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Conférence de haut niveau de l’UpM sur le financement du

Conférence de haut niveau de l’UpM sur le financement du futur réseau transméditerranéen de transport (RTM-T) Port de Rome (Civitavecchia), 9 et 10 décembre 2014 Accueillie par : Informations pratiques pour les participants L’Autorité portuaire de Civitavecchia est heureuse de vous accueillir à l’occasion de cet important événement



Informal document WP5 (2014) No 4 - UNECE

La conférence de haut niveau de l’UpM sur le financement du futur réseau transméditerranéen de transport a réuni devant les partenaires euro-méditerranéens plus de 120 participants, dont les principales institutions financières européennes et internationales, les bailleurs de fonds et des entreprises privées



Union pour la Méditerranée – Conférence Ministérielle sur le

parfaite synergie avec le réseau transeuropéen de transport (RTE-T) et le réseau transméditerranéen de transport (RTM-T) et en cohérence avec les actions du PART et le Plan d'Action de la PEV La stratégie nationale pour le secteur des transports durant la période 2008-2012 a accordé la



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programme, y compris son financement, pour développer le réseau transméditerranéen de transport, similaire au programme existant pour le réseau transeuropéen de transport; de renforcer leur collaboration pour contribuer rapidement à I'émergence et identification de



ECE/TRANS/WP5/55 Conseil économique et social

Le projet EuroMed a pour but de faciliter la mise en œuvre du Plan d’action régional du transport (PART) pour les modes de transport terrestres (route, rail et transport urbain) par l’appui à la mise en place du Réseau de transport transméditerranéen et la promotion de transports durables et opérants dans les zones urbaines



POUR LA MÉDITERRANÉE PROJETS - IPEMED

POUR LA depuis le lancement du processusde Barce-lone en 1995 et souvent grâce à lui, un grand nom-bre d’initiatives de la société civile tissent un réseau transméditerranéen de coopération et de solidarités multiples dans le domaine économique (audiovi-suel, postes, transporteurs d’électricité, cancéro-



Relation et Coopération de lUE-Med vers lAfrique1

les objectifs du processus de Barcelone restaient d’actualité, que nous devions œuvrer pour améliorer la prospérité partagée sur la base des relations nord-sud et sud-sud et qu’il était nécessaire de mettre en avant l’innovation politique comme nouveau paradigme de



Analyse du cadre réglementaire de l’accès au réseau des

de plus de 98 8 de l’électricité produite dans le pays3 ce qui ne laisse, on le voit, qu’une part résiduelle pour la production d’électricité à partir d’énergie renouvelable 4



La production centralisée dans le Plan solaire méditerranéen

jets de l’union pour la Méditerranée, qui est com-posée de 47 membres comprenant tous les membres de l’ unio n européenne ainsi que l’ensemble des pays du pourtour méditerranéen Dans le cadre du PSM, de nombreux projets solaires, éoliens et d’efficacité énergétique sont en étude dans les pays du sud de la Méditerranée

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1 FEMISE ANNUAL CONFERENCE 2018 Voisinage étendu: Relation et Coopération de l'UE-Med vers l'Afrique1 Malte, 8-9 Février (a confirmer: session d'ouverture le 7 Février en après-midi) Concept Note I. Contexte. La coopération étendue entre UE-Med et Afrique Subsaharienne : une nécessité et une opportunité Les enje ux et défis économique s, démographiques, migratoires et clim atiques rendent nécessaires une coopération étendue entre la région Euro-Med et l'Afrique subsaharienne qui pourrait être très bénéfique à l'ensemble des parties prenantes. • L'Afrique est le continent où le potentiel de croissance à venir est le plus f ort. Sa population est jeune (la moyenne d'âge est de 18 ans) et encore en pleine expansion (d'ici 2050, le nomb re d'habitants va dou bler et, à elle-seule, l'Afrique de l'Ouest pou rrait compter près d'un milli on de person nes). Au cours de la décennie pass ée, les ta ux de croissance enregistrés éta ient constamment à hauteur de 5 %-7%. En 2014, ci nq pays africains faisaient partie des dix pays à avoir enregistré la plus forte croissance économique dans le monde. Malgré ces taux de croissance relativement él evés, la croissance démographique est telle que, jusqu'à présent, la moyenne du revenu par habitant baisse. • De son coté, l'Europe sera mieux placée à résoudre ses problèmes de croissance et de gestion des populations migrantes à venir (liées au changement climatique, à la poursuite des conflits au Sud et à la pauvreté) , quand elle progressera vers une coopéra tion plus étroite et une intégr ation pl us complète avec son Voisinage étendue à l'ensemble d u continent africain. Les économistes présents à la Conférence de FEMISE 2016 (Athènes) soulignaient déjà que les objectifs du processus de Barcelone restaient d'actualité, que nous devions oeuvrer pour améliorer la prospérité partagée sur la base des relations nord-sud et sud-sud et qu'il était nécessaire de mettre en avant l'i nnovation pol itique comme nouveau paradigme de coopération. Nous pensons au FEMISE qu'une ouverture plus profonde vers le reste du co ntinent Africain pourrait être cette in novation tant att endue. Favoriser les partenariats et les accords entre la région euro-méditerranéenne et l'Afrique subsaharienne pourrait permettre une accélération de la croissance en Afrique en développant en parallèle les échanges inter et intra-régionaux, qu'ils soient commerciaux, technologiques, ou même culturels. Dans l'autre sens, l'Europe pourrait apporter un savoir-faire et un financement pour le dé veloppement de s infrastructures et d'activit és à plus f orte valeur ajoutée et développer une stratégie com mune, nota mment sur le secte ur de l' énergie. Les pays méditerranéens dont l'industrie s'est en p artie diversif iée, s'engagent de plus en plus politiquement, diplomatiquement et économique ment en Afrique subsaharienne, et pourraient participer au transfert de leurs acquis au niveau des nouvelles technologies et des infrastructures. 1 Cette conférence est organise avec le soutien financier de l'Union Européenne a travers le projet FEMISE "Support to Econom ic Resear ch, studies and dialogues of the Euro-Mediterranean Partnership". Les opinions exprimées sont celles des auteurs et des orateurs et ne reflètent pas la position de L'Union Européenne.

