The Project Gutenberg eBook 昆: Mémoire sur les Équations
et qu’il démontra l’impossibilité de résoudre algébriquement des équations générales de degré supérieur au quatrième(4) (1) Mémoires de l’Académie des Sciences de Paris, année 1771 (2) Mémoires de l’Académie des Sciences de Berlin, années 1770–71 (3) Oeuvres complètes d’Abel, 2e vol , p 265
TD 4 (4 PAGES - WordPresscom
Résoudre algébriquement l’équation 0,1+0,2+0,3=0,8 Interpréter le résultat 5) Par lecture graphique, déterminer la quantité d’objets à fabriquer pour que l’artisan réalise des bénéfices
I) Résoudre algébriquement des équations, des inéquations
Résoudre dans l’intervalle ] −π π;]l’inéquation 2 cos 2 x > Exercice 6 Résoudre dans l’intervalle ] −π π;]l’inéquation 2 sin 2 x ≤ Exercice 7 Résoudre dans l’intervalle [0 ;2 π]l’inéquation 1 sin 2 x < Exercice 8 Résoudre dans l’intervalle [0 ;2 π] l’inéquation cos 0x > II) Résoudre graphiquement des
2
On a tracé sur l’intervalle [ ] 0 ;2 π la représentation graphique de la fonction cosinus Résoudre graphiquement dans l’intervalle [ ] 0 ;2 π l’équation 1 cos 2 x = Correction : Graphiquement, on lit que les solutions sont € x 1 ≈1,05 (soit € x 1 = π 3) et € x 2 ≈ 5,25 (soit € x 2 = 5π 3) Exercice 10 On a
CTM 9 Equations - Wahamaths
On dit que l’équation est du 1er degré si le plus grand exposant de l’inconnue est 1 De même, l’équation sera du second degré si le plus grand exposant de l’inconnue est 2 et ainsi de suite Ex : x+ =1 2 est du 1 er degré car le plus grand exposant de l’inconnue est 1
TD :FONCTIONS - Généralités
2- puis l’inéquation fx3 3- Résoudre graphiquement l’équation fx 0 et l’inéquation fx 0t - Résoudre graphiqu em nt l’équation x 3 puis l’inéquation f x xd 3 Exercice28 : R par : f x x x 2 34 et g x x 3 12 1) Tracer Les courbes représentatives et C g Résoudre graphiquement et algébriquement l’équation f x g x
SUJETEXA
Soit dans C l'équation(E) — complexe du repère orthonormé direct (O; ï7, V) 1 a) Montrer que l'équaiion (E) admet deux racines réelles que l'on déterminera b) Résoudre dans C l'équation(E) 2 L'on désigne par A, Bet C les points d'affixes respectives l, 3, 2+ifi et —L a) Démontrer que le triangle IAB est un triangle
Exercices corrigés – Révisions – Thème : Second degré
L’aire totale de mon terrain étant de 525 m², déterminer la valeur de x en résolvant une équation du 2 nd degré Exercice 4 : 1°) Factoriser le polynôme P x( ) =5x3 −10 x² +5xà l’aide d’un facteur commun 2°) Résoudre l’équation x² −2x +1=0 3°) Résoudre l’équation P x( ) =0, en vous aidant des questions précédentes
Fonctions affines Exercices corrigés
L’ordonnée U du point $ se lit sur l’axe vertical des ordonnées du repère L’ordonnée U de $ est 5 L’abscisse T du point $ se lit sur l’axe horizontal des abscisses du repère L’abscisse T de $ est Ú Exercice 2 (1 question) Niveau : facile Correction de l’exercice 2
Exercices chap 1 barbazo
etjustifier la réponse à l'aide de l'une des formes pré- cédentes def(x) -6 est l'image de 0 par f L'équationf(x) = 0 admet exactement deux solutions est le minimum de la fonction La parabole ci-dessous tracée dans un repère ortho- normé, représente une fonction polynôme du second degréf
[PDF] resoudre algebriquement l'equation f(x)=g(x)
[PDF] résoudre algébriquement l'inéquation f(x) g(x)
[PDF] résoudre algébriquement l'inéquation f(x)>g(x)
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The Project Gutenberg EBook of Mémoire sur les équations résolubles algébriquement, by M. Despeyrous This eBook is for the use of anyone anywhere at no cost and with almost no restrictions whatsoever. You may copy it, give it away or re-use it under the terms of the Project GutenbergLicenseincluded with this eBook or online at www.gutenberg.org Title: Mémoire sur les équations résolubles algébriquement
Author: M. Despeyrous
Release Date: July 24, 2008 [EBook #26118]
Language: French
Character set encoding: ISO-8859-1
START OF THIS PROJECT GUTENBERG EBOOK MÉMOIRE SUR LES ÉQUATIONS***MÉMOIRE
SURLES ÉQUATIONS
RÉSOLUBLES ALGÉBRIQUEMENTPAR
M. DESPEYROUS
Ancien professeur à la Faculté des sciences de Toulouse.?Paris, 1887 Produced by Joshua Hutchinson, David Wilson and the Online Distributed Proofreading Team at http://www.pgdp.net (This etext was produced using images from the Cornell University Library: Historical Mathematics Monographs collection.)Transcriber"s notes
This e-text was created from scans of the book published at Paris in1887 by A. Hermann as part of theLibrairie Scientifiqueseries. The
book was printed by G. Gounouilhou of Bordeaux.The author"s footnotes are labelled numerically(
1) and are in French;
footnotes showing where corrections to the text have been made are labelled using printer"s marks *and are in English. The author uses a vinculumn-1pwhere modern usage would be to use parentheses(n-1)p. Details of minor typographical corrections are documented in the L ATEX source. This document is designed for two-sided printing. It can be recompiled for on-screen viewing: see comments in source LATEX code.
