A propos de la « nouvelle » classification animale
La plupart des enseignants du premier degré a été instruit avec la classification traditionnelle : vertébrés – invertébrés et les 5 classes de vertébrés qui est remplacée aujourd’hui par une nouvelle classification (faisant disparaître par exemple le groupe des poissons, des invertébrés ou encore des reptiles)
LA CLASSIFICATION DES ANIMAUX - Académie de Toulouse
• Observer et comparer des êtres vivants en vue d'établir des classements • Élaboration de quelques critères élémentaires de classement, approche de la classification scientifique Remarque importante: La classification scientifique utilisée dans ce module est la classification phylogénétique encore appelée "nouvelle classification "
FOSSILES, EVOLUTION ET CLASSIFICATION DES ANIMAUX
• Des traces de l'évolution des êtres vivants (quelques fossiles typiques) , • Grandes étapes de l'histoire de la vie sur la Terre , notion d'évolution des êtres vivants Remarque importante : La classification scientifique utilisée dans ce module est la classification phylogénétique encore appelée "nouvelle classification"
un outil de découverte de la biodiversité
animaux eux-mêmes et la classification raconte l’évolution des espèces étudiées Depuis une quinzaine d’années, cette « nouvelle classification » du vivant prévaut dans l’enseignement scientifique Liée à la proximité génétique des organismes et à leur évolution, on la nomme phylogénie
EVOLUTION ET CLASSIFICATION DES ANIMAUX : DOCUMENTS
→ Tableau des caractères communs : recensement des caractères de classification → Etiquettes : tableau recensant les différents animaux (pour découpage et classification par les élèves) → Document complémentaire : bonus mettant l’accent sur un élément pertinent lié au milieu ou à la classification
Thème 14 La classification du vivant
exclusivement des animaux marins comme les oursins, étoiles, holothuries et concombres de mer Leur squelette interne est formé de plaques calcaires Ils possèdent des pieds ambulacraires, sorte de tentacules terminés par une ventouse qui leur permettent de se déplacer et de se fixer sur les rochers dans les zones agitées
Aide pour enseigner la classification ss Lecointre
3 Les caractères des animaux et la classification Après les activités éventuelles de tri et de rangement, on peut passer à une réelle séance de classification sur la collection précédente L'objectif de ce travail est de classer les animaux dans des
PBS Nouvelle classification des exploitations-1
Quelques précisions : la nouvelle classification des exploitations s'appuie, comme la précédente, sur des règles définies au niveau européen Toutefois son application en France fait l'objet de quelques adaptations, notamment pour permettre la comparaison avec les résultats des années antérieures
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MINISTÈRE DE L"AGRICULTURE, DE L"ALIMENTATION, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET
DE L"AMÉNAGEMENT DU TERRITOIRE
Secrétariat général
Service de la Statistique et de la Prospective
Sous-direction des synthèses statistiques et des revenusBureau des Statistiques sur les Productions et les Comptabilités AgricolesProduction brute standard
et nouvelle classification des exploitations agricoles Depuis 1978 est appliquée au niveau européen une classification (typologie) des exploitationsagricoles dont le but est de les répartir selon leur spécialisation et leur dimension économique. La
classification des exploitations agricoles reposait jusqu"à présent sur la structure de la marge brute
standard (MBS) des exploitations.La réforme de la politique agricole commune de 2003 instituant le découplage des aides liées
à la production a conduit à abandonner le concept de MBS au profit de la production brute standard (PBS). Il en découle une nouvelle typologie européenne des exploitations agricoles,officiellement définie par le règlement (CE) N°1242 /2008 du 8 décembre 2008. Cette nouvelle
classification s"applique pour la première fois pour la diffusion des résultats du recensement agricole
de 2010 (puis aux enquêtes structure suivantes) ainsi qu"au réseau d"information comptable agricole
(RICA) à partir de l"exercice 2010.La production brute standard : un dénominateur commun entre toutes les
productions des exploitationsLe recensement agricole, comme la plupart des enquêtes menées auprès des exploitations,
recueillent des informations sur les structures des exploitations (surfaces cultivées, effectifs d"animaux
présents). Afin de déterminer la dimension économique de l"exploitation et sa spécialisation, il est
nécessaire de sommer toutes les productions présentes. Cela est possible en affectant à chaque
