[PDF] Le CNFPT Centre National de la Fonction Publique Territoriale



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1 PARTIE : Le contexte légal et réglementaire d’élaboration

1ère PARTIE : Le contexte légal et réglementaire d’élaboration du Schéma Départemental de Coopération Intercommunale La loi n° 2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de la République (dite loi NOTRe) a été publiée au Journal Officiel le 8 août 2015



Le CNFPT Centre National de la Fonction Publique Territoriale

et la loi n° 2015-366 du 31 mars 2015 visant à faciliter l’exercice, par les élus locaux, de leur mandat Aujourd’hui, il en est de même avec la loi n°2015-991 du 7 août 2015 por-tant nouvelle organisation territoriale de la République, dite loi NOTRe qui vient d’être publiée au journal officiel du du 8 août 2015



PREFET DU TARN Schéma départemental de coopération

- Art 64 de la loi NOTRe a modifié l'article L 5214-16 du CGCT relatif aux compétences des communautés de communes - Art 65 de la loi NOTRe a modifié l'article L 5214-23-1 du CGCT relatif aux dispositions financières (DGF bonifiée) - Art 66 de la loi NOTRe a modifié l'article L5216-5 du CGCT relatif aux compétences des



Leçon 2 Le message de l’Ancien Testament & Genèse 1re partie

Galates 3 23-24 : « Avant que la foi vienne, nous étions enfermés sous la garde de la loi, en vue de la foi qui devait être révélée 24 Ainsi la loi a été comme un précepteur pour nous conduire à Christ, afin que nous soyons justifiés par la foi » Comme nous l’avons mentionné, l’Ancien Testament préparait la venue de Jésus



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La RE2020 est prévue par la loi sur l’évolution du logement, de l’aménagement et du numérique (Elan) avec une application initialement prévue au 1 er janvier 2021 Afin de tenir compte des circons-





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RÉFLEXIONS SUR LA RÉTROACTIVITÉ DES LOIS

cation rétroactive de la loi 3° La troisième cause, rapportée en 19806, a été ainsi résumée par l’arrêtiste: «Le requérant a acheté son automobile au mois de novembre 1979, alors que la loi ne permettait pas de remettre le véhicule en paiement du solde du prix Il veut se prévaloir de la nouvelle Loi sur la protection du



L’info en grand : a-t-on le droit de tout dire

La France est une démocratie qui garantit la liberté, l’égalité et la fraternité entre tous les citoyens Nous vivons dans un pays laïc, où chacun est libre de croire ou de ne pas croire en Dieu Il est donc important de connaître ces valeurs pour vivre en paix dans notre pays La liberté d’expression fait aussi partie de ces valeurs



Pierre Kropotkine (1889)

avait végété Elle lance la recherche dans des voies inconnues, enrichit notre savoir de découvertes imprévues ; elle crée des sciences nouvelles Mais l’ennemi invétéé de la pensée — le gouvenant, l’homme de loi, le eligieux — se relèvent bientôt de la défaite

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Le CNFPT  Centre National de la Fonction Publique Territoriale loi n°2015-29 du 16 janvier 2015 loi n°

2015-264 du 9 mars 2015

loi n°

2015-292 du 16 mars 2015

loi n°

2015-366 du 31 mars 2015

Il s'agit du troisième pan de la réforme des territoires souhai tée par le président de la République. Ce projet de loi portant nouvel le orga nisation territoriale de la République intervient après la loi de moderni sation de l'action publique territoriale et d'affirmation des mé tropoles (promulguée le 27 janvier 2014) et la loi relatif à la délimi tation des ré gions (promulguée le 16 janvier 2015). L'exposé des motifs du projet de loi définissait la philosophie du texte de la façon suivante : " À la clause de compétence générale qui permettait jusqu'à présent aux régions et aux départements d'intervenir en dehors de leurs mis sions principales, parfois de manière concurrente, souvent de façon redo n dante, se substitueront des compétences précises confiées par l a loi à un niveau de collectivité. Les régions disposeront ainsi de tous les leviers nécessaires pour assurer, aux côtés de l'État, dans les territoires, la responsabilité du développement économique, de l'innovation et de l'internationalisation des en treprises. Cette compétence s'articulera avec les nouvelles compétences de s métro poles. La région sera chargée d'élaborer une stratégie gl obale pour orga niser la complémentarité des actions des collectivités et tirer ainsi parti du potentiel de chaque territoire, qu'il soit urbain ou rural... Afin que les régions soient véritablement à même de remplir leurs mis sions et de soutenir le développement économique local, leur actio n doit pouvoir se déployer sur des territoires cohérents, tenant compte d es mobilités de population entre bassins de vie et bassins économiques. Or toutes les régions françaises, dont le périmètre est né de l'aménage 1°

Larationalisation de l'organisation territoriale

Lagarantie de la solidarité et de l'égalité des territoires

L'amélioration de la transparence et de la responsabilité financièrescollectivités territoriales

RETOU R

AU SOMMAI

R E Cet article prévoit, à travers un article L.

4251-12 du code général des

collectivités territoriales, que " la région est la collectivité territoriale responsable, sur son territoire, de la définition des orientations en ma tière de développement économique Cet article donne aussi, à travers l'article L.

