Sujet n°2: Epreuve composée Cette épreuve comprend trois
2- Pourquoi peut-on dire qu'il existe des inégalités sociales entre générations ? (3 points) Deuxième partie: Etude d'un document (4 points) Question: Vous présenterez le document puis vous présenterez les inégalités de mobilité sociale entre hommes et femmes qu'il met en évidence
Comment analyser la structure sociale VE
- Pourquoi peut-on dire qu’il existe des inégalités sociales entre générations ? - Illustrez par un exemple le caractère cumulatif des inégalités économiques et sociales - En vous appuyant sur un exemple de votre choix, vous montrerez le caractère cumulatif des
Comprendre le droit international - United Nations
Il n’existe pas de système judiciaire mondial ou de système pénal coercitif qui permette de faire face au non-respect des dispositions énoncées dans les traités ou de régler les différends Ce qui ne veut pas dire qu’il n’existe pas de tribunaux dans le contexte du droit international
C’est ce que nous venons de dire
C’est ce que nous venons de dire: Quand un patientsaigne il faut savoir pourquoi car il n’existe pas de traitement miracle universel pour toutes les situations et on ne peut pas doser d’emblée tous les facteurs de l’hémostase Il faut donc cerner le problème avec les tests semi-globaux 43
Lhomme estil un animal rationnel - Rutgers University
Il existe de solides raisons de penser que les mécanismes de la mémoire à court terme ont du mal à manipuler des structures enchâssées par le centre Ainsi, il peut bien se trouver qu'une grammaire internalisée indique que la phrase anglaise suivante est grammaticale:
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POURQUOI SE DEMANDE-T-ON POURQUOI IL Y A DE L’ÊTRE PLUTÔT QUE RIEN? Alain VINSON Hon IUFM, Laon Avant de se demander si on peut répondre à la question, formulée par Leibniz, de savoir « pourquoi il y a plus tôt [sic] quelque chose que rien1 », il y aurait lieu de se demander pourquoi l’on se pose une telle question
COMPRENDRE LA MALADIE D’ALZHEIMER
essor Bien qu’il existe peu de preuves scientifiques (seuls des essais cliniques randomisés et contrô-lés peuvent prouver une réelle efficacité), tout le personnel soignant en contact avec les malades s’accorde à dire qu’il existe un réel effet bénéfique L’ensemble des thérapies non-médicamenteuses
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Il doit toujours être possible d'expliquer « pourquoi quelque chose existe plutôt que rien et pourquoi ainsi et non autrement » Si tous les mondes possibles étaient également bons ou mauvais, il n'y aurait aucune raison pour que Dieu en ait créé un plutôt qu'un autre
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Sujet n°2: Epreuve composée.
Cette épreuve comprend trois parties.
1. Pour la partie 1 (Mobilisation des connaissances), il est demandé au candidat de répondre aux
questions en faisant appel à ses connaissances personnelles dans le cadre de l'enseignement obligatoire.
2. Pour la partie 2 (Étude d'un document), il est demandé au candidat de répondre à la question en
adoptant une démarche méthodologique rigoureuse de présentation du document, de collecte et de
traitement l'information.3. Pour la partie 3 (Raisonnement s'appuyant sur un dossier documentaire), il est demandé au candidat
de traiter le sujet : - en développant un raisonnement ; - en exploitant les documents du dossier ; - en faisant appel à ses connaissances personnelles ; - en composant une introduction, un développement, une conclusion.II sera tenu compte, dans la notation, de la clarté de l'expression et du soin apporté à la présentation.
