QU’EST˜CE QU’UNE ENTREPRISE INDUSTRIELLE
ENTREPRISE INDUSTRIELLE ? Une entreprise industrielle est une société de taille plus ou moins importante qui produit des biens (objets concrets qu’elle fabrique et met sur le marché pour le consommateur) ou des services (actions ou prestations qu’elle propose comme de la formation, de la maintenance, etc )
Industrie 40 - Pour une entreprise hautement concurrentielle
Nous sommes actuellement à l’aube de la quatrième révolution industrielle Ce bouleversement qui transforme rapidement le paysage du secteur industriel est souvent désigné par les notions d’Industrie 4 0, d’usines intelligentes, d’Internet des objets, de systèmes cyberphysiques et de transformation numérique
LES CONDITIONS DINSTALLATION DENTREPRISES INDUSTRIELLES
2 - Energie électrique, eau industrielle, hydrocarbures 61 3 - Prix (matériaux, équipements) 66 4 - Terrains et bâtiments industriels 67 5 - Transports 69 6 - Télécommunications 75 7 - Crédit aux entreprises 76 8 - Divers prix Coût de la vie 80 •
Exposé sur la stratégie marketing d’un produit industriel
L’entreprise industrielle assure sa distribution en mettant en place une force de vente interne afin d’établir de véritables relations directes avec le client 2 Les distributeurs : Le fournisseur industriel peut décider d’avoir recours à des distributeurs extérieurs pour plusieurs raisons comme : manque de
Le processus d’achat dans le milieu industriel
fonctionnement de l’entreprise industrielle, l’acheteur industriel est un négociateur avisé et réactif, avec de fortes compétences relationnelles, qui connaît bien les caractéristiques de ses produits et les contraintes de ses clients Donc la notion d’achat diffère d’un marché à un autre, et cela est du aux spécificités
Management - Livres en sciences et techniques, entreprise et
entreprise industrielle « Quand la maintenance tousse, c’est toute l’entreprise qui s’enrhume » Peu d’entreprises pensent encore aujourd’hui que « la maintenance est un mal nécessaire » Cependant, peu d’entre elles se rendent compte que le moindre accroc dans l’efficacité ou la pertinence de la maintenance peut
Les changements organisationnels liés aux stratégies d
d'une entreprise industrielle récem-ment privatisée, nous permet de mieux comprendre les motivations à l'externalisation et les changements organisationnels qu’elle induit, à sa-
Les principes d’une «bonne» gouvernance d’entreprise
gouvernance d’entreprise* Partout dans le monde, il existe une multitude de directives et de codes de bonne gouvernance Selon le pays, le secteur et la taille de l’entreprise, ces textes sont contraignants ou appli-cables sur une base volontaire La plupart d’entre eux expli-citent des questions générales relatives à la gouvernance,
MANUEL DE PROCEDURES ADMINISTRATIVES, FINANCIERES ET COMPTABLES
dirigeants de l’entreprise d’analyser les informations et les résultats qui leur seront communiqués Ø Un outil de Formation : En effet, les agents nouvellement promus ou recrutés doivent trouver dans ce manuel, les réponses à leurs interrogations sur certains aspects des tâches qui leur sont confiées
[PDF] nouveau programme technologie college 2016
[PDF] fiche activité manuelle pdf
[PDF] activités manuelles 10 ans et plus
[PDF] activité manuelle maternelle pdf
[PDF] activité centre de loisir primaire
[PDF] activité animation 8-10 ans
[PDF] fiche activité manuelle a imprimer
[PDF] activités manuelles centre de loisirs 6-8 ans
[PDF] activité manuelle 12 ans et plus
[PDF] activités 0-2 ans
[PDF] activité stimulation précoce
[PDF] activités d'éveil scientifique en maternelle
[PDF] pré lecture maternelle
[PDF] eveil scientifique en maternelle
Audit Committee News, numéro 52 / T1 2016 1
AUDIT COMMITTEE NEWS
Numéro
52 / T1 2016
Les principes d'une "bonne» gouvernance d'entreprise Partout dans le monde, il existe une multitude de directives et de codes de bonne gouvernance. Selon le pays, le secteur et la taille de l'entreprise, ces textes sont contraignants ou appli- cables sur une base volontaire. La plupart d'entre eux expli- citent des questions générales relatives à la gouvernance, règlent les responsabilités et les tâches du Conseil d'adminis- tration, émettent des recommandations quant à sa composition ou précisent les droits et les obligations des actionnaires et des autres investisseurs. Ils peuvent également défi nir le rôle de l'organe de révision et des diverses parties prenantes. Certains thèmes tels que l'instauration d'une politique de rémunération "appropriée» concernant les organes de gestion suprêmes y sont de plus en plus fréquemment intégrés. Ces directives et ces codes ont un dénominateur commun: leurs principes sous-jacents (p. ex. l'indépendance, les compé- tences techniques et l'engagement des diverses parties prenantes). Ces principes de "bonne» gouvernance sont parti- culièrement importants dans le cadre de l'interaction entre la Direction et le Conseil d'administration. Cependant, le manque de formalisation dans ce domaine est souvent constaté.Une "bonne» gouvernance peut avoir un impact extrêmement positif sur la vie d'une entreprise. Si
elle se préoccupe activement de cette question, une société en retire des avantages concurrentiels. La
responsabilité globale de la gouvernance incombe au Conseil d'administration. Dans cette tâche, ce
dernier est assisté par la Direction, par l'organe de révision, par l'audit interne ainsi que par les fonc-
tions "risques et compliance». La "culture de la gouvernance» est marquée par les individus qui
opèrent au sein, pour, et en dehors de l'entreprise. Chacun apporte sa pierre à l'édifi ce. A cet égard, la
clé du succès réside dans l'application d'une approche "top-down» et "bottom-up». Dans ce contexte, comment la collaboration entre la Direction et le Conseil d'administration s'organise-t-elle? Quelles condi- tions doivent être réunies et quels sont les principaux facteurs de succès? Le présent article examine les différentes attribu- tions entre ces deux organes concernant les décisions straté- giques de l'entreprise selon le droit suisse.Aperçu du "modèle suisse»
S'agissant de la stratégie d'entreprise, le législateur suis se s'est prononcé en faveur du principe de la parité. En vertu de ce principe, chacun des trois organes légaux d'une société anonyme suisse (Conseil d'administration, Assemblée générale, organe de révision) dispose de son propre domaine de compé- tence inaliénable. La compétence concernant les décisions stratégiques d'une entreprise est réputée appartenir au Conseil d'administration. Conformément à l'art. 716 al. 1 CO, celui-ci peut prendre des décisions sur toutes les affaires qui ne sont pas attribuées à l'Assemblée générale par la loi ou les statuts. En Suisse, beau- coup de Conseils d'administration gèrent les affaires de la Le présent article est tiré d'un article similaire publié sou s le titre "Strategische Entscheidungen - Zusammenwirken des Aufsichtsrats und des Vorstands»(en collaboration avec Reto Sutter) dans l'Audit Committee Quarterly de KPMG Allemagne, no III, 2015, p. 14-16.