Dossier Professionnel EP2 : Stage au sein de l’école
Dans le cadre de mon CAP Petite Enfance, j’ai pu passer un stage de 4 semaines au sein de la maternelle de l’école « Génération 2000 » Cet établissement, créé en 2001 par madame Pauline MARTIN, reçoit des enfants de la maternelle jusqu’à la CM2 Au cours de mon stage j’ai pu observer
Rapport de stage école maternelle
traduire ou de distribuer l’un des éléments Lorsque je vérifie le champ ci-dessous, j’accepte les conditions SocioDoc Connectez-vous pour télécharger HomeSearcheAbonnementA offreContact à offrirContact rapport de stage école maternelle pdf rapport de stage école maternelle seconde assp rapport de stage école maternelle cap
Stage en école maternelle de sainte marie sur ouche
En 1980, la mairie est déplacé au rez-de-chaussée pour crée une deuxième salle de classe Puis la mairie a été encore une fois déplacée pour laisser la salle pour faire le dortoir et la salle de motricité Les primaires sont allés à l’école de Pont de Pany pour laisser les maternelles dans l’école de sainte Marie
Mention 1 - des outils pour apprendre Espace de
Dans le cadre de mon deuxième stage d'observation et de pratique accompagnée, je suis allée pendant deux semaines dans une école primaire, à Fontaine-Heudebourg, là où travaille Bénédicte Lannoy, professeur des écoles depuis près de 20 ans Elle enseigne dans une classe de cycle 3 à double niveau, des CM1 et des CM2
Rapport de stage en pratique accompagnée
Rapport de stage en pratique accompagnée Natacha Becque Année 2015-2016 Stage effectué à l’école primaire de Varennes Enseignante tutrice : Magali Lacaze
Rapport - n° 2011-108 L’école maternelle
Une grande diversité dans l’accès aux services de la petite enfance selon les pays _____ 19 1 2 2 1 Un accès généralisé pour les modèles intégrés, une pénurie de places avant trois ans dans les
Rapport de stage - Pacé, Ille-et-Vilaine
ensuite mises à cuire Lorsque c’est de la soupe elle est préparée dans une marmite à partir de sachets, et une fois prête, elle est répartie dans différents plats Le plat de résistance : Les viandes ou les poissons et leur accompagnement (légumes ou féculents) sont sortis de leur emballage, puis placés dans des plats et mis à cuire
rapport de fin de stage pratique - Lire en ligne
une personne travaille dans une entreprise [ou dans une structure publique] pour accroître ses connaissances professionnelles ou se former » 1 Il constitue ainsi un élément indispensable, car il permet à l’étudiant de vivre la réalité du monde professionnel
Rapport de stage de 3° du 17/12/07 au 21/12/07 dans la crèche
Lieu de stage et structure La crèche a été créé par une association (qui porte le même nom) depuis maintenant trois ans Elle regroupe quatorze salariés:-deux Educatrices de Jeunes Enfants -quatre Auxiliaires de Puériculture-cinq Assistantes Maternelle-une cuisinière-une infirmière -une technicienne de surface
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Rapport - n° 2011-108 ? octobre 2011
Inspection générale
de l"éducation nationale Inspection générale de l"administration de l"éducation nationale et de la recherche
L"école maternelle
Rapport à monsieur le ministre
de l"éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative 2 5 MINISTÈRE DE L"ÉDUCATION NATIONALE, DE LA JEUNESSE ET DE LA VIE ASSOCIATIVE MINISTÈRE DE L"ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR ET DE LA RECHERCHE ______________ Inspection générale de l"éducation nationale Inspection générale de l"administration de l"éducation nationale et de la rechercheL"école maternelle
N° 2011-108
octobre 2011 Inspection générale de l"éducation nationaleInspection générale de l"administration
de l"éducation nationale et de la rechercheViviane Bouysse
Philippe Claus
Christine Szymankiewicz
GROUPE DE TRAVAIL :
Jean-Pierre Delaubier, Pascal Jardin, Christian Loarer, Gilles Pétreault Inspecteurs généraux de l"éducation nationale Martine Caraglio, Marie-Hélène Granier-Fauquert, Anne-Marie Grosmaire, Jean-René Genty,François Louis
Inspecteurs généraux de l"administration de l"éducation nationale et de la recherche 6 7 PREMIÈRE PARTIE. LE CONTEXTE : ÉDUCATION ET ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE À L"ÉTRANGER ET EN FRANCE._________________________________14 Chapitre 1.___________________________________________________________________ 14 L"EDUCATION ET L"ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE : UNE APPROCHE PANORAMIQUE DE LA SITUATION AU NIVEAU INTERNATIONAL_____________ 141.1. UN MOUVEMENT GÉNÉRAL : LA PRISE EN CHARGE DE LA PETITE ENFANCE PAR DES
