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Critique de la raison pure - Astrosurf - Astronomie

CHAPITRE III : L’architectonique de la raison pure [B 860] CHAPITRE IV : Histoire de la raison pure [B 880] NB :La pagination principale de la Critique de la raison pure est celle de la seconde édition (1787) et est indiquée sous la forme B numéro de page De façon traditionnelle, est ajoutée au texte la partie antérieure correspondant



CRITIQUE DE LA RAISON PURE - prepagrandnoumeanet

6 CRITIQUE DE LA RAISON PURE de pierre de touche Le champ de bataille où se livrent ces combats sans fin, voilà ce qu'on nomme la Métaphy-sique Il fut un temps où elle était appelée la reine de toutes les sciences et, si l'on répute l'intention pour le fait, elle méritait bien ce titre glorieux par la singulière importance de son objet



KANT, Emmanuel, Critique de la raison pure

bible de la Pléiade se prête mal à l'étude de la première Critique: quand la diction impitoyable de la Critique en demande trop à la patience du lecteur, il n'est pas mauvais que le papier (au moins lui) se montre résistant La reprise de la traduction Barni chez Garnier-Flammarion, de son côté, ne surclasse pas celle des P U F Elle



Kant - Critique de la raison pure - Philopsis

Kant - Critique de la raison pure La question du sujet dans la philosophie kantienne Pascal Dupond Philopsis : Revue numérique https://philopsis Les articles publiés sur Philopsis sont protégés par le droit d’auteur Toute reproduction intégrale ou partielle doit faire l’objet d’une demande d’autorisation auprès des éditeurs



Kant Seconde préface à la Critique de la raison pure 1787

à la Critique de la raison pure 1787 * * * Dans le travail auquel on se livre sur les connais-sances qui sont proprement l' uvre de la raison, on juge bientôt par le résultat si l'on a suivi ou non la route sûre de la science Si, après toutes sortes de préparatifs et de dispositions, on se trouve arrêté au moment où l'on croit



Notes de Cours sur Kant-1 - Paris Nanterre University

1°) Nous travaillerons le texte de la Critique de la Raison pure , 1781/1787, de préfé-rence, dans la nouvelle traduction de A Renaut, revue et corrigée (par rapport à son édition de 1997 et de 2001 2), Paris, Garnier-Flammarion, 2006 ; mais on pourra égale-



CRITIQUEDE LA FACULTÉ DE JUGER

transcendantale » de la Critique de la raison pure : le projet, certes, a été abandonné après une analyse de l'introduction et des seize premiers paragraphes de la Critique de la faculté déjuger esthétique6, mais du moins l'étonnant document dont nous disposons, où Fichte tente d'expliquer, et d'abord de

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IMMANUEL KANT

Critique de la raison pure

traduction par

Jacques Auxenfants

SOMMAIRE

PRÉFACE DE LA PREMIÈRE ÉDITION

PRÉFACE DE LA SECONDE ÉDITION

INTRODUCTION

I De la différence entre la connaissance pure et la connaissance empirique (B 1) II Nous possédons certaines connaissances a priori, sans en posséder de telles (B 3) III La philosophie requiert une science qui détermine la possibilité, toutes les connaissances a priori (B 6) IV De la différence entre les jugements analytiques et les jugements synthétiques (B 10)

V Des jugements synthétiques a priori, faisant fonction de principes, sont contenus dans toutes les

sciences théoriques de la raison (B 14) VI Problème général de la raison pure (B 19) VII portant le nom de critique de la raison pure (B 24)

I. THÉORIE TRANSCENDANTALE DES ÉLÉMENTS

PREMIÈRE PARTIE : ESTHÉTIQUE TRANSCENDANTALE

§ 1 Introduction (B 33)

Première section : D

§ 2 Exposition métaphysique de ce concept (B 37)

§ 3 (B 40)

Seconde section : Du temps

§ 4 Exposition métaphysique de ce concept (B 46) § 5 Exposition transcendantale du concept du temps (B 48) § 6 Conséquences tirées de ce concept (B 49)

§ 7 Explication (B 53)

§ 8 (B 59)

SECONDE PARTIE : LOGIQUE TRANSCENDANTALE

INTRODUCTION : I logique transcendantale

I De la logique en général (B 74)

II De la logique transcendantale (B 79)

III De la division de la logique générale en analytique et dialectique (B 82) IV De la division de la logique transcendantale en analytique et dialectique transcendantales (B 87) PREMIÈRE DIVISION : ANALYTIQUE TRANSCENDANTALE (B 89)

