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Las cosas Una historia de los años sesenta

Georges Perec Traducido por Jesús López Pacheco Editorial Seix Barral, Barcelona, 1967 Título original: Les choses René Julliard, París, 1965 La paginación se corresponde con la edición impresa Se han eliminado las páginas en blanco



B-Dictée et exercices - Les choses - Perec - FRS1252

Dictée et exercices - Les choses de George Perec, 1965 ↪ Corrigez votre transcription de cet extrait Vérifiez, dans un dictionnaire, les mots dont vous ne connaissez pas le sens Tentez de comprendre les erreurs que vous avez commises ↪ Faites les exercices proposés des pages suivantes Vous remettrez vos réponses, dans votre chemise, au



LES CHOSES, de Georges Perec - voixauchapitre

LES CHOSES, de Georges Perec Raymond Jean, Le Monde , 16 octobre 1965 Georges Perec a réfléchi aux problèmes du roman contemporain, comme on a pu le voir dans



Oblique et contrainte : ce que recèlent Les Choses de

« Oblique et contrainte : ce que recèlent Les Choses de Georges Perec » Thélème Revista Complutense de Estudios Franceses, 32(1), 59-70 Àpeine Les Choses avaient-elles paru que l’auteur de ce succès de librairie était catégorisé comme un spécialiste de la société de consommation, c’est-à-dire, Thélème



Georges Perèc, Pensar y clasificar

2 PEREC, Georges, La vida instrucciones de uso, Ed Hachette, Madrid, 1987 3 Georges Perèc nace el 7 de marzo de 1936 en París, de padres polacos 4 PEREC, Georges, Les choses, Paris: Julliard, 1965 5 QUENEAU, Raymond, escritor y matemático francés Tras un primer contacto con el surrealismo,



Cahier Georges Perec

CAHIERS GEORGES PEREC édités sous les auspices de l'Association Georges Perec (Bibliothèque de l'Arsenal-1, rue de Sully, 75004 Paris) 1 COLLOQUE DE CERISY juillet 1984 Ouvrage publié avec le concours du Centre National des Lettres P O L 26, rue Jacob, Paris 6e



Activités : dire, écrire, lire Travail personnel

Préparation Georges Perec, Les choses Recherche de l’extrait n°3 Choisissez soigneusement, dans le livre, un extrait de 30 à 50 lignes Il devra répondre aux exigences suivantes : constituer une certaine unité, avoir une cohérence, être, d’une manière ou d’une autre, intéressant, riche de sens, se distinguer



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des recueils édités après la disparition de Georges Perec, le 3mars 1982 Classant le monde pour le comprendre, Georges Perec n’a cessé de bouleverser les conventions du sensible et des hiérarchies établies Son regard confère aux êtres et aux choses de tous les jours une densité inattendue qui trouble et émerveille

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LA LIBRAIRIE DU XXI

e

SIÈCLE

Collection

dirigée par MauricÈe Olender

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Georges Perec

Penser/Classer

Éditions du SeuilExtrait de la publication

La première édition Ède ce recueil postÈhume a été publiée par MÈaurice Olender dans la coll. "Textes du

XXŒsiècle», Hachette, 1985

ISBN1°Œpublication 2-01-011554-6

ISBN

© Éditions du Seuil, Èmai 2003

Le Code de la propÈriété intellectuelÈle interdit les coÈpies ou reproductiÈons desti-nées à une utilisation collective. Toute représentation ou reproduction intégraleou partielle faite par quelque procédé que ce soit, sans le consentement de l"au-teur ou de ses ayants cause, est illicite et constitue une contrefaçon sanctionnéepar les articles L. 335-2 et suivants du Code de la propriété intellectuelle.

www.seuil.com978-2-02-106847-4Extrait de la publication LAIBRE DU XeSÈC Penser/ClasserolUctRtAD BD inDdRDn rDc nDoADRBc ErRtEc ginéc Bg rRcignRtRlU rD pDlnaDc LDnDoC

BD M dgnc XeSuO

GBgccgUt BD dlUrD ilAn BD oldinDUrnDC pDlnaDc LDnDo Usg oDccE rD IlABDPDncDn BDc olUPDUtRlUc rA cDUcRIBD Dt rDc /REngno/RDc EtgIBRDcO ÉlU nDagnr olUménD gAè htnDc Dt gAè o/lcDc rD tlAc BDc blAnc AUD rDUcRtE RUgttDUrAD .AR tnlAIBD

Dt EdDnPDRBBDO

"D clddgRnD rA PlBAdD g EtE EtgIBR gPDo BsgRrD gdRT ogBD rsxnRo »DgAdgtRUC rD ,gnoDB »EUgIlA Dt rsxHg

LgHBR1lHc1gO

9gUc oDttD UlAPDBBD ErRtRlUC Penser/Classer tnlAPD

cg iBgoD gAinéc rDc cDit nDoADRBc ilct/AdDc rEb8 iAIBREc rgUc 5"g "RIngRnRD rAÈ

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0D nDdDnoRD igntRoABRénDdDUt xBg »RDUDUmDBr rsgPlRn

nDUrA ilccRIBD BD nDanlAiDdDUt UEoDccgRnD rD oDc PlBAdDcO M. O.

