[PDF] ROLE DE L’IDE DANS LE DISPOSITIF D’ANNONCE



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ROLE DE L’IDE DANS LE DISPOSITIF D’ANNONCE

l’annonce ou la confirmation du diagnostic et la remise de son programme personnalisé de soins (PPS) L’IDE devra prendre connaissance du dossier L’IDE se présentera en donnant son nom, sa qualification et expliquera les objectifs de la consultation, qui durera le temps nécessaire aux besoins du patient (maximum 1 heure)



QUEL EST LE RÔLE INFIRMIER LORS DE L’ANNONCE D’UN DIAGNOSTIC

intégrée dans l’annonce du diagnostic et que son rôle propre soit clairement défini À ce jour, au CHUV, ce n’est pas encore le cas dans tous les services De plus, pour l’infirmière non spécialisée en oncologie, une formation continue est proposée,



Le rôle clé de l’infirmière dans l’entretien d’annonce

L'annonce d'une maladie grave ou chronique est un élément majeur et douloureux dans la vie d'une personne Si l'énoncé du diagnostic est formulé par le médecin, l'IDE intervient de multiples façons dans le dispositif d'annonce Le rôle clé de l’infirmière dans l’entretien d’annonce u



L’annonce du diagnostic d’une maladie incurable et la

En quoi l’annonce du diagnostic d’une maladie incurable influe sur la relation soignant soigné ? Je vais donc dans un premier temps définir la maladie incurable et la relation qu’à l’homme avec celle-ci Dans un deuxième temps j’aborderai le thème du diagnostic, de son annonce et du travail de deuil qui lui est associé



Parcours de soins - Maladie chronique Annonce et

Préalables à l’annonce du diagnostic – Penser au projet de soins Même si le médecin connaît son patient, comme c’est le cas général (sauf en cas de nouveau patient) pour les médecins traitants, il est conseillé de consacrer un temps à la préparation de l’annonce



L’accompagnement après l’annonce

- iplôme d’tat Infirmier - Promotion Septembre 2013 – 2016 Institut de Formation en Soins Infirmiers – XXX LEBRANCHU Jean 1 « L’accompagnement après l’annonce » 1 TRAVAIL IN ’ TU S U E 3 4 S6 - U E 5 6 S6 - U E 4 8 S6 - U E 6 2 S6 Formateurs Guidant : Monsieur XXX / Madame XXX



Annoncer une mauvaise nouvelle

Lors de l’annonce sont en présence un ou des soignants, le patient et éventuellement, à son initiative, un accompagnant L’annonce est un travail d’équipe dans lequel le médecin a un rôle spécifique Il est préférable que le médecin qui réalise l’annonce soit expérimenté



ROLE DE L’IDE DANS LE DISPOSITIF D’ANNONCE EN ONCO-HEMATO

Suite à ce constat, une « consultation d’annonce infirmière » s’est mise en place D’abord initiée dans la cancérologie adulte, elle s’est vite imposée en pédiatrie Ce rôle de l’infirmier/ère dans le dispositif d’annonce fait référence aux mesures 32, 40 et 42 du Plan Cancer (Annexe)



Etude de la relation soignant-soigné suite à l’annonce d’un

« Un diagnostic de cancer c’est brutalement le futur qui s’obscurcit, tous les projets remis en cause, et, surtout, la pensée d’une mort prématurée que malades et entourage chassent de leur conscient, de leur parole, et qui pourtant revient à chaque instant »1 1 Dr SOLAL-CELIGNY, Philippe Cancer Pourquoi moi Docteur ? p 5

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52I( G( I·HBGB(B G$16 I( GH6326H7H) G·$1NONCE

BPA-1501-IDEDA Ƚ Version validée du 26/01/2015

I. 5{OH GH O·HG( SHQGMQP OM ŃRQVXOPMPLRQ PpGLŃMOH : ......................................................... 3

II. 5{OH GH O·HG( SHQGMQP OM ŃRQVXOPMPLRQ SMUMPpGLŃMOH : .................................................... 4

Annexe I : Mesures 32, 40 et 42 du Plan Cancer ................................................................. 6

Annexe II : Mécanismes de défense des malades .............................................................. 10

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CIBLE(S)

REDACTEUR(S)

Membres du groupe de travail

BIRONIEN L., LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP H.I.A. Desgenettes - Lyon ; CARRIE A.M., LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP FHQPUH Hospitalier de Montélimar - Montélimar ; GUYON Danica, LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP Centre Hospitalier de Valence - Valence ; LAURENCIN Eliane, LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP, Centre HRVSLPMOLHU G·$QQRQM\ - Annonay ;

MARCHAND Fabien, LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP, Centre Hospitalier de Montélimar - Montélimar ;

PORGE Sylvie, LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP Centre Hospitalier de Belley -Belley ;

SEINCE Eliane, infirmière diplômée G·pPMP, Centre Hospitalier St Joseph - St Luc - Lyon ;

VILLAREAL Sylvie, I LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP, Centre Hospitalier de Valence ² Valence.