STRUCTURES EXTÉRIEURES AU FOYER_____________________________________________ 141.1.1. Des conventions internationales sources de convergences_____________________________ 14
1.1.2. Le moteur du changement : un contexte général de défi démographique combiné à un
accroissement de l"activité professionnelle des femmes____________________________________ 151.1.2.1. L"accroissement du niveau de natalité comme objectif primordial________________ 15
1.1.2.2. Une meilleure conciliation entre vie professionnelle et vie familiale rendue nécessaire
par l"augmentation du nombre de femmes sur le marché du travail ________________________ 151.1.3. Une volonté de briser le cycle de la pauvreté, un investissement pour l"avenir _____________ 16
1.1.3.1. Une action contre les désavantages éducatifs qui touchent les enfants des familles pauvres 16
1.1.3.2. " L"apprentissage engendre l"apprentissage », une formule qui fait consensus _________ 16
1.1.3.3. Une aide publique qui anticipe un taux de retour sur investissement dans le capital humain17
1.2. DES CONCEPTIONS ET DES MODÈLES DIFFERENTS SELON L"HISTOIRE, LES
CONTEXTES ET LES VALEURS CULTURELLES, SOCIALES OU RELIGIEUSES ____________ 171.2.1. Deux grands modèles de structuration de l"offre ____________________________________ 17
1.2.1.1. L"accueil de la petite enfance organisé de manière intégrée________________________ 17
1.2.1.2. L"accueil de la petite enfance organisé de manière juxtaposée : des services séparés selon
l"âge des enfants, une gouvernance partagée entre des acteurs variés _______________________ 18
1.2.2. Une grande diversité dans l"accès aux services de la petite enfance selon les pays __________ 19
1.2.2.1. Un accès généralisé pour les modèles intégrés, une pénurie de places avant trois ans dans les
autres modèles _________________________________________________________________ 191.2.2.2. Un âge du premier accueil qui varie fortement, des choix politiques qui ont des
conséquences sociales ___________________________________________________________ 191.2.2.3. Une volonté récente d"accroître l"offre, mais un contrôle de la capacité d"accueil des tout
petits qui reste l"exception ________________________________________________________ 201.2.2.4. Des critères communs d"attribution des places dans la plupart des pays ______________ 20
1.2.2.5. Un accroissement de la fréquentation lié à l"âge des enfants dans la plupart des pays
européens, mais néanmoins des disparités importantes __________________________________ 211.2.3. Des conceptions du préscolaire étroitement liées à des valeurs culturelles et sociales________ 22
1.2.3.1. Des visées différentes pour l"accueil des jeunes enfants selon leur âge _______________ 22
1.2.3.2. Deux conceptions très différentes de l"éducation pré-primaire______________________ 22
1.2.3.3. Un consensus sur le bénéfice d"une année de préscolarisation avant le début de
l"enseignement scolaire __________________________________________________________ 231.3. DES INVESTISSEMENTS PUBLICS DANS LA PLUPART DES PAYS DE L"OCDE, MAIS UNE
DIVERSITE D"ENCADREMENT ET DE FONCTIONNEMENT QUI RETENTIT SUR LA QUALITÉ __________________________________________________________________________________ 231.3.1. Une variété des niveaux de responsabilité et des stratégies de financement________________ 23
1.3.1.1. Une coordination difficile des politiques de la petite enfance_______________________ 23
1.3.1.2. Des responsabilités partagées entre les autorités nationales, les autorités locales et les parents
_____________________________________________________________________________ 241.3.1.3. Des investissements publics difficilement évaluables et des approches différentes dans les
stratégies de financement de l"éducation et l"accueil des tout jeunes enfants _________________ 26
1.3.2. Une évolution de l"encadrement et du fonctionnement qui bénéficie à la mission d"éducation 28
1.3.2.1. Un recours croissant à un cadre national en matière de programmes d"éducation dans le
secteur de la petite enfance _______________________________________________________ 281.3.2.2. Une continuité assurée dans les systèmes intégrés _______________________________ 29
1.3.2.3. Une action particulière pour les populations à risque, mais une action qui cible encore
rarement les parents _____________________________________________________________ 291.3.2.4. Des normes variables de taille des groupes et de taux d"encadrement ________________ 31
