onc, quel art pratiquez-vous - Alphonse
nationalité, sa couleur de peau, sa religion Finalement, on est tous pareils et cela vous apporte une grande largesse d'esprit et la culture, c'est important Et aujourd'hui, je souhaite à tout le monde de connaître cela Manon : Et pour conclure, qu’est-ce que vous diriez à quelqu’un qui aimerait faire de la scène, que ce
Activité 06 : Tous pareils, tous différents
Activité 06 : Tous pareils, tous différents Au retour des vacances d’été, le fils de Franck, tout bronzé, est heureux en se regardant dans le miroir « Je
Édouard Manceau ROULE Édouard RABOULE Manceau
Tous pareils , et vous verrez que c’est très humain, très proche du quotidien des gens Seulement ça n’est pas daté, il n’y a pas de décors ce qui laisse penser que je suis loin du quotidien Avez-vous un secret pour faire rire les enfants ? Je n’ai pas de secret C’est une évidence pour moi, l’art de la dérision et du
Transcriptions - Hachette Education
Présentateur : Est-ce qu’il y a des inégalités à la plage ? Jean-Didier Urbain : Alors, si vous voulez, il y a bien sûr des inégalités qui sont les inégalités par exemple physiques Pour autant, la comédie de la plage, c’est quand même de jouer à ce jeu qui est que sous le soleil, nus, on est tous pareils
Programmation Education à la citoyenneté/ Philosophie par
• Sommes nous tous pareils? • Qu’est ce qu’être un enfant « normal »? • Peut-on dire d’un enfant qu’il est « anormal »? • Peut on vivre sans se dispu-ter? • A quoi sert de se battre? • La violence peut elle être justifiée? • Dire des gros mots est ce être violent? • Celui qui est différent est-il
TEXTE 1 - Le Baobab Bleu
on voyait la cargaison de visages pareils II dépassait un cycliste, il avançait sur la chaussée noire, on voyait les larges bandes des pneus s'écraser sur le sol avec un bruit d'eau Le trolleybus numéro 9 avançait, portant dans son ventre les grappes de visages aux yeux tous pareils
La machine à beauté
tous pareils et tous beaux Tellement pareils qu’ils doivent être victimes d’un accident quelconque Et trop beaux pour être vrais » Cette scène est ainsi devenue le nœud du roman J’ai cherché l’accident et le récit s’est tressé Derrière La machine à beauté, il y avait encore autre chose
Toxicité cardiaque des antipsychotique et des antidépresseurs
Le QT est une mesure approximative du risque de TdP et de mort subite pour les psychotropes La corrélation est entre les deux est fragile et dépend des études Semble surtout impacter certaines catégories de patients à haut risque Haddad 2002, Pacher et al 2004, Fanoe et al 2014
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Niveau avancé 1 UD 2
Lisez ces trois edžtraits littĠraires aǀec des descriptions d'endroits et répondez aux questions de compréhension ci-dessous.TEXTE 1
1. Quels mots ou expressions sont utilisés pour désigner:
ͻ l'eau ͍
ͻ les ǀĠgĠtaudž ͍
ͻ la lumiğre ͍
2. Quels mots ou expressions donnent des précisions sur:
ͻ l'eau ͍
ͻ les ǀĠgĠtaudž ͍
ͻ la lumiğre ͍
3. Quelles impressions se dégagent de ce paysage?
4. Trouve quatre adjectifs qualificatifs dans le texte. A quoi servent-ils?
ͨ Enfin, on dĠboucha sur un autre plan d'eau, entiğrement fermĠ par des murailles de roseaudž et d'arbres. Ce petit lac dormait. La lumière du soir, illuminait à peine l'Ġtendue de ses eaudž dĠsertes. De larges peupliers l'enǀeloppaient. SerrĠs Ġtroitement l'un contre l'autre, leur feuillage dressait, ă contre jour, une haie était rocheux. Du haut de sa falaise un bois épais de chênes verts descendu des collines assombrissait les eaux. Ces eaux, partout pures et planes, n'Ġmettaient plus Au milieu du lac reposait une île. On y voyait une petite chapelle. Toute l'Šle Ġtait plantĠe de grands cyprğs. ͩ Edžtrait de ͨ L'enfant et la riǀiğre ͩ, Henry Bosco t GallimardNiveau avancé 1 UD 2
