L’ADMISSION D’UN MINEUR
5 L’admission d’un mineur en urgence En cas d'urgence, toutes mesures utiles doivent être prises pour que les personnes exerçant l’autorité parentale sur le mineur soient prévenues Si elles ne peuvent pas être jointes, l'intervention chirurgicale peut être réalisée, sous réserve du
Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé
Un mineur peut être hospitalisé soit à la demande de ses représentants légaux (il est alors considéré en soins libres), soit à la demande d’une autorité publique, administrative ou judiciaire En 2015, 18 257 mineurs ont été admis en hospitalisation complète, dont 197 sur décision du représentant de
PSYCHIATRIE - PSYCHIATRIQUES SOUS Ref CHIVA FEDERATION DES
Réalisation d’une hospitalisation sous contrainte d’un patient adulte, mineur ou détenu Champ d’application Prise en charge administrative du patient en extra et en intra hospitalier en vue d’une hospitalisation sous contrainte Prise en charge médicale aux urgences d’un patient présentant des troubles psychiatrique avant
Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé
S’agissant des mineurs, la décision d’hospitalisation appartient en premier lieu, aux titulaires de l’autorité parentale ou au tuteur12; selon le code de la santé publique, elle peut aussi intervenir à la demande du directeur de l’établissement ou du service à qui le mineur a été judiciairement confié13 Dans ces hypo-
Hospitalisation psychiatrique sous contrainte : lUrgence est
Hospitalisation psychiatrique sous contrainte : l'Urgence est d'en sortir publié le 24/04/2010, vu 55008 fois, Auteur : Maître HADDAD Sabine Dans un premier article, je me suis penchée, sur les conditions du placement en hospitalisation sous contrainte, des malades hors d’état de manifester leur volonté ou/et dangereux
SOINS SANS CONSENTEMENT POUR LES MINEURS
L’hospitalisation à la demande d’un tiers ne s’applique pas aux mineurs Mais une hos-pitalisation libre est de fait sous contrainte dans la mesure où le mineur ne peut quitter l
GUIDE DE PROCÉDURES
4 Le transfert d’un patient entre établissements de santé d’un même département pour des soins somatiques 5 La fugue 6 La levée de la prise en charge B Le programme de soins C La modification de la forme de prise en charge 1 Vers une hospitalisation complète : saisine obligatoire du JLD 2 Vers un programme de soins en
PROCEDURE SUR DEMANDE D’UN TIERS OU EN CAS DE PERIL IMMINENT
Hospitalisation sur demande d’un tiers Soins psychiatriques sur demande d’un tiers ou en cas de péril imminent Etape de la procédure ENTREE DANS LE DISPOSITIF DE SOINS TYPE DE PROCEDURE Soins psychiatriques sur demande d’un tiers : Dispositif de droit commun (L 3212-1)
Certificats dhospitalisation à la demande dun tiers - HDT
Cette modalité de soins correspond à ce qui était auparavant dénommée « hospitalisation à la demande d'un tiers » (HDT) sous le couvert de la loi n° 90-527 du 27 juin 1990 relative aux droits et à la protection des personnes hospitalisées en raison de troubles mentaux et à leurs conditions d'hospitalisation
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1 CGLPL - rapport thématique " Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé mentale » - dossier de
presseRapport thématique
Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé mentaleDossier de presse
Le Contrôleur Général des lieux de privation de liberté a pour mission de veiller à ce que les
personnes enfermées soient traitées avec humanité et dignité. Dans ce cadre il lui revient de V·MVVXUHU GX
respect des droits des personnes hospitalisées sans leur consentement, parmi lesquelles se trouvent des
mineurs.Un mineur peut être hospitalisé soit à la demande de ses représentants légaux (il est alors considéré
en soins libres) VRLP j OM GHPMQGH G·XQH MXPRULPp SXNOLTXH MGPLQLVPUMPLYH RX ÓXGLŃLMLUHB En 2015, 18 257
mineurs ont été admis en hospitalisation complète, dont 197 sur décision du représentant de
l·Etat et 239 sur décision du juge des enfants1. La notion de soins libres est particulièrement délicate concernant le mineur hospitalisé enpsychiatrie car cette hospitalisation peut lui être totalement imposée par un tiers sans qu·il ne bénéficie des
garanties reconnues en matière de soins sous contrainte. Dans la mesure où ils tirent leur compétence de
O·OMNLOLPMPLRQ GH O·pPMNOLVVHPHQP YLVLPp, les contrôleurs se VRQP LQPpUHVVpV MX VRUP GH O·HQVHPNOH GHV PLQHXUV
rencontrés, quelles que soient les modalités de leur admission.6L OM VLPXMPLRQ GHV PLQHXUV M SMUPLŃXOLqUHPHQP UHPHQX O·MPPHQPLRQ GX F*I3I ŃH Q·HVP SMV VHXOHPHQP
apparue très incertaine PRXPHV PRGMOLPpV G·MGPLVVLRQ ŃRQIRQGXHVB FHPPH LQŃHUPLPXGH HVP MSSMUXH SOXV
grande encore pour les mineurs confiés MX VHUYLŃH GH O·MLGH VRŃLMOH j O·Hnfance, nombreux au sein des unités.