donnée de structure un coefficient représentant le potentiel de production unitaire de chaque Agreste - Production brute standard et classification des exploitations1/7spéculation : les coefficients de PBS. Ces coefficients sont des coefficients standards à caractère
volontairement structurel, calculés en moyenne sur plusieurs années. Les coefficients utilisés pour
la première fois en 2010 ont été calculés en moyenne sur 5 ans pour les années 2005 à 2009
(coefficients " 2007 » pour qualifier l"année centrale de cette moyenne). Ces coefficients sont fixes
pour une certaine période afin de conserver la classification des exploitations qui en découle et ne pas
la rendre trop sensible aux variations conjoncturelles de la valeur des productions. Les coefficients de PBS ne constituent pas des résultats économiques observés. Ils doivent être considérés comme des ordres de grandeur définissant un potentiel de production del"exploitation. La variation annuelle de la PBS d"une exploitation ne traduit donc que l"évolution
de ses structures de production (par exemple agrandissement ou choix de production à plus fort potentiel) et non une variation de son chiffre d"affaires.Pour la facilité de l"interprétation, la PBS est exprimée en euros, mais il s"agit surtout d"une
unité commune qui permet de hiérarchiser les productions entre elles. On peut donc ramener les PBS en équivalent hectares de blé par exemple. Les coefficients de PBS représentent la valeur de la production potentielle par hectare oupar tête d"animal présent hors toute aide. Ils sont exprimés en euros. Leur valeur est
régionalisée lorsque cette régionalisation a un sens. La nomenclature de ces coefficients, établie au
niveau européen, est parfois assez agrégée (voir tableau en annexe avec les valeurs des coefficients
" 2007 »). Pour les productions végétales, les coefficients de PBS sont une valorisation desrendements par unité de surface (hectare la plupart du temps) des différentes cultures. Dans le cas
des postes agrégés, ils sont calculés au niveau de la région par moyenne des coefficients détaillés
pondérés par les surfaces correspondantes. Certains coefficients très agrégés pour des productions
par nature très variables, comme les fruits et les légumes, sont à considérer comme des ordres de
grandeur.Pour les productions animales, les coefficients incluent la valeur des productions
secondaires (lait pour les vaches, les chèvres et les brebis). Les coefficients des animaux nereprésentent pas leur valeur à la vente, mais leur prise de valeur au cours de l"année (le croît). On
raisonne en effet par valorisation des animaux présents sur l"exploitation et non de ceux qui seront
effectivement commercialisés. Pour une catégorie donnée, le croît est donc égal à la valeur de sortie
d"une catégorie moins la valeur d"entrée dans la même catégorie. Pour les animaux présents sur
l"exploitation moins d"une année complète, la valeur de sortie est égale au prix de vente, mais on en
déduit une valeur à la naissance ou à l"achat. Le coefficient des animaux de souche (vaches, truies,
brebis) comprend la valeur de leur descendance. Les veaux, porcelets ou agneaux ne sont donc pas valorisés sauf en cas d"absence d"animal de souche. Agreste - Production brute standard et classification des exploitations2/7 Le calcul de la dimension économique de l"exploitation et de sa spécialisation Après multiplication des données de structure par les coefficients de PBS correspondants, on calcule la PBS totale de chaque exploitation. Celle-ci est exprimée en euros. Les exploitationspeuvent donc ensuite être classées selon leur taille économique. Celle-ci est répartie selon une
grille fixée au niveau européen par tranche de PBS par exploitation exprimée en euros. La grille est la
suivante :Moins de 2 000 euros
2 000 à moins de 4 000 euros
4 000 à moins de 8 000 euros
8 000 à moins de 15 000 euros
15 000 à moins de 25 000 euros
25 000 à moins de 50 000 euros
50 000 à moins de 100 000 euros
100 000 à moins de 250 000 euros
250 000 à moins de 500 000 euros
500 000 à moins de 750 000 euros
750 000 à moins de 1 000 000 euros
1 000 000 à moins de 1 500 000 euros
1 500 000 à moins de 3 000 000 euros
3 000 000 euros et plus
Toutes classes
Sur la base des coefficients de PBS, il a été décidé de classer les exploitations selon trois classes de taille regroupées : -les petites exploitations, dont la PBS est inférieure à 25 000 euros -les moyennes exploitations, dont la PBS est comprise entre 25 000 et moins de100 000 euros
-les grandes exploitations, dont la PBS est supérieure à 100 000 euros. Les moyennes et grandes exploitations seront la plupart du temps regroupées pour constituer le nouveau champ du RICA (ancien champ des exploitations " professionnelles » 1).1 Dans la précédente typologie des exploitations, était retenue la notion " d"exploitation professionnelle ».
