PERSONNEL DOSSIERS INDIVIDUAL DOSSIERS List of the
The Archives Nationales d’Outre-Mer keeps the dossiers for personnel who have served in the former French colonies They are sorted into different series or collections for which the reader will find the list below Part of these inventories is already on-line
ANOM website - Culture
Private archives have seen regular growth thanks to donations from individuals (contact the Archives Nationales d'Outre-Mer if you would like to donate documents) Iconography Postcards, photographs, engravings, cards, posters on Algeria before and after 1830: can be consulted on the Ulysse image database on the ANOM website
SOUS-PRÉFECTURE DE TÉBESSA
ARCHIVES NATIONALES CENTRE DES Centre des archives d’Outre-mer 2006 liée à l’existence de la sous-pré- fecture
archies nationales Site de Paris
Archives nationales fut multiplié par cinq, le nombre des articles communiqués par dix 2 3 Salle de lecture située au rez-de-chaussée de l’hôtel de Soubise (droite) archies Site de Paris Le Caran nationales
Base images du centre historique des archives nationales de
Centre des Archives d'Outre-Mer situe a Aix-en-Provence et le Centre des Archives du Monde du Travail situe a Roubaix Uadmission cfes chercheurs Les Archives nationales (A N ) sont accessibles sur presentation d'une piece d'identite aux personnes d'origine frangaise ou etrangere La loi n°79-18 du 3 janvier 1979 et le
DECRET N° 2006-596 DU 10 archives, et l’autre sur les JUILLET
Des Archives nationales Article 6 - Les Archives nationales sont constituées par l’ensemble des dépôts centraux des archives de l’Etat gérés par la Direction des Archives du Sénégal en quelque lieu que ces dépôts soient établis Elles sont placées sous l’administration directe du Service des Archives nationales
LE « FICHIER JUIF
immédiatement versés aux Archives nationales » La Commission recommandait en outre que : « par convention révocable entre le Directeur des Archïves Nationales et le Président du Comité exécutif du Mémorial du Martyr juif inconnu, les originaux du fichier de recensement de la Préfecture de Police de la
LES SOLIICE BIBLIOGIIÂPIIIOUES
fecture de la Seine Aucun inventaire nen fut jamais dressé, bien que les communications y fussent relativement faciles et nombreuses, et lorsquen 4871 les bâtiments de lavenue Victo-ria, où les archives étaient empilées dans les combles, furent incendiées par lautre Commune, rien, absolument rien, ne sub-
LE PERSONNEL ADMINISTRATIF DU DEPARTEMENT DES ALPES-MARITIMES
2 archives Nationales: E 670 A, f° s88 à 91; Outre ce caractère autoritaire et étroit, le droit héraldique impérial se distingue par son fecture Les
N∞ 78cr04 Indica
Archives de l’Église de France V oici donc les archivistes de l’Église de France partis, eux aussi, pour commémorer le cinquantième anniversaire du Concile Eux aussi ou eux surtout ? Et si cet anniversaire était l’occasion de nouvelles découvertes, dans nos fonds de diocèses ou de congré-gations ?
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•LES.. SOLIICE BIBLIOGII•PIIIOUESDE 'L'HIStOIlIE.•
I) LA JA. RÉVOLUTION FRANÇAISE •
PAR$ e. •Maurice TOURNEUX (Extrait du L?iblioruphe Moderne. 1897,, n•' 5-6).Document
I-IIMII D ID•
•..0000005539833 •.?A.ftTS:•.LIBRAIRIE A-LPH. PICARD ET FILS
.•82, RUE BONAPARTE, •$..:---.i's tLIÉIHE9L \
I..1 ILES SOURCES BIBLIOGRAPHIQUES
I}FL'HISTOIRE DE LA REVOLUTION FRANÇAISE'
• La science, n dit M. Ernest Renan, est astreinte à des règles immuables, et la première de toutes ces règles est de ne point s'engager dans un sujet avant d'en connaitre exactement l'éten- due et la bibliographie. Cette loi, formulée par l'un des plus célèbres écrivains et l'un des plus illustres érudits de ce siècle, peut s'appliquer sans doute â n'importe quelle branche du savoir humain, mais elle se vérifie tout particulièrement cri ce qui concerne l'étude des sources de l'histoire de la Révolution. Il n'y n, en effet, aucune période de nos annales qui ait laissé plus de témoignages manuscrits et imprimés, et c'est cependant depuis quelques années à peine que l'on s'est préoccupé d'en dresser l'inventaire. Les sources proprement dites de l'histoire-de la Révolution I. An mois d'aoit 1897, durant la seconde partie du huitième Sitm,,ser meeting organisé par l'Extension University anglaise, j'ai fait en français, Oxford, six " lecturess ou conférences sur les sources hihliograpliïques (le l'his- toire de la Révolution. Co, sont ces leçons qué je publie aujourd'hui, en les dépouillant autant que possible de la, forme oratoire (si le mot n'est pas trop ambitieux) que j'avais dû leur donner. Je ne me dissimule pas combien cette esquisse, dans laquelle je me suis efforcé