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Les différentes classes d’antiviraux 1 Les inhibiteurs de la pénétration 2 Inhibiteurs de la décapsidation 3 Les inhibiteurs de la réplication A Les analogues du substrat de l’enzyme • les analogues des nucléosides • les analogues des nucléotides B Les inhibiteurs non nucléosidiques C les Analogues de pyrophosphate 4
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LES CLASSES DES POLYMERES - Technologue Pro
Il existe différentes classes des polymères tel que les polyoléfines, les styréniques, les polyacétals, les polyacryliques Remarque : certains polymères fortement fluorés ou à structure aromatique complexe ont un comportement thermique particulier n’autorisant pas toujours les méthodes de transformation
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LES NEUROLEPTIQUES
plusieurs classes de neuroleptiques Ces médicaments ont tous une structure complexe, associant plusieurs cycles à des chaînes de différentes natures 1 1Neuroleptiques de première génération (ou classiques): Il existe quatre principales classes de neuroleptiques de première génération :
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Traitement des infections
viralesLe planI.Introduction
II.Cibles des antiviraux
III.1.Les inhibiteurs de la pénétration
2.Inhibiteurs de la décapsidation
3.Les inhibiteurs de la réplication
A. les analogues des nucléosides les analogues des nucléotidesB.Les inhibiteurs non nucléosidiques
C.les Analogues de pyrophosphate
4.Les inhibiteurs de la maturation
5.Les inhibiteurs de la libération
IV.limites de la chimiothérapie antivirales
V.Prévention et vaccination
VI.conclusion
Introduction:
Les virus étant des parasites obligatoires des cellules, ils se multiplient dans une cellule qui met à leur service son potentiel de biosynthèse. cycle de multiplication virale des méthodes diagnostiques ont conduit au développement actuel des molécules antivirales. dans le traitement du sida, ont considérablement réduit la survenue des résistances aux antiviraux.Sites de réplication virale
NoyauVirus àADN
Cytoplasme
Virus àARN
MixteRétro
EtHépadna
Des découvertes progressives
1977 : Acyclovir (HSV)
1964 : Amantadine
1990 : Nevirapine (HIV)
1993 : Zanamivir (influenza) / PMPA (HIV)
1996 : Cidofovir (CMV)
1987 : AZT (HIV)
1995 : Saquinavir (HIV) / Lamivudine (HIV-HBV)
2007 : Maraviroc / Raltégravir (HIV)
1972 : Ribavirine
2001 : Ténofovir (HIV -HBV)
2006 : Télaprevir (HCV)
1997 : Enfuvirtide (HIV)
Les antiviraux
41 molécules utilisées en clinique
Grippe
9Amantadine
9Inhibiteurs de la neuraminidase
Oseltamivir
Zanamivir
Hépatites virales chroniques
Adéfovir dipivoxil
Entecavir
Lamivudine
Ribavirine
Telbivudine
Ténofovir disoproxil
Virus de l'Immunodéficience
Humaine
Virus du groupe Herpes (HSV, VZV,
CMV)Aciclovir
Cidofovir
Famciclovir
Foscarnet
Ganciclovir
Valaciclovir
Valganciclovir
Les antiviraux (HIV)
ClassesNOM REDUITPRINCIPES ACTIFS
COMBIVIRlamivudine, zidovudine
EMTRIVAemtricitabine
EPIVIRlamivudine
KIVEXAabacavir sulfate, lamivudine
RETROVIRzidovudine
TRIZIVIRabacavir sulfate, lamivudine, zidovudine
TRUVADAemtricitabine, ténofovir disoproxil fumarateVIDEXdidanosine
VIREADténofovir disoproxil fumarate
ZERITstavudine
ZIAGENabacavir sulfate
APTIVUStipranavir
CRIXIVANindinavir sulfate
INVIRASEsaquinavir mésilate
KALETRAlopinavir, ritonavir
NORVIRritonavir
PREZISTAdarunavir éthanolate
REYATAZatazanavir sulfate
TELZIRfosamprénavir calcique
VIRACEPTnelfinavir mésilate
INTELENCEétravirine
SUSTIVAefavirenz
VIRAMUNEnévirapine anhydre
Inhibiteurs de fusionFUZEONenfuvirtide
Inhibiteurs d'intégraseISENTRESSraltégravir potassique Antagonistes des récepteurs CCR5CELSENTRImaravirocInhibiteurs
nucléos(t)idiques de la transcriptase inverseInhibiteurs de protéase
Inhibiteurs
non nucléosidiques de la transcriptase inverse I.Introduction
II.Cibles des antiviraux
III. 1.Les inhibiteurs de la pénétration
2.Inhibiteurs de la décapsidation
3.Les inhibiteurs de la réplication
A. les analogues des nucléosides les analogues des nucléotides B.Les inhibiteurs non