1.3.2.5. Une organisation du temps que l"on tente d"adapter aux besoins des familles __________ 31
1.3.3. Un recrutement de personnels diplômés mais une disparité de qualification _______________ 32
81.3.3.1. Des qualifications en général distinctes selon l"âge des enfants dans les systèmes non
intégrés_______________________________________________________________________ 321.3.3.2. Une formation commune des personnels et une qualification unique dans les systèmes
intégrés_______________________________________________________________________ 331.3.4. Une variété de critères et de procédures dans l"évaluation de l"efficacité et/ou de la qualité de
l"éducation et de l"accueil des tout jeunes enfants________________________________________ 331.3.4.1. Une comparaison internationale de la qualité des services d"éducation et d"accueil des tout
jeunes enfants mais une mesure délicate de l"efficacité en termes de résultats scolaires. ________ 33
1.3.4.2. Des procédures d"évaluation par des agences autonomes ou par des instances
administratives, locales ou nationales _______________________________________________ 34 Chapitre 2.___________________________________________________________________ 37 L"ÉCOLE MATERNELLE FRANÇAISE, ÉCOLE À PART ENTIÈRE ET COMPOSANTE DES STRUCTURES D"ÉDUCATION ET D"ACCUEIL DE LA PETITE ENFANCE ENTIÈREMENT À PART______________________________________________________ 372.1. DES STRUCTURES D"ACCUEIL ET D"EDUCATION DIFFERENCIEES DES LEUR ORIGINE, A
L"EVOLUTION PARALLELE ________________________________________________________ 372.1.1. De l"oeuvre charitable à l"action publique__________________________________________ 38
2.1.1.1. Salle d"asile et école maternelle : des milieux d"instruction gratuits pour les familles ___ 38
2.1.1.2. La crèche : un établissement sanitaire, jamais gratuit pour les parents _______________ 38
2.1.2. Un essor fortement lié au travail féminin, une extension de la fréquentation à toutes les classes
sociales _________________________________________________________________________ 382.1.2.1. La diversification progressive des services de la petite enfance_____________________ 39
2.1.2.2. L"école maternelle après la seconde guerre mondiale : l"accueil de tous les enfants, sur tout
le territoire ____________________________________________________________________ 392.1.3. L"accueil des enfants de deux à trois ans : des débats depuis près de trente ans, un enjeu politique
toujours d"actualité ________________________________________________________________ 402.1.3.1. Un essor de la scolarisation précoce dans des conditions vivement critiquées__________ 40
2.1.3.2. L"expérimentation de solutions alternatives ____________________________________ 42
2.1.3.3. Les enfants de moins de trois ans à l"école maternelle : une variable d"ajustement plus
qu"une politique________________________________________________________________ 442.2. L"ÉCOLE MATERNELLE, ÉCOLE NON OBLIGATOIRE MAIS SERVICE UNIVERSEL ET
GRATUIT POUR LES FAMILLES _____________________________________________________ 462.2.1. Des modalités et un cadre de fonctionnement identiques à ceux de l"école élémentaire ______ 46
2.2.2. Un fort engagement de l"État et des collectivités locales ______________________________ 47
2.2.2.1. Les obligations respectives de l"État et des collectivités territoriales sous l"angle de la
scolarisation : le cadre juridique tel que défini par les textes______________________________ 472.2.2.2. L"école maternelle : un temps et un lieu privilégiés pour la politique de santé publique et de
prévention ____________________________________________________________________ 492.2.3. Le coût de l"école maternelle ___________________________________________________ 51
2.2.3.1. Où le coût se cache-t-il ?___________________________________________________ 51
2.2.3.2. Les dépenses communales _________________________________________________ 52
2.3. L"ECOLE MATERNELLE : UNE INSTITUTION DE PLUS EN PLUS SCOLAIRE __________ 54
2.3.1. " L"école maternelle n"est pas une école au sens ordinaire du mot » (1908) _______________ 54
2.3.1.1. Soins et éducation associés _________________________________________________ 54
2.3.1.2. " Les procédés d"éducation d"une mère intelligente et dévouée » ___________________ 54
2.3.2. L"école maternelle repensée au milieu des années 1970 : " un triple rôle éducatif, propédeutique