I·MGPLQLVPUMPLRQ ORVSLPMOLqUH HOOH-PrPH QH VHPNOH SMV PRXÓRXUV MX IMLP GHV UqJOHV UHOMPLYHV j O·MXPRULPp
parentale HP PHVXUH PMO O·LQŃLGHQŃH GX SOMŃHPHQP VXU OHV SURŃpGXUHV G·MGPLVVLRQ VXU OM SOMŃH GHV SMUHQPV
dans la prise en charge, sur les droits des mineurs.IHV SURŃpGXUHV G·MGPLVVLRQ HQ VRLQV VMQV ŃRQVHQPHPHQP VPULŃPR VHQVX, plus encadrées par
OH GURLP IRQP JpQpUMOHPHQP O·RNÓHP GH SURPRŃROHV PMLV OM TXHVPLRQ GHV SMPLHQPV PLQHXUV Q·\ ILJXUH TX·j OM
marge LO Q·HVP TXMVLPHQP ÓMPMLV IMLP UpIpUHQŃH j O·MŃŃRPSMJQHPHQP G·XQ SMPLHQP PLQHXU GMQV O·H[HUŃLŃH GH
VHV GURLPV HP OM SUMPLTXH Q·\ VXSSOpH JXqUHB IHV ŃRQPU{OHXUV RQP ŃRQVPMPp TXH les autorités elles-mêmes ²
UHSUpVHQPMQP GH O·(PMP HP ÓXJH GHV OLNHUPpV HP GH OM GpPHQPLRQ QRPMPPHQP ² peinaient à garantir correctement
les droits des mineurs et de leurs représentants légaux.Parce que les mineurs hospitalisés sont particulièrement vulnérables, le CGLPL a souhaité
V·LQPHUURJHU VXU OM PMQLqUH GRQP V·MUPLŃXOHQP OHV GURLPV GHV HQIMQPV HP ŃHX[ GHV SMUHQPV GMQV OHXUV UMSSRUPV
MYHŃ O·O{SLPMO HP MYHŃ OHV MXPRULPpV MX PRPHQP GH O·MGPLVVLRQ HP SHQGMQP OM Srise en charge.
Les recommandations formulées par le CGLPL V·MSSXLHQP VXU OHV visites menées dans unePUHQPMLQH G·O{SLPMX[ MŃŃXHLOOMQP GHV PLQHXUV ainsi que sur un examen précis des textes, épars et parfois
contradictoires, qui régissent la matière.2 CGLPL - rapport thématique " Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé mentale » - dossier de
pressePrincipales recommandations du CGLPL
- IHV SRXYRLUV SXNOLŃV GRLYHQP YHLOOHU j ŃH TXH PRXP HQIMQP GRQP O·pPMP QpŃHVVLPH GHV VRLQV SXLVVH rPUH
accueilli dans un établissement adapté, suffisamment proche de son domicile pour garantir le maintien des liens familiaux.- Les pouvoirs publics et les autorités responsables doivent veiller à une meilleure articulation
entre les divers services sociaux, médico-sociaux, éducatifs, sanitaires et judiciaires intervenant auprès des mineurs.- Les pouvoirs publics et les autorités responsables doivent veiller à ce que tous les mineurs
bénéficient effectivement des droits qui leur sont conférés par la loi.- Les patients mineurs ne devraient pas être accueillis avec des adultes de plus de 25 ans.
