[PDF] Au bout du monde (Joseph FOLLIET)



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Poème Amérindien - association-af447fr

N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne dors pas Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d'automne, Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l'étoile qui brille dans la nuit



À ceux que j’aime, et qui m’aiment - Foyer de Grenelle

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, Je ne suis pas là, je ne suis pas morte, je suis en vous Charlotte Néwashish-Flamand À ceux que j’aime, et qui m’aiment Nous dédions ce poème, écrit par une Amérindienne, à Gabrielle mais aussi à Louise, Simone, Anne, Claude, Denise, Hélène et Kim Et à tous ceux et celles que nous avons



TẠM BIỆT NHỮNG NHƯỜI TÔI THƯƠNG YÊU VÀ NHỮNG NGƯỜI ĐÃ YÊU

N'allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas Je suis les mille vents qui soufflent Je suis la lumière qui traverse les champs de blé Je suis la douce pluie d'automne Je suis l'éveil des oiseaux dans le calme du matin Je suis celui qui brille dans la nuit N'allez pas sur ma tombe pour pleurer



Vangrunderbeek - Scherens

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, je suis les mille vents qui soufflent, je suis le scintillement des cristaux de neige, je suis la lumière qui traverse les champs de blé, je suis la douce pluie d’automne, je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,



Rieder - Pour que leur souvenir demeure

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne dors pas Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la



À ceux que j’aime et ceux qui m’aiment

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière que traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la



PE P E du cate ur s

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer, je ne suis pas là, je ne dors pas, Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière que traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin, Je suis l’étoile qui brille dans la



En accord avec le prêtre, vous pouvez également sélectionner

N'allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne suis pas mort Auteur inconnu 3 « Sur la route, ils étaient deux, les voici trois » "Sur la route, ils étaient deux, les voici trois, Jésus est avec eux, mais ils ne le savent pas Mon Dieu, ton rendez-vous sera-t-il donc toujours en chemin ?



Au bout du monde (Joseph FOLLIET)

N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne dors pas Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne, Je suis l’éveil des oiseaux dans le calme du matin,



Il restera de toi - Pompes funèbres Top Beghin

Je vous remercie pour l’amour que chacun m’a démontré N’allez pas sur ma tombe pour pleurer Je ne suis pas là, je ne dors pas Je suis les mille vents qui soufflent, Je suis le scintillement des cristaux de neige, Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, Je suis la douce pluie d’automne,

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Au bout du monde (Joseph FOLLIET)

mais le sommet. mais le printemps. mais la VIE. -Dieu.

Au bout du Carême, i

A toi qui nous quitte, :

Merci pour toute ta vie qui a marqué la nôtre, Merci pour tout ce que tu nous as apporté de beau, de grand, Merci pour tous ces gestes offerts et tes paroles données Merci pour la lumière de ton visage et la clarté de ton regard, Merci pour tout ce que nous avons pu lire au fond de tes yeux bleus, Merci pour les chemins parcourus ensemble, parfois rudes et fatigants, mais que nous avons eu le bonheur de vivre ensemble, Merci pour ton travail, ta patience et ton courage,

Merci pour tes rires et tes larmes,

Merci pour tes hésitations et les peurs

Pour tes doutes et tes erreurs,

Ta place est irrémédiablement vide, et ton absence fait mal,

Celui qui nous attend

su ( Marcel PERRIER)

Fermez, fermez les yeux sur mes faux-pas,

Oubliez-les, bien vite, oubliez-les !

Lorsque seront fermés mes deux yeux fatigués, Oh, mes amis, Ouvrez, ouvrez vos yeux sur les beautés de cette terre,

Oh oui , admirez-les !

Lorsque seront brisées ma voix et mes chansons, Oh mes amis,

Oh oui, rechantez-les !

Lorsque j'aurai fini ma route

Lorsque j'aurai fini ma route

Au dernier train de mon dernier adieu,

Je voudrais bien pouvoir partir heureuse,

Quitter enfin mes nuits de doute.

Bien que n'ayant aucun bagage,

J'emporterai les mille et une fleurs

Que j'ai cueillies au détour du bonheur

Chez tous mes amis de passage.

Le souvenir des jours de peine

S'effacera au dernier matin,

Et je n'aurai, dans le creux de mes mains,

Que le regard de ceux que j'aime.

Et si c'était une autre naissance,

Une autre terre et un autre soleil ?

Et si c'était comme un nouveau réveil,

Une autre renaissance ?

Quand je ne serai plus là, lâchez-moi !

Laissez-moi partir

Ne pleurez pas en pensant à moi !

Soyez reconnaissants pour les belles années

Pendant lesquelles je vous ai donné mon amour !

Vous ne pouvez que deviner

Maintenant, il est temps pour moi de voyager seul. Pendant un court moment vous pouvez avoir de la peine. La confiance vous apportera réconfort et consolation. Nous ne serons séparés que pour quelques temps !

Laissez les souvenirs apaiser votre douleur !

Je ne suis pas loin et la vie continue !

Si vous en avez besoin, appelez-moi et je viendrai ! Même si vous ne pouvez me voir ou me toucher, je serai là,

Quand il sera temps pour vous de partir,

Je serai là pour vous accueillir,

Absent de mon corps, présent avec Dieu !

ombe pour pleurer !

Je ne suis pas là, je ne dors pas !

Je suis les mille vents qui soufflent,

Je suis le scintillement des cristaux de neige,

Je suis la lumière qui traverse les champs de blé, dans le calme du matin,

Il restera de

Il restera de toi ce que tu as donné.

Au lieu de le garder dans des coffres rouillés.

Il restera de toi de ton jardin secret,

Une fleur oubliée

Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi ce que tu as offert

Entre les bras ouverts un matin au soleil.

Il restera de toi ce que tu as perdu

Que tu as attendu plus loin que les réveils,

Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

Il restera de toi une larme tombée,

Il restera de toi ce que tu as semé

Que tu as partagé aux mendiants du bonheur.

Celui qui perd sa vie, un jour la trouvera.

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