nucléosidiques C. les Analogues de pyrophosphate 4.Les inhibiteurs de la maturation
5.Les inhibiteurs de la libération
IV. limites de la chimiothérapie antivirales V.Cibles potentielles des antiviraux
Fixation
Pénétration
Maturation-
assemblageTranscription
Décapsidation
Libération
Réplication
I.Introduction
II.Cibles des antiviraux
III.1.Les inhibiteurs de la pénétration
2.Inhibiteurs de la décapsidation
3.Les inhibiteurs de la réplication
A. les analogues des nucléosides les analogues des nucléotides B.Les inhibiteurs non
nucléosidiques C. les Analogues de pyrophosphate 4.Les inhibiteurs de la maturation
5.Les inhibiteurs de la libération
IV. limites de la chimiothérapie antiviralesLes inhibiteurs de la pénétration
VIHInhibiteurs de la fixation
Inhibiteurs de fusion
Classes
G·MQPLUHPURYLUMX[
ANTI CCR5:Maraviroc
Le maraviroc est un inhibiteur allostérique du récepteur CCR5 Puissante activité antivirale in vitro et in vivo sur les virus CCR5 tropiques, y compris ceux multi- mais pas sur les virus CXCR4 ou de tropisme double/mixteSite de liaison du
gp120 sur le CCR5Récepteur libre gp120Haute affinité
MVC ()
lié au CCR5Très faible
affinitéSite de liaison
bloqué par MVCBlocage
entrée du virusHIV : le blocage des corécepteurs
exemple du maraviroc (anti-CCR5) Adapté de Doms R. W., Trono D. Genes Dev. 2000;14:2677-2688Classes
G·MQPLUHPURYLUMX[
INHIBITEURS DE FUSION
Inhibiteurs de fusion
Exemple de l'enfuvirtide :T20
La fusion, une étape
indispensable pour la plupart des virus enveloppésInhibe le
réarrangement interne de la gp 41 après sa fixation sur la cellule cible et empêche ainsi la fusion entre le virus et sa cellule cible I.Introduction
II.Cibles des antiviraux
III. 1.Les inhibiteurs de la pénétration
2.Inhibiteurs de la décapsidation
3.Les inhibiteurs de la réplication
A. les analogues des nucléosides les analogues des nucléotides B.Les inhibiteurs non
nucléosidiques C. les Analogues de pyrophosphate 4.Les inhibiteurs de la maturation
5.Les inhibiteurs de la libération
IV. limites de la chimiothérapie antiviralesVIRUS DELA GRIPPE DECAPSIDATION
Pompe à proton (H+)
I.Introduction
II.Cibles des antiviraux
III. 1.Les inhibiteurs de la pénétration
2.Inhibiteurs de la décapsidation
3.Les inhibiteurs de la réplication
A. les analogues des nucléosides les analogues des nucléotides B.Les inhibiteurs non
nucléosidiques C. les Analogues de pyrophosphate 4.Les inhibiteurs de la maturation
5.Les inhibiteurs de la libération
IV. limites de la chimiothérapie antivirales V.Rappel: nucléoside-nucléotide
Un nucléosidecorrespond à un sucre+une base. Il est phosphorylé en nucléotidepar des kinases au niveau du cytoplasme base. sucreLes désoxyribonucléotides triphosphates des
quatres bases(A-T-C-G) sont des substrats des ADN polymérases. La triple phosphorylation des IN est nécessaire métabolites " normaux »). Les analogues de nucléosides vont perturber la réplication par deux mécanismes :Terminaison de la chaîne
Mécanisme d
nucléos(t)idiques P P OH P OHNucléotide naturelPP
PB x PBx+1 PBx+3 OH PP PBx+2Terminaison
B x Bx+1 Bx+2Compétition
PPPAnalogue nucléosidique
triphosphorylé Bx+2Les différentes classes
d'inhibiteurs nucléosidiques Analogue nucleosidiquepar substitution du sucre.+++++ Analogue nucleosidiquepar substitution de la base.Exemples d'analogues nucléosidiques
ValaciclovirValganciclovir
Zidovudine
ValopicitabineLamivudineEntecavir
G CAnalogue nucleosidiquepar substitution de la
base (Ribavirine)Laribavirineest un analogue de ribonucléoside: la base dérive de la guanine, mais le sucre reste le ribose.
Cet analogue doit être triphosphorylépour agir. La ribavirineest utilisée dans le traitement des infections liées à des virus à ARN:Virus respiratoire syncytial(VRS).
Virus des fièvres hémorragiques (fièvre de lassa, fièvre hémorragique avec syndrome rénal FHSR).
La ribavirineest toxique pour les globules rouges : (Anémie hémolytique) elle est contre-indiquée au cours de la grossesse.
On l'utilise dans le traitement de l'hépatite chronique C, en association avec l'interféron Į
I.