10 minutes sur LA SMART CITY, UNE VILLE INTELLIGENTE
numériques aux projets de Villes intelligentes À ceux-là s’ajoutent les citoyens de plus en plus participatifs dans les projets de développement, et le monde académique qui peut être un partenaire privilégié, en particulier pour les villes bénéficiant d’un écosystème universitaire et de recherche traditionnellement riche
21 - VILLES INTELLIGENTES
Le Ministère pour le Travail, l’Innovation et les Compétences au Royaume-Uni considère le principe de villes intelligentes comme un processus plutôt qu’un résultat statique, selon lequel l’implication des citoyens, des infrastructures solides, un capital social et des technologies numériques « rendent les villes plus agréables
Les « villes intelligentes » : objets de convergence ou de
Les « villes intelligentes » sont donc devenues des questions à la fois très contemporaines et très présentes dans les débats publics autour des perspectives de l’évolution des sociétés urbaines De fait, elles sont également devenues des objets de « politiques publiques », en particulier au niveau de l’Union Européenne
n° 143 Les villes intelligentes
Les villes intelligentes La ville « intelligente » est–elle pour demain ? L’introduction des TIC (technologies de l’information et de la communication) dans l’espace urbain ouvre la voie à de nouvelles fonctionnalités, de nouvelles manières de gérer, de gouverner et de vivre la ville Des projets
A French Experience of Smart CitieS Les villeS intelligenteS
Les villeS intelligenteS: expériences françaises /// L’Association des Maires de Grandes Villes de France (AMGVF), créée en 1974, est une association pluripolitique qui regroupe 92 villes et intercommunalités Elle pour objectif de promouvoir la dimension urbaine dans la société française en lien avec les institutions
Introduction À propos des « villes intelligentes
trois grands types de « villes intelligentes » : Villes terrains d’expérimentations Des villes qui se prêtent à l’expérimentation, autre-ment dit qui sont des terrains d’expérimentations di-verses mais sans pour autant que les acteurs publics urbains ou même les acteurs urbains locaux y soient
CISCO-COP21-Enjeux Des Villes Intelligentes
Les enjeux des villes intelligentes Emmanuel Schneider Directeur Conseil, Cisco Solutions COP21, Grand Palais, Paris, 6 décembre 2015 L’impact des villes dans la lutte contre le réchauffement climatique
Villes numériques, villes intelligentes ? 24/
Villes numériques, villes intelligentes ? 24/ www urbanisme 20 * Automne n°394 2014 BRUITS DE VILLE L’Italie de Rem Koolhaas 6/ PROJET Le retour attendu du renouvellement urbain 18/ L’INVITÉ David Mangin 70/ Automne 2014 LA REVUE Villes numériques, villes intelligentes ? villes / sociétés / cultures 394
Les villes intelligentes, enjeux et stratégies pour de
Les villes intelligentes représentent un marché évalué à 350 000 milliards de dollars US pour les trente décennies à venir (250 en infrastructure et 100 en usage), à modèle économique