LIVRE I : ANALYTIQUE DES CONCEPTS (B 90)

CHAPITRE I : Du fil conducteur permettant de découvrir tous

Première section (B 92)

Deuxième section

§ 9 De la fonction logiq (B 95)

Troisième section

§ 10 , ou catégories (B 102)

§ 11 (B 109)

§ 12 (B 113)

CHAPITRE II : De la déduction d

Première section

§ 13 une déduction transcendantale en général (B 116) § 14 Passage à la déduction transcendantale des catégories (B 124)

Deuxième section (édition de 1781)

Troisième section (édition de 1781)

Deuxième section

§ 15 Déduction objective) (B 129)

§ 16 (B 131)

§ 17

§ 18 conscience de soi (B 139)

§ 19 La forme logique de tous les jugements consiste dans

§ 20 Toutes les intuitions sensibles sont soumises aux catégories considérées comme les conditions

le divers dans une conscience

§ 21 Remarque (B 144)

§ 22 des choses que son application à des

(B 146)

§ 23 (B 148)

§ 24 (Déduction subjective) (B 150)

§ 25 (B 157)

§ 26 cepts

(B 159)

§ 27

LIVRE II : ANALYTIQUE DES PRINCIPES (B 169)

INTRODUCTION : DU JUGEMENT TRANSCENDANTAL EN GÉNÉRAL (B 171)

CHAPITRE I : [B 176]

CHAPITRE II : (B 187)

Première section : Du principe suprême de tous les jugements analytiques (B 189) Deuxième section : Du principe suprême de tous les jugements synthétiques (B 193)

Troisième section :

pur (B 197)

1 (B 201)

2 Anticipations de la perception (B 207)

3 Anal (B 218)

4 Les postulats de la pensée empirique en général (B 265)

CHAPITRE III : Du principe de la distinction de tous les objets en général en phénomènes et noumènes

(B 294)

APPENDICE : , produite par la confusion

DEUXIÈME DIVISION : DIALECTIQUE TRANSCENDANTALE (B 349)

INTRODUCTION :

I 349)

II apparence transcendantale (B 355)

A. De la raison en général (B 355)

359)
362)

LIVRE I : DES CONCEPTS DE LA RAISON PURE (B 366)

Première section : Des idées en général (B 368) Deuxième section : Des idées transcendantales (B 377) Troisième section : Système des idées transcendantales (B 390) LIVRE II : DES RAISONNEMENTS DIALECTIQUES DE LA RAISON PURE (B 396) CHAPITRE I : Des paralogismes de la raison pure [B 399]

1 Paralogisme de la substantialité (B 406 A 348)

2 Paralogisme de la simplicité (A 351)

3 Paralogisme de la personnalité (A 361)

4 (A 366)

CHAPITRE II : 432]

Première section : Système des Idées cosmologiques (B 435) Deuxième section : Antithétique de la raison pure (B 448)

Troisième section -même (B 490)

Quatrième section : Des problèmes transcendantaux de la raison pure t absolument

être résolus (B 504)

Cinquième section : Représentation sceptique des questions cosmologiques à travers les quatre Idées

transcendantales (B 513) Sixième section : pour solutionner la dialectique cosmologique (B 518)

Septième section : Décision critique du conflit cosmologique de la raison avec elle-même (B 525)

Huitième section : Principe régulateur de la raison pure relativement aux Idées cosmologiques (B 536)

Neuvième section : incipe régulateur de la raison relativement à toutes les

Idées cosmologiques (B 543)

CHAPITRE III : 595]

Première section : (B 595)

Deuxième section Prototypon transcendantale) (B 599) Troisième section : Des preuves de la raison spéculative qui conduisent à conclure

Quatrième section (B 620)

Cinquième section (B 631)

Sixième section -théologique (B 648)

Septième section : Critique de toute théologie issue de principes spéculatifs de la raison (B 659)

APPENDICE : (B 670)

Du but ultime de la dialectique naturelle de la raison humaine (B 697) II. THÉORIE TRANSCENDANTALE DE LA MÉTHODE (735) CHAPITRE I : La discipline de la raison pure [B 736]

Première section (B 740)

Deuxième section : La discipline de la raison pure relativement à son usage polémique (B 766)

Troisième section : La discipline de la raison pure relativement aux hypothèses (B 797) Quatrième section : La discipline de la raison pure relativement à ses preuves (B 810)