Extrait de la publication

Notes sur ce que je cÈherche

Si je tente de définir ce que j"ai cherché à faire depuis que j"ai commenÈcé à écrire, la premiÈère idée qui me vient à l"esprit est que je n"ai jamais écrit deux livres semblables, que je n"ai jamais eu envie de répéter dans un livre une formule, un système ou une manière élaborÈés dans un livre prÈécédent. Cette versatilité systématique a plusieurs fois dérouté certains critiques soucieux de retrouver d"un livre à l"autre la "patte» de l"écrivain; et sans doute a-t-elle aussi décontenancé quelques-uns de mes lec- teurs. Elle m"a valu la réputation d"être une sorte d"ordinateur, une machine à produire des textes. Pour ma part, je me comparerais plutôt à un paysan qui cultiverait plusieurs champs; dans l"un il ferait des betteraves, dans un autre de la luzerne, dans un troisième du maïs, Èetc. De la même manièreÈ, les livres que j"ai écrits se rattachent à quatre champs différents, quatre modÈes d"interrogation Èqui posent

9Extrait de la publication

peut-être en fin de compte la même question, mais la posent selon des perspectives particulières corres- pondant chaque fois pour moi à un autre type de tra- vail littéraire. La première de ces iÈnterrogations peutÈ être qua- lifiée de "sociologique»: comment regarder le quotidien; elle est au départ de textes comme "Dc G/lcDcC xciéoDc rsDcigoDcC 4DUtgtRPD rD rDconRitRlU rD .ADB.ADc BRDAè ignRcRDUc , et du travail accompli avec l"équipe de GgAcD olddAUD autour de Jean Duvi- gnaud et de Paul Virilio; la seconde est d"ordre autobiographique: 6 lA BD clAPDURn rsDUmgUoDC "g »lAtR.AD lIcoAnDC 0D dD clAPRDUcC "RDAè l7 bsgR rlndR, etc.; la troisième, ludique, renvoie à mon goût pour les contraintes, les prouesses, les "gammes», à tous les travaux dont les recherches de l"OuLiPo m"ont donné l"idée et les moyens: palindromes, lipo- grammes, pangrammes, anagrammes, isogrammes, acrostiches, mots croisés, etc.; la quatrième, enfin, concerne le romanesque, le goût des histoires et des péripéties, l"envie d"écrire des livres qui se dévorent à plat ventre sur son lit;"g ©RD dlrD rsDdiBlR en est l"exemple type. Cette répartition est quelque peu arbitraire et pourrait être beaucoup plus nuancée: presque aucun de mes livres n"échappe tout à fait à un cer- tain marquage autobiographique (par exemple en insérant dans un chapitre en cours une allusion à un événement survenu dans la journée); presque aucun non plus ne se fait sans que j"aie recours à telle ou

PENSER/CLASSER

10Extrait de la publication

telle contrainte ou structure oulipienne, ne serait- ce qu"à titre symbolique et sans que ladite structure ou contrainte me coÈntraigne en quoi queÈ ce soit.

En fait, me semble-t-il, au-delà de ces quatre

pôles qui définissent les quatre horizons de mon travail - le monde qui m"entoure, ma propre his- toire, le langage, la fiction -, mon ambition d"écri- vain serait de parcourir toute la littérature de mon temps sans jamais avoir le sentiment de revenir sur mes pas ou de remarcher dans mes propres traces, et d"écrire tout ce qui est possible à un homme d"aujourd"hui d"écrire: des livres gros et des livres courts, des romans et des poèmes, des drames, des livrets d"opéra, des romans policiers, des romans d"aventures, des romans de science-fiction, des feuilletons, des livrÈes pour enfants... Je n"ai jamais été à l"aise pour parler d"une manière abstraite, théorique, de mon travail; même si ce que je produis semble venir d"un programme depuis longtemps élaboré, d"un projet de longue date, je crois plutôt trouver - et prouver - mon mouvement en marchant: de la succession de mes livres naît pour moi le sentiment, parfois récon- fortant, parfois inconfortable (parce que toujours suspendu à un "livre à venir», à un inachevé dési- gnant l"indicible vers quoi tend désespérément le désir d"écrire), qu"ils parcourent un chemin, bali- sent un espace, jalonnent un itinéraire tâtonnant, décrivent point par point les étapes d"une recherche dont je ne saurais dire le "pourquoi» mais seule- 11

