[PDF] Collège Notre-Dame de Jamhour- مدرسة سيّدة الجمهور



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TRANSCRIPTION ET CORRIGÉ EXERCICE PHONÉTIQUE

TRANSCRIPTION ET CORRIGÉ EXERCICE PHONÉTIQUE Author: Carolina Created Date: 2/21/2016 11:07:34 AM



Transcription et traduction : Exercice d’application

Transcription et traduction : Exercice d’application L’ocytocine et la vasopressine sont deux hormones synthétisées par la post-hypophyse des Mammifères La première a comme organe-cible l’utérus et la seconde les artères et les reins Voici une portion des séquences nucléotidiques codants pour ces 2 protéines



TD4 Microbiologie - Tolonen Lab

Exercice 1: Associez les termes proposés aux définitions des questions a conjugaison b transcription c transduction d transformation e traduction 1 Transfer d'ADN d'une cellule donneuse à une cellule receveuse par un bactériophage: c transduction 2 Transfert d'ADN d'une cellule donneuse à une cellule receveuse sous forme d'ADN nu



Module de Systèmes d’exploitation Corrigé

Corrigé Exercice 1 : On reprend le problème du point de rendez-vous vu en TD l’implémentation des sémaphores est une simple transcription de leur définition





7- COMPRENDRE LA DESCRIPTION PHYSIQUE

CORRIGÉ EXERCICE 1 a- vrai b- faux c- vrai d- faux e- faux f- faux g- vrai h- vrai i- vrai j- vrai EXERCICE 2 AMÉLIE : b BARBARA : a CLAUDIE : f DYLAN : c ÉMILE : d FRANÇOIS : e TRANSCRIPTION EXERCICE 1 a Sylvie, c’est la fille qui a des lunettes ? b Sylvie a des cheveux noirs très longs, c’est ça ?



Biologie cellulaire Exercices et méthodes

BIOLOGIE MOLÉCULAIRE EXERCICES ET MÉTHODES Nicolas Bourmeyster MCU-PH en biologie cellulaire à l’université de Poitiers Jacques Dommes Professeur à l’université de Liège (Belgique)



BIOLOGIE - Dunod

Table des matières VIII PARTIE 3 Corps humain et santé : la procréation 125 Devenir homme ou femme 127 Fiche 21 Différenciation du sexe chez l’embryon 129 1 Schéma général de la différenciation embryonnaire du sexe _____ 129



TD 3: Modèles de cycle de vie d’un logiciel

Exercice 1 Modèle de cycle de vie "en cascade" Exercice 2 Exercice 3 En considérant le cycle de vie d’un logiciel Exercice 4 Dans la représentation graphique suivante du modèle en cascade : Q 1 On donne juste les entrées et sorties principales



(Introduction au Génie Logiciel Modèles de cycle de vie)

SERIE D’EXERCICE N° 1 (Introduction au Génie Logiciel – Modèles de cycle de vie) 1 Génie Logiciel : désigne l’ensemble des méthodes, des techniques et d’outils concourant à la production d’un logiciel de qualité avec maîtrise des coûts et délais

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1

Collège Notre-Dame de Jamhour Classe de 1ère S

Corrigé de l'examen-I- de SVT

Partie I : Mobilisation des connaissances (9 points) Eléments de réponses à restructurer avec cohérence

Introduction :

- Généralités sur le sujet et définition des mots-clés : la protéine est une séquence d'acides aminés

agencés dans un ordre précis. Sa synthèse est dirigée par l'information génétique portée par un

gène. La protéosynthèse se déroule en 2 grandes étapes : la transcription qui a lieu dans le noyau et

la traduction qui a lieu dans le cytoplasme.

- Problème posé : Quels sont les mécanismes qui caractérisent la synthèse d'une protéine et comment

la synthèse de plusieurs types de protéines comme la dystrophine, est-il possible à partir d'un seul

gène ?

- Démarche annoncée : il s'agit de décrire les deux étapes de la protéosynthèse puis de montrer

l'origine de la diversité des protéines-dystrophines- codées par un seul gène.