et de gardiennage »_______________________________________________________________ 552.3.3. La primauté de la finalité scolaire, l"effacement de la mission d"accueil__________________ 56
2.3.3.1. Une scolarité particulière, mais une scolarité (1986) _____________________________ 56
2.3.3.2. L"unité de la scolarité primaire scellée par les cycles pédagogiques (1989)____________ 57
2.3.3.3. De 1995 à 2008, l"identité scolaire de l"école maternelle confirmée et renforcée _______ 58
2.3.4. Une évolution de la hiérarchie des contenus________________________________________ 59
2.3.4.1. Des domaines d"activités redéfinis et réordonnés________________________________ 59
2.3.4.2. Une conception renouvelée de la socialisation scolaire ___________________________ 60
2.3.4.3. La priorité accordée au langage oral et écrit, un programme ambitieux_______________ 61
2.3.4.4. La place discrète et ambiguë des mathématiques à l"école maternelle ________________ 63
DEUXIEME PARTIE. LES CONSTATS. BILAN D"ENQUETE. ___________________64 Chapitre 3.___________________________________________________________________ 64 9 L"ECOLE MATERNELLE EN 2010 - 2011 : QUE FAIT-ELLE ET COMMENT ? ORGANISATION, ENSEIGNEMENT ET APPRENTISSAGES. _____________________ 643.1. À L"ÉCHELLE DE L"ÉCOLE : DES COOPÉRATIONS À CONSTRUIRE ENTRE DES
PROFESSIONNELS VARIÉS, UN TRAVAIL COLLECTIF RÉORIENTÉ PAR LA RÉFORME DE2008______________________________________________________________________________ 64
3.1.1. L"importance des relations humaines pour compenser des faiblesses structurelles_____________ 64
3.1.1.1. Aux côtés des enseignants, des personnels aux compétences spécifiques et diverses_____ 65
3.1.1.2. Des agents spécialisés des écoles maternelles entre plusieurs autorités _______________ 66
3.1.1.3. Des financements aux ramifications complexes, perçus comme satisfaisants en général__ 69
Le coût, pouls des financeurs_________________________________________________71 Le rôle du responsable de centre, du conseil des parents et le business plan _____________ 73La participation plafonnée des familles à un pourcentage du coût d"exploitation des centres _________ 74
3.1.2. Des dynamiques pédagogiques d"école témoignant d"un travail collectif _________________ 75
3.1.2.1. Une prise en compte significative de la réforme de 2008__________________________ 75
Programmes et repères de progressivité______________________________________________ 76 Suivi et évaluation des élèves _____________________________________________________ 77La personnalisation des apprentissages : le souci d"exploiter les ressources à l"échelle de l"école_ 78
3.1.2.2. La recherche d"une continuité éducative_______________________________________ 79
Dans le parcours de l"enfant : vers l"aval bien plus qu"à l"amont __________________________ 80 Entre l"école maternelle et la famille ________________________________________________ 833.1.2.3. Des partenariats actifs de l"école maternelle avec les professionnels chargés de la prévention
_____________________________________________________________________________ 863.2. LA CLASSE MATERNELLE : UNE ORGANISATION FIGÉE, UNE PÉDAGOGIE QUI SE
CHERCHE ________________________________________________________________________ 893.2.1. L"espace de la classe : un enrichissement et une différenciation indispensables ____________ 90
3.2.1.1. La classe, milieu de vie et d"apprentissage : une organisation qui s"est appauvrie_______ 90
3.2.1.2. Un décor envahi par l"écrit dès la section des petits ______________________________ 94
3.2.2. L"organisation et les usages du temps scolaire : des habitudes à réinterroger ______________ 96
3.2.2.1. L"emploi du temps : une présentation souvent confuse ___________________________ 96
3.2.2.2. Les temps dits " informels », " sociaux » ou " éducatifs » : durée et conception à revoir _ 97
3.2.2.3. Une organisation globale qui ne permet pas de tirer le meilleur parti du temps de l"école
maternelle_____________________________________________________________________ 993.2.3. Les formes de mise en oeuvre des activités________________________________________ 101
3.2.3.1. En collectif-classe, des activités assez constantes_______________________________ 101
3.2.3.2. Les inévitables " ateliers » : le succès d"une organisation à l"efficacité limitée _______ 103
3.2.4. Une grande uniformité des pratiques, une différenciation insuffisante pour assurer une bonne