[PDF] kne
[PDF] texte sur la ville du futur
[PDF] résilience urbaine les villes face aux catastrophes
[PDF] polynésie française tom
[PDF] projet ville intelligente
[PDF] dom-tom lieux d'intérêt
[PDF] tahiti tom ou dom
[PDF] liste des tom
[PDF] tahiti département
[PDF] différence entre dom et tom
[PDF] dom ou tom
[PDF] dom tom carte
[PDF] territoire de vie définition insee
[PDF] espaces et paysages de l'urbanisation 4ème controle
1 Les " villes intelligentes » : objets de convergence ou de développement durable ?
Emmanuel EVENO
Professeur de Géographie
Directeur du LISST-CIEU
Université de Toulouse II Le Mirail
pression " smart cities » villes intelligentes » depuis quelques années. Après les " smartphones » (téléphones intelligents), àcôté des " smart grids » (réseaux intelligents), des " smart buildings » (bâtiments
intelligents), des " smart meters » (compteurs intelligents), des " smart parkings » (parkings intelligents)les " smart Cities » texte les " villes intelligentes ») de plus en plus nombreux, que ce soit en France ou dans le monde. De nombreux acteurs industriels sont présents sur le marché considérable que pourrait constituer la migration des villes contemporaines vers un oudes modèles de " villes intelligentes ». On y trouve pêle-mêle, des opérateurs et des
équipementiers de télécommunications, des constructeurs informatiques, des intégrateurs des opérateurs de réseaux électriques, des distributeurs entreprises de transports Comme le rapportait le quotidien Le Figaro : " selon ABI Research, le marché des technologies qui sous-tendent les projets de villes intelligentes devrait atteindre 39 milliards de dollars en 2016, contre 10 milliards en 2010 », soulignant par ailleurs que, "historique des télécommunications [France Télécom] a clairement ciblé ce relais de croissance
dans son plan stratégique " conquête 2015 » »1.Le modèle des " villes intelligentes est en
. Il se présente comme une tentative de réponse aux évolutions urbaines u constat de la généralisation du fait urbain dans les sociétés des Nords comme des Suds.La " ville intelligente » est une ville qui a optimisé son fonctionnement dans toute une série de
directions, en particulier en matière de gouvernance et de production ou de mise à disposition de services urbains adaptés aux besoins traditionnels comme nouveaux de la population.1 Le Figaro ; Orange rend la ville plus simple et plus intelligente, Par Marie-Cécile Renault ; Publié le
08/07/2013
2services urbains et le gouvernement des villes, de modèle de réorganisation des structures, des
onctionnement. Dans les paysdes Suds, le développement des " villes intelligentes » se présente bien souvent davantage
comme une innovation tout azimut dans la mesure où les services comme les modes que de création. toujours plDans un contexte de concurrence accrue entre territoires urbains, la " ville intelligente » intègre
une logique de classement ou de hiérarchisation de ces espaces. Le concours " Intelligent
Community of the year Intelligent Community Forum » dont le siège est à New York ou le classement (ranking) des " European Smart Citiesgarantie méthodologique de chercheurs de trois Universités européennes (Vienne, Delft et
Ljubljana) contribuent à la fois à définir les normes de ce que doit ou devrait être une " ville
intelligentedistinction sont ceux qui sont censés attirer les acteurs économiques et les investisseurs
internationaux. Plusieurs sites urba villes intelligentes ». En -les- IntelligentCommunity Forum tandis que Nice est la seule ville française intégrée au catalogue " Smarter
Cities -Ferrand et Poitiers figurent respectivement, aux 25ème, 26ème, 28ème et 29ème rang tion EuropeanSmart Cities2.
ville expérimentale » afin de tester grandeur nature en Grande-Bretagne, le projet " Future Cities DemonstratorTSB) avait pour but, dans un premier temps, de
sorti millions En Corée du Sud, le quartier Songdo fait également figure de " champion national »projet extrêmement ambitieux, présenté comme un modèle de " ville ubiquitaire » (Ubiquous
un modèle de ville à exporter " clés en main » auprès des grandes villes asiatiques.En fait, la multiplication rapide des sites expérimentaux, des villes-tests, des plate-formes
expérimentales, que ce soit in vivo (Glasgow, Incheon-Songdo, Barcelone-22@, les 100 " Smarter Cities in vitro comme dans le cas du projet Sense City à Paris, et qui2 http://www.smart-cities.eu/ranking.html
3 se définit comme une maquette ou une " mini-ville » climatique, " permettant de tester enmilieu réaliste des micro- et nano-capteurs inventés pour instrumenter et piloter la ville »,
des modèles. ion et de la globalisation, ces villes en cours se à la concurrence. Le modèle services marchands et sur la privatisation de certaines parties des services publics urbains, de certains espaces urbains. ce qui est en train de se réaliser autour de ce " » (open data en anglais). Ces données, dans les espacesurbains, sont généralement établies, conservées (monopolisées) par les collectivités locales et
acteurs privés, constitue potentiellement (Measuring European Public Sector Information Re-Use)Commission européenne estimait le marché européen en la matière à près de 30 milliards
une " ville intelligente » est le rôle dévolu à la technique, et en particulier (mais pas exclusivement) les Techniques omation et la robotique. Un film de science-fiction relativement " ancien » (1987), Robocop3, proposait un modèle intéressante de réponse " intelligente la dangerosité urbaine dans une ville futuriste qui aurait mal tourné. La réponse en question consistait à créer un êtreRobocop » dans une ville,
" Omni Consumer Product ». Ce Robocop, doté de prothèses chuter le taux de criminalité. Sans le savoir, Paul Verhoeven élaborait donc un scénario assez crédible mais peu rassurant de " ville intelligente ».Les " villes intelligentes » sont donc devenues des questions à la fois très contemporaines et
urbaines. De fait, elles sont également devenues des objets de " politiques publiques », enOn pourrait considérer que les " villes
intelligentes développemen villes intelligentes » seraient de ce point de vue un objet de compromis entre des logiques évolué dans des directions en partie divergentes et en partie convergentes.3 Film de Paul Verhoeven sorti en 1987.