La transcription

- La transcription est l'opération qui consiste à copier (transcrire) une information, codée par un gène,

en une information identique, sous forme d'ARN pré-messager. Elle se déroule dans le noyau. - La transcription est catalysée par un complexe enzymatique l'ARN- polymérase.

- Le rôle de l'ARN- polymérase est de reconnaître au niveau du gène, le brin transcrit et le brin non-

transcrit ainsi que le signal du début et de fin de transcription.

- La transcription débute par l'ouverture et le déroulement de la portion de l'ADN correspondant au

gène à transcrire.

- Au fur et à mesure de son déplacement le long du gène, l'ARN-polymérase incorpore des

nucléotides par complémentarité avec le brin transcrit : G se place en face de C, C en face de G, A

en face de T et U en face de A.

- L'ARN pré-messager synthétisé est complémentaire du brin transcrit du gène qui lui a servi de

matrice. Il porte par conséquent, le même message que le brin non transcrit du gène.

- Plusieurs ARN-polymérase se succèdent le long d'un même gène et entament la fabrication à la

chaîne de plusieurs ARN pré-messagers identiques qui constituent autant de copies d'un même gène.

- Après la transcription, l'ARN pré-messager subit la maturation dans le noyau afin de donner

l'ARNm exporté dans le cytoplasme, où a lieu la traduction.

La traduction

- C'est l'assemblage par les ribosomes des acides aminés en une protéine, suivant le message

génétique porté par l'ARN messager. Elle se déroule dans le cytoplasme.

- Les acides aminés provenant de l'alimentation sont fournis aux cellules par le sang et le plan de

fabrication est apporté du noyau par les ARNm. - Le mécanisme de la synthèse comporte 3 étapes : L'initiation : fixation d'un ribosome sur le codon initiateur AUG de l'ARNm codant pour la méthionine. Rôle de l'ARN de transfert à mentionner. L'élongation : déplacement relatif du ribosome de triplet en triplet le long de l'ARNm, en formant des liaisons peptidiques entre les acides aminés correspondant à chaque codon.

Notion du code génétique.

La terminaison : arrivée du ribosome au niveau d'un codon-stop. Dissociation du ribosome et libération de la protéine formée.

- Plusieurs ribosomes-polysomes- effectuent la synthèse de plusieurs protéines à partir d'un même

ARNm. 2

La maturation de l'ARN pré-messager :

- Preuve de la maturation : la comparaison de la séquence complète des gènes avec celle de leurs ARNm

révèle qu'en moyenne la longueur totale du gène est cinq fois plus importante que celle de l'ARNm exporté

dans le cytoplasme.

- Après la transcription, l'ARN pré-messager subit des modifications qui consistent en particulier en un

retrait de certaines portions de sa séquence appelées introns. Les portions qui sont conservées et raccordées

les unes aux autres sont appelées exons. Ces exons correspondent donc aux parties codantes du gène,

traduites sous formes de séquences d'acides aminés dans le cytoplasme.

- C'est dans le système d'épissage des exons de l'ARNm que se trouve l'origine de la diversité des

protéines codées par un gène. Sous l'effet de facteurs complexes, en particulier en fonction du type

cellulaire dans lequel le gène s'exprime, ce ne sont pas toujours les mêmes exons qui sont conservés. De ce

fait, l'ARNm mûr présente une séquence variable. Or c'est cette séquence qui est traduite en protéine après

que l'ARNm ait migré dans le cytoplasme.

- C'est ainsi qu'à partir d'un seul gène peuvent être synthétisées différentes protéines comme c'est le cas

pour le gène de la dystrophine.

Conclusion :

Reprise des idées essentielles et réponse au problème posé :

-La synthèse des protéines fait intervenir 2 grandes étapes : La transcription d'un gène en ARN pré-

messager, dans le noyau. La traduction de l'ARNm, obtenu par épissage de l'ARN pré-messager, en

protéine, dans le cytoplasme.

