaluation Séquence 3 en rédigeant des phrases complètes

Paul Verlaine, Poèmes saturniens (1866) (1)Moiteurs : sueurs dues à la fièvre, à la nervosité /(2)Blême : très pâle /(3)Inflexion : désigne les variations du ton de la voix 1 a) Donnez le nombre de strophes et leur nom /1,5 b)Comment s'appelle ce type de poème ? /1,5

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Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence Poèmes saturniens de Paul VERLAINE : étude dǯune à—˜"‡ intégrale. Séquence réalisée par Mme Aurélie RENAULT, professeure agrégée au Lycée Problématique didactique : comment la forme, la musicalité et l'intertextualité concourent- elles à construire le sens des poèmes saturniens ? Problématique littéraire : Pourquoi peut-on dire que le saturnisme ne se confond pas avec une simple mélancolie ?

Supports :

- "Mon rêve familier" - " M. Prudhomme" - "La ballade des ingénues" - "La mort de Philippe II" (extrait)

Textes complémentaires :

- Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, chapitre sur la Sylphide. - Gérard de Nerval, "Fantaisie" - Charles Baudelaire, "La vie antérieure", Fleurs du Mal. - Flaubert, Bouvard et Pécuchet - Stendhal, Le Rouge et le Noir - Verlaine, "Art Poétique"

Ces textes complémentaires permettent d'approfondir la notion d'intertextualité abordée tout

au long de la séquence, Verlaine ne cessant d'enrichir ses poèmes avec des références à des

Etude de l'image fixe :

- caricatures de M. Prudhomme - Goya, Aquellos polvos trajeron estos lodos ("Ces poussières apportèrent des boues"), 1799.

Musée du Prado. Gravure numéro 23.

Langue et culture de l'Antiquité :

Le mythe de l'androgyne (Platon, Le Banquet)

Méthode suivie :

Les poèmes sont abordés le plus souvent de façon linéaire avec les élèves, ce qui permet :

- de voir immédiatement quels contresens ils peuvent faire

- de chercher ensemble (en utilisant le Trésor de la Langue Française Ȃ TLF en ligne) la

signification de certains mots - de dégager les mouvements du poème - de construire ensemble le sens du poème

Une fois l'analyse faite, nous cherchons les questions qui peuvent éventuellement être posées

lors de l'EAF et construisons les plans. Dans le déroulé de séquence ci-dessous, vous voyez les

analyses, questions, plans, tels qu'ils ont été faits en classe. Seul le commentaire littéraire de

"La mort de Philippe II" ne correspond pas à une lecture analytique.

INTRODUCTION

Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence

Recherches sur :

- Verlaine - Structure du recueil ( Mélancholia, eaux-fortes, paysages tristes, caprices) - Le Parnasse, le romantisme, le symbolisme

L'un des objectifs de la séquence consiste à re-préciser ce qu'est le saturnisme en l'associant en

plus de la mélancolie à l'ironie. Le mal-être du poète le conduit à porter un regard ironique sur

le monde, regard que l'on peut voir notamment dans les trois derniers poèmes étudiés. Lecture analytique 1 : "Mon rêve familier", Verlaine Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant Pour elle seule, et les moiteurs de mon front blême,

Elle seule les sait rafraîchir, en pleurant.

Est-elle brune, blonde ou rousse ? Ȅ

Comme ceux des aimés que la Vie exila.

Son regard est pareil au regard des statues,

Et, pour sa voix, lointaine, et calme, et grave, elle a

Verlaine a écrit un "Art poétique" dans lequel il dit : " De la musique avant toute chose ! » Il

ici de la figure de la Sylphide mise en scène par Chateaubriand aussi bien dans Les Mémoires antérieure. " Mon rêve familier » est un sonnet composé de deux quatrains et de deux tercets aux rimes femme.

Mouvements du poème

1er mouvement (2 quatrains) :

v.1-2 : Le locuteur utilise du présent de vérité générale, " je fais » et un adverbe de temps,

" souvent » pour dire la fréquence du rêve. Le mot " rêve » est mis en relief derrière le

déictique " ce » et à la césure. Le rêve envoute le poète < musicalité due au retour de " an »

Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence " étrange », " pénétrant ».

qualifiée à la césure " d 'inconnue ». Ce 1er hémistiche du vers 2 entre en contradiction avec le

du verbe " aimer » et de la conjonction de coordination " et ».

v.3-4 : On pénètre dans un univers mystérieux, mystique : la figure féminine est mouvante. Elle

variations, comme le montrent les négations : " ni tout à fait la même / ni tout à fait une

quatrain se termine par le verbe " comprendre » en relief à la rime. On pense alors que le poète

2ème quatrain

quatrains. Le poète répète " elle me comprend » et met cette proposition en relief dans le 1er

v.6-7 ǣ Žǯƒƒ"Š‘"‡ Ǽ pour elle seule » insiste sur la singularité de la femme. A la césure du vers 6,

on trouve une interjection, " hélas ! » Le poète souffre car cette femme est " inconnue » au sens

strophes renforce cette idée.

