Texte 2 : Pierre Corneille, Horace, Acte IV, scène 5, 1640
Texte 2 : Pierre Corneille, Horace, Acte IV, scène 5, 1640 Horace, Camille, Procule Procule porte en sa main les trois épées des Curiaces HORACE Ma sœur, voici le bras qui venge nos deux frères, Le bras qui rompt le cours de nos Destins contraires, Qui nous rend maîtres d'Albe ; enfin voici le bras
Acte IV, scène 4-6
Corneille, Horace, acte IV, scène 5 « Imprécations de Camille » Rome, l’unique objet de mon ressentiment Rome, à qui vient ton bras d’immoler mon amant Rome qui t’a vu naître, et que ton cœur adore Rome enfin que je hais parce qu’elle t’honore Puissent tous ses voisins ensemble conjurés
Problématique choisie : Objet d’étude
4) Sujet de bac blanc du mois de janvier 2018 Ø Corpus : Texte A : Pierre Corneille, Horace, acte IV, scène 5, extrait, 1641 Texte B :
HORACE - Linguistica et littérature
ACTE I SCÈNE PREMIÈRE Sabine, Julie SABINE Approuvez ma faiblesse, et souffrez ma douleur, Elle n'est que trop juste en un si grand malheur ; Si près de voir sur soi fondre de tels orages, L'ébranlement sied bien aux plus fermes courages, 5 Et l'esprit le plus mâle et le moins abattu Ne saurait sans désordre exercer sa vertu
RESUME – L’ILLUSION COMIQUE, Corneille (1639)
Acte IV, scène 4 Lyse trouve Isabelle en compagnie de Matamore Celui-ci, sous couvert de libérer Clindor, est sorti de sa cachette pour trouver à manger Isabelle demande à Lyse d’occuper les valets de Géronte pour qu’il puisse sortir de la maison Acte IV, scène 5 Lyse lui reproche d’avoir perdu du
BAC BLANC FRANCAIS ECRIT n°1 Série ES/S mercredi 10 janvier
4 Puisse ta vie être plus malheureuse que la mienne 5 Horace a tué l'époux de Camille, Curiace, pour honorer Rome 6 Camille, assassinée dans les coulisses 7 Horace, revenant sur scène Texte B : Alfred de MUSSET, Lorenzaccio, acte IV, scène 11, 1834
Molière, LEcole des femmes (1662), ACTE V scène 4
Molière, L'Ecole des femmes (1662), ACTE V scène 4 [Arnolphe a très peur de se marier et d'être trompé Il a donc fait élever Agnès, une jeune fille, sans lui donner aucune éducation et sans la laisser sortir, afin qu'elle ne sache rien du monde Mais un jeune homme, Horace, a tout de même réussi à la séduire
Molière, LEcole des femmes, Acte III, scène 4, à partir du
Molière, L'Ecole des femmes, Acte III, scène 4, à partir du vers 940 1 5 10 15 20 22 24 HORACE Mais il faut qu'en ami je vous montre la lettre Tout ce que son cœur sent, sa main a su l'y mettre,
Venger l’affront
Venger l’affront Texte : Pierre Corneille, Le Cid, acte I, scène 5 Problématique : Par quels moyens cette scène montre un père qui exhorte son fils à venger l’affront qu’il vient de subir
Lecture analytique III 4 L Ecole des femmes
Lecture analytique L’École des Femmes, acte III scène 4 « Le grès surpris? » Créée en 1662, la comédie de Molière, L’École des Femmes a suscité le scandale C’est que Molière place au cœur de sa comédie une jeune « innocente » qui finit par se dévergonder car « L’amour est un grand maître »
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Molière, L'Ecole des femmes, Acte III, scène 4, à partir du vers 940. 1 5 10 15 20 22
24HORACE
Mais il faut qu'en ami je vous montre la lettre.
Tout ce que son coeur sent, sa main a su l'y mettre, Mais en termes touchants et tous pleins de bonté,De tendresse innocente et d'ingénuité,
De la manière enfin que la pure nature
Exprime de l'amour la première blessure.
ARNOLPHE, bas.
Voilà, friponne, à quoi l'écriture te sert ; Et contre mon dessein l'art t'en fut découvert.HORACE, lit.
" Je veux vous écrire, et je suis bien en peine par où je m'y prendrai. J'ai des pensées que je
désirerais que vous sussiez1 ; mais je ne sais comment faire pour vous les dire, et je me défie de
mes paroles. Comme je commence à connaître qu'on m'a toujours tenue dans l'ignorance, j'ai peur
de mettre quelque chose qui ne soit pas bien, et d'en dire plus que je ne devrais. En vérité, je ne
sais ce que vous m'avez fait ; mais je sens que je suis fâchée à mourir de ce qu'on me fait faire
contre vous, que j'aurai toutes les peines du monde à me passer de vous, et que je serais bien aise
d'être à vous. Peut-être qu'il y a du mal à dire cela ; mais enfin je ne puis m'empêcher de le dire, et
je voudrais que cela se pût faire sans qu'il y en eût2. On me dit fort que tous les jeunes hommes
sont des trompeurs, qu'il ne les faut point écouter, et que tout ce que vous me dites n'est que pour
m'abuser ; mais je vous assure que je n'ai pu encore me figurer cela de vous, et je suis si touchée
de vos paroles, que je ne saurais croire qu'elles soient menteuses. Dites moi franchement ce qui en est ; car enfin, comme je suis sans malice, vous auriez le plus grand tort du monde, si vous me trompiez ; et je pense que j'en mourrais de déplaisir. »