Sciences Po Application Guide
are applying to Sciences Po, especially to the programme(s) you have selected The statement must be written in French or English depending on the programme your are applying for Make sure you do not exceed the maximum word requirement (1) For some specialised courses, additional motivation arguments may be required if applicable (2)
DE SCIENCES éCONOMIqUES ET SOCIALES - Dunod
Delphine Pouchain : PRAG de SES à Science Po Lille - Co-responsable de la pré- paration à l’Agrégation de SES de Sciences Po Lille A rédigé les chapitres 1, 8, 9,
exptemps2
il comprenne qu'il pouvait entrer à Sciences PO il sait qu'il va intégrer ce programme, il est conscient de ses lacunes il se souvienne, ses parents ne l'ont jamais emmené à une exposition il ne passe son entretien à Sciences PO il se sentait attiré par la culture, il s'en interdisait l'accès
Programme d’histoire-géographie, géopolitique et sciences
Programme d’histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques de première générale Sommaire Préambule La spécialité histoire-géographie, géopolitique et sciences politiques Capacités travaillées et méthodes acquises Classe de première : « Acquérir des clefs de compréhension du monde contemporain » Introduction
Sciences économiques et sociales Terminale ES Programme
sation des pays epose su la po-ductivité du facteu tavail ha ue pays a intéêt à se spé-cialise dans la poduction pou lauelle il dispose d’un avantage elatif, c’est à die là où l’avan-tage est le plus gand, ou bien là où le désavantage est le moinde Développement des échanges de po-duits manufactués, et des se vices
Les 3e à Sciences Po, pourquoi pas - WordPresscom
en effet participer à ce programme d'égalité des chances de Sciences Po Toulouse «Il s'agit pour des élèves de 3e de participer à des ateliers animés par des étudiants de Sciences Po, afin de se familiariser avec les enseignements qu'ils pourraient suivre après le bac», a détaillé Évelyne Mège, inspectrice d'académie adjointe
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> sciences po bordeaux & Journées sur l’union européenne, 11 Allée Ausone, Domaine universitaire - 33602 Pessac Cedex France Tél : +33 (0)5 844 252 - Fax : +33 (0)5 56 844 400 Venir à sCienCes po bordeaux Réalisation : damien elkind - Graphisme: diana rozz - Crédit Photo : dezeen Ne pas jeter sur la voie publique
ACADÉMIE DES SAVOIR-FAIRE
PROGRAMME Édition 2021 répond à ses ambitions fondamentales : Sciences Po, Amphithéâtre Émile Boutmy 27, rue Saint-Guillaume – 75007 Paris