II/ 2ème mouvement : la vie antérieure

1er tercet

V.10-11 : seconde question " Son nom ? » Le souvenir est flou. Le poète a été marqué par la

femme, " doux et sonore ».

Le vers 11 nous fait pénétrer dans un autre monde, celui de la mort, désignée avec la

Thanatos.

2ème tercet

v.12 la répétition du mot " regard » renforce la musicalité. Le regard de la femme est comparé à

celui des statues. Verlaine publie Poèmes saturniens en 1866. Il fait une référence dans ce texte

à " La Beauté » de Baudelaire ( 1857) : " Je suis belle, ô mortels, comme un rêve de pierre. » Le

regard de la statue est celui de la Beauté. Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence

voix qui parviendrait du fond de la tombe. Le contre-rejet " elle a » laisse en suspens la

qui associera la voix aux voix des morts désignés avec la périphrase " voix chères qui se sont

tues ». Le poème se termine par le silence de la femme q—ǯƒ—"ƒ‹- "‡—--être connue le poète dans

une vie antérieure.

Conclusion :

Questions possibles :

En quoi ce poème justifie-t-il son titre ?

Quelles images de la femme propose ce poème ?

Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence

Textes complémentaires :

Texte 1 : Chateaubriand, Mémoires d'outre-tombe, "la sylphide"

Texte 2 : Nerval, "Fantaisie"

Texte 3 : Baudelaire, "La vie antérieure"

Ce délire dura deux années entières, pendant lesquelles les facultés de mon âme arrivèrent au

plus haut point d'exaltation. Je parlais peu, je ne parlai plus ; j'étudiais encore, je jetai là les

livres ; mon goût pour là solitude redoubla. J'avais tous les symptômes d'une passion violente ;

mes yeux se creusaient ; je maigrissais ; je ne dormais plus ; j'étais distrait, triste, ardent,

farouche. Mes jours s'écoulaient d'une manière sauvage, bizarre, insensée, et pourtant pleins

de délices.

Au nord du château s'étendait une lande semée de pierres druidiques ; j'allais m'asseoir sur

une de ces pierres au soleil couchant. La cime dorée des bois, la splendeur de la terre, l'étoile

du soir scintillant à travers les nuages de rose, me ramenaient à mes songes : j'aurais voulu

jouir de ce spectacle avec l'idéal objet de mes désirs. Je suivais en pensée l'astre du jour, je lui

donnais ma beauté à conduire afin qu'il la présentât radieuse avec lui aux hommages de

l'univers. Le vent du soir qui brisait les réseaux tendus par l'insecte sur la pointe des herbes,

l'alouette de bruyère qui se posait sur un caillou, me rappelaient à la réalité : je reprenais le

chemin du manoir, le ...à—" serré, le visage abattu. Les jours d'orage en été, je montais au haut de la grosse tour de l'ouest. Le roulement du tonnerre sous les combles du château, les torrents de pluie qui tombaient en grondant sur le

toit pyramidal des tours, l'éclair qui sillonnait la nue et marquait d'une flamme électrique les

girouettes d'airain, excitaient mon enthousiasme : comme Ismen sur les remparts de Jérusalem, j'appelais la foudre ; j'espérais qu'elle m'apporterait Armide.

Le ciel était-il serein ? je traversais le grand Mail, autour duquel étaient des prairies divisées

par des haies plantées de saules. J'avais établi un siège, comme un nid, dans un de ces saules : là

isolé entre le ciel et la terre, je passais des heures avec les fauvettes ; ma nymphe était à mes

côtés. J'associais également son image à la beauté de ces nuits de printemps toutes remplies de

la fraîcheur de la rosée, des soupirs du rossignol et du murmure des brises. D'autres fois, je suivais un chemin abandonné, une onde ornée de ses plantes rivulaires ;

j'écoutais les bruits qui sortent des lieux infréquentés ; je prêtais l'oreille à chaque arbre. Je

croyais entendre la clarté de la lune chanter dans les bois : je voulais redire ces plaisirs et les

paroles expiraient sur mes lèvres. Je ne sais comment je retrouvais encore ma déesse dans les

accents d'une voix, dans les frémissements d'une harpe, dans les sons veloutés ou liquides d'un

cor ou d'un harmonica. Il serait trop long de raconter les beaux voyages que je faisais avec ma

fleur d'amour ; comment main en main nous visitions les ruines célèbres, Venise, Rome,