Relecteurs

HERVEY M.L., directeur des soins, Clinique Générale - Annecy ;

3(5(11(F 0B(B LQILUPLqUH GLSO{PpH G·pPMP F5IFF IpRQ %pUMUG ² Lyon ;

TALON A., directeur des soins, Centre Léon Bérard, Lyon. " 5{OH GH O·HBGB(B GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH » Version validée du 26/01/2015

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IH U{OH GH O·LQILUPLqUH GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH fait référence aux mesures 32, 40 et 42 du Plan

Cancer (Cf. annexe I : Mesures 32,40 et 42 du Plan Cancer p 6)

HO V·MJLP GX PHPSV G·MŃŃRPSMJQHPHQP VRLJQMQP GX GLVSRVLPLI G·MQQRQŃHB F·HVP XQH SULVH HQ ŃOMUJH

personnalisée du patient qui se compose de TXMPUH M[HV SULQŃLSMX[ O·pŃRXPH O·LQIRUPMPLRQ OH

VRXPLHQ HP O·RULHQPMPLRQB

I·HG( SHXP assister à la consultation médicale et peut ainsi être présentée au patient et à sa famille.

Cependant HOOH LQPHUYLHQP GMQV XQ GHX[LqPH PHPSV ORUV G·XQH ŃRQVXOPMPLRQ SMUMPpGLŃMOHB I. ROLE DE L·HG( PENDANT LA CONSULTATION MEDICALE : (si sa présence est possible et/ou admise) ¾ (PUH j O·pŃRXPH GHV PHUPHV HPSOR\pV par le médecin, le patient et toute autre personne présente.

¾ 2NVHUYHU UpMŃPLRQV HP ŃRPSRUPHPHQP GX SMPLHQP HP GH OM SHUVRQQH TXL O·MŃŃRPSMJQH afin de

percevoir les ressources de chacun.

Le patient sortira de la consultation médicale avec éventuellement un rendez-vous ou les coordonnées

pour prendre un rendez-vous en consultation paramédicale. " 5{OH GH O·HBGB(B GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH » Version validée du 26/01/2015

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II. ROLE DE L·HG( PENDANT LA CONSULTATION PARAMEDICALE :

¾ $YMQP OM SULVH HQ ŃOMUJH SMU O·HG( OH SMPLHQP MXUM HX ORUV GH OM ŃRQVXOPMPLRQ PpGLŃMOH

O·MQQRQŃH RX OM confirmation du diagnostic et la remise de son programme personnalisé de soins (PPS). ¾ I·HG( GHYUM SUHQGUH ŃRQQMLVVMQŃH GX GRVVLHUB

¾ I·HG( VH SUpVHQPHUM HQ GRQQMQP VRQ QRP VM TXMOLILŃMPLRQ HP H[SOLTXHUM OHV RNÓHŃPLIV GH OM

consultation, qui durera le temps nécessaire aux besoins du patient (maximum 1 heure). ¾ Le patient pourra être accompagné par la personne ou les personnes de son choix.

¾ Cette consultation devra se faire dans un lieu dédié, chaleureux, et dans lequel on évitera

toute source de perturbation (téléphone, bip) en précisant sur une pancarte " ne pas

déranger » (peut avoir lieu dans la chambre sous réserve du respect des mêmes conditions).

¾ I·HG( GHYUM pPMNOLU XQH UHOMPLRQ GH ŃRQILMQŃH SMU XQ MŃŃXHLO SHUVRQQMOLVp HP ŃOMOHXUHX[B

¾ Elle assurera le SMPLHQP HP VRQ SURŃOH GX VRXPLHQ GH O·pTXLSH SOXULGLVŃLSOLQMLUH PRXP MX ORQJ

du programme de soins.

¾ (OOH IMYRULVHUM O·pŃOMQJH OXPMLQ HQ pYLPMQP PRXP RNÓHP V\PNROLVMQP XQH NMUULqUH NXUHMX.

$SUqV O·MŃŃXHLO O·HG( YM :

¾ (ŃRXPHUB FH PHPSV G·pŃRXPH RIIUH Mu patient un moment pour parler de lui, de son entourage,

de ses inquiétudes familiales, sociales, professionnelles.

¾ (QŃRXUMJHU OH SMPLHQP j OM UHIRUPXOMPLRQ MILQ G·pYMOXHU OHV ŃRQQMLVVMQŃHV HP VRQ QLYHMX GH

ŃRPSUpOHQVLRQ ŃH TX·LO M HQPHQGX HP ŃRPSULV GH sa maladie et de son projet thérapeutique

(PPS). ¾ 5HSpUHU ŃRPPHQP LO VH SRVLPLRQQH SMU UMSSRUP j OM PMOMGLH UHIXV VPMGH G·MGMSPMPLRQ HP MX[ répercussions que celle-ci va entraîner sur sa vie familiale et sociale.