MÉMOIRE SUR LES ÉQUATIONS
RÉSOLUBLES ALGÉBRIQUEMENTLa solution de cette question générale,trouver toutes les équations de degré
premier résolubles algébriquement, fait l"objet de ce mémoire. Nous croyons que notre solution est exacte et complète, et nous avons l"espoir qu"elle sera jugée telle par les géomètres. La résolution des équations des quatre premiers degrés était connue depuis longtemps, lorsque Vandermonde et Lagrange lurent presque en même temps, l"unà l"Académie des Sciences de Paris(
1), l"autre à l"Académie des Sciences de Berlin(2),
leurs savantes recherches sur la résolution générale des équations. Par des méthodes différentes, ces deux grands géomètres arrivèrent à des résultats identiques; et,en particulier à celui-ci : "La résolution de l"équation générale du cinquième degré
dépend en dernière analyse d"une équation du sixième degré; et la résolution decelle-ci d"une équation du quinzième ou du dixième degré.» Mais est-ce là le dernier
degré de réduction auquel on puisse parvenir? On en était là lorsque le célèbre Gauss publia en 1801 sesDisquisitiones arith- meticae, qui contiennent dans la septième section la résolution algébrique des équa- tions binômes. Vingt-cinq ans plus tard l"illustre Abel s"occupa à son tour de la résolution algébrique des équations, comme le prouve la lettre qu"il écrivait, trois ans avant sa mort, à M. Holmboe : "Depuis mon arrivée à Berlin, je me suis occupé de lasolution du problème général suivant :trouver toutes les équations qui sont résolubles
algébriquement; ma solution n"est pas encore complète, mais autant que j"en puis juger, elle aboutira. Tant que le degré de l"équation est un nombre premier, la difficulté n"est pas très grande, mais lorsque ce nombre est composé, le diable s"en mêle(3).»
Nous devons ajouter qu"il ne réussit même pas lorsque le degré est premier, mais qu"il trouva, en généralisant les résultats de Gauss sur les équations binômes, une classe d"équations résolubles algébriquement, appelées aujourd"huiabéliennes,et qu"il démontra l"impossibilité de résoudre algébriquement des équations générales
de degré supérieur au quatrième( 4).(1)Mémoires de l"Académie des Sciences de Paris, année 1771.
2)Mémoires de l"Académie des Sciences de Berlin, années 1770-71.
3)Oeuvres complètes d"Abel, 2evol., p. 265.
