Quelques poèmes à passer aux élèves à l’occasion de l’automne
L'automne de Lucie Delarue-Mardrus Plus coloré, l'automne de Lucie Delarue-Mardrus (1874-1945), et une courte poésie pour les petits L'automne On voit tout le temps, en automne Quelque chose qui vous étonne, C'est une branche tout à coup, Qui s'effeuille dans votre cou ; C'est un petit arbre tout rouge, Un, d'une autre couleur encor,
Quand automne en saison revient L’automne
Quand automne en saison revient La forêt met sa robe rousse Et les glands tombent sur la mousse Où dansent les petits lapins Les souris font de grands festins Pendant que les champignons poussent Ah que la vie est douce, douce, Quand automne en saison revient Samivel L’automne e On voit tout le temps, en automne,
Recueil L’automne
Recueil L’automne de poésie L’automne On voit tout le temps, en automne, Quelque chose qui vous étonne, C’est une branche, tout à coup, Qui s’effeuille dans votre cou C’est un petit arbre tout rouge, Un, d’une autre couleur encor, Et puis, partout, ces feuilles d’or Qui tombent sans que rien ne bouge Nous aimons bien cette
Automne - Académie de Grenoble
(Collection "L'enfant et la poésie") Petite pomme La petite pomme s'ennuie De n'être pas encore cueillie Les autres pommes sont parties, Petite pomme est sans amie Comme il fait froid dans cet automne Les jours sont courts Il va pleuvoir Comme on a peur au verger noir Quand on est seule et qu'on est pomme Je n'en puis plus viens me
Lautomne - Eklablog
L'automne On voit tout le temps, en automne Quelque chose qui vous étonne, C'est une branche tout à coup, Qui s'effeuille dans votre cou ; C'est un petit arbre tout rouge, Un, d'une autre couleur encor, Et puis partout, ces feuilles d'or Qui tombent sans que rien ne bouge Nous aimons bien cette saison, Mais la nuit si tôt va descendre
PERIODE 1 : L’école
PERIODE 1 : L’automne Jour pluvieux d'automne, de Michel Beau Une feuille rousse que le grand vent pousse dans le ciel gris-bleu, l'arbre nu qui tremble et dans le bois semble un homme frileux, une gouttelette comme une fléchette qui tape au carreau, une fleur jaunie qui traîne sans vie dans la flaque d'eau, sur toutes les choses
René-Guy Cadou 1920 Française Poète
L’automne Odeur de pluie de mon enfance Derniers soleils de la saison A sept ans comme il faisait bon Après d’ennuyeuses vacances, Se retrouver dans sa maison La vieille classe de mon père, Pleine de guêpes écrasées, Sentait l’encre, le bois, la craie Et ces merveilleuses poussières Amassées* par tout un été
Et l’œil poché - laclassebleue
Un grand coup de vent d'automne La fit tomber sur le pré Pomme, pomme, T'es-tu fait mal ? J'ai le menton en marmelade Le nez fendu Et l’œil poché Elle tomba, quel dommage, Sur un petit escargot Qui s'en allait au village Sa demeure sur le dos Ah Stupide créature Gémit l'animal cornu T'as défoncé ma toiture Et me voici faible et nu
Recueil de poésies sur la mer - Un Prof D Zécoles
Classe d'Edouard Vincent CM2 NOCTURNE Ô mer, toi que je sens frémir A travers la nuit creuse, Comme le sein d’une amoureuse Qui ne peut pas dormir ; Le vent lourd frappe la falaise Quoi si le chant moqueur D’une sirène est dans mon coeur – Ô coeur, divin malaise Quoi, plus de larmes, ni d’avoir Personne qui vous plaigne
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PERIODE 1 : L'école
L'école, de Jacques Charpentreau
Dans notre ville, il y a
Des tours, des maisons par milliers,
Du béton, des blocs, des quartiers,
Et puis mon coeur, mon coeur qui bat
Tout bas.
Dans mon quartier, il y a
Des boulevards, des avenues,
Des places, des ronds-points, des rues,
Et puis mon coeur, mon coeur qui bat
Tout bas.
Dans notre rue, il y a
Des autos, des gens qui s'affolent,
Un grand magasin, une école.
Et puis mon coeur, mon coeur qui bat
Tout bas.
Dans cette école, il y a
Des oiseaux chantant tout le jour
Dans les marronniers de la cour.
Mon coeur, mon coeur, mon coeur qui bat
Est là.
Les écoliers, de Maurice Fombeure
Sur la route couleur de sable,
En capuchon noir et pointu,
Le 'moyen', le 'bon', le 'passable'
Vont à galoches que veux-tu
Vers leur école intarissable.
Ils ont dans leurs plumiers des gommes
Et des hannetons du matin,
Dans leurs poches du pain, des pommes,
Des billes, ô précieux butin
Gagné sur d'autres petits hommes.
Ils ont la ruse et la paresse
Mais l'innocence et la fraîcheur
Près d'eux les filles ont des tresses
Et des yeux bleus couleur de fleur,
Et des vraies fleurs pour leur maîtresse.
Puis les voilà tous à s'asseoir.
Dans l'école crépie de lune On les enferme jusqu'au soir, Jusqu'à ce qu'il leur pousse plume Pour s'envoler. Après, bonsoir !