prévention______________________________________________________________________ 1073.2.4.1. Le manque de progressivité au long du cursus _________________________________ 107
3.2.4.2. Des pratiques d"évaluation de plus en plus abondantes dont on ne tire pas le meilleur profit
____________________________________________________________________________ 1093.2.4.3. Le manque de différenciation à chaque niveau : des pratiques pédagogiques insuffisamment
ajustées aux besoins des enfants __________________________________________________ 1133.2.5. La conception des activités, la préparation de la classe ______________________________ 115
3.2.5.1. Les outils des élèves : l"essor du travail sur fiches ______________________________ 115
3.2.5.2. Des situations et des formes d"activités peu diversifiées, sous-exploitées pour assurer des
apprentissages ________________________________________________________________ 1183.2.5.3. La préparation de la classe : un déficit d"anticipation sur des éléments essentiels ______ 122
3.3. LANGUE ET LANGAGE : UN BILAN INÉGAL, UNE FAIBLESSE PERSISTANTE DE LA
PÉDAGOGIE DE L"ORAL __________________________________________________________ 1243.3.1. La pédagogie de l"oral : toujours autant de faiblesses et les mêmes difficultés ____________ 125
3.3.1.1. Du langage, mais peu de réelles situations d"apprentissage _______________________ 125
3.3.1.2. Des objectifs variés insuffisamment clairs pour les enseignants____________________ 126
3.3.1.3. Des dispositifs pédagogiques peu diversifiés __________________________________ 130
3.3.2. L"entrée dans l"écrit : des déséquilibres et des évitements dommageables________________ 130
3.3.2.1. Des lectures offertes mais peu de travail sur la compréhension ____________________ 131
3.3.2.2. La production d"écrits : une incompréhension persistante de ce qui est attendu, une
incapacité quasi généralisée à la mettre en oeuvre _____________________________________ 132
3.3.3. La préparation à la lecture et à l"écriture : une amélioration certaine mais des inquiétudes___134
3.3.3.1. Beaucoup d"activités, et de manière précoce, parfois trop ________________________ 134
103.3.4. L"enseignant de maternelle, " maître de langage » d"abord ___________________________ 135
3.3.4.1. Le langage du maître_____________________________________________________ 135
3.3.4.2. La conduite des séances : ce qui se " didactise » bien s"enseigne plus aisément _______ 137
3.3.4.3. L"évaluation insuffisante du langage et des besoins langagiers des enfants ___________ 138
3.3.4.4. Des représentations à revoir, des connaissances à compléter : un très important besoin de
formation relatif à la pédagogie de l"oral____________________________________________ 1413.3.4.5. Le manque d"habitudes du " travail » avec les parents___________________________ 142
Chapitre 4.__________________________________________________________________ 145 LA GOUVERNANCE DE L"ECOLE MATERNELLE _____________________________ 1454.1. LE PILOTAGE PEDAGOGIQUE : UN GRAND ECART ENTRE LES NOMBREUSES
DECLARATIONS D"INTENTION ET LA MISE EN OEUVRE ______________________________ 1454.1.1. Un pilotage national insuffisamment opérationnel__________________________________ 145
4.1.1.1. Les textes officiels et les ressources d"origine nationale : une faible visibilité de l"école
maternelle____________________________________________________________________ 1454.1.1.2. Un sujet essentiel de politique pédagogique mais un sujet mal relayé dans la communication
et au plan logistique____________________________________________________________ 1484.1.1.3. Un partenariat interministériel encore inexistant _______________________________ 149
4.1.2. Les politiques éducatives académiques : l"école maternelle à peine évoquée _____________ 149
4.1.3. Le département, le lieu toujours central du pilotage pour le premier degré, remobilisé de manière
récente en faveur de l"école maternelle________________________________________________ 1504.1.3.1. L"inspecteur d"académie, directeur des services départementaux : un gestionnaire rigoureux
moins impliqué par les questions pédagogiques ______________________________________ 1504.1.3.2 L"IEN chargé de mission préélémentaire : un conseiller départemental qui a du mal à trouver
sa place______________________________________________________________________ 1514.1.3.3. Les inspecteurs et leurs équipes de circonscription : des acteurs essentiels, mais
insuffisamment mobilisés par la spécificité de l"école maternelle. ________________________ 153