Athènes Jérusalem, Memphis, Carthage ; comment nous franchissions les mers ; comment nous demandions le bonheur aux palmiers d'Otahiti, aux bosquets embaumés d'Amboine et de Tidor. Comment au sommet de l'Himalaya nous allions réveiller l'aurore ; comment nous descendions les fleuves saints dont les vagues épandues entourent les pagodes aux boules d'or ; comment nous dormions aux rives du Gange, tandis que le bengali, perché sur le mât d'une nacelle de bambou, chantait sa barcarolle indienne. La terre et le ciel ne m'étaient plus rien ; j'oubliais surtout le dernier : mais si je ne lui souffrances prient. Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence

Texte 2 : " Fantaisie » de Nerval

Il est un air pour qui je donnerais

Tout Rossini, tout Mozart et tout Weber,

Un air très-vieux, languissant et funèbre,

Qui pour moi seul a des charmes secrets.

Or, chaque fois que je viens à l'entendre,

De deux cents ans mon âme rajeunit :

C'est sous Louis treize; et je crois voir s'étendre

Un coteau vert, que le couchant jaunit,

Puis un château de brique à coins de pierre,

Aux vitraux teints de rougeâtres couleurs,

Ceint de grands parcs, avec une rivière

Baignant ses pieds, qui coule entre des fleurs ;

Puis une dame, à sa haute fenêtre,

Blonde aux yeux noirs, en ses habits anciens,

Que dans une autre existence peut-être,

J'ai déjà vue... et dont je me souviens !

Texte 3 : Baudelaire, " La vie antérieure »

La vie antérieure

J'ai longtemps habité sous de vastes portiques

Que les soleils marins teignaient de mille feux

Et que leurs grands piliers, droits et majestueux, Rendaient pareils, le soir, aux grottes basaltiques.

Les houles, en roulant les images des cieux,

Mêlaient d'une façon solennelle et mystique

Les tout-puissants accords de leur riche musique

Aux couleurs du couchant reflété par mes yeux. C'est là que j'ai vécu dans les voluptés calmes,

Au milieu de l'azur, des vagues, des splendeurs

Et des esclaves nus, tout imprégnés d'odeurs, Qui me rafraîchissaient le front avec des palmes,

Et dont l'unique soin était d'approfondir

Le secret douloureux qui me faisait languir.

Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence Lecture analytique 2 : "La chanson des Ingénues", Verlaine

Nous sommes les Ingénues

Aux bandeaux plats, à l'oeil bleu,

Qui vivons, presque inconnues,

Dans les romans qu'on lit peu.

Nous allons entrelacées,

Et le jour n'est pas plus pur

Que le fond de nos pensées,

Et nos rêves sont d'azur ;

Et nous courons par les prés

Et rions et babillons

Des aubes jusqu'aux vesprées,

Et chassons aux papillons ;

Et des chapeaux de bergères

Défendent notre fraîcheur

Et nos robes - si légères -

Sont d'une extrême blancheur ;

Les Richelieux, les Caussades

Et les chevaliers Faublas

Nous prodiguent les oeillades,

Les saluts et les "hélas !"

Mais en vain, et leurs mimiques

Se viennent casser le nez

Devant les plis ironiques

De nos jupons détournés ;

Et notre candeur se raille

Des imaginations

De ces raseurs de muraille,

Bien que parfois nous sentions

Battre nos coeurs sous nos mantes

À des pensers clandestins,

En nous sachant les amantes

Futures des libertins.

Dans le recueil de jeunesse Poèmes saturniens, le jeune Paul Verlaine se cherche et s'inspire de

ceux qu'il considère comme ses maîtres, Nerval - pour "mon rêve familier" -, Hugo - pour "la

concernent plus seulement des poètes mais d'autres grandes figures de la littérature, comme

Stendhal. En effet, la littérature fourmille de figures d'ingénues, ces jeunes femmes innocentes

et naïves qui parfois arrivent à se jouer de ces hommes prédateurs qui les guettent. Verlaine

reprend ici le genre de la chanson : pour donner plus de légèreté à son poème, il utilise un

vers impair, l'heptasyllabe ( 7 syllabes). En effet, comme il le dira plus tard dans son "Art poétique "De la musique avant toute chose / Et pour cela préfère l'impair." Le vers impair Mme Aurélie RENAULT, Lycée Emile ZOLA, Aix-en-Provence

est davantage source de musicalité pour Verlaine que le vers pair. Cette "chanson des

ingénues" comporte huit quatrains aux rimes croisées. Problématique : Comment Verlaine montre-t-il son amusement face à la figure de l'Ingénue? I/ L'innocence des Ingénues ( 1er quatrain au 4ème quatrain)

1. Des personnages de fiction

1er quatrain

Les Ingénues prennent directement la parole avec le pronom personnel "nous". Elles se

définissent comme "ingénues" et ajoutent à ce substantif (nom commun) deux épithètes

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