[PDF] « Matin brun » : analyse de la fin de l’œuvre - correction



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MATIN BRUN de Frank Pavloff - ac-normandiefr

Matin Brun est une nouvelle, ’est don un texte tès out pages L’auteu ne ped pas de temps à pésente les pesonnages le naateu et son ami halie, le lieu ou l’époue du récit L’in ipit de la nouvelle est don un in ipit « in media es », on ente die tement au œu de



« Matin brun » : analyse de la fin de l’œuvre - correction

« Matin brun » : analyse de la fin de l’œuvre - correction Problématique : Comment l’allégorie prend-elle tout son sens à la fin de l’œuvre? Introduction : La dernière partie de « Matin Brun » s’ouvre sur une ultime interdiction rétroactive: celle d’emprisonner tout ancien possesseur d’un animal non brun



Matin Brun de Franck Pavloff - Free

brun dehors » est associé à « j'ai peur » La clôture explique ainsi le titre Matin brun La métaphore de la couleur indique qu'un nouveau jour se lève, une nouvelle ère sombre, dominée par le brun Tout est devenu uniforme 6 Comparaison du début et de la fin Le début et la fin s’opposent et se complètent :



MATIN BRUN - eppeeouvatonorg

MATIN BRUN Les jambes allongées au soleil, on ne parlait pas vraiment avec Charlie, on échangeait des pensées qui nous couraient dans la tête, sans bien faire attention à ce que l’autre racontait de son côté Des moments agréables où on laissait filer le temps en sirotant un café Lorsqu’il m’a dit qu’il avait dû faire



Lecture de « Matin Brun » et questions

Lecture de « Matin Brun » et questions (adapté d’un travail de N Perek) Matin Brun, de Franck Pavloff, est une nouvelle brève (10 pages) de la littérature engagée, publiée en 1998 Elle fait 10 pages Elle raconte l’histoire de deux amis à une époque et un lieu indéterminés L’action est cependant censée se



: l’apologue (du ge apo fabula - Cours de français

Analyse de Matin Brun Ce court récit est une fable animalière (comme "La ferme des animaux" de George Orwell), qui montre de manière métaphorique, allégorique, comment un régime totalitaire peut s'installer sans qu'on y prenne garde C'est un apologue: l’apologue (du ge apo logos, « récit détaillé ») est synonyme de «



Matin Brun - WordPresscom

Matin Brun Franck Pavloff Questions de compréhension (aide à la lecture) : 1 Pour quelle raison Charlie et le narrateur ont-ils mis fin aux jours de leur animal domestique ? 2 Quel est l’état d’esprit des deux personnages au début de la nouvelle ? 3 Le récit nous apprend qu’il n’existe plus qu’un journal, Nouvelles brunes

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" Matin brun » : analyse de la fin de l - correction

Problématique : - ?

Introduction : La dernière partie de " Matin Brun » : celle semble atteindre ici son point culminant.

I- Une loi rétroactive

1) La nouvelle règle est que lon est coupable si lon a déjà possédé un animal brun ou si lon connait quelquun qui

en a possédé un. Cest totalement absurde car il devient presque impossible dêtre innocent ! Cela englobe

beaucoup trop de coupables potentiels ! De plus, on ne peut pénaliser quelquun pour un acte commis avant la

promulgation dune loi !

2) " Charlie fait sûrement partie des cinq cents personnes qui ont été arrêtées ». Cela fait référence à la Shoah

(déportation des juifs durant la 2nde Guerre Mondiale). Il est probable que Charlie ait été dénoncé par un voisin peu

scrupuleux

3) " délit ». Tout dabord, il faut différencier le délit (vol,

arnaque) du crime (meurtre, viol).

- Tout dabord, posséder un animal nest absolument pas un délit ! Cette loi est totalement absurde.

- Même en considérant quil sagit dun délit, cet état autoritaire traite les coupables comme des criminels en

appliquant des peines démesurées (enfermement et possible peine de mort !)

II- Une prise de conscience tardive

4) " Là, ils exagèrent ! ». Le narrateur ouvre enfin les yeux. Toutefois, sa réaction est dérisoire face à une telle

situation. Il réagit comme sil était victime dun petit dérangement alors quil est face à une déportation de masse !

5) " On aurait dû dire non » : il sagit du conditionnel passé. La valeur est : irréel du passé (Je vous invite vivement

à revoir cette fameuse leçon sur les subordonnées circonstancielles de condition, car je sais que vous ouvrez des

yeux ronds en lisant cette réponse, en pensant " ça, on ne la pas vu ! ». Alors quon la pourtant vu, je vous

lassure !)

6) Le narrateur explique quà cause de la routine quotidienne et du travail, on ne réalise pas quune dictature se met

en place. De plus, ces mesures autoritaires se sont échelonnées progressivement. " Ca va si vite, il y a le boulot,

la vie de tous les jours ».

7) " Ça va si vite ; il y a le boulot, la vie de tous les jours. »

Le temps est le présent de lindicatif. Il sagit dun présent de vérité générale.

8) A la fin du texte, on frappe à la porte du narrateur. Il sagit très probablement de la milice. On la dénoncé, lui aussi !

Il risque dêtre emprisonné, déporté et peut-être tué Cette fin ouverte permet de maintenir un certain suspense.

De plus, le lecteur est frustré et angoissé, à limage du narrateur qui ignore encore ce qui lattend derrière cette

porte.

9) Grammaire : " Mais ».

Il sagit du discours indirect libre. Ici, tout se précipite, et le discours se mêle à la narration. Cela crée une hausse de rythme,

lequel sera brusquement interrompu par le point final de la nouvelle ! Frustrant, nest-ce pas ? Discours indirect libre : discours intégré à la narration, sans guillemets ni tirets.

Conclusion :

insidieusement rongé par le totalitarisme. Argumentation indirecte mais efficace, cette allégorie revêt un aspect

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