Le salaire du sniper nouvelle de Didier Daeninckx
Le salaire du sniper nouvelle de Didier Daeninckx Séance 1 : Les conditions de travail du reporter de guerre « Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse Quelques voitures filaient droit
Le salaire du sniper dans Passages d’enfer de Didier Daeninckx
Le salaire du sniper dans Passages d’enfer de Didier Daeninckx Audio Partie 1 Audio Partie 2 « Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse Quelques voitures filaient droit
Le salaire du sniper de Didier Daeninckx (1/3)
Le salaire du sniper de Didier Daeninckx (1/3) Il n’y a rien de pire qu’un conflit qui s’éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l’ancienne avenue de la Fraternité Elles bondissaient
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Le salaire du sniper Il n'y a rien de Pire qu'un conflit qui s'éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les flots de pou- dreuse Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l' ancienne avenue de la Fraternité Elles bondissaient sur le revêtement défoncé, plon-
« Le salaire du sniper - Canoprof
« Le salaire du sniper » Partie 1 : Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l'ancienne avenue de la
Explication de texte - Collège - Le Mans
1) La nouvelle « Le salaire du sniper » appartient au recueil Passages d’enfer, publié en 1998 L’histoire se déroule à Kotorosk, ville imaginaire d’Europe de l’Est en hivers Deux journalistes français, Jean-Yves Delorce et son équipier Philippe Zooma (caméraman) couvrent un conflit armé qui s’éternise depuis 1623 jours
Passages denfer - Le Mans
Le salaire du sniper Il n'y a rien de pire qu'un conflit qui s'éternise La pluie avait remplacé la neige de la veille, et une eau boueuse rongeait peu à peu les îlots de poudreuse Quelques voitures filaient droit devant, tous phares éteints, sur l'ancienne avenue de la Fraternité Elles
Didier Daeninckx, «Solitude numérique», Passages denfer
grever terriblement le budget de la maison 5) Si au début du texte, le narrateur adopte le point de vue de Martine quand il évoque par exemple « la bande de supporters assoiffés » (ligne 6), au fil du texte, le narrateur adopte ironiquement le point de vue de Régis pour mieux se moquer de sa fascination
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Le salaire du sniper de Didier Daeninckx Incipit du Salaire du sniper in Passages d'enfer, En résumé, le journal a décroché de cinq points
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Explication de texte : Le salaire du sniper
1. Qu'as-tu compris de la nouvelle ? Résume-la avec
tes propres mots.2. Aimerais-tu être le personnage de Yochka ?
Justifie ta réponse. (Yochka=le jeune garçon que le cameraman fait tuer par le sniper.)3. A quel moment comprend-on le titre de la nouvelle
? Explique.4. Quelle(s) image(s) des journalistes est(sont)-
elle(s) donnée(s) dans cette nouvelle ?5. Pourquoi Didier Daeninckx a-t-il écrit cette
nouvelle, à ton avis ?1) La nouvelle " Le salaire du sniper » appartient au recueil r, publié en 1998.
imaginaire d en hivers. Deux journalistes français, Jean-Yves Delorce et son équipier Philippe Zooma (caméraman) couvrent un conflit armé qui depuis 1623
jours. Ils vivent depuis plus de quatre mois dans un hôtel délabré le Holiday Inn. Un jour, leur supérieur (Paul Exarmandia dit Polex) les appelle Il leurdemande dy remédier en leur mettant une certaine pression pour quils fassent un sujet choc qui plaise au grand
public. Jean-Yves ne veut pas mentir et cacher la réalité mais il y est contraint pour faire de laudimat.
Un jour, Philippe lui propose de se focaliser sur un petit garçon " Yochka », qui mène une vie dangereuse pour
essayer de faire survivre un groupe denfants pendant la guerre. Poussé par le journaliste/caméraman et sa volonté
d'avoir de belles images, " Yochka » prend beaucoup de risques pour sa vie. Malheureusement, le petit garçon ne
parviendra pas à la fin de sa mission : il est tué dune balle au moment où lon sy attend le moins.
Jean-Yves après lenvoi de ces images est promu et retourne à Paris. On apprend à la fin de la nouvelle que le
caméraman resté à Kotorosk a payé un sniper pour tirer sur lenfant.2) Question dont la réponse est personnelle
3) On comprend le titre de la nouvelle à la toute fin du récit lorsque le caméraman paie le sniper dun
montant de 250$. La moitié de la somme soit disant demandée par " Yochka » pour se laisser filmer.
On comprend que la somme était finalement celle demandé par le sniper pour tirer sur " Yochka ».
4) Cette nouvelle pose la question du rôle du journaliste : peut-on se fier aux journalistes ? Les jour-
nalistes subissent la pression de faire de laudimat, de rapporter de largent cest pourquoi ils ne res-
pectent pas toujours les règles déontologiques auxquelles ils sont pourtant contraints. Nous devons
faire attention à ce que nous pouvons voir des journalistes : les images ne sont pas neutres.5) Didier Daeninckx à écrit cette nouvelle pour révéler jusqu'où certains journalistes sont prêts à al-
ler pour un scoop, mais également les dessous de la guerre, comment certains en profitent et com-ment certains font pour survivre. Ce qui rend cette nouvelle si tragique est surtout son côté réaliste.
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