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(02 SURVEILANS SWINE INFLUENZA DI WILAYAH KERJA BBVET WATE)

ropositif H1N1 dan gen MA menunjukkan bahwa babi pernah atau sedang terinfeksi virus Influenza A KESIMPULAN DAN SARAN Tingkat seropositif SI hasil surveilans pada babi sejak tahun 2009 sampai dengan 2011 menunjukkan kenaikan, yang besar-nya secara berurutan adalah 6 (26/453); 22 (121/559); dan 27 (192/717) Virus



E´valuation de l’observance du traitement antire´troviral

antire´troviral de l’adolescent se´ropositif pour le VIH Arch Pediatr 2002;9:1241–7 2 Van Dyke RB, Lee S, Johnson GM, et al Reported adherence as a



9 Avis OFFICIEL - Basic and Clinical Andrology

diff4rents dont l'homme est s~ropositif pour le VIH 1) La premi6re condition concerne l'arr~t6 du 12 janvier 1999 D6s que les deux protocoles de Paris et de Toulouse seront termin6s, il sera n6cessaire de modifier l'article 1 2 4 dudit arr~t4, en supprimant le paragraphe pr4cit6,



-, Conclusion

ropositif Si ce relâchement de l'effort pré-ventif lié au développement des nouvelles thérapies concerne une minorité des ré-pondants, de nombreuses personnes re-doutent que ces nouveaux traitements aient une influence négative sur les com-portements de la population gay Ainsi, 45 des répondants ayant entendu par-



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103 Kit p dagogique Òtous diff rents - tous gauxÓ, Direction de la Jeunesse et du Sport, Conseil de lÕEurope, 2 me dition C u ltio n a r y Q ue lle e st la p rem i re im age que v ous avez d Õune p ersonne d Õun a utre p ays ?



69 journal de l’adc association pour la danse contemporaine

ropositif, plaque sa verge contre son ventre avec du ruban adhésif : barré le sexe Oui, mais pas le sexuel Car plus loin, il se penche, ouvre l’entrecuisse, passe son avant-bras dans la fente offerte, et se caresse La main glisse, l’émoi grandit La sensualité de cette danse dissout les formes conventionnelles et re-



Les contrôles de 3 de l’année 2012-2013, leur préparation et

Si un enfant naît sé ropositif pour le VIH, cela n’a rien de génétique 5 11ème contrôle NOM : /10 3e 1- Que signifie « SIDA » ? (2) (attention à l

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Répondants (en %) accordant " beaucoup» d'importance aux revendications suivantes concernant les homosexuels, selon le sexe du répondant.

La reconnaissance légale du couple homosexuel

Hommes

n=3314 : 76% 1

Femmes

n=158 La possibilité d'héritage dans les couples homosexuels :72% La possibilité pour les homosexuels d'adopter des enfants 1 La lutte contre les discriminations dans la vie professionnelle : 82 % fessionnelle. La reconnaissance légale du couple gay est très importante pour 77 % des personnes de même que la possibilité d'héritage entre partenaires homosexuels (73 %). La possibilité d'adopter des en- fants est, quant à elle, moins centrale dans les préoccupations des gays: 32 % des répondants y accordent beaucoup d'importance et 27 % pas du tout -alors que chez les lesbiennes la proportion est presque inversée. Le gros de l'enquête touche à la présence de l'épidémie. Au moment de l'enquête en

1997,86 % des répondants ont été testés

au moins une fois dans leur vie. Ce taux est de 74 % chez les moins de 26 ans, il atteint un maximum d'environ 90 % au- tour de 35 ans et plus, puis diminue.

Cette information n'est pas sans provo-

quer des inquiétudes: en miroir, on re- marque que globalement 14 % n'ont ja- mais fait de test et, chez les moins de

26 ans, ce taux grimpe jusqu'à 26 %, ce

qui montre que beaucoup trop de gays ne connaissent pas leur statut sérologique. Pour les autres, 65 % se déclarent séroné- gatifs. La proportion des répondants sé- ropositifs ou malades est maximale chez les 36-40 ans (22 %), chez les parisiens (17 %) et chez les répondants ayant un grand nombre de partenaires (22 % chez ceux qui en ont plus de 20). Sur les 3 314 répondants, 7 % déclarent avoir actuelle- ment un partenaire stable séropositif ou malade, Il % disent avoir des partenaires sexuels contaminés et 54 % ont des amis dans cette situation.