Première partie: Mobilisation des connaissances. (6 points)1- Expliquez les mécanismes économiques susceptibles d'engendrer déflation et dépression
économique. (3 points)
2- Pourquoi peut-on dire qu'il existe des inégalités sociales entre générations ? (3 points)
Deuxième partie: Etude d'un document (4 points)Question: Vous présenterez le document puis vous présenterez les inégalités de mobilité sociale entre
hommes et femmes qu'il met en évidence. Décomposition de la mobilité observée en 1977 et 2003 selon le genre (en %)HommesFemmes
1977200319772003
Immobilité sociale42,136,63323,4
Mobilité non verticale3933,152,950,3
Mobilité de statut30,823,831,325,1
Mobilité horizontale8,29,321,625,2
Mobilité verticale18,930,314,126,3
Mobilité ascendante14,923,26,414,6
Mobilité descendante47,27,711,7
Lecture: l'immobilité sociale correspond à la diagonale d'une table de mobilité. La mobilité est décomposée en une
part verticale et une part verticale. La première est un mobilité de statut (entre les groupes 1 ou 2 d'une part, et les
groupes 3 à 6 d'autre part) ou bien une mobilité horizontale (entre les groupes 1 et 2 ou bien entre les groupes 5 et
6). La seconde est mesurée au sein des seuls groupes de salariés, ordonnés selon trois niveaux (le groupe 3, le
groupe 4, les groupes 5 et 6).Champ: hommes et femmes français âgés de 35 à 49 ans, actifs occupés ou anciens actifs occupés à la date de
l'enquête. Source: INSEE, enquêtes " Formation et qualification professionnelle » de 1977 et 2003. Troisième partie: Raisonnement s'appuyant sur un dossier documentaire (10 points) À l'aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous montrerez qu'il existe une multiplicité de critères pour rendre compte de la structure sociale.DOCUMENT 1
Sur la période 2003-2011, au cours d'une semaine de référence, 3,6 % des salariés ont connu une absence
au travail d'au moins une heure pour des raisons de santé ou pour la garde d'un enfant malade.L'absentéisme a globalement peu varié au cours de la période étudiée, les points hauts annuels ou
trimestriels étant largement expliqués par les pics d'épidémies de maladies saisonnières.
La probabilité qu'un salarié s'absente pour maladie dépend de variables sociodémographiques comme
l'âge, le sexe, la composition du foyer, la catégorie socioprofessionnelle et le secteur d'activité dans lequel
il est employé. Les salariés en CDI (1) avec plus d'un an d'ancienneté et les fonctionnaires sont relativement plus souvent absents que les personnes en CDD (2) ou récemment embauchées en CDI (respectivement 3,7et 3,9 %, contre 2,6 %). Cette différence persiste lorsqu'on tient compte des principales caractéristiques
identifiables des salariés. L'absentéisme augmente fortement avec le niveau d'exposition aux contraintes physiques etpsychosociales. Si les cadres sont beaucoup moins souvent absents pour maladie que les ouvriers (1,6 %
contre 4,5 %), c'est dans une large mesure parce qu'ils sont dans l'ensemble moins exposés aux contraintes
physiques et psychosociales dans le travail.Source : " Les absences au travail des salariés pour raisons de santé : un rôle important des conditions de travail», DARES,
2013.(1)CDI : contrat de travail à durée indéterminée. (2)CDD : contrat de travail à durée déterminée. DOCUMENT 2: Effectifs des classes supérieures par filière en 2011
FillesGarçonsTotal
Part des
filles Classes préparatoires aux grandes écoles33 68646 72580 41141,9Dont :
- Préparations scientifiques - Préparations économiques - Préparations littéraires14 793
10 009
8 88434 954
8 589 3 18249 747
18 598
12 066
29,753,8
73,6
Sections de techniciens supérieurs125 718120 307246 02551,1
Total général159 404167 032326 43648,8
Champ : France métropolitaine et DOM y compris Mayotte, établissements d'enseignement supérieur publics et privés.
Source : Ministère de l'enseignement supérieur et de la recherche, 2013. DOCUMENT 3: Salaires nets mensuels moyens en euros des hommes et des femmes selon la catégorie sociale, en équivalent temps plein (1) (données de 2010)Source: INSEE, 2010.