Le champ de celle-ci recouvrait les exploitations dont la dimension économique (exprimée en MBS) dépassait 12
hectares équivalent blé et qui employaient au moins 0,75 unités de travail annuel (UTA). Agreste - Production brute standard et classification des exploitations3/7Les résultats du RICA seront donc publiés sur ce nouveau champ à partir de l"exercice 2010 et les
résultats des années antérieures seront recalculés.Les exploitations sont également classées selon leur spécialisation : l"orientation
technico-économique (OTEX). Ce classement se fait à partir des PBS selon le même schémaqu"auparavant avec les MBS. Une exploitation est spécialisée dans un domaine si la PBS de la ou
des productions concernées dépasse deux tiers du total. Le calcul des OTEX se fait dans unenomenclature très détaillée (voir le détail dans le règlement européen). Pour des raisons de
confidentialité (recensement) ou de représentativité (RICA), la publication des résultats est faite selon
une nomenclature agrégée. Cette nomenclature est la suivante :Quelques précisions : la nouvelle classification des exploitations s"appuie, comme la
précédente, sur des règles définies au niveau européen. Toutefois son application en France fait
l"objet de quelques adaptations, notamment pour permettre la comparaison avec les résultats des années antérieures. -Le calcul de la dimension économique s"applique aux exploitations agricoles horsunités collectives (unités pastorales par exemple). Ces unités sont entrées pour la première
fois dans le champ du recensement agricole en 2010. Mais elles ne feront pas partie du champ du RICA. Elles sont donc exclues la plupart du temps des tableaux standard de diffusion des résultats du recensement. -Un traitement particulier a été appliqué aux élevages hors sol (porcs et volailles) afin d"éviter un mauvais classement des exploitations qui sont en vide sanitaire à la date deréférence de l"enquête. En cas de vide sanitaire ou de présence d"animaux faible par rapport
aux capacités des élevages, la PBS de l"exploitation a été calculée sur la base de ces capacités
d"élevage et non sur celle des animaux présents.Ensemble des exploitations
Céréales et oléoprotéagineux (COP)
Cultures générales (autres grandes cultures)Maraîchage
Fleurs et horticulture diverse
Viticulture (appellation et autre)
Fruits et autres cultures permanentes
Bovins lait
Bovins viande
Bovins mixte
Ovins et caprins
Autres herbivores
Porcins
Volailles
Granivores mixtes
Polyculture et polyélevageAgreste - Production brute standard et classification des exploitations4/7
SSP - SDSSR - BSPCA
Tableau récapitulatif des coefficients PBS "2007"FR1 FR21 FR22 FR23 FR24 FR25 FR26 FR3 FR41 FR42
Code IntituléUnité
Île-de-France
Champagne-
Ardenne
Picardie
Haute-
Normandie
Centre
Basse-
Normandie
Bourgogne
Nord-Pas-de-
Calais
Lorraine
Alsace
B_1_1_1Blé tendre et épeautreEuros par ha1 093 1 056 1 069 1 090 916 957 886 1 077 945 996B_1_1_2
Blé durEuros par ha1 408 1 360 1 363 1 448 1 405 1 278 978 967 967 967B_1_1_3
SeigleEuros par ha812 653 877 801 754 844 663 730 659 594B_1_1_4
OrgeEuros par ha951 922 919 937 837 794 779 939 779 779B_1_1_5
AvoineEuros par ha854 645 789 793 614 780 475 800 534 555B_1_1_6
Maïs grain (non irrigué)Euros par ha1 133 1 013 1 020 1 049 1 172 957 1 032 1 004 948 1 492B_1_1_7
RizEuros par ha1 321 1 321 1 321 1 321 1 321 1 321 1 321 1 321 1 321 1 321B_1_1_99
Autres céréalesEuros par ha792 708 816 802 585 734 562 836 678 709 B_1_2 Légumes secs et protéagineux - totalEuros par ha774 798 759 786 659 698 593 751 652 512B_1_2_1
Pois, fèves et lupins douxEuros par ha774 798 759 786 659 698 593 751 652 512B_1_2_2
