Réactions d’oxydo-réduction
2- Nombre d'oxydation Réactions d’oxydo-réduction Le nombre d'oxydation (n o ) ou degré d’oxydation est un nombre algébrique indiquant le nombre d’électrons perdus (n o > 0) ou gagné (n o < 0) par un élément dans une espèce par rapport à l’atome neutre (en chiffre romain) Un cation monoatomique aura ainsi un n o
Généralités - École Polytechnique
importants comme le nombre (ou degré) d’oxydation du métal dans le complexe, le nombre d’électrons situés dans l’environnement du métal et ce que l’on a coutume d’appeler la « configuration électronique » du complexe; ii) de façon un peu surprenante à première vue, elle est d’une grande utilité dans
Chimie analytique
D) Le nombre d’oxydation de C dans l’acide méthanoïque est +II E) Aucune des propositions n’est exacte Pour le couple O2/H2O2, 2 électrons sont
I Structure des complexes de métaux de transition
Le degré d'oxydation formel du métal central, ou encore nombre de STOCK Comme en chimie organique, ou de la molécule Charge totale de l'ion degrés d' oxydation formels des atomes Dans les complexes métalliques, Charge totale du complexe formel du métal degré d' oxydation charges des ligands Par exemple : [Fe(CN) 6] 3-Charge totale du
CHIMIE – 2e OS - 2014/2015 : Cours et exercices -24-
Dans ce nouveau chapitre, nous étudierons la réaction d’oxydation (et son « contraire », la réduction) du point de vue du chimiste : dans ces deux types de réactions, il y a échange (ou transfert) d’électrons entre certains atomes des substances qui réagissent 5 1 Echange d’électrons et changement du nombre d’oxydation
OXYDO - RÉDUCTION
2)Nombre d'oxydation n o d'un élément a Ions simples Le n o d'un ion simple est égal à la charge de cet ion exprimée en unités élémentaires Na+:n o= I Cl−:n o=−I Cr3+:n o= III b Molécules et ions complexes Pour une molécule, la somme des n o des éléments constituant la molécule est égale à 0
Réactions d’oxydoréduction
Le fer a perdu 2 e-: il a subit une oxydation ; c’est un réducteur L’ion Cu2+ a gagné 2 e- : il a subit une réduction ; c’est un oxydant • Une réaction d’oxydoréduction est une réaction au cours de laquelle des électrons sont échangés entre deux réactifs : - Une oxydation est une perte d’électrons Ex : Fe → Fe2+ + 2 e-
EPREUVE DE CHIMIE Filière : MP LE PLOMB
A même nombre d’oxydation les espèces les plus basiques (oxydes et hydroxydes) sont situées dans les zones de pH le plus élevé Le diagramme préliminaire ci-dessous (de gauche à droite les espèces de plus en plus basiques) permet d’attribuer les domaines : n o +IV Pb4+ 1 PbO 2 2 PbO 3 2– 3 +VIII/III Pb3O4 5 +II Pb2+ 4 PbO 6 HPbO
TP7 : Réactions redox - UNIGE
judicieux d’estimer le nombre de moles idéal d’hypochlorite à « utiliser » afin de titrer avec environ 10 à 30 mL de thiosulfate 20 mL de thiosulfate représentent environ 0 001 mole Le rapport étant de 1 à 2, il faudrait environ 0 002 moles d’hypochlorite Si V = 10 mL, alors c = 0 2 M
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2013 MP Chimie - Corrigé 1/4
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EPREUVE DE CHIMIE
Filière : MP
LE PLOMB
A) Etude structurale
1. Le numéro atomique du plomb est Z = 82. S'il n'était constitué que de protons sa masse serait de 82 g.mol
-1 (masse molaire d'un proton 1 g.mol -1 ). La présence de neutrons permet la stabilisation du noyau. Au-delà de Z = 30, lenombre N de neutrons vérifie approximativement N = 1,8 Z. On attend donc un nombre de neutrons voisin de 148, soit
une masse molaire atomique de 148 + 82 = 230 g.mol-1 . L'ordre de grandeur est le bon.N.B. pour le plomb, en réalité A = Z + N = 206, 207 ou 208 pour les isotopes les plus courants.
2. Les énergies de première (EI
1 ) et de deuxième (EI 2 ) ionisation sont les enthalpies standard de réaction des réactionssuivantes (ou les énergies nécessaires pour réaliser ces réactions (données pour une mole)) :
)g()g()g(ePbPb et )g()g(2)g(ePbPb Les photons d'un rayonnement de longueur d'onde = 120 nm ont une énergie NJchEJ10.5,110.12010.310.6
18 9-834 EPour ioniser un atome Pb en ion Pb
, l'énergie nécessaire est ENEI 1 18 233a
10.2,110.610.715, la première ionisation est
possible.La seconde ionisation nécessite une énergie environ deux fois plus grande, l'énergie des photons ne sera pas suffisante.
3. Structure type CsCl (cations Pb
2+ et anions O 2- ) : contact des ions sur la diagonale du cube de côté a : )rr( 32aa23rr masse volumique 3 aOPb 3aOPb 3OPb )rr(32NMM aNMM am881m 3aOPb )rr(1 NMM 833
B) Oxydes de plomb, diagramme d'Ellingham
4. Enthalpie et entropie standard de réaction indépendantes de la température en dehors des changements de phase.
STHG rrr est une fonction affine de T. Les changements de phase s'accompagnent de la modification des valeurs de H r et S r d'où la succession de segments de droite (fonction affine par morceaux). 5.PbO : +II ; Pb
3 O 4 : VIII/III 2,7 ; PbO 2 : +IV 6.Les domaines de stabilité (domaines d'existence) des espèces les plus oxydées correspondent aux pressions en
dioxygène les plus élevées : 7.La fusion du plomb (T
f = 600K) se manifeste par une rupture de pente sur la droite frontière entre PbO et Pb. détermination des pentes : T < T f )()(2)( 22sgs