JOURNÉES D’ÉTUDES JEAN MONNET QUELLES AVANCÉES VERS UNE
l’a marquée dès ses origines, comme donnant naissance à un « nouvel ordre juridique » à vocation fédérale et appelé à affirmer son autonomie et son identité sur la scène internationale et à l’égard de ses États membres Le 12 octobre 2012, le prix Nobel de la Paix a été attribué à l’Union européenne pour avoir
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Groupe de secteur
du Morbihan 2017Sciences économiques et sociales
Terminale ES
Programme allégé 2013
Groupe de secteur
du Morbihan 2017Présentation
x 5MSSHO GHV QRPLRQV GH 1qUH HP GH PHUPLQMOHx HQŃOXVLRQ GHV QRPLRQV © ŃRPSOpPHQPMLUHV ª PRNLOLVpV GMQV OHV LQGLŃMPLRQV ŃRPSOpPHQ
PMLUHV GX %2 SURJUMPPH MOOpJp MUUrPp GX 3-4-2013 -B2B GX 4-D-2013 125 0(1(1308664$
x FOMTXH SOUMVH GHV LQGLŃMPLRQV ŃRPSOpPHQPMLUHV HVP UHIRUPXOpH HQ © VMYRLUV HVVHQPLHOV ª
Connaissances, notions
Savoir-faire statistiques
mécanismes FH PUMYMLO HVP OH IUXLP GH OM UpIOH[LRQ GHV PHPNUHV GX JURXSH GH VHŃPHXU GX 0RUNLOMQB HO M Ń\ŃOH PHUPLQMO HQ 6(6 PRXP HQ MLGMQP j OM V\QPOpPLVMPLRQ C MSSURSULMPLRQ GHV VMYRLUV HP VMYRLU GHV SURSRVLPLRQV HP MSSRUPV GHV XQV HP GHV MXPUHV MX ILO GHV MQQpHVBClaire Blangonnet
Jocelyne El Amiri
Elisabeth Gillot
Laure Le Gurun
Fouad Meije
Pascale Sachot
Corinne Seignet
Erwan Tanguy
commercialeÉconomie
Groupe de secteur
du Morbihan 20171. Croissance, fluctuations et crises
Groupe de secteur
du Morbihan 2017Notions de terminale
Eco 1-1³ Quelles sont les sources de la croissance ?I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" 2Q V·LQPHUURJHUM VXU O·LQPpUrP HP OHV OLPLPHV GX 3H%B » " I·pPXGH GH VpULHV ORQJXHV SHUPHPPUM GH SURŃpGHU j GHV ŃRPSMUMLVRQV LQPHUQMPLRQMOHVB »" SMUPLU G·XQH SUpVHQPMPLRQ VLPSOH GH OM IRQŃPLRQ GH SURGXŃPLRQ RQ H[SRVHUM OM PMQLqUH GRQP OM POpRULH pŃRQR
mique analyse le processus de croissance. » x IMŃPHXUV GH SURGXŃPLRQ x SURGXŃPLRQ PMUŃOMQGH HP QRQPMUŃOMQGH
x YMOHXU MÓRXPpH x SURGXŃPLYLPp x LQVPLPXPLRQV x GURLPV GH SURSULpPp x H[PHUQMOLPpVB x 3H% x HG+ x LQYHVPLVVHPHQP x SURJUqV PHŃOQLTXH x ŃURLVVMQŃH HQGRJqQH x SURGXŃPLYLPp JORNMOH GHV IMŃPHXUV x IMŃPHXU PUMYMLO x IMŃPHXU ŃMSLPMO x )RQŃPLRQ GH SURGXŃPLRQ x $ŃŃXPXOMPLRQ GX ŃMSLPMO x FURLVVMQŃH pŃRQRPLTXHLimites du PIB
noires, accidents...edžternalitĠs) gĠnĠrĠes par la x Comptabilise mal l'Ġconomie souterraine, illĠgale x NĠcessite des comparaisons de taudž de change x Assimile richesse matĠrielle et bien-ġtreIntĠrġts du PIB
des VA x mesurer la croissance x Mesurer le niǀeau de ǀie ͗ PIB ͬ hab. x Niǀeau de ǀie ͗ RNB ͬhab. x SantĠ ͗ espĠrance de ǀie x Indice x Taudž de croissance moyen x Valeur et ǀolume edžtensiǀe en pointsNotions de terminale