de condenser une matière singulière meut abondante et presque cliaqu jour accrue, est imparfaite et susceptible d'améliorations. Telle quelle, elle a paru assez intéressante au directeur du Bibliographe moderne pour être présentée • ses lecseur. C'est de ceux-ci que je réclame, avec leur indulgence, les conseils qui me permettraieatdc faire de ce premier travail l'introduction d'un Manuel auquel je songe, et dont note enseignement supérieur eut acsuellesent encore dépourvu.M. Tx. &* 4t'w-.Is11 sont, comfhe toutes celles de l'histoire moderne, de deux sortes -les, documents manuscrits et les documents imprimés. A la pre- mière classe appartiennent les actes, administratifs de toute na- Ide, les procès-verbaux des élections et ceux des asemh1éeé délibérantes, les pièces de comptabilité, les lettres autographes, en un mot, tout ce qW, en France, est du ressort des archives, les imprimés étant considérés, à quelques exceptions près, - comme revenant de droit aux bibliothèques. Pour les premiers, il serait téméraire de risquer une évalua- tien numérique qui ne reposerait stir aucune donnée certaine; • pour les secnds, on peut hardiment estimer leur nombre en •'chiffres ronds à 50,000, en ne tenant compte que des écritcon- temporains, et sans parler des travaux modernesdont le total •s'accroit chaque année. C'ommenis'orienter au milieu d'un pareil dédale? •Avant d'indiquer aux chercheurs les répertoiresgénéraux etspéciaux destinés à leur servir de guides, il est utile de dir•comment se.répartissent ces richesses-•Le i-incipal:dépÔt des documents manuscrits et èetui-là
• même qùe la Révolution avait institua, et déni la destination n'à pas. changé ce sont lés Archies nationales, installées dans l'ancien palais de princes de Soubise, rue de Frahcs-Brnirgeois, • à Paris. Elles embrassent à la fois les papièrs de l'ancien et du nouveau régime, dont la centralisation s'opéra par une série de - mesures nées des circonstances mêmes.- Dès le 9 juillet 1789 l'Assemblée'constituanie entendit pren- dre les précautions nécessaires pour assurer la conservation de ses actes et des travaux de ses comités, et elle chargea de ce soin 1'ur de, ses membres, un homme d'une intégrité,. d'une compétence et d'une autorité reconnues, Armand-Gaston-Camus, •avocat du clergé et député du tiers étai de Paris. Cafnus ne • tarda pas à propôsét d'adjoindre à ce premier fonds • la réu- nion en mi seul dépôt de tous: les actes relatifs à l'état ancien de la nioûarchie, ainsi que tous les actes émanés des cours et autres établissements qui seront supprimés, de manière que tous les actes puissent être conservés sûrement comme documents - - hislôriques..••- -. IIs La proposition •de Camus ne fut pas sanctionnée alors par le vote de ses collègues, mais elle reçut entait Une première satis- faction lorsqu'on réunit en 1701 les archives du Conseil du Roi à celles.du Conseil de Lorraine. Camus nominé, en 1793, archi- viste de la République, eut à présider auclassement de tout ce qu'avaient reçu ou laissé l'Assemblée constituante, l'Assemblée. législative et la Convention dont il faisait partie comme député de la Haute-Loh-e. En même temps il présidait aux premières opÉrations de l'Agence temporaire dÇt triage des titres, chargée (le choisir dans l'immense entassement résultant de la suppres- s'ion des anciennes juridictions, des couvents et des communau- tés,, ce qui pouvait être détruit et ce qui méritait d'être con- servé. Livré aux Autrichiens par Dutnouriez, avec ceux de ses collègues qui étaient venus lui signifier les volontés de la Con- vention, Camus subit, avec une inébranlable fermeté, une cap- tivité des plus dures, et quand il reprit ses fonctions en 1795, les Archives s'étaient accrues de ce que l'Agence temporaire des titres avait épargné, de l'immense fonds dit de la Maison du Roi (aujourd'hui Archives de la Couronne) et de celles des princes du sang, des dossiers du tribunal révolutioPnaire, des papiers saisis chez les émigrés et condamnés. C'est dans ces séries et dans celles des assemblées que puisent journellement encore les érudits attirés par l'étude de la Révolution. Leurs recherches ont pour point de départ un àtat sommaire, - par sÉries, des documents conservÉs aux Archives nationales •(1891, in-4), dressé par les diverses sections des Archives, et terminé par une table très copieuse rédigée par M. Paul Guérin; mais, si précidux que soit cet àtat, il ne fournit au chercheur qu'un aperçu très bref des ressources qu'il est en droit d'espé- rer trouver aux Archives. On ne saurait s'en étonner, si l'on songe que les assemblées de la période révolutionnaire sont représentées aux Archives, d'après le récolement de 1878, par -