2 C'est dans ce contexte que la conférence annuelle FEMISE de 2018 aura comme but de fournir une plate-forme de discussions et de débats entre les différentes parties prenantes. Les échanges permettront de contribuer à la recherche d'outils et de politiques efficaces. Ils seront organisés autour des trois axes qui suivent : • Plénière I. Où en sommes nous en termes de coopération EuroMed-Africaine? Etat des lieux des accords et projets existants • Plénière II. Vers où veut-on aller et comment ? Le choix d'un nouveau paradigme pour la Coopération EuroMed vers l'Afrique et les Priorités à cibler • Plénière III. Un impératif dans l'agenda : Préserver le patrimoine naturel et coopérer dans le secteur des Energies II. Sessions Plénières Plénière I. Où en sommes nous en termes de coopération EuroMed-Africaine? Etat des lieux des accords et projets existants Quelle est la situation que l'on voit se profiler en l'état actuel ? On notera déjà que : • Sur le plan local Africain, Il existe aujourd'hui huit communauté s économiques régionales reconnues par l'Union africaine.2 Cependant, malgré les accords commerciaux existants, le commerce intra-régional reste faible. Ce dern ier occupe l'avant dern ière position parmi les régions du monde (17,7% en 2015), ce qui signif ie qu'il s'agit d' une source de croissance importante encore inexploitée. Ce constat est dû en grande partie à une combina ison de politiques commercia les fortement axées sur l'accès aux économies développées, et à des efforts d'intégration régionale qui n'ont pas été bien conçus ou n'ont pas été pleinement mis en oeuvre.3 • Sur le plan multilatéral, la Stratégie conjointe Afrique-UE (JAES) a été lancée lors du Som met Afrique-UE à Li sbonne en 2007 soulignant l'inte ntion des deux continen ts à dépasser le modèle relationnel donateur / bénéficiaire pour aller vers une coopération de long terme. A ce jour, cette stratégie multilatérale n'a su exploiter pleinement son potentiel, comme l'illustre nt notamment les faibles IDE de l'Union Europé enne vers l'Afrique subsaharienne. Il sera également im portant de préciser les orientatio ns politiques et les décisions qui auront été adopté es au c ours du 5ième Sommet Union Africa ine - Union Européenne, lequel se sera tenu à Abidjan (Côte d'Ivoire) les 29 et 30 Novembre 2017. • Sur le pl an bilatér al, l' Union Européenne négoci e des Accords de partenariat économique avec l'Afrique Subsaharienne, en particulier l'APE UE-Afrique de l'Ouest avec les membres de la CEDEAO et la Mauritanie, l'APE UE-Afrique de l'Est avec les membres de la Communauté d'Afrique de l'Est, et l'APE UE-Afrique Australe avec les membres de l'Union douanière d'Afrique australe et le Mozambique. En attente de leurs ratifications finales, les états africains bénéficient de différents régimes de préférences, notamment le SPG " Tout sauf les armes » pour les PMA, le SPG pour les états plus développés, voir une application d'un APE temporaire bilatéral (avec la Côte d'Ivoire, le Ghana, le Kenya, le Rwanda et les pays de l'Union doua nière d' Afrique Australe) . En outr e, il existe différent s accords commerciaux entre l'UE et les membres africains du COMESA (Marché commun de l'Afrique de l'Est et de l'Afrique austr ale). Ces accord s sont asymétriques dan s la mesure où ils prévoient une protection des lignes tarifaires sensibles pour les pays africains, en particulier les denrée s alimentaires comme la vian de, les produits laitiers ou issus de l'agriculture, certains produits in dustriels et les produits manufacturés. Une crainte partagée par de 2AsavoirlaCommunautédel'Afriquedel'Est,laCOMESA,l'UnionduMaghrebArabe(UMA),laCommunautédesÉtatssahélo-sahariens(CEN-SAD),laCommunautééconomiquedesÉtatsdel'Afriquecentrale(CEEAC),l'AutoritéintergouvernementalepourleDéveloppement(IGAD),laCommunautédedéveloppementdel'Afriqueaustrale(CDAA)etlaCEDEAO.3Certainsgroupementséconomiquesdemeurentàlatraînepourcequiestdelaréalisationd'uneplusgrandeintégrationcommercialeparmilesmembres-probablementparcequelechevauchementdeleursgroupementsdepaysréduitconsidérablementleurefficacité.C'estlecasdel'IGAD,delaCommunautéÉconomiquedesÉtatsdel'AfriqueCentrale(CEEAC)etduCOMESA.