Eco 1-1³ Quelles sont les sources de la croissance ?I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" On fera le lien entre la productivité globale des facteurs et le progrès technique »" BBBHP RQ LQPURGXLUM OM QRPLRQ GH ŃURLVVMQŃH HQGRJqQH HQ PRQPUMQP TXH O·MŃŃXPXOMPLRQ GX ŃMSLPMO VRXV VHV GLIIp
UHQPHV IRUPHV SMUPLŃLSH j O·HQPUHPLHQ GH OM ŃURLVVMQŃHB » © 2Q PHPPUM O·MŃŃHQP VXU OH U{OH GHV LQVPLPXPLRQV HP GHV GURLPV GH SURSULpPpB » x IMŃPHXUV GH SURGXŃPLRQ x SURGXŃPLRQ PMUŃOMQGH HP QRQPMUŃOMQGH
x YMOHXU MÓRXPpH x SURGXŃPLYLPp x LQVPLPXPLRQV x GURLPV GH SURSULpPp x H[PHUQMOLPpVB x 3H% x HG+ x LQYHVPLVVHPHQP x SURJUqV PHŃOQLTXH x ŃURLVVMQŃH HQGRJqQH x SURGXŃPLYLPp JORNMOH GHV IMŃPHXUV x IMŃPHXU PUMYMLO x IMŃPHXU ŃMSLPMO x )RQŃPLRQ GH SURGXŃPLRQ x FURLVVMQŃH HQGRJqQH x $ŃŃXPXOMPLRQ GX ŃMSLPMO x FURLVVMQŃH pŃRQRPLTXHNotions de terminale
x HQIOMPLRQ x FO{PMJH x GHPMQGH JORNMOH x )OXŃPXMPLRQV pŃRQRPLTXHV x FULVH pŃRQRPLTXH x GpVLQIOMPLRQ x GpSUHVVLRQ x GpIOMPLRQ x FORŃV GH GHPMQGH x F\ŃOH GX ŃUpGLP x FO{PMJH GH PMVVHI·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" I·RNVHUYMPLRQ GHV IOXŃPXMPLRQV pŃRQRPLTXHV SHUPHPPUM GH PHPPUH O·MŃŃHQP VXU OM YMULMNLOLPp GH OM ŃURLVVMQŃH HP VXU
O·H[LVPHQŃH GH SpULRGHV GH ŃULVHB »
" 2Q SUpVHQPHUM OHV LGpHV GLUHŃPULŃHV GHV SULQŃLSMX[ VŃOpPMV H[SOLŃMPLIV GHV IOXŃPXMPLRQV ŃORŃV G·RIIUH HP GH GH
mande, cycle du crédit), en insistant notamment sur les liens avec la demande globale. » Taudž de croissance augmente ou diminue sur une pĠriode don- l'edžistence de pĠriodes de crise. de courte durĠe de la croissance (rĠcession) dĠbouchĠsDemande intĠrieure
etͬ ou edžtĠrieure de courte durĠe de la croissance (rĠcession)Chocs de demande
salairesDemande intĠrieure etͬ ou edžtĠ-
rieure (y ou solde commercial) dĠbouchĠs de courte durĠe de (edžpansion) en points de salaires) premiğres, salaires) de courte durĠe de (edžpansion)Chocs d'oīre
plus pridž y et MNotions de terminale
Eco 1-2³ FRPPHQP H[SOLTXHU O·LQVPMNLOLPp GH OM ŃURLVVMQŃH "" 2Q MQMO\VHUM OHV PpŃMQLVPHV ŃXPXOMPLIV VXVŃHSPLNOHV G·HQJHQGUHU GpIOMPLRQ HP GpSUHVVLRQ pŃRQRPLTXH HP OHXUV
conséquences sur le chômage de masse. » x HQIOMPLRQ x FO{PMJH x GHPMQGH JORNMOH x )OXŃPXMPLRQV pŃRQRPLTXHV x FULVH pŃRQRPLTXH x GpVLQIOMPLRQ x GpSUHVVLRQ x GpIOMPLRQ x ([SMQVLRQ x 5pŃHVVLRQ x FORŃV GH GHPMQGH x F\ŃOH GX ŃUpGLP x FO{PMJH GH PMVVHTaudž d'intĠrġt
nouǀeaudž projetsFacilitĠ de crĠdit
hausse des pridž pĠnurie de capitaudž retournement du cycleĠclatement de la bulle