1)Salaires équivalent temps plein : salaires comptabilisés sur la base d'un temps plein.
SES; Terminale
Sujet n°2: Epreuve composée: Correction
Première partie: Mobilisation des connaissances. (6 points)1- Expliquez les mécanismes économiques susceptibles d'engendrer déflation et dépression
économique. (3 points)
Consignes:
- Bien sûr définir les concepts de la question est un point important, mais non suffisant. Cette
partie de l'EC s'intitule mobilisation des connaissances, vous devez donc montrer que vous avez compris
comment la déflation et la dépression sont le produit d'enchaînements économiques, c'est-à-dire liés à la
production, la répartition et l'utilisation de richesses productives.- Le pluriel de mécanismes vous indique qu'ils sont donc plusieurs et que votre réponse doit être
introduite et structurée par des connecteurs logiques.Deux mécanismes peuvent générer conjointement une déflation, c'est-à-dire, une baisse durable du niveau
général des prix, et une dépression, c'est-à-dire une baisse durable de la production d'un pays. Tout
d'abord, un mécanisme affectant la sphère réelle par la mise en place d'une spirale récessionniste. En effet,
en période de ralentissement économique, les revenus des agents économiques stagnent, voire reculent en
raison de la montée du chômage et d'un accroissement du nombre de faillite. Par conséquent, la demande
globale se contracte, alimentant une baisse des prix. Celle-ci risque de se poursuivre durablement. D'une
part, les consommateurs repoussent leurs achats espérant d'autres baisses de prix, ce qui n'incite pas bien
sûr les entreprises à investir. D'autre par, celles-ci voient leurs ventes chuter, leurs profits se réduire,
accentuant faillite e destructions d'emplois, et donc la dépression.Ensuite, un deuxième mécanisme joue, davantage dans la sphère financière. La théorie du cycle de vie du
crédit nous rappelle qu'en période de récession les banques deviennent plus prudentes en matière d'octroi
de prêts, et dès lors augmentent les taux d'intérêts. Cette hausse contracte la demande globale
(consommation et investissement), et donc la croissance, ce qui prolonge voire aggrave la récession. Et
ceci d'autant plus que la multiplication des faillites d'entreprises ou des défauts de paiement des ménages
au chômage dégrade la rentabilité des banques, qui peuvent être conduites à la faillite, ruinant les
épargnants et aggravant la crise économique avec une baisse désormais généralisée des prix et un
effondrement consécutif de la production.2- Pourquoi peut-on dire qu'il existe des inégalités sociales entre générations ? (3 points)
Consignes:
- Premier point: la question ne porte que les inégalités sociales (elle exclut les inégalités
économiques).
- Deuxième point: la consigne peut (et a été) être comprise de 2 manières, soit il s'agissait de
montrer que dans le temps les conditions de production des inégalités ont changé (et de mobiliser par
exemple le paradoxe d'Anderson) et de comparer 2 générations d'une même famille, soit d'expliquer le
caractère cumulatif (et donc en partie hérité) des inégalités sociales et donc de comparer 2 générations de
deux familles différentes. Les 2 interprétations ont été acceptées bien sûr : seule primait la qualité de la
démonstration, c'est-à-dire l'explication des mécanismes en jeu.Les différences se traduisant en termes d'avantages ou d'inconvénients pour ceux qui les subissent se
creusent entre générations pour deux raisons principales. D'une part, elles se creusent entre 2 générations
de 2 familles différentes parce que les inégalités sont cumulatives et souvent héritées. Ainsi, P.Bourdieu a
expliqué la corrélation positive entre la réussite scolaire des enfants et leur origine sociale par la
transmission familiale inégale du capital culturel. L'inégalité des chances résulterait en effet d'une inégale
dotation et proximité des parents en connaissances, références et compétences valorisées par l'école. Plus
encore, il a également souligné le rôle du capital social dans la construction des inégalités entre enfants
issus de milieux sociaux différents. La position sociale d'un individu ne dépend pas uniquement de sa
réussite scolaire, puisqu'à diplôme équivalent, la rentabilité de celui-ci dépend du carnet d'adresses que les
parents peuvent mobiliser dans le parcours de leur enfant.D'autre part, les inégalités se creusent également entre les générations d'une même famille, parce que
leurs conditions de production varient dans le temps. Ainsi, la période des Trente Glorieuses a-t-elle été
marqué par une forte mobilité sociale accendente en raison des transformations de la structuresocioprofessionnelle française, marquée par une élévation des qualifications. Cette situation semble moins
vraie aujourd'hui, quand bien même les pouvoirs publics poursuivent dans leur volonté de démocratiser
l'école. En effet, l'obtention d'un diplôme supérieur à celui de ses parents ne signifie pas (plus ?)