3nombreux pays africains est que certains secteurs stratégiques ne soient pas capables de soutenir la concurrence européenne. • Les pays p artenaires m éditerranéens (PM) s'impliquent aussi en Afrique subsaharienne. On assiste en effet à une multiplica tion des accords bil atérau x et une croissance des exportations vers le reste du continent. Des entreprises publiques et privées de ces pays se sont implantées dans toute l'Afrique. Par exemple le Maroc a investi dans le secteur des banques et assurances, l'immobilier et les t élécommuni cations, et des compagnies comme Royal Air Maroc ou l'Attijariwafa bank sont présentes dans de nombreux pays de l'Afrique subsaharienne. L'Algérie, bien que moins présente que le Maroc, a plutôt investit dans les énergies et les infrastructures. • Une coopération UE-Med-Afrique a été initiée sur des axes spécifiques. Au nive au des infrastructures, des réseaux intégrés de transports sont en projet entre les deux rives de la Méditerranée d'une part, et entre l'Afrique du Nord et l'Afrique subsaharienne d'autre part. Un réseau tr ansmédit erranéen de transport e st en projet, et une route transsaharienne reliant Alger à Lagos doit entrer en service en 2018. Un projet de gazoduc reliant le Nigeria et le Maroc est aussi à l'étude. Sur la question migratoire, l'UE conduit un dia logue avec les pay s du continent africa in avec, comme cadre globa l, l'Approche Globale des Migrations et de la Mobilité.Des initiatives à l'échelle régionale ont aussi vu le jour (Processus de Rabat concernant la route occidentale et Processus de Khartoum pour la route orientale). Plus largement, compte tenu de la position géographique des pays méditerranéens qui les place à "la porte" de l'Afrique pour l'UE, on qualifie fréquemment ces pays Med de "hub" pour le continent africain. Que signifie précisément cette idée de hub ? Quelles formes concrèt es peut-il pr endre, alors mêm e que les droits de douane actuels appliqués par les pays africains sont plus faibles vis à vis de l'Europe que vis à vis des pays méditerranéens ? Outre cet état des lieux, l'objectif principal de cette première session sera de déterminer où en est précisément la coopération UE, Méditerranée et Afrique. Plénière II. Vers où veut-on aller et comment ? Le choix d'un nouveau paradigme pour la Coopération EuroMed vers l'Afrique et les Priorités à cibler Après l'état des lieux de la première session, il convient de se poser la question suivante : Comment valoriser davantage les relations UE-Méditerranée pour une Coopération Approfondie avec l'Afrique dans un partenariat opérationnel ? Plus précisément, en quoi et comment une nouvelle forme de coopération initiée par l'UE pourrait permettre à tous de tirer profit de cette nouvelle opportunité ? La qu estion centrale de cette sess ion est la définition d 'une vision générale de cett e coopération Euro-Med-Afrique (EMA) et des priorités à cibler. Cette coopération devra se concentrer sur des initiatives et stratég ies d'un agenda commun qui profite aux deux continents, tout en contribuant à réduire la pauvreté en Afrique et à accélérer le processus de convergence des niveaux de vie. Les deux points qui suivent nous semblent essentiels à traiter dans l'agenda de cette coopération EMA : • Le besoin de Ré-industrialisation : le déve loppement de l'industrie manufacturière est indispensable pour créer des emplois, créer de la richesse et permettre l'essor des classes moyennes. La complémentarité des avantages comparatifs entre l'Europe, les pays méditerranéens et les pays de l'Afrique subsaharienne, ainsi que les compétences acquises par les entreprises méditerranéennes (connaissance des marchés européens, amélioration de la qualité des pr oduits et des s ystèmes productifs, m ise en place d'écosystèmes dans certains secteurs, etc.) offrent l'opportunité de construire des systèmes de co-production, c'est à dire des chaînes de valeur "régionales" qui aideront l'ensemble des pays du Sud à montée en gamme et à créer de la valeur ajoutée. • Le besoin d'un Développement territorial plus inclusif : aussi bien dans les pays méditerra néens que dans les pays Africains , les zones littorales et urb aines sont généralement surpeuplés, alors que les zones rurales restent marginalisées. Les perspectives de coopération sur ce plan sont nombreuses et s'étendent à un ensemble de