Taudž d'intĠrġt
sur l'octroi de crĠdit repriseFaillites, pridž
Le cycle du crĠdit
salairesCA, marges des entreprises
O х D
Faillites de certaines
entreprises pridž licenciements (dĠpression) masseSalaires
Demande globale
RĠcession ͬ dĠpression
Abondance des capitaudž
Edžpansion ͬ croissance
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
2. Mondialisation
et intégration européenneGroupe de secteur
du Morbihan 2017Notions de terminale
Eco 2-1³ 4XHOV VRQP OHV IRQGHPHQPV GX ŃRPPHUŃH LQPHUQMPLRQMO HP GH O·LQPHUQMPLRQMOLVMPLRQ GH OM SURGXŃPLRQ "
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" En partant d'une présentation stylisée des évolutions du commerce mondial et en faisant référence à la notion
d'avantage comparatif, on s'interrogera sur les déterminants des échanges internationaux de biens et services et
de la spécialisation.» x $YMQPMJH ŃRPSMUMPLI x GRPMPLRQ IMŃPRULHOOH x ILNUH-pŃOMQJH x 6SpŃLMOLVMPLRQ x 3URPHŃPLRQQLVPH x FRPPHUŃH LQPUM ILUPH x FRPSpPLPLYLPp SUL[ ORUV SUL[ x GpORŃMOLVMPLRQ x ([PHUQMOLVMPLRQ x )LUPHV PXOPLQMPLRQMOHV x 0RQGLMOLVMPLRQ GH OM SURGXŃPLRQ x GH7 x GLIIpUHQŃLMPLRQ GHV SURGXLPV x 7MX[ GH ŃOMQJH PIB. leur, ǀolume tage est le plus grand, ou bien lăDĠǀeloppement des Ġchanges de pro-
duits manufacturĠs, et des serǀices.Le commerce intra-zone.
x FondĠ sur les Ġchanges de pro- duits semblablesThĠories du libre Ġchange
intĠrġt ă se spĠcialiser dans les pose d'un aǀantage absolu par rapport ă ses partenaires et ă acheter les produits pour les-х DIT
х GATT, OMC
disposent de 3 facteurs de pro- sources naturelles sğde l'un de ces trois facteurs en abondanceNotions de terminale
Eco 2-1³ 4XHOV VRQP OHV IRQGHPHQPV GX ŃRPPHUŃH LQPHUQMPLRQMO HP GH O·LQPHUQMPLRQMOLVMPLRQ GH OM SURGXŃPLRQ "
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" On analysera les avantages et les inconvénients des échanges internationaux pour les producteurs comme pour
les consommateurs.» x GH7 x GLIIpUHQŃLMPLRQ GHV SURGXLPV x 7MX[ GH ŃOMQJH x н de dĠbouchĠs х des parts de marchĠ x Transferts de technologieAǀantages des Ġchanges commerciaudž.
x Oīres de biens et serǀices abondants, ǀariĠs, de x Gains de pouǀoir d'achat naissantesǀieillissantes
x reprĠsailles face ă la concurrence dĠloyale subir (traǀail des enfants, le concurrent ne respecte pas certaines normes sociales ou enǀironnementales x se protĠger contre le dumping social InconǀĠnients des Ġchanges commerciaudž. tal)Pour les producteurs Pour les consommateurs
