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Contes cruels ; Nouveaux contes cruels

Contes cruels ; Nouveaux contes cruels Les demoiselles de Bienfilâtre 6 petit chien, les autres rien Vous eussiez dit qu'elles attendaient quelqu'un



THE POETICS OF FAILURE IN THE CONTES CRUELS OF VILLIERS DE L

Verlaine, ou Villiers de 1'Isle-Adam, que j'avals rencontre chez Mallarme, c'est-a-dire un vaincu "^ This indirect reference to Villiers de 1'Isle-Adam by Paul Claudel reflects a negative judgment which seems to have been shared by many of the writers who personally knew the author of the Contes cruels and by several of the critics who



Contes Cruels By Villiers De L Isle Adam - Maharashtra

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Auguste DE VILLIERS DE L’ISLE-ADAM « Véra », in Contes Cruels

in Contes Cruels, 1886 Il regardait, par la croisée, la nuit qui s’avançait dans les cieux : et la Nuit lui apparaissait per-sonnelle ; elle lui semblait une reine marchant, avec mélancolie, dans l’exil, et l’agrafe de dia-mant de sa tunique de deuil, Vénus, seule, brillait, au-dessus des arbres, perdue au fond de l’azur



Naslee - filumkgacrs

Pour les Contes cruels suivis des Nouveaux contes cruels, nous renverrons à l’ édition Classiques Garnier de P -G Castex (Paris, 1980) Pour Tribulat Bonhomet, ce sera l’ édition Marabout (Verviers, 1973) Pour les autres titres, nous renverrons à l’édition des Œuvres complètes de Villiers parue dans



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Villiers de l™Isle-Adam, Contes cruels, 1883 1Cantatrice cØlŁbre du rØcit qui fait ses adieux à la scŁne Œ 2 Œ M02/102/H(1) 222-605 1 (b) La pipe au poŁte



BACCALAURÉAT GÉNÉRAL SESSION 2010

TEXTE B – Villiers de l’Isle-Adam, Contes cruels, « Virginie et Paul » A Mademoiselle Augusta Holmès Per amica silentia lunae1 VIRGILE C'est la grille des vieux jardins du pensionnat Dix heures sonnent dans le lointain Il fait une nuit d'avril, claire, bleue et profonde Les étoiles semblent d'argent

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FRENCH A1 - HIGHER LEVEL - PAPER 1FRANÇAIS A1 - NIVEAU SUPÉRIEUR - ÉPREUVE 1FRANCÉS A1 - NIVEL SUPERIOR - PRUEBA 1

Tuesday 14 May 2002 (afternoon)

Mardi 14 mai 2002 (après-midi)

Martes 14 de mayo de 2002 (tarde)2 hours / 2 heures / 2 horasM02/102/H(1) c

IB DIPLOMA PROGRAMME

PROGRAMME DU DIPLÔME DU BI

PROGRAMA DEL DIPLOMA DEL BI

222-6053 pages/páginas

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1. (a)

C"était un adolescent sauvage, un orphelin seigneurial, - l"un des derniers de ce siècle, - un mélancolique châtelain du Nord échappé, depuis trois jours, de la nuit d"un manoir des Cornouailles. Il s"appelait le comte Félicien de la Vierge ; il possédait le château de Blanchelande, en Basse-Bretagne. [...] Sa présence à Paris ne datait que du matin, de sorte que ses grands yeux étaient encore splendides. C"était son premier soir de jeunesse ! Il avait vingt ans. C"était son entrée dans un monde de flamme, d"oubli, de banalités, d"or et de plaisirs. Et, par hasard, il était arrivé à l"heure pour entendre l"adieu de celle qui partait. Peu d"instants lui avaient suffi pour s"accoutumer au resplendissement de la salle. Mais, aux premières notes de la Malibran , son âme avait tressailli ; la salle avait 1 disparu. L"habitude du silence des bois, du vent rauque des écueils, du bruit de l"eau

sur les pierres des torrents et des graves tombées du crépuscule, avait élevé en poète ce

fier jeune homme, et, dans le timbre de la voix qu"il entendait, il lui semblait que l"âme de ces choses lui envoyait la prière lointaine de revenir. Au moment où, transporté d"enthousiasme, il applaudissait l"artiste inspirée, ses mains demeurèrent en suspens ; il resta immobile. Au balcon d"une loge venait d"apparaître une jeune femme d"une grande beauté. - Elle regardait la scène. Les lignes fines et nobles de son profil perdu s"ombraient des rouges

ténèbres de la loge, tel un camée de Florence en son médaillon. - Pâlie, un gardénia

dans ses cheveux bruns, et toute seule, elle appuyait au bord du balcon sa main, dont la forme décelait une lignée illustre. Au joint du corsage de sa robe de moire noire, voilée de dentelles, une pierre malade, une admirable opale, à l"image de son âme, sans doute, luisait dans un cercle d"or. L"air solitaire, indifférent à toute la salle, elle paraissait s"oublier elle-même sous l"invincible charme de cette musique. Le hasard voulut, cependant, qu"elle détournât, vaguement, les yeux vers la foule ; en cet instant, les yeux du jeune homme et les siens se rencontrèrent, le temps de briller et de s"éteindre, une seconde.5 10 15 20 25

Villiers de l"Isle-Adam, Contes cruels, 1883

Cantatrice célèbre du récit qui fait ses adieux à la scène1- 2 - M02/102/H(1)

222-605

1. (b)

La pipe au poète

Je suis la Pipe d"un poète,

Sa nourrice, et : j"endors sa Bête.

Quand ses chimères éborgnées

Viennent se heurter à son front,

Je fume... Et lui, dans son plafond,

Ne peut plus voir les araignées.

...Je lui fais un ciel, des nuages,

La mer, le désert, des mirages ;

- Il laisse errer là son œil mort...

Et, quand lourde devient la nue,

Il croit voir une ombre connue,

- Et je sens mon tuyau qu"il mord... - Un autre tourbillon délie

Son âme, son carcan, sa vie ...

Et je me sens m"éteindre. - Il dort -

- Dors encor : la Bête est calmée,

File ton rêve jusqu"au bout...

Mon Pauvre !...la fumée est tout.

- S"il est vrai que tout est fumée...5 10 15

Tristan Corbière, Les Amours Jaunes, 1873

- 3 - M02/102/H(1)

222-605

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