Légumes secs et cultures protéagineuses autres Euros par ha774 798 759 786 659 698 593 751 652 512
B_1_3Pommes de terre (y c les primeurs et les plants)Euros par ha11 652 6 948 5 324 6 846 7 232 4 717 4 071 5 606 4 836 6 024
B_1_4Betteraves sucrières (à l"exception des semences)Euros par ha2 380 2 443 2 435 2 627 2 476 2 626 2 464 2 387 2 112 2 435
B_1_5Plantes sarclées fourragères (à l"exception des semences)Euros par ha158 158 158 158 158 158 158 158 158 158
B_1_6_1
TabacEuros par ha9 413 9 429 8 337 9 413 9 413 9 413 9 413 8 120 9 413 10 804B_1_6_2
HoublonEuros par ha7 776 7 776 7 776 7 776 7 776 7 776 7 776 7 776 7 776 7 776B_1_6_3
Coton ( déclaré NE )Euros par ha
B_1_6_4
Colza ou navetteEuros par ha993 981 970 1 001 899 933 877 1 040 978 964B_1_6_5
TournesolEuros par ha808 929 784 803 653 659 771 663 799 866B_1_6_6
SojaEuros par ha781 870 747 758 778 758 740 758 745 868B_1_6_7
Lin oléagineuxEuros par ha697 729 785 1 008 727 718 794 728 715 728B_1_6_8
Autres plantes oléagineuses ou textilesEuros par ha697 729 785 1 008 727 718 794 728 715 728B_1_6_9
Lin textileEuros par ha1 260 1 591 1 733 1 927 1 533 1 510 1 737 1 451 1 737 1 737B_1_6_10
ChanvreEuros par ha3 633 2 947 2 530 2 530 2 748 2 415 2 330 2 530 2 530 2 530B_1_6_11
Autres plantes textilesEuros par ha1 260 1 591 1 733 1 927 1 533 1 510 1 737 1 451 1 737 1 737B_1_6_12
Plantes aromatiques, médicinales et condimentairesEuros par ha1 774 965 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774
B_1_6_99
Autres plantes industrielles non mentionnées ailleursEuros par ha1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774 1 774
B_1_7Légumes frais, melons, fraisesEuros par ha
B_1_7_1
Légumes frais, melons, fraises, de plein champ ou sous abri bas (non accessible)Euros par haB_1_7_1_1
Légumes frais, melons, fraises, culture de plein champEuros par ha3 684 5 230 3 266 4 447 3 755 4 832 2 886 3 398 4 284 6 064
B_1_7_1_2
Légumes frais, melons, fraises, culture maraîchèreEuros par ha24 360 24 360 24 360 24 360 24 360 24 360 24 360 24 360 24 360 24 360
B_1_7_2
Légumes frais, melons, fraises, sous serre ou sous autre abri (accessible)Euros par ha73 080 73 080 73 080 73 080 73 080 73 080 73 080 73 080 73 080 73 080B_1_8_1
Fleurs et plantes ornementales (non compris pépinières) deplein air ou sous abri bas (non accessible)Euros par ha 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000 118 000
B_1_8_2
Fleurs et plantes ornementales (non compris pépinières)sous serre ou sous autre abri (accessible)Euros par ha 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000 198 000
B_1_9Total fourragesEuros par ha
B_1_9_1
Prairies temporairesEuros par ha62 48 66 65 40 64 48 61 55 54 B_1_9_2 Plantes fourragères annuellesEuros par haB_1_9_2_1
Maïs fourrageEuros par ha76 79 88 95 68 81 67 79 80 127B_1_9_2_2
LégumineusesEuros par ha152 410 137 131 93 133 120 126 113 134 B_1_9_2_99 Autres plantes fourragères annuellesEuros par ha76 79 88 95 68 81 67 79 80 127B_1_10
Semences et plants de terres arablesEuros par ha911 967 1 330 478 1 927 817 1 146 1 635 955 1 852B_1_11
Autres cultures de terres arablesEuros par ha750 750 750 750 750 750 750 750 750 750B_1_12_1
Jachère non subventionnée Euros par ha0 0 0 0 0 0 0 0 0 0B_1_12_2
Jachère subventionnée Euros par ha0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 B_2Jardins familiaux Euros par ha
B_3 Total prairies et pâturages permanentsEuros par ha B_3_1 Prairies permanentes hors pâturages pauvresEuros par ha42 43 46 47 30 49 35 45 44 38 B_3_2 Pâturages pauvresEuros par ha7 24 13 19 14 4 16 17 16 16 B_3_3 Prairies permanentes non exploitées à des fins de production et donnant droit au versement de subventionsEuros par ha0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 B_4_1 Plantations d"arbres fruitiers et baiesEuros par haB_4_1_1 Espèces fruitièresEuros par ha