TEXTE 2
1. Où se passe cette description ?
2. Quelles impressions donne ce texte sur la ville ?
3. Qu'est-ce qui donne l'impression que la ville est inhumaine ? Relève
des exemples.4. Qu'est-ce qui donne l'impression que la ville est vivante ? Relève des
exemples.5. Qu'est-ce qui donne l'impression que la ville est inquiétante ? Relève
des exemples. Ville de ciment et d'acier, murailles de verre s'élançant indéfiniment vers le ciel. [...] Bruissements des mécanismes secrets cachés dans leurs boîtes, tic-tac des montres, ronronnement des ascenseurs montant, descendant. Halètement1 des vélomoteurs, cliquetis des soupapes, klaxons, klaxons. Tout ça parlait son langage, racontait son histoire de bielles2 et de pistons. Les moteurs vivaient, au hasard, enfermés dans les capots des automobiles, dégageant leur odeur d'huile et de carburant. La chaleur les auréolait sans cesse, montait desculasses3 brûlantes, se répandait dans les rues et se mêlait à la chaleur des
hommes. Ville vivante. Les trolleybus glissaient sur leurs pneus, en gémissant continuellement. Le trolleybus numéro 9 longeait le trottoir, et à travers les vitres on voyait la cargaison de visages pareils. II dépassait un cycliste, il avançait sur la chaussée noire, on voyait les larges bandes des pneus s'écraser sur le sol avec un bruit d'eau. Le trolleybus numéro 9 avançait, portant dans son ventre les grappes de visages aux yeux tous pareils. Sur son dos, les deux antennes dressées couraient le long des fils électriques, s'inclinant, vibrant, crissant. De temps à autre, une boule d'étincelles jaillissait en claquant du bout des antennes, et on sentait dans l'air une drôle d'odeur de soufre. [...] (1) Halètement = souffle saccadé (2) bielles = barres métalliques (3) culasses = partie d'un moteur J.M.G. Le Clézio, " Ville vivante » Le livre des fuites, 1969.Niveau avancé 1 UD 2
TEXTE 3
1. Relève toutes les plantes citées.
2. Relève tous les animaux cités.
3. Repère les descriptions normalement perçues par notre nez. Quel sens
est utilisé ?4. Repère les descriptions normalement perçues par nos oreilles. Quel
sens est utilisé ?5. Repère les descriptions normalement perçues par nos yeux. Quel sens
est utilisé ?6. Repère les descriptions normalement perçues par notre peau. Quel
sens est utilisé ?7. Quel autre sens n'est pas utilisé ?
[...] Dès qu'on pénétrait sous la voûte de branchages, on était assailli1 par les
senteurs qui stagnaient2 dans l'air immobile. Le parfum miellé de l'aubépine y avait régné au début du printemps. Celui des jacinthes, plus capiteux3 encore, lui avait succédé en mai. L'été était venu et avait enlacé aux branches des noisetiers des lianes de chèvrefeuille dont le parfum envoûtant dominait tous les autres. [...] En arrivant près du ruisseau, le chemin se rétrécissait entre deux rives de sureaux en fleur ; puis il émergeait tout à coup de son tunnel de fraîcheur et l'on entrait sans transition4 dans une zone de chaleur, de murmures d'eau sur les cailloux, de hautes herbes crépitantes de grillons et de criquets ; une zone zébrée par les éclairs bleus du martin-pêcheur, éclaboussée par les sauts des grenouilles. Le chemin devenait alors souriant et flânait le long du petit cours d'eau. On y respirait à pleines narines des parfums de menthe sauvage. [...] (1)assailli = envahi (2) stagnaient = restaient (2)(3) capiteux = qui rend ivre André Dubreuil, " Les Semeurs de la pleine Lune »