" On présentera à cette occasion les fondements des politiques protectionnistes et on en montrera les risques. »
x pridž pour les consommateurs, peut ne pas edžister) des pays partenaires x $YMQPMJH ŃRPSMUMPLI x GRPMPLRQ IMŃPRULHOOH x ILNUH-pŃOMQJH x 6SpŃLMOLVMPLRQ x 3URPHŃPLRQQLVPH x FRPPHUŃH LQPUM ILUPH x FRPSpPLPLYLPp SUL[ ORUV SUL[ x GpORŃMOLVMPLRQ x ([PHUQMOLVMPLRQ x )LUPHV PXOPLQMPLRQMOHVNotions de terminale
Eco 2-1³ 4XHOV VRQP OHV IRQGHPHQPV GX ŃRPPHUŃH LQPHUQMPLRQMO HP GH O·LQPHUQMPLRQMOLVMPLRQ GH OM SURGXŃPLRQ "
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" On s'interrogera sur les effets d'une variation des taux de change sur l'économie des pays concernés. »
x $YMQPMJH ŃRPSMUMPLI x GRPMPLRQ IMŃPRULHOOH x ILNUH-pŃOMQJH x 3URPHŃPLRQQLVPH x FRPPHUŃH LQPUM ILUPH x FRPSpPLPLYLPp SUL[ ORUV SUL[ x GpORŃMOLVMPLRQ x ([PHUQMOLVMPLRQ x )LUPHV PXOPLQMPLRQMOHV x 0RQGLMOLVMPLRQ GH OM SURGXŃPLRQ x GH7 x GLIIpUHQŃLMPLRQ GHV SURGXLPV x 6SpŃLMOLVMPLRQ x 7MX[ GH ŃOMQJHStratĠgies pridž
Comment ͍
StratĠgies hors pridž
ciant les produits Ou pour s'implanter dans un pays disposant d'une main recherche." En s'appuyant sur des données concernant le commerce intra-firme et sur des exemples d'entreprises multina-
tionales, on abordera la mondialisation de la production. »" On analysera les choix de localisation des entreprises et leurs stratégies d'internationalisation. On étudiera à
cette occasion les principaux déterminants de la division internationale du travail, en insistant sur le rôle des
coûts et la recherche d'une compétitivité hors prix. »Notions de terminale
Eco 2-2³ 4XHOOH HVP OM SOMŃH GH O·8QLRQ (XURSpHQQH GMQV O·pŃRQRPLH JORNMOH "I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" 6MQV HQPUHU GMQV OH GpPMLO GHV pYROXPLRQV OLVPRULTXHV RQ UMSSHOOHUM TX·HQ VH GRPMQP G·XQ JUMQG PMUŃOp LQPpULHXU
HP G·XQH PRQQMLH XQLTXH OHV SM\V HXURSpHQV PqQHQP XQH H[SpULHQŃH RULJLQMOH G·LQPpJUMPLRQ SOXV pPURLPH GH OHXUV
économies »
x %MQTXH ŃHQPUMOH x 3ROLPLTXH NXGJpPMLUH x 3ROLPLTXH PRQpPMLUH x 3ROLPLTXH ŃRQÓRQŃPXUHOOH x (XUR
x 8QLRQ (ŃRQRPLTXH HP 0RQpPMLUH x 8QLRQ (XURSpHQQH x 0MUŃOp LQPpULHXU x HQPpJUMPLRQ x FRQPH[PH PRQpPMLUH HP ILQMQŃLHULQPHUQMPLRQMO
x FRRUGLQMPLRQ GHV SROLPLTXHV pŃRQRPLTXHV" 2Q PRQPUHUM TXH O·XQLRQ PRQpPMLUH UHYrP XQH LPSRUPMQŃH SMUPLŃXOLqUH GMQV OH ŃRQPH[PH PRQpPMLUH HP ILQMQŃLHU LQPHUQMPLRQMOBBB
" 2Q V·LQPHUURJHUM VXU OHV GLIILŃXOPpV GH ŃRRUGLQMPLRQ GHV SROLPLTXHV pŃRQRPLTXHV GMQV O·8QLRQ (XURSpHQQHB »
BBBHP TX·HOOH UHQIRUŃH OHV LQPHUGpSHQGMQŃHV HQPUH OHV SROLPLTXHV PMŃURpŃRQRPLTXHV GHV (PMPV PHPNUHVB »
POLITIYUES MACRO ECONOMIYUES
Etats membres.