Il devrait être envisagé de UHJURXSHU GMQV GHV XQLPpV GLVPLQŃPHV G·XQH SMUP OHV PLQHXUV GH
13 j 16 MQV HP G·MXPUH SMUP OHV ÓHXQHV GH 16 j 2D MQV.
- I·MUPLŃOH 5 1112-34 alinéa 2 du code de la santé publique qui dispose que " O·MGPLVVLRQ G
XQ PLQHXU
que l'autorité judiciaire, statuant en matière d'assistance éducative ou en application des textes qui
régissent l'enfance délinquante, a placé dans un établissement d'éducation ou confié à un particulier,
est prononcée à la demande du directeur de l'établissement ou à celle du gardien » devrait être
abrogé.- I·MGPLVVLRQ G·XQ PLQHXU HQ pPMNOLVVHPHQP GH VRLQV SV\ŃOLMPULTXHV VXU OH IRQGHPHQP GH
O·RUGRQQMQŃH GX 2 IpYULHU 1E4D UHOMPLYH j O·HQIMQŃH GpOLQTXMQPe doit demeurer exceptionnelle.
I·MGPLVVLRQ GHYUMLP rPUH VRXPLVH MX[ PrPHV ŃRQGLPLRQV TXH ŃHOOHV SUpYXHV GMQV OH ŃMGUH de la
SURŃpGXUH G·MVVLVPMQŃH pGXŃMPLYH GXUpH OLPLPpH ŃHUPLILŃMP PpGLŃMOB ¾ Recommandations relatives aux droits des mineurs et de leurs représentants légaux- (Q ŃMV G·MGPLVVLRQ j OM Gemande des représentants légaux, LO ŃRQYLHQP GH UHŃXHLOOLU O·MŃŃRUG GHV
deux parents, de façon formelle GqV ORUV TX·LOV SMUPMJHQP O·H[HUŃLŃH GH O·MXPRULPp SMUHQPMOHB Si un
VHXO GHV SMUHQPV GLVSRVH GH ŃHP H[HUŃLŃH O·MXPUH SMUHQP GRLP rPUH LQIRUPp MX SOXV tôt.
- Les mineurs hospitalisés à la demande de leurs représentants légaux doivent pouvoir saisir la commission départementale des soins psychiatriques. IRUVTX·LOV contestent la QpŃHVVLPp GH O·ORVSLPMOLVMPLRQ les mineurs doivent également pouvoir saisir le juge deslibertés et de la détention. HOV GRLYHQP rPUH LQIRUPpV GH ŃHV SRVVLNLOLPpV SMU O·O{SLPMO GMQV OHV
meilleurs délais et dès que leur état le permet. - LM GpŃLVLRQ G·MGPLVVLRQ HQ VRLQV SV\ŃOLMPULTXHV VMQV ŃRQVHQPHPHQP prononcée par lereprésentant de O·(PMP GRLP rPUH notifiée au patient mineur lorsque son âge ou sa
maturité le permet ; la notification doit être systématique à partir de 13 ans. Elle doit être assortie
G·H[SOLŃMPLRQV GpOivrées par un agent hospitalier spécialement formé. I·LQIormation doit porter sur
les voies de recours, la situation juridique du patient et les droits qui y sont attachés, la possibilité
de faire valoir ses observations. Le patient GRLP VH YRLU UHPHPPUH XQH ŃRSLH GH OM GpŃLVLRQ MLQVL TX·XQ
formulaire explicatif de ses droits, rédigés en termes clairs et pédagogiques. - Les autorités doivent veiller à ce que les représentants légaux des mineurs admis sur GpŃLVLRQ GX UHSUpVHQPMQP GH O·(PMP soient destinataires des décisions, convocations,informations relatives à leur enfant. Ils doivent les mettre à même de faire valoir leurs droits
et ceux de leur enfant.3 CGLPL - rapport thématique " Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé mentale » - dossier de