forcément l'accès à une poistion sociale plus élevée (paradoxe d'Anderson) en raison de la dévalorisation
relative de certains diplômes du fait même de leur banalisation. Deuxième partie: Etude d'un document (4 points)Question: Vous présenterez le document puis vous présenterez les inégalités de mobilité sociale entre
hommes et femmes qu'il met en évidence. Décomposition de la mobilité observée en 1977 et 2003 selon le genre (en %)HommesFemmes
1977200319772003
Immobilité sociale42,136,63323,4
Mobilité non verticale3933,152,950,3
Mobilité de statut30,823,831,325,1
Mobilité horizontale8,29,321,625,2
Mobilité verticale18,930,314,126,3
Mobilité ascendante14,923,26,414,6
Mobilité descendante47,27,711,7
Lecture: l'immobilité sociale correspond à la diagonale d'une table de mobilité. La mobilité est décomposée en une
part non verticale et une part verticale. La première est un mobilité de statut (entre les groupes 1 ou 2 d'une part,
et les groupes 3 à 6 d'autre part) ou bien une mobilité horizontale (entre les groupes 1 et 2 ou bien entre les
groupes 5 et 6). La seconde est mesurée au sein des seuls groupes de salariés, ordonnés selon trois niveaux (le
groupe 3, le groupe 4, les groupes 5 et 6).Champ: hommes et femmes français âgés de 35 à 49 ans, actifs occupés ou anciens actifs occupés à la date de
l'enquête. Source: INSEE, enquêtes " Formation et qualification professionnelle » de 1977 et 2003.Consignes:
- La présentation du document est attendue et doit être exhaustive.- La présentation des inégalités de mobilité sociale passe obligatoirement par la mobilisation de
savoir-faire: lecture et calculs !!! Il s'agit en effet de comparer la situation des hommes et des femmes et
d'en déduire les avantages et les inconvénients que les uns et les autres peuvent en tirer.Le tableau statistique à double entrée, intitulé " Décomposition de la mobilité observée en 1977 et 2003
selon le genre », a été produit par l'INSEE (il concerne donc la France) à partir de ses enquêtes
" Formation et qualification professionnelle » de 1977 et 2003. Son unité est le pourcentage. Il croise d'un
côté le genre (homme et femme) et de l'autre exprime la mobilité (ou l'immobilité) de chaque sous-
population selon 7 modalités (Immobilité sociale, Mobilité non verticale, Mobilité de statut, Mobilité
horizontale, Mobilité verticale, Mobilité ascendante, Mobilité descendante).Au premier regard, la probabilité de changer de catégorie socioprofessionnelle par rapport celle de ses
parents semble davantage avantager les femmes que les hommes. En effet, les femmes semblent plus mobiles que les hommes que ce soit en 1977 et en 2003, puisque l'immobilité des hommes concernait42% de l'effectif contre 33% chez les femes (soit 1,27 fois plus) en 1977 et 56% de plus en 2003. Ainsi
quand bien même la probabilité d'exercer le même métier que ses parents a reculé dans notre pays pour
les deux sexes, cette baisse a été plus forte chez les femmes (baisse de 9,6 points de la part des femmes
immobiles contre 5,5 points de celle des hommes immobiles). S'il est possible de relier cette inégalité à
un biais des tables de mobilité rendant difficile la comparaison des métiers des pères et des filles, tant les
métiers sont sexués, il reste néanmoins que le développement de l'emploi féminin leur a permis de
d'accéder à un autre statut social que celui de leur mère.Cependant, la mobilité sociale que connaissent les femmes est différente de celle des hommes. Pour les 2