¾ Déceler les mécanismes de défenses mis en place par le patient face à sa nouvelle situation.

(cf. annexe II : Mécanismes de défense des malades p 10).

¾ (YMOXHU OHV UHVVRXUŃHV GX SMPLHQP HP VH UHQVHLJQHU VXU OM SRVVLNLOLPp G·XQ VRXPLHQ SMU VHV

proches. ¾ Etre attentif aux réactions non verbales du patient. ¾ $LGHU j IRUPXOHU VHV LQTXLpPXGHV IMPLOLMOHV VRŃLMOHV " HP H[SULPHU VHV pPRPLRQV ŃROqUH

SHXU ".

¾ Rassurer.

¾ Répondre aux différentes questions concernant la prise en charge et le déroulement des soins,

les thérapeutiques, les effets secondaires des traitements, le matériel utilisé. " 5{OH GH O·HBGB(B GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH » Version validée du 26/01/2015

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¾ HQIRUPHU GH O·H[LVPHQŃH G·XQH pTXLSH GH VRLQV GH VXSSRUPV MVVLVPMQPHV VRŃLMOHV SV\ŃORORJXHV

" MYHŃ UHPLVH G·XQ GRŃXPHQP RZ VHURQP UMVVHPNOpHV OHV ŃRRUGRQQpHV GHV GLIIpUHQPV

professionnels, les lieux et les sourceV G·LQIRUPMPLRQV OHV MVVRŃLMPLRQV GH SMPLHQPB ¾ Faire un recueil de données pour repérer les situations personnelles à risque.

¾ Si les conditions le permettent et selon le désir du patient, lui présenter les locaux où il sera

pris en charge.

¾ Donner au patienP OH OLNUH ŃORL[ G·XQH QRXYHOOH ŃRQVXOPMPLRQ RX OM SRVVLNLOLPp GH ÓRLQGUH O·HG(

par téléphone. ¾ Faire une évaluation sociale pour dépister précocement les situations à risque.

¾ Aborder les projets de vie du patient.

Après la consultation, établir la synthèse des informations recueillies et en fonction des problèmes

ciblés, noter les orientations proposées (exemple : diététicienne si perte de poids).

FH GRŃXPHQP VHUYLUM GH OLMLVRQ MYHŃ O·pTXLSH SOXULGLVŃLSOLQMLUH HP VHUM ŃOMVVp GMQV OH GRVVLHU GX

patient.

¾ Le U{OH GH O·HG( GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH V·LQVŃULP MX VHLQ G·XQH GpPMUŃOH GH TXMOLPp GMQV

la prise en charge pluridisciplinaire du patient. Elle permet la circulation des informations

GMQV OH UHVSHŃP GH OM ŃRQILGHQPLMOLPp HP OM UHQŃRQPUH MYHŃ G·MXPUHV Srofessionnels. Elle offre

des repères au patient, cependant elle ne doit pas le rendre dépendant des soignants, mais favoriser un partenariat de soins.

¾ (OOH SHUPHP G·MVVXUHU OM ŃRQPLQXLPp HQPUH OH PHPSV GH O·MQQRQŃH HP ŃHOXL GHV PUMLPHPHQPV PLV

HQ ±XYUH SMU OHV pTXLSHV G·ORVSLPMOLVMPLRQVB " 5{OH GH O·HBGB(B GMQV OH GLVSRVLPLI G·MQQRQŃH » Version validée du 26/01/2015

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ANNEXE I : MESURES 32, 40 ET 42 DU PLAN CANCER

Les Centres de Coordination en Cancérologie

1. Coordination systématique des acteurs de soins

Mesure 32: Identifier des Centres de Coordination en Cancérologie (3C) dans chaque établissement traitant des patients cancéreux.

Actions: Ces centres de coordination auront plusieurs missions : - coordination médicale de la

cancérologie au sein de l'établissement (ou du réseau), et en particulier des réunions de concertation

multidisciplinaire en cancérologie ; - assurance qualité du programme personnalisé de soins pour

chaque patient ; - suivi individualisé des patients, en apportant une aide et un soutien dans la prise

en charge ; - suivi au sein de l'établissement de la mise eQ ±XYUH GX SOMQ ŃMQŃHU MYHŃ GRQQpHV

chiffrées d'activité et de qualité. Chaque patient pourra ainsi, soit directement, soit par

l'intermédiaire de son médecin traitant, contacter le centre de coordination pour tout renseignement

utile le concernant. L'identification d'un médecin référent sera recherchée dans le cadre des 3C, afin

que les patients bénéficient d'un contact médical unique. De même, un contact patient, assuré par

une association reconnue par l'hôpital sera recherché par les 3C. Le médecin référent et le contact

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