Parmi les répondants qui ont eu un par-

tenaire stable au cours des douze der- niers mois, 13 % n'ont jamais pratiqué la pénétration avec lui, 40 % l'ont pratiquée en utilisant toujours un préservatif, 16 % parfois et 31 % ont pratiqué la pénétration sans jamais utiliser le préservatif. La pro- portion importante de répondants qui ne se protègent pas avec leur partenaire stable montre que de nombreux homo- sexuels n'ont pas adopté la stratégie consistant à protéger systématiquement tous les rapports sexuels, quel que soit le partenaire. 51 % des répondants ayant un partenaire stable ont pourtant fait le test de dépistage après leur rencontre. Dans

63 % des cas, ce test de dépistage com-

mun avait pour objectif de savoir s'ils pouvaient avoir des relations sexuelles sans préservatif. L'analyse indique que les prises de risques dans les couples séro- discordants varient selon l'âge. Parmi les répondants séropositifs ayant un parte- naire séronégatif, la proportion de ceux qui déclarent des pénétrations anales non protégées est de 33 % chez les moins de

33 ans, contre 18 % chez les 32 ans et

plus. Le niveau d'études intervient aussi.

Le taux de prises de risques est de 33 %

chez les hommes n'ayant pas fait d'études universitaires contre 17 % chez ceux qui en ont fait. Avec les partenaires occasion- nels, pour la pénétration anale, 74 % uti- lisent toujours le préservatif, 8 % la prati- quent en se protégeant parfois, 3 % des ré- pondants disent n'avoir jamais utilisé le préservatif lors de la pénétration tandis que 16 % ne pratiquent pas la pénétration anale avec eux.

Nouveauté de cette étude, Il % des ré-

pondants ayant entendu parler des nou- veaux traitements (tri thérapie, antipro- téases) déclarent avoir tendance à se faire moins de soucis qu'avant s'ils ont pris un risque. Presqu'un tiers (31 %) des répon- dants pensent que, grâce à eux, il est dé- sormais possible d'empêcher l'infection après un rapport potentiellement conta- minant, ce qui montre que les messages sur les traitements prophylactiques post- exposition sont bien passés. Enfin, les ré- pondants disent plus fréquemment qu'ils ont tendance à se protéger moins qu'avant s'ils ont un partenaire stable sé- ropositif. Si ce relâchement de l'effort pré- ventif lié au développement des nouvelles thérapies concerne une minorité des ré- pondants, de nombreuses personnes re- doutent que ces nouveaux traitements aient une influence négative sur les com- portements de la population gay. Ainsi,

45 % des répondants ayant entendu par-

Ier des nouveaux traitements pensent

qu'ils incitent les homosexuels à se pro- téger moins qu'avant. De même, 33 % des répondants pensent qu'avec les nouveaux traitements, les homosexuels se font moins de soucis s'ils ont pris un risque.

Relapse? C'est à vous de juger.

Mettez des capotes. C'est tout.

TÊTU· MAI 1998

Conclusion

Des données non publiées de la Direction

Générale de la Santé auprès des Centres de Dépistage Anonymes et Gratuits (CDAG) montreraient, pour la première fois, une reprise des contaminations dans la population homosexuelle, particulière- ment chez les 25-29 ans en Île-de-France et en PACA. Ces chiffres ne sont pas confirmés par cette enquête sur les com- portements gay. Néanmoins, près de la moitié des homosexuels ayant un parte- naire stable ne se protègent pas du tout ou pas de façon systématique avec lui.

Une telle stratégie peut être efficace uni-

quement lorsque les partenaires sont cer- tains de leurs statuts sérologiques et qu'ils s'accordent pour limiter les risques avec les partenaires occasionnels. L'en- quête 1997 indique comme en 1995 que les prises de risques et la proportion de répondants qui ne sont plus certains d'être séronégatifs augmentent avec le nombre de partenaires extérieurs. Un quart des couples sérodiscordants décla- rent pratiquer des pénétrations anales non protégées dans l'année. C'est énorme.

Ce phénomène est d'autant plus marqué

que le niveau d'éducation et la catégorie socioprofessionnelle sont bas.

Cette étude fait un double constat. Tout

d'abord, il est possible de déterminer le portrait robot de l'échec de la prévention: un homosexuel a plus de chance d'être sé- ropositif s'il a entre 36 et 40 ans, s'il est parisien et s'il a un grand nombre de par- tenaires. Cela peut vous énerver mais c'est officiel: plus vous avez de relations sexuelles, plus vous développez un risque d'être contaminé.

Enfin, un nombre toujours trop important

d'homosexuels ne se protègent pas avec les partenaires occasionnels (15 %). Ce taux varie très fortement selon le profil des répondants. II passe de 13 % chez les répondants non infectés à 24 % chez les séropOSitifs. Bref, ceux qui sont le plus à même de contaminer les autres se protè- gent moins que les séronégatifs. De même, ce taux est de 10 % parmi les ré- pondants ayant moins de onze parte- naires mais il atteint 22 % chez les hommes qui en ont plus de dix. Les hommes les plus engagés dans la sexua- lité, et notamment les séropositifs, sont ceux qui ont le plus de mal à éviter les prises de risques. Comme quoi, -plus vous baisez et plus vous vous laissez ai- ler. Relapse? À vous de juger. 77
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