presse- Quel que soit OH PRGH G·MGPLVVLRQ une information doit être délivrée aux représentants
OpJMX[ MLQVL TX·MX PLQHXU VHORQ VHV IMŃXOPpV GH ŃRPSUpOHQVLRQ HP VM PMPXULPp.I·LQIRUPMtion doit porter sur la maladie, sur les divers traitements médicamenteux envisageables,
VXU O·HQVHPNOH des composantes du soin, VXU OH IRQŃPLRQQHPHQP GH O·XQLPp HP OHV UqJOHV GH YLH
TXRPLGLHQQH VXU O·H[LVPHQŃH G·XQH ŃOMPNUH G·LVROHPHQP HP VRQ XPLOLVMPLRQ VXU OHV SRVVLNLOLPpV GH
VRXPLHQ j O·HQVHPNOH GH OM IMPLOOH SHQGMQP HP j O·LVVXH GH O·ORVSLPMOLVMPLRQB Les supports et les
PRGMOLPpV GH GpOLYUMQŃH GH O·LQIRUPMPLRQ GRLYHQP rPUH MGMSPpV j O·kJH MX[ ŃMSMŃLPpV j O·pPMP GH OHXUV
destinataires.- IM UHTXrPH MGUHVVpH SMU OH UHSUpVHQPMQP GH O·(PMP MX ÓXJH GHV OLNHUPpV HP GH OM GpPHQPion devrait
V·MŃŃRPSMJQHU GH renseignements sociaux. Le JLD devrait, le cas échéant, ordonner une
enquête sociale rapide avant de statuer.- IRUVTX·XQ SMPLHQP PLQHXU ORVSLPMOLVp SMU GpŃLVLRQ GX UHSUpVHQPMQP GH O·(PMP HVP VXLYL GMQV OH ŃMGUH
G·XQH SURŃpGXUH G·MVVLVPMQŃH pGXŃMPLYH le juge des libertés et de la détention doit en être informé.
Le JLD devrait recueillir l·MYLV GX ÓXJH GHV HQIMQPV avant de statuer. La communication duGRVVLHU G·MVVLVPMQŃH pGXŃMPLYH MX -IG GHYUMLP rPUH HQYLVMJpH VRXV OH ŃRQPU{Oe du juge des enfants.
- 6·LO MSSMUMvP TXH OHV LQPpUrPV GX PLQHXU VRQP HQ RSSRVLPLRQ MYHŃ ŃHX[ GH VHV UHSUpVHQPMQPV OpJMX[ RX
que les droits du mineur sont insuffisamment garantis par eux, le juge des libertés et de la détention
devrait désigner un administrateur ad hoc au patient mineur. ¾ Recommandations relatives à la prise en charge- IH VXLYL GHV SMPLHQPV PLQHXUV GHYUMLP V·H[HUŃHU VRXV OH ŃRQPU{OH pPURLP G·XQ PpGHŃLQ IRUPp j OM
pédopsychiatrie.- Une attention particulière doit être portée à la conception et à O·aménagement des unités de
soins pour mineurs. Elles doivent rPUH VSMŃLHXVHV HP ŃRPSRUPHU XQ MŃŃqV j O·MLU OLNUHB
I·pTXLSHPHQP GRLP rPUH ŃRQIRUPH j OM VpŃXULPp GHV SMPLHQPV PRXP HQ SUpVHUYMQP OHXU GLJQLPp HP OHXU
intimité.- Les unités recevant des mineurs GHYUMLHQP NpQpILŃLHU G·XQH ŃOMPNUH G·MSMLVHPHQP SHUPHPPMQP
XQH PLVH j O·pŃMUP VMQV HQIHUPHPHQP et dans des conditions de confort. La nécessité deGLVSRVHU G·XQH ŃOMPNUH G·LVROHPHQP GHYUMLP rPUH UpIOpŃOLH HQ pTXLSH GMQV OH ŃMGUH GX SURÓHP PpGLŃMOB
Les chaPNUHV G·LVROHPHQP GHYUMLHQP rPUH H[ŃOXHV GHV XQLPpV UHŃHYMQP GHV HQIMQPV GH PRLQV GH 13
ans. Les équipes de psychiatrie infanto-juvéniles devraient recevoir une formationspécifique, destinée à prévenir les crises HP j \ UpSRQGUH SMU G·MXPUHV PR\HQV TXH OH placement
HQ ŃOMPNUH G·LVROHPHQPB Les représentants légaux doivent être LQIRUPpV GH O·H[LVPHQŃH