ă dimension europĠenne mais impacte
(ǀariation du taudž directeur ͗ plus ou moins edžpansionniste) MenĠe par les Etats membres mais sous contraintes car encadrĠe par les critğres du Pacte de StabilitĠ et de Croissance. (ǀariation du budget de l'Etat pour une η Pas coopĠratif mais compĠtitif (concurrence fiscale et enǀironnementale) capitaudž crĠdiblesEdžemple ͗
(effets positifs du policy-midž freinĠs) taire (besoins trğs diffĠrents en fonction des Etats membres).3. économie du développement durable
Groupe de secteur
du Morbihan 2017Notions de terminale
Eco 3 ³ La croissance économique est-HOOH ŃRPSMPLNOH MYHŃ OM SUpVHUYMPLRQ GH O·HQYLURQQHPHQP "
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" On expliquera pourquoi l'analyse économique du développement durable, qui se fonde sur la préservation des possibilités
de développement pour les générations futures, s'intéresse au niveau et à l'évolution des stocks de chaque type de capital
(accumulation et destruction) ainsi qu'à la question décisive du degré de substitution entre ces différents capitaux. »
x ([PHUQMOLPpV x GURLPV GH SURSULpPp x 2IIUH HP GHPMQGH x GpIMLOOMQŃHV GX PMUŃOpB x FMSLPMO QMPXUHO SO\VLTXH OXPMLQLQVPLPXPLRQQHO
x %LHQV ŃRPPXQV x 6RXPHQMNLOLPp x 5pJOHPHQPMPLRQ x 7M[MPLRQ x 0MUŃOp GH TXRPMV G pPLVVLRQ x 6RXPHQMNLOLPp IMLNOH HP IRUPH x GpYHORSSHPHQP GXUMNOH x 5pVHUYHV OMOLHXPLTXHV x *M] j HIIHP GH VHUUH x 3ROLPLTXH HQYLURQQHPHQPMOH x 3ROLPLTXH ŃOLPMPLTXH3 types d'analyse possibles ͗
SoutenabilitĠ faible
mouǀements de pridž, le progrğs la croissance de perdurer. x La soutenabilitĠ faible repose sur capital naturel, capital humain, trouǀer d'autres moyens de pro-SoutenabilitĠ forte
x rejet du marchĠ car la nature n'est pas un bien comme un autre. sance actuelle n'est pas durable, il faut produire moins et prĠser-ǀer les ressources naturelles.
x Les ressources non renouǀe- futures ă rĠpondre audž leurs. il faut modiĮer le comportement des mentales.Notions de terminale
Eco 3 ³ La croissance économique est-HOOH ŃRPSMPLNOH MYHŃ OM SUpVHUYMPLRQ GH O·HQYLURQQHPHQP "
I·HVVHQPLHO j UHPHQLU HQ ILQ GH ŃOMSLPUH
" On évoquera, à l'aide d'exemples, les limites écologiques auxquelles se heurte la croissance économique (épuisement des
ressources énergétiques et des réserves halieutiques, déforestation, augmentation de la concentration des gaz à effet de
serre, etc.). » x ([PHUQMOLPpV x GURLPV GH SURSULpPp x 2IIUH HP GHPMQGH x GpIMLOOMQŃHV GX PMUŃOpB x FMSLPMO QMPXUHO SO\VLTXH OXPMLQLQVPLPXPLRQQHO
x %LHQV ŃRPPXQV x 6RXPHQMNLOLPp x 5pJOHPHQPMPLRQ x 7M[MPLRQ x 0MUŃOp GH TXRPMV G pPLVVLRQ x 6RXPHQMNLOLPp IMLNOH HP IRUPH x (PSUHLQPH pŃRORJLTXH x GpYHORSSHPHQP GXUMNOH x 5pVHUYHV OMOLHXPLTXHV x *M] j HIIHP GH VHUUH x 3ROLPLTXH HQYLURQQHPHQPMOH x 3ROLPLTXH ŃOLPMPLTXH puisement des ressources x Ressources non renouǀelablesMarchĠ
dĠfaillantEdžternalitĠs
" L'exemple de la politique climatique permettra d'analyser les instruments dont disposent les pouvoirs publics pour mener des poli-
tiques environnementales. En lien avec le programme de première sur les marchés et leurs défaillances, on montrera la complémentarité
des trois types d'instruments que sont la réglementation, la taxation, les marchés de quotas d'émission. »
EdžternalitĠs
EdžternalitĠs
enǀironnementales pouǀoirs publicsEdžternalitĠs
MarchĠ
dĠfaillantClimat с bien commun deǀant ġtre
protĠgĠ par les pouǀoirs publicsNotions de terminale
Eco 3 ³ La croissance économique est-HOOH ŃRPSMPLNOH MYHŃ OM SUpVHUYMPLRQ GH O·HQYLURQQHPHQP "