4domaines très larges : infrastructures, valorisation des terres agricoles, gestion raisonnée des ressources en particulier dans l'agriculture, développement de filières agro-alimentaires, éducation, etc. Des projet s structurants associan t l'Europe, les pays méditerranéens et l'Afrique subsaharienne permettraient d'amélior er les infrastructures et de faciliter les échan ges. Devra alors être également posée la ques tion du financement de cet te coopér ation. Ne serait-il pas nécessaire de mettre en place une banque de développement intercontinentale (à l'image de la Banque Inter-américaine ou la Banque asiatique pour les Investissements et les Infrast ructures) pour assurer la mobilité́ des capitaux , garantir la sécurité des investissements dè long terme ? La finance Solidaire a-t-elle sa place pour fi nancer des projets EMA ? Ses questions méritent d'être posées pour don ner lieu à une véritable réflexion sur la mise en place d'outils concrets. Plénière III. Un im pératif dans l'agenda : Pr éserver le patrimoine naturel e t coopérer dans le secteur des Energies Le patrimoine naturel est très fragile dans la grande région EMA et avec le réchauffement climatique, les conséquences néfastes vont se multiplier. On notera que : • Les premières estimations FEMISE indiquent qu'une hausse de 1°C des températures provoquerait une baisse du PIB par habitant de l'ordre de 8% en moyenne dans les PM. En Afrique la situation est semblable, voir encore plus préoccupante. Il est donc indispensable d'anticiper l'ensemble des effets du changement climatique, d'en évaluer les coûts et de planifier une adaptation rapide. • Cependant, outre le volet anti cipation, l'environnement peut être une véritable opportunité. En rendant nécessaire le développement de nouvelles activités et de nouveaux secteurs, la ques tion environnementale peut contribuer à la création d'emplois, à une accélération des transferts techn ologiques et à l'émergence de n ouvelles f ormes d'apprentissage et de formation, en particulier pour les jeunes. • Le problème de l'eau et de sa rareté en Afrique demeure l'un des plus grands défis du continent qui doit être abordé de manière innovante dans un contexte de coopération avec ses voisins. • Conscients de ses réalités, FEMISE, l'Institut de la Méditerranée et ENERGIES 2050 co-publient un rapport, actualisé sur base annuelle, qui porte sur les enjeux climatiques en Méditerranée, mettant en perspective les réalités économiques des pays de la rive Sud et suggérant des pistes d'action et des recommandations tant sur le plan de l'anticipation que sur le pla n de l'a ction. Ce rapp ort a été présenté à la COP23, permettant d'ouvrir un dialogue avec les acteurs présents. Il semble évident qu'il faut dans le cadre d'un agenda commun EMA s'attaquer au stress hydrique, à la transition énergétique et à la gestion de l'eau. Il faut aussi tenir compte des opportunités exceptionnelles que l'envi ronnement présente en termes de croissanc e, d'investissement, de création d'emplois et de cohésion sociale. Cette session pl énière permettra de discuter de ses quest ions et d'illustrer les retours que FEMIS E et ses partenaires ont obtenus à la COP23 en échangeant avec des acteurs de la société civile et des décideurs politiques Africains. III. Structure de la conférence La conférence comprend trois parties principales: (1) Trois sessions plénières portant sur le thème principal de la Conférence, (2) Troi s sessions thémat iques, incluant les présen tations des version préliminaires des projets de recherche financés par FEMISE (avec subvention de la Commission européenne) (3) L'Assemblée générale pour les membres du réseau.

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