4251-13 du code général

des collectivités territoriales, compétence à la région pour

élaborer

un schéma régional de développement économique, d'innovat ion et d'internationalisation. Ce schéma définit les orientations en m atière d'aides aux entreprises, de soutien à l'internationalisation et d'aides à l'investissement immobilier et à l'innovation des entreprises, ainsi que les orientations relatives à l'attractivité du territoire ré gional. Il définit les orientations en matière de développement de l'économie s ociale et solidaire, en s'appuyant notamment sur les propositions formulé es au cours des conférences régionales de l'économie sociale et solidaire. Le schéma organise, sur le territoire régional, la complémentarité des actions menées par la région en matière d'aides aux entrepri ses avec les actions menées par les collectivités territoriales et leurs groupe ments. Le projet de schéma est élaboré par la région en concertatio n avec les métropoles, la métropole de Lyon et les établissements publics de coo pération intercommunale à fiscalité propre. Il fait l'objet d'une présenta tion et d'une discussion au sein de la conférence territoriale de l'action publique, avec les chambres consulaires et avec la chambre régionale de l'économie sociale et solidaire. Il est communiqué pour informa tion aux régions limitrophes. Le schéma est adopté par le conseil rég ional dans l'année qui suit le renouvellement général des conseils ré gionaux. Le schéma régional est approuvé par arrêté du représen tant de l'État dans la région lui conférant ainsi un caractère opposable. Ce d ernier s'assure du respect, par le conseil régional de la procédure d'

élaboration

et de la préservation des intérêts nationaux. S'il n'appr ouve pas le sché ma, le représentant de l'État dans la région le notifie au c onseil régional par une décision motivée, qui précise les modifications à ap porter au schéma. Le conseil régional dispose d'un délai de trois mois

à compter

de la notification pour prendre en compte les modifications demandées La mise en œuvre du schéma régional de développement écon omique, d'innovation et d'internationalisation peut faire l'objet de co nventions entre la région et un ou plusieurs établissements publics de coopération RETOU R

AU SOMMAI

R E RETOU R

AU SOMMAI

R E 1° 2° 3° RETOU R

AU SOMMAI

R E RETOU R

AU SOMMAI

R E 1° 2° 3° 4° 5° a) b) c) d)

Cet article prévoit, à travers l'article L.

211-7 du code de l'environnement,

que lorsque l'état des eaux de surface ou des eaux souterraines présente des enjeux sanitaires et environnementaux justifiant une gestion coor donnée des différents sous-bassins hydrographiques de la région , le conseil régional peut se voir attribuer tout ou partie des missions d 'ani mation et de concertation dans le domaine de la gestion et de la protec tion de la ressource en eau et des milieux aquatiques, par décret, à sa demande et après avis de la conférence territoriale de l'action publique. La région exerce ces attributions en coordination avec le comité de bas sin, sans préjudice des compétences des autres collectivités, d e leurs groupements et des syndicats mixtes, et sans préjudice des missions des personnes morales de droit public auxquelles la commission locale de l'eau a confié son secrétariat, ainsi que, le cas échéant , les études et les analyses nécessaires à l'élaboration du schéma d'amé nagement et de gestion des eaux et au suivi de sa mise en œuvre.

Cet article vient modifier l'article L.

3111-1 du code des transports en

précisant que les services non urbains, réguliers ou à la deman de, sont organisés par la région, à l'exclusion des services de transport spécial des élèves handicapés vers les établissements scolaires. Ils sont assurés par la région ou par les entreprises publiques ou privées qui ont passé avec elle une convention à durée déterminée. Toutefois, lors que, à la date de publication de la présente loi, il existe déjà, sur un territoire in frarégional, un syndicat mixte de transports ayant la qualité d'autorité organisatrice en matière de transports urbains et de transports non ur bains, ce syndicat conserve cette qualité. Par cette disposition est assuré le transfert des transports scolaires du département à la région qui sera juridiquement effectif au 1 er septembre 2017. Il est toutefois important de noter qu'en vertu de l'article L.

3111-9 du

code des transports, " Si elles n'ont pas décidé de la prendre en charge elles-mêmes, la région ou l'autorité compétente pour l' organisation des transports urbains peuvent confier par convention, dans les conditions prévues à l'article L.

1111-8 du code général des collectivités territoriales,

RETOU R

AU SOMMAI

R E RETOU R

AU SOMMAI

R E RETOU R

AU SOMMAI

R E Cet article de la loi vient compléter L'article L. 4134-1 du code général des collectivités territoriales en précisant que le conseil éco nomique, so cial et environnemental régional " a pour mission d'informer le conseil régional sur les enjeux et conséquences économiques, sociaux et envi ronnementaux des politiques régionales, de participer aux consultations organisées à l'échelle régionale, ainsi que de contribuer

à des évalua

tions et à un suivi des politiques publiques régionales. Après une longue opposition entre députés et sénateurs, cet article vient, au final, relever le seuil démographique de constitution des EPCI à fisca lité propre. Désormais, les intercommunalités à fiscalité propre devront comporter au moins 15 000 habitants. Toutefois, ce seuil peut être adap té, sans pouvoir être inférieur à 5 000 habitants pour les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre ainsi que pour les projets d'établissement public de coopération intercommunal e à fis calité propre a) dont la densité démographique est inférieure à la moitié de la den-sité nationale, au sein d'un département dont la densité dé mo-graphique est inférieure à la densité nationale ; le seuil dé mogra-phique applicable est alors déterminé en pondérant le nombre de

15 000 habitants par le rapport entre la densité démographique du

département auquel appartiennent la majorité des communes du périmètre et la densité nationale,

b) dont la densité démographique est inférieure à 30 % de la densité nationale, c)

comprenant une moitié au moins de communes situées dans une zone de montagne délimitée en application de l'article 3 de la

loi n° 85-30 du 9 janvier 1985 relative au développement et à la protec-tion de la montagne ou regroupant toutes les communes compo-sant un territoire insulaire,

RETOU R

AU SOMMAI

R E Cet article modifie la loi de modernisation de l'action publique terr i toriale et d'affirmation des métropoles du 27 janvier 2014. L'a rticle 11 indique désormais que dans les départements de l'Essonne, de la

Seine-

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