B_4_1_1_1
Espèces fruitières d"origine tempéréeEuros par ha9 891 6 051 5 608 3 090 11 807 2 618 7 886 6 521 9 029 9 359
B_4_1_1_2
Espèces fruitières d"origine subtropicaleEuros par ha12 180 12 180 12 180 12 180 11 531 12 180 11 531 12 180 12 180 12 180
B_4_1_2
Baies Euros par ha15 797 15 797 15 797 15 797 15 797 15 797 15 797 15 797 15 797 15 797B_4_1_3
Fruits à coqueEuros par ha2 966 3 141 2 966 3 141 3 117 2 966 3 141 2 966 3 141 3 141 B_4_2 AgrumeraiesEuros par ha8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 8 201 B_4_3 OliveraiesEuros par ha2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191B_4_3_1
Olives de table (déclaré NS)Euros par ha2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191
B_4_3_2
Olives à huile (déclaré NS)Euros par ha2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191 2 191
B_4_4Vignes-totalEuros par ha
B_4_4_1 Vignes pour vins de qualitéEuros par ha66 981 81 414 74 222 5 000 15 317 5 000 34 518 5 000 4 134 29 716
B_4_4_2 Autres vignesEuros par ha4 691 4 691 4 691 4 691 3 018 4 691 4 958 4 691 4 691 4 691B_4_4_3 Vignes pour raisins de tableEuros par ha8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400
B_4_4_4 Vignes pour raisins secsEuros par ha8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400 8 400
B_4_5 PépinièresEuros par ha16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 16 500 B_4_6 Autres cultures permanentesEuros par ha1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 1 510 B_4_7Cultures permanentes sous serreEuros par ha66 000 66 000 66 000 66 000 66 000 66 000 66 000 66 000 66 000 66 000
B_6_1 ChampignonsEuros pour 100m2 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 9 000 B_6_1ChampignonsEuros par récolte
pour 100 m21 500 1 500 1 500 1 500 1 500 1 500 1 500 1 500 1 500 1 500
C_1 EquidésEuros par tête 921 921 1 500 1 500 921 1 500 1 500 1 500 921 921 C_2_1 Bovins de moins de 1 anEuros par tête 613 626 617 592 658 584 722 531 613 579C_2_2 Bovins mâles de 1 à moins de 2 ansEuros par tête369 371 372 372 346 376 346 370 376 376
C_2_3 Bovins femelles de 1 à moins de 2 ans Euros par tête400 400 400 400 400 400 400 400 400 400
C_2_4 Bovins mâles de 2 ans et plusEuros par tête181 181 181 181 181 181 181 181 181 181 C_2_5 Génisses de 2 ans et plusEuros par tête155 155 155 155 155 155 155 155 155 155C_2_6 Vaches laitièresEuros par tête2 207 2 035 2 194 1 981 2 254 1 851 1 952 2 204 2 041 2 092
C_2_99 Autres vachesEuros par tête642 642 642 642 642 642 642 642 642 642C_3_1 Ovins totalEuros par tête
C_3_1_1 BrebisEuros par tête92 92 92 92 92 92 92 92 92 92 C_3_1_99 Autres ovinsEuros par tête91 91 90 71 81 105 81 79 78 74C_3_2 Caprins totalEuros par tête
C_3_2_1 ChèvresEuros par tête467 467 467 467 467 467 467 467 467 467 C_3_2_99 Autres caprinsEuros par tête50 50 50 50 50 50 50 50 50 50C_4_1 Porcelets d"un poids vif de moins de 20 kgEuros par tête207 207 207 207 207 207 207 207 207 207
C_4_2 Truies reproductrices de 50 kg ou plusEuros par tête791 791 791 791 791 791 791 791 791 791 C_4_99 Autres porcinsEuros par tête217 217 217 217 217 217 217 217 217 217C_5_1 Poulets de chair
Euros pour 100 têtes952 952 952 952 952 952 952 952 952 952C_5_2 Poules pondeuses
Euros pour 100 têtes1 271 1 271 1 271 1 271 1 271 1 271 1 271 1 271 1 271 1 271C_5_3 Autres volailles
Euros pour 100 têtes1 569 2 071 1 960 1 755 1 752 1 689 1 504 1 883 2 164 2 129 C_6 Lapines mèresEuros par tête 202 202 202 202 202 202 202 202 202 202C_7 AbeillesEuros par ruche132 132 132 132 132 132 132 132 132 132Agreste - Production brute standard et classification des exploitations5/7