-L'épissage de l'ARN pré-messager suivant le contexte cellulaire permet de comprendre l'origine de

différentes protéines obtenues à partir d'un seul gène Partie II : Pratique du raisonnement scientifique (11 points) Exercice II-1 (3 pts) : Questions à choix multiples

Question1 Question2

1-b 1-b

2-b 2-b

3-d 3-c

Exercice II-2 (8 pts)

Eléments de réponse à restructurer avec cohérence et pertinence en un argumentaire

Introduction scénarisée :

-Emetteur : le gynécologue -Récepteur : Mme D

-Contexte et généralités sur le sujet : consultation du médecin pour s'informer à propos d'un traitement

de grossesse à base d'oestrogènes.

-Problème posé : Comment convaincre Mme D que les oestrogènes ou leurs agonistes altèrent

physiologiquement le développement de l'appareil génital mâle ? 3 Informations (I) tirées du document1 associées aux connaissances (C):

- Les données épidémiologiques dans l'espèce humaine montrent que, par rapport à une population témoin,

les fils de femmes traitées au DES, agoniste des oestrogènes, présentent des anomalies de l'appareil

génital : malformations, altération de la descente testiculaire et de la qualité du sperme (I).

- On peut supposer que cet agoniste des oestrogènes pris par la mère est passé dans le sang du foetus mâle et

a altéré le développement de l'appareil génital (C).

- Les données expérimentales chez les rongeurs confirment que cet agoniste, agissant durant la vie

foetale, perturbe bien la mise en place de l'appareil génital et la fertilité future du mâle (I).

Informations (I) tirées des documents 2 et 3 associées aux connaissances (C) :

Les documents 2 et 3 vont permettre de comprendre les modalités de l'action négative des oestrogènes.

Document -2-

- Les cellules interstitielles des testicules foetaux des souris sauvages homozygotes Era +//+ possèdent des

récepteurs fonctionnels aux oestrogènes (I).

- Les cellules interstitielles des souris mutées homozygotes Era-//- possèdent des récepteurs non

fonctionnels aux oestrogènes car elles possèdent des allèles non fonctionnels du gène qui code pour ce

récepteur. Les testicules des souris mutées homozygotes Era -//- sont donc insensibles aux oestrogènes au

contraire des souris sauvages homozygotes (I), vu qu'une hormone ne peut agir qu'en se fixant sur son

récepteur spécifique (C).

- Dans un milieu contenant DES, les cellules de Leydig foetales de souris sauvage Era +//+ sécrètent

environ trois fois moins de testostérone que les cellules de Leydig des souris mutées Era -//- (Graphe).

-On peut conclure que les oestrogènes ont une action inhibitrice sur la production de testostérone.

Document -3-

-Par rapport aux souris insensibles aux oestrogènes, les cellules de Leydig des souris sauvages sensibles aux

oestrogènes ont environ deux fois moins d'ARNm pour les trois gènes considérés (Graphe).

- On en conclut que les oestrogènes inhibent l'expression de ces trois gènes impliqués dans la chaîne

de la biosynthèse de la testostérone.

- Or la testostérone, hormone véhiculée par le sang, permet chez le foetus mâle : le maintien des canaux de

Wolff et leur différenciation en voies génitales masculines (spermiductes, vésicules séminales, prostate),

ainsi que la masculinisation des organes génitaux externes (C)

Conclusion

Reprise des idées essentielles et réponse au problème posee:

-Les agonistes forts des oestrogènes (DES), en se fixant à des récepteurs présents dans les cellules de

Leydig, inhibent partiellement la transcription des gènes intervenant dans la synthèse de la

testostérone.

-En conséquence, les cellules de Leydig fabriquent moins de protéines (enzymatiques) impliquées dans la

synthèse de la testostérone. Les DES inhibent donc la synthèse de testostérone. Or, la testostérone est

une hormone qui intervient dans la mise en place et le développement de l'appareil génital de l'embryon

mâle, d'où l'altération physiologique du développement de cet appareil génital mâle.

Remarque. Les données permettent seulement de voir comment des oestrogènes artificiels (agonistes)

perturbent la mise en place de l'appareil génital mâle. En revanche, elles ne permettent pas de conclure en

ce qui concerne l'influence des oestrogènes naturels maternels dans le développement de l'appareil génital

masculin. Il faudrait, en particulier, des renseignements sur les concentrations des oestrogènes maternels

par rapport à celle des agonistes ingérés.quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33