G·XQH ŃOMPNUH G·LVROHPHQP et des modalités de son utilisation ORUVTXH OM PLVH j O·LVROHPHQP HVP
effective, ils doivent être informés dans les meilleurs délais.- Les activités thérapeutiques GHYUMLHQP rPUH pPURLPHPHQP ŃRUUpOpHV MX SURÓHP PpGLŃMO GH O·XQLPp ;
leur animation devrait incomber à des soignants formés ; la pertinence des objectifs et des méthodes
devrait être régulièrement interrogée ; chaque activité devrait donner lieu, pour chaque patient, à
une analyse a posteriori. - Le personnel hospitalier devrait être sensibilisé aux questionV G·RUGUH ÓXULGLTXH.- (Q ŃMV G·MGPLVVLRQ G·XQ HQIMQP ÓXGLŃLMLUHPHQP ŃRQILp j XQ PLHUV ² service, établissement ou personne
physique ² O·O{SLPMO GHYUMLP VH SURŃXUHU OM GpŃLVLRQ GH SOMŃHPHQP HP V·MVVXUHU GH OM SRVLPLRQ GHV
SMUHQPV MX UHJMUG GH O·H[HUŃLŃH GH O·MXPRULPp SMUHQPMOHB En cas de difficulté, ils doivent en référer au
juge.4 CGLPL - rapport thématique " Les droits fondamentaux des mineurs en établissement de santé mentale » - dossier de
presse- +RUPLV O·O\SRPOqVH RZ une décision judiciaire les aurait privés GH PRXP RX SMUPLH GH O·H[HUŃLŃH GH
OHXUV GURLPV G·MXPRULPp SMUHQPMOH les parents doivent être informés, consultés et associés à la
prise en charge. Il convient également de leur apporter un soutien pour eux-mêmes et leur famille
ou de les orienter vers un tel soutien.- Il convient de IMYRULVHU O·MXPRQRPLH GHV SMPLHQPV ; les restrictions aux droits et libertés doivent
être LQGLYLGXMOLVpHV HP PRGXOpHV VHORQ O·pPMP ŃOLQLTXH GX SMPLHQP VRQ kJH VM PMPXULPp HP OM GXUpH GX
séjour. - La mise en pyjama et O·LQPerdiction du port de chaussures doivent demeurerexceptionnelles et répondre à des motifs précis et individuels, portés à la connaissance des
représentants légaux.- Les restrictions de visite doivent être ordonnées par le médecin ; elles doivent être individualisées
et obéir à des nécessités thérapeutiques.- Il convient de V·MVVXUHU GHV ŃRQGLPLRQV GMQV OHVTXHOOHV OHV ÓHXQHV HQIMnts sont accueillis
dans leur famille le week-end. Les établissements qui ferment eQ ILQ GH VHPMLQH RX O·pPp GRLYent
prévoir des solutions de remplacement conformes aux besoins des enfants.- Il ne peut être porté atteinte à la confidentialité des échanges téléphoniques que pour un
PRPLI PLUp GH O·pPMP GH VMQPp GX SMPLHQP OHTXHO GRLP rPUH UpJXOLqUHPHQP UppYMOXpB- (Q UMLVRQ GHV HQÓHX[ HQ PHUPHV G·LQVHUPLRQ PRXP pPMNOLVVHPHQP UHŃHYMQP GHV PLQHXUV GRLP GLVSRVHU
de moyens permettant de dispenser aux patients une scolarité sous une forme et un rythme adaptés à leur état et à la durée de leur séjour.- HO MSSMUMvP QpŃHVVMLUH TXH OHV pTXLSHV ŃRQIURQPpHV j GHV MGROHVŃHQPV G·kJHV GLIIpUHQPV HQJMJHQP XQH