4)Id., p. 5 et 114 du premier volume.1
2 MÉMOIRE SUR LES ÉQUATIONS
Enfin M. Liouville a publié en 1846, dans son journal, les oeuvres mathématiques de Gallois, dont la mort prématurée a été une véritable perte pour la science. Dans ces oeuvres, se trouve la démonstration de ce beau théorème : "Pour qu"une équation irréductible de degré premier soit soluble par radicaux, il faut et il suffit que toutes les racines soient des fonctions rationnelles de deux quelconques d"entre elles.» Mais la démonstration laisse beaucoup à désirer, elle a des lacunes, et il a fallu toute l"autorité de M. Liouville pour faire admettre l"existence du théorème. Nous avons encore de Gallois unfragmentsur les conditions de résolubilité des équations de degré composé; mais il est inintelligible, à l"exception des trois premières pages. Les remarquables travaux dont nous venons de parler nous ont fait hésiter longtemps à nous occuper de la question générale ci-dessus énoncée, mais nos recherches(1) sur lathéorie de l"ordreet sur l"application que nous en avons faite à
la classification des permutations qu"offrentmlettres en groupes de permutations inséparables quels que soient les échanges de ces lettres, fournissent une méthode pour la solution de cette question générale, et c"est le résultat des applications de cette méthode que nous soumettons au jugement des géomètres. Notre travail est divisé en deux sections : dans la première, après avoir rappelé l"indispensable théorie de Lagrange sur les fonctions semblables et dissemblables, nous exposons les principes de notre théorie sur les équations résolubles par radi- caux. Ces principes se composent de six théorèmes dont un seul, le cinquième, était connu et appartient à Gallois.Le but de ces principes est d"établir : 1
oque la résolution de toute équation algébrique, irréductible et soluble par radicaux dépendnécessairementde la résolu- tion d"une équation auxiliaire appeléerésolvante, dont les racines sont des fonctions rationnelles de celles de la proposée; 2 oque cette équation résolvante n"est décom- posable en facteurs de degrés moindres, qu"autant que les groupes de permutationsdes racines de l"équation proposée, relatifs à celles de l"équation résolvante, peuvent
être partagés en nouveaux groupes de permutationsinséparables. Ces deux théorèmes contiennent en germe la méthode qu"on doit suivre pour la détermination des conditions nécessaires et suffisantes pour qu"une équation al- gébrique et irréductible soit soluble par radicaux. Dans la deuxième section, nous développons cette méthode, et nous démontronsque les deux théorèmes de Lagrange, sur la théorie générale des équations, sont des
conséquences nécessaires de la théorie des équations, vérité(2) aperçue par ce grand
géomètre, et que nous mettons, ce nous semble, hors de doute.Ainsi nous démontrons : 1
oque pour résoudre une équation algébrique irré- ductible et de degré premiern, il est nécessaire et suffisant de résoudre deux équa-tions, l"une de degrén-1et l"autre de degré1·2·3···(n-2); 2oque pour résoudre
une équation algébrique irréductible et de degré composém=nq(nétant pre- mier) il est nécessaire et suffisant de résoudrenéquations de degréqet deux autres équations, l"une de degrén-1et l"autre de degréγdonné par la formule1)Journal de Mathématiques pures et appliquées, deuxième série, t. VI, p. 417; t. X, p. 55 et 177.
2)Traité de la résolution des équations numériques, 2eéd., p. 274.
RÉSOLUBLES ALGÉBRIQUEMENT 3
De là, et de notre théorème de la classification des permutations(1) nous déduisons
d"une manièredirecte, qu"il est impossible de résoudre algébriquement les équationsgénérales de degré supérieur au quatrième. Ce théorème, dû à Abel, comme nous
l"avons déjà dit, a été démontré par ce géomètre par la réduction à l"absurde;
plus tard, Wantzel en a donné une démonstration plus simple, mais ayant le même caractère. Notre démonstration est directe et elle est déduite de la nature même des choses, aussi est-elle simple et facile. Puisqu"il est impossible de résoudre algébriquement les équations générales de degré supérieur au quatrième, on doit chercher les conditions nécessaires et suff-isantes pour qu"une équation irréductible, de degré supérieur à quatre, soit résoluble
algébriquement, c"est-à-dire soluble par radicaux. Notre théorie de la classification des permutations nous fait d"abord retrouver une classe d"équations résolubles algébriquement, c"est celle des équations dites abéliennes, et la décomposition de ces équations en d"autres, de degrés moindres, selon la loi de Gauss. Puis nous distinguons dans cette recherche deux cas, celui où le degré est un nombre premier, et celui où il est composé. Dans le premier cas nous démontrons ce théorème :Pour qu"une équation irréductible et de degré premier soit soluble par radicaux, il faut et il suffit que, deux racines étant données, les autres s"en déduisent rationnellement suivant une loi que nous faisons connaître. Ce théorème, tel que Gallois l"avait énoncé, ne faisait pas connaître cette loi de dérivation des racines; c"est peut-être pour cette raison que la démonstration de cegéomètre laissait beaucoup à désirer : nous espérons que la nôtre sera à l"abri de ce
reproche. Ensuite, nous donnons,théorème XIV, les conditions nécessaires et suffisantes pour qu"une équation algébrique irréductible et dont le degré ne contient aucun des facteurs premiers deux et trois soit résoluble algébriquement. Enfin nous examinons les cas particuliers qui ne sont pas compris dans ce dernier théorème, et pour chacun d"eux nous donnons les conditions nécessaires et suff- isantes pour qu"une équation irréductible soit soluble par radicaux. C"est ainsi que nous complétons la solution de ce problème général :trouver toutes les équations résolubles algébriquement.(