NOTES SUR CE QUE JE CHERCHE

ment le "comment»: je sens confusément que les livres que j"ai écrits s"inscrivent, prennent leur sens dans une image globale que je me fais de la littéra- ture, mais il me semble que je ne pourrai jamais sai- sir précisément cette image, qu"elle est pour moi un au-delà de l"écriture, un "pourquoi j"écris» auquel je ne peux répondre qu"en écrivant, différant sans cesse l"instant même où, cessant d"écrire, cette image deviendrait visible, comme un puzzle inexo- rablement achevé.

PENSER/CLASSER

De quelques emplois

du verbe habiter Si je passe devant l"immeuble dans lequel je demeure, je peux dire 5bs/gIRtD B8- ou, plus précisé- ment, 5bs/gIRtD gA inDdRDnC gA mlUr rD Bg olAn-; et si je souhaite donner un tour plus administratif à cette assertion, je peux dire 5bs/gIRtD gA mlUr rD Bg olAnC

DcogBRDn GC ilntD mgoD-O

Si je suis dans ma rue, je peux dire 5bs/gIRtD B8T IgcC gA XM- ou5bs/gIRtD gA XM- ou5bs/gIRtD 8 BsgAtnD IlAt rD Bg nAD- ou5bs/gIRtD 8 o3tE rD Bg ÈiRààDnRg-O Si quelqu"un à Paris me demande où je crèche, j"ai le choix entre une bonne dizaine de réponses. Je ne saurais dire 5bs/gIRtD nAD "RUUE-qu"à quelqu"un dont je serais sûr qu"il connaît la rue Linné; le plus souvent, je serais amené à préciser la situation géographique de ladite rue. Par exemple: 5bs/gIRtD nAD "RUUEC 8 o3tE rD Bg oBRUR.AD ÉgRUtTvRBgRnD-(bien connue des chauffeurs de taxi) ou 5bs/gIRtD nAD "RUUEC osDct 8 0AccRDA- ou 5bs/gIRtD nAD "RUUEC 8 o3tE rD Bg

13Extrait de la publication

mgoABtE rDc coRDUoDc- ou bien5bs/gIRtD nAD "RUUEC inéc rA bgnrRU rDc LBgUtDc- ou encore 5bs/gIRtD nAD "RUUEC igc BlRU rD Bg dlc.AED-O Dans des circonstances plus exceptionnelles, je pourrais même être amené à dire

5bs/gIRtD BD È

D - ou 5bs/gIRtD rgUc BD oRU.ARédD gnnlUT rRccDdDUt-ou 5bs/gIRtD gA fAgntRDn BgtRU-C voire

5bs/gIRtD cAn Bg nRPD ÈagAo/D-O

De n"importe où en France (sinon précisément de Paris et de sa proche banlieue) je pense être à peu près sûr de me faire Ècomprendre en disanÈt 5bs/gIRtD LgnRc-ou5bs/gIRtD 8 LgnRc- (il y a une différence entre ces deux manières de dire, mais laquelle?). Je pourrais également Èdire,

5bs/gIRtD Bg ogiRtgBD-È(je ne

crois pas l"avoir jamais fait), et rien ne m"interdit d"imaginer que je pourrais aussi dire 5bs/gIRtD Bg ©RBBD "AdRénD- ou 5bs/gIRtD Bg PRBBD .AR bgrRc csgiiDBgRt "AtéoD- , bien que cela ressemble plus à un début de roman qu"à une indication d"adresse. Par contre, je risque fort de ne pas être compris si je dis des choses comme 5bs/gIRtD ign qS"Èy rD BgtRtArD Ulnr Dt u"uy rD BlUaRtArD Dct- ou5bs/gIRtD 8 Sey 1RBldétnDc rD »DnBRUC uçyy rD GlUctgUtRUliBD Dt Xqqq rD ,grnRr-O Si j"habitais Valbonne, je pourrais dire 5bs/gIRtD Bg G3tD rswàAn- ou5bs/gIRtD 8 o3tE rswUtRIDc-O Mais, habitant Paris même, je ne peux pas dire 5bs/gIRtD Bg nEaRlU ignRcRDUUD- ni 5bs/gIRtD rgUc BD »gccRU ignRT cRDU-ni même 5bs/gIRtD BD rEigntDdDUÈt rD Bg ÉDRUD-O