CHAPITRE II : Le canon de la raison pure [B 823]

Première section : D raison (B 825)

Deuxième section bien comme principe permettant de déterminer la fin dernière de la raison pure (B 832)

Troisième section (B 848)

CHAPITRE III : 860]

CHAPITRE IV : Histoire de la raison pure [B 880]

NB : La pagination principale de la Critique de la raison pure est celle de la seconde édition (1787) et est

indiquée sous la forme B numéro de page. De façon traditionnelle, est ajoutée au texte la partie antérieure

1781. Le texte y afférent est écrit en bleu, et la pagination associée, quand elle

A numéro de page

ligne par le site Spiegel Online Projekt Gutenberg. Les quelques commentaires, ou ajouts explicatifs, du traducteur sont écrits en rouge.

PRÉFACE DE 1781

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PRÉFACE

DE LA PREMIÈRE ÉDITION (1781)

La raison humaine a ce destin particulier, dans un genre de ses connaissances (à savoir la métaphysique), accablée de peut écarter, car sa nature même les lui impose, mais auxquelles elle ne peut répondre, car elles dépassent tout son pouvoir. (propositions fondamentales) dont elle ne peut évit dans le cours de , lequel usage se trouve en même temps suffisamment garanti par cette même expérience. ces principes, la raison toujours plus haut (comme le veut du reste sa nature), vers des conditions de leur application légitime toujours plus éloignées. S faisant, son entreprise ne peut que rester toujours inachevée, les questions ne cessant jamais de se succéder les unes aux autres, elle se voit contrainte de recourir à des principes dépassant tout usage empirique possible, mais néanmoins apparemment si dignes de confiance que même le sens commun se trouve en accord avec eux. Mais, ce faisant, elle s dans lle peut bien évidemment en conclure avoir dû er sur des erreurs cachées, mais des erreurs découvrir, parce que les principes dont elle se sert, outrepassant les limites de toute expérience, ne reconnaissent plus aucune pierre de touche empirique. Le champ de bataille où se développent ces conflits sans fin se nomme la

Métaphysique.

Il fut un temps où cette dernière était appelée la reine de toutes les sciences, et si on identifie au fait, elle méritait assurécompte tenu Désormais, le ton à la mode à notre époque veut qu lui témoigne tout son mépris, et la noble dame, repoussée et délaissée, se lamente comme Hécube : " Naguère la plus grande de toutes les choses, puissante par tant de gendres et de fils me voici désormais exilée, dépouillée. » Initialement, sous le règne des dogmatiques, sa domination était despotique.

Simplement, comme sa légiscienne barbarie,

cette métaphysique, par suite de guerres intestines, tomba peu à peu dans une complète anarchie, laissant les sceptiques, variété de nomades qui détestent durablement quelque part, rompre périodiquement le lien civil. Mais, dans la mesure où, par bonheur , ils ne purent empêcher leurs de la restaurer toujours de nouveau, sans disposassent aucun plan sur lequel ils se fussent accordés. Dans les temps modernes, il physiologie de (celle du célèbre Locke) dût mettre fin à ces querelles et décider entièrement de la légitimité de ces prétentions ; mais, bien que la naissance de cette prétendue reine eût procédé (selon Locke) de la vulgaire expérience la suspecter, il arriva cependant que, parce quréalité cette généalogie orgée était infondée, elle continua encore et toujours de revendiquer ses prétentions, chutant ainsi à nouveau

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dans le vieux dogmatisme vermoulu et, dès lors, dans le mépris auquel on avait essayé en vain toutes les voies, prédominent le dégoût et un total Indifférentisme, lesquels engendrent le chaos et les ténèbres dans les sciences, mais sont cependant en même temps le point de départ rendues obscures, confuses et inutilisables. est parfaitement indifférence à indifférent à la nature humaine. Aussi ces prétendus indifférentistes méconnaissables en substituant un langage populaire École, ne peuvent-ils seulement penser quelque chose sans retomber inévitablement dans des affirmations métaphysiques desquelles ils affichaient pourtant au départ un si grand mépris. Toutefois, cette indifférence, qui surgit au moment même de serait le moins porté à renoncer, si des connaissances y étaient possibles, est un phénomène digne d et de réflexion. Elle de la leurrer plus avant par un simulacre de savoir ; elle est un appel fait à la raison afin entreprenne à nouveau la plus ardue de toutes ses tâches, celle de la connaissance de soi-même, et institue un tribunal qui la garantisse dans ses prétentions légitimes et puisse en retour condamner toutes ses présomptions sans fondements, et ce non pas de manière arbitraire, mais en vertu de ses lois éternelles

Critique de la Raison pure elle-

même.