sexes, la mobilité non verticale domine (quoique de manière moins forte en 2003 qu'en 1977). Cependant,
alors que la mobilité non verticale représentait 52,2% des mobiles pour les hommes, elle représentait
66,6% des mobiles chez les femmes. De la même manière, la mobilité verticale est plus forte chez les
hommes et notamment quand elle est ascendante (1,6 fois plus en 2003). En revanche, la probabilité des
femmes de connaître une mobilité sociale descendante est plus élevée (62% de plus en 2003). On retrouve
ici l'idée selon laquelle une grande partie de la mobilité sociale (acsendante) des hommes est permise par
le fait que les femmes occupent des emplois subalternes... Troisième partie: Raisonnement s'appuyant sur un dossier documentaire (10 points) À l'aide de vos connaissances et du dossier documentaire, vous montrerez qu'il existe une multiplicité de critères pour rendre compte de la structure sociale.Consignes:
- Comme il est indiqué en entête du sujet, la troisième partie de lEC doit contenir uneintroduction, un développement structruré et une conclusion (epnser à sauter des lignes entre ces 3
temps...).- La difficulté du sujet tient au risque d'effet " catalogue » du développement, puisqu'en effet les
critères permettant de rendre compte de la structure sociale (terme à définir dans l'introduction) sont
innombrables (âge, genre, générations, prestige, revenus, origine " ethnique », ...). Il s'agit donc de
trouver un moyen d'organiser cette complexité. Celui qui est proposé en est parmi d'autres...- La démonstration ne doit pas se limiter à un commentaire des docs fournis, vous devez bien sûr
les mobiliser (donc faire des lectures, calculs) mais aussi réinvestir votre cours (tout n'est pas dans les
documents...)Voyage de classes (2014) le dernier livre du sociologue Nicolas Jounin repose bien sûr sur un délicieux
jeu de mot. En demandant à ses étudiants issus pour la plupart de Seine Saint Denis d'aller enquêter dans
le 8ème arrondissement de Paris, il s'agit pour lui de leur faire découvrir les règles de la méthode
sociologique, mais également de se familiariser avec un monde étrange(r) et nouveau. Issus très
majoritairement de catégories populaires, ils doivent étudier l'un des quartiers les plus riches de la capitale
(et de la France). N.Jounin les conduit ainsi également à réinvestir le concept classique de la sociologie de
filiation marxienne dans l'analyse de la façon dont la société se structure en groupes sociaux et des
modalités qu'elle retient pour fonder leur hiérarchisation. Il montre néanmoins que d'autres critères jouent,
dont la couleur de peau. Nous soulignerons alors que si les sociologues ont souvent utilisé les critères
économiques pour rendre compte de la structure sociale (I), avec le développement d'autres clivages
d'autres critères sont jugés de plus en plus pertinents (II).I- Si les sociologues (avec Marx) ont souvent utilisé les critères économiques (donc donc forger le
concept de classe sociale) pour rendre compte de la structure sociale,... la place dans les rapports de production (possession ou non de patrimoine) le niveau de revenus (cf.doc 3); le type d'emploi exercé (cf.doc1).II- ... avec le développement d'autres clivages, d'autres critères sont jugés de plus en plus pertinents.
le sexe (cf.doc2 et 3) l'âge; l'origine ethnique...quotesdbs_dbs48.pdfusesText_48