Je ne vois pas très bien non plus dans quelles

circonstances il pourrait être pertinent de dire

5bs/gIRtD gA Ulnr rD Bg "lRnD-O

PENSER/CLASSER

14Extrait de la publication

50s/gIRtD Bg jngUoD- ou5bs/gIRtD DU jngUoD-: je

pourrais avoir à donner cette information de n"im- porte quel point situé hors de "l"Hexagone», même si je suis, officiellement, en France (par exemple dans un D. O. M.); ce ne saurait être que par boutade que je pourrais dire 5bs/gIRtD BsvDègT alUD- ; par contre, si j"étais corse habitant Nice ou rhétais habitant La Rochelle, je pourrais très bien dire

5bs/gIRtD BD olUtRUDUt-OÈ

50s/gIRtD DU xAnliD-: ce type d"information

pourrait intéresser un Américain que je rencontre- rais, par exemple, à l"ambassade du Japon à Can- berra. "Oh, you live in Europe?» répéterait-il, et je serais sans doute amené à préciser "I am here only for a few (hours, dÈays, weeks, months.)»

50s/gIRtD Bg iBgUétD 4DnnDO-Aurais-je un jour

l"occasion de dire cela à quelqu"un? Si c"est un "3 etype» descendu dans notre bas monde, il le saurait déjà. Et si c"est moi qui me trouve quelque part du côté d"Arcturus ou de KX1809B1, il faudra très certainement que je précise 5bs/gIRtD Bg tnlRT cRédD "Bg cDABD /gIRtED rsgRBBDAnc; rDc iBgUétDc inRUoRigBDc rA cêctédD clBgRnD rgUc BslnrnD onlRccgUt rD BDAn rRctgUoD gA clBDRB- ou 5bs/gIRtD AUD rDc iBgUétDc rsAUD rDc iBAc bDAUDc EtlRBDc UgRUDc bgAUDc cRtAEDc DU IlnrAnD rsAUD agBgèRD rsRdilntgUoD dErRlonD tlAt 8 mgRt gnIRtngRnDdDUt rEcRaUED clAc BD Uld rD ©lRD BgotED-O Et il y aurait à peu près une chance sur cent mille millions de mil- liards (c"est-à-dire seulement 10

20) pour qu"il me

réponde: "Ah oui, la ÈTerre...» DE QUELQUES EMPLOIS DU VERBE HABITERExtrait de la publication

Extrait de la publication

Notes concernant les objetÈs qui sont sur ma tableÈ de travail

Il y a beaucoup d"objets sur ma table de travail.

Le plus ancien est sans doute mon stylo; le plus

récent est un petit cendrier rond que j"ai acheté la semaine dernière; il est en céramique blanche et son décor représente le monument aux martyrs de Beyrouth (de la guerre de 14, je suppose, pas encore de celle quiÈ est en train d"éclÈater). Je passe plusieurs heures par jour assis à ma table de travail. Parfois je souhaiterais qu"elle soit la plus vide possible. Mais le plus souvent, je préfère qu"elle soit encombrée, presque jusqu"à l"excès; la table elle-même est faite d"une plaque de verre longue d"un mètre quarante, large de soixante-dix centimètres, posée sur des tréteaux de métal. Sa sta- bilité est loin d"être parfaite et il n"est pas mauvais, en fin de compte, qu"elle soit chargée ou même sur- chargée: le poids des objets qu"elle supporte contri- bue à la maintenir d"Èaplomb. 17 Je range encore assez souvent ma table de travail. Cela consiste à poser ailleurs tous les objets et à les remettre en place un à un. J"essuie la table de verre avec un chiffon (parfois imbibé d"un produit spé- cial) et je fais de même avec chaque objet. Le pro- blème est alors de décider si tel objet doit ou non être sur la table (ensuite il faudra lui trouver sa place, mais cela n"esÈt généralement pas Èdifficile). Cet aménagement de mon territoire se fait rare- ment au hasard. Il correspond le plus souvent au début ou à la fin d"un travail précis; il intervient au cœur de ces journées flottantes où je ne sais pas très bien si je vais m"y mettre et où je me raccroche à ces seules activités de repli: ranger, classer, mettre de l"ordre. C"est dans ces instants-là que je rêve d"un plan de travail vierge, intact: chaque chose à sa place, rien de superflu, rien qui dépasse, tous les crayons bien taillés (mais pourquoi avoir plusieurs crayons? en un seul regard j"en vois six!), tous les papiers empilés ou, mieux encore, pas de papier du tout, seulement un cahier ouvert sur une page blanche (mythe des tables impeccablement lisses des présidents-directeuÈrs généraux: j"en ai vu unequotesdbs_dbs5.pdfusesText_10