èmes, mais celle du

pouvoir de la raison en général vis-à-vis de toutes les connaissances auxquelles elle peut aspirer indépendamment de toute expérience ; Critique de la Raison pure le fait de se prononcer quant à la possibilité ou , ainsi que de déterminer tant ses sources que son étendue et de ses limites, et tout cela à partir de principes. Je me suis donc engagé dans cette voie, la seule qui restait à suivre, et je me flatte carté les questions de la raison humaine en donnant pour excuse son impuissance ; je les ai au contraire entièrement spécifiées à partir de principes, et, après avoir découvert le point précis où résidait le malentendu de la raison avec elle-même, je les ai résolues à sa complète satisfaction. À vrai dire, je as donné à ces questions la réponse que pouvait attendre le désir exalté de savoir qui se manifeste dans le dogmatisme, car il est impossible de satisfaire ce désir demeurant, -ce p, et le

fallût-il pour cela réduire à néant une illusion si fort prisée et si choyée. Dans cette

entreprise, ma première examiner les choses dans le détail, et subsister un seul problème de métaphysique qui ne soit ici

pure présente une si parfaite unité que, à supposer que son principe fût insuffisant à

PRÉFACE DE 1781

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résoudre ne serait-e lui propose sa propre nature, on ne pourrait que le rejeter, puisen toute confiance ce principe à aucune autre question. Ce disant, je crois percevoir sur le visage teintée de mépris face à des prétentions en apparence si présomptueuses et si immodestes ; elles sont pourtant incomparablement plus modérées que celles de tous ces auteurs des programmes les plus courants, lesquels se flattent, par exemple, de démontrer la

âmecommencement du monde. Ces

auteurs, en effet, se font -delà de toutes les prétention entièrement mes capacités ; au lieu de exclusivement à la raison elle-même et à our de moi pour en avoir une connaissance détaillée, étant donné que je la trouve en moi-même et que la logique commune mdéjà un exemple que l tous les actes simples de la raison, ce question que je soulève ici est alors de savoir et toute aide de perfection à atteindre dans chacune des fins et de

étendue ,

non pas un dessein arbitraire, mais la nature même de notre raison, en un mot de la matière de notre entreprise critique. Il reste encore deux choses, qui se rapportent à sa forme, à savoir la certitude et la clarté En ce qui concerne la certitude, je me suis imposé cette règle que, dans cet ordre

émettre des opinions et que tout ce

effet, toute connaissance dont le fondement est a priori sera-t- onnaissances pures a priori, certitude apodictique (philosophique). Cela dit, quant à savoir si je me suis acquitté à umis au jugement du affaiblir la cause plaide, il doit bien être permis de signaler lui-même les passages susceptibles de donner lieu à quelque méfiance, ne se rapporteraient-ils du lecteur pourrait avoir ultérieurement sur son jugement par rapport au but principal .

Je ne connais

pouvoir que nous appelons entendement et pour la détermination des règles et e chapitre de

Déduction des concepts purs de

e peine

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profondément, comprend deux parties. La première se rapporte aux objets de démontrer et faire comprendre la validité objective de ses concepts a priori ; elle rentre donc par là même essentiellement dans mes objectifs. La seconde cherche à considérer -même, quant à sa possibilité et aux facultés de connaître sur lesquelles il repose donc au point de vue subjectif ; et bien que cette discussion soit pour mon objectif principal, elle ne lui est cependant pas essentielle, parce que la question capitale reste toujours de savoir : Que peuvent connaître, - et non pas celle de savoir : Comment est possible le pouvoir de penser lui-même ? Dans la mesure où cette dernière question correspond en quelque sorte à la recherche où, en tant que telle, elle renferme quelque chose ressemblant à une hypothèse (quo montrerai dans une autre occasion), il semble que soit ici en présence du cas où opinion, et par conséquent où je laisse le lecteur libre également d une autre. Ceci me fait un devoir de prier le lecteur de se rappeler que, pour le mes recherches, garde toute sa force, que suffirait en tout cas à lui conserver ce que je dis au § 14, page 53.

Enfin, pour ce qui touche à la clartétout

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