4Nous nous intéresserons, dans cet article, à la place que ces " villes intelligentes » occupent
des théories portant sur les mutations sociales contemporaines et à la façon dont elles et de la France, tant aux niveaux communautaires, nationaux que locaux. I. INVENTIONS NOTIONNELLES ET EXPERIMENTATIONS POLITIQUES Nouvelle expression des mutations sociales contemporaines, la " Ville intelligente » puisent dans deux notions-clefs : le " développement durable » " sociétéLa notion de développement durable
, en 1866,être la " (...) la science des relations des organismes avec le monde environnant, c'est-à-dire,
dans un sens large, la science des conditions d'existence ». Très tôt, la réflexion scientifique,
dite écologique, se présente aussi comme une réflexion pratique sur la vie en société, elle
produit des règles, des normes, des modèles et devient en cela politique. La notion de " », quant à elle, " se formalise dans le sillage des machines intelligentes mises au point au cours de la Seconde Guerre mondiale »4 affirme Armand Mattelart. Elle puise abondamment dans la nouvelle discipline scientifique quiapparaît à cette époque, la cybernétique de Norbert Wiener. " La grande originalité de la
»5.considère Philippe Breton, qui en déduit cience, nouvelle culture ». philosophe Dominique Dubarle évoquait, dans un article paru en 1948 dans le Journal Le machine à gouverner » en parlant du développement des or nouvelle science », la cybernétique : " Il vient de paraître dans la collection des actualités scientifiques publiée chez Hermann un livre extraordinaire, mystérieusement intitulé Cybernetics or control and communication in the animal and the machine nouvelle science. De fait la réalisation des machines mathématiques a obligé desalgébristes, des géomètres, des logiciens, des statisticiens, des électriciens, des ingénieurs des
pathologistes, à se rencontrer sur un champ de travail fort composite, à enchevêtrer leurs problèmes de la façon la plus inattendue ». qualifier de politico- et un projet4 Armand Mattelart ; Coll. Repères, ed. La Découverte ; n°312 ; 2001 ; p.
4.5 Philippe Breton -t-elle
informaticiens ; Réseaux, n°24, mai 1987, p. 74. 5 Cette dramatisation des enjeux a pour effets de très tôt mobiliser de nombreux acteurs du monde social, en particulier, ceux qui apparaissent les plus réactifs pour se saisir des idéesneuves, les représentants du monde des médias, les essayistes, les acteurs associatifs. En
particulier pour ces derniers, la défense et une conviction et :" L'humanité est entrée, sans bien le réaliser, dans quelque chose de totalement nouveau : la
révolution informationnelle peut être comparée à l'entrée dans l'ère du néolithique il y a douze
mille ans. Cette nouvelle ère -en plus d'importantes transformations technologiques- donne lieu à de profondes mutations anthropologiques. Nous pressentons qu'elle va transformerjusqu'à la nature biologique de l'être humain »6 annonçait Jacques Robin, fondateur du
" Groupe des Dix » et de la revue Transversales Science/Culture principaux inspiApplications Multimédia).
" Voilà, nous y sommes ! te que nous pouvons le concevoir -même, lesnouvelles technologies bouleversent notre quotidien, nos modes de travail et bientôt nos
», proclamait Gilles Berhaultciation ACIDD (Communication etInformation pour le Développement Durable)7.
manifestent les divergences les plus nettes. Le " camp » de la " société de », au moins dans sa composante qui se retrouvera en lien avec les acteurs de la " problématisation politique " techno-humaniste », dans laquelle la confiance en la technique associée à la notion deprogrès et de perfectibilité des sociétés humaines constitue un socle. Par contre, le
" camp » du " développement durable » est plutôt marqué par une forme de " techno-pessimisme ». Le développement durable, qui émerge dans les années 1970, se situe à la
ce que pourrait être lefutur : " Un développement qui répond aux besoins des générations du présent sans
compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs. » (Rapport
Bruntland).
Comme le soulignait Françoise Landier-Reboul : " La notion de développement durable philosophe Hans Jonas, " Le Principe responsabilité. Une éthique pour la civilisation technologique »8. »
dans le contexte de la crise des années 1970 qui vient remettre en question le modèle de6 (Les Di@logues Stratégiques® N°53 - 04/05)
7 Gilles Berhault -il sauver la planète ; 2008 ; p. 15.
6 nouveau modèle » de développement.1.2. Problématisations politiques
Quoi que puisant dans des soubassements scientifiques et idéologiques bien différents, le concept de " développement durable » comme celui de " » sont e sur agenda problématisation politique ». te par une série iatiques, associatifs, scientifiques. Ils ont en quelques sortes un rôle de passeurs, ils acquièrent le statut du héraut, du porte-voix des enjeux en question. e rapport Nora/Minc sur " société ses principales références : " notamment de ceux de MM. Maurice Allègre, Jacques Attali, Michel Crozier, Robert Lattès, Jacques Lesourne, Pierre Lhermitte, Bruno Lussato, Edgar Morin, Joël de Rosnay, François Sarda, Bertrand Schwartz, Michel Serres, Alain Touraine, Bernard Tricot »8 : Maurice t les auteurs du rapport, Pierre Lhermitte, président fondateur du CIGREF (Club Informatique des Grandes Entreprises Françaises) en1970 qui voisine avec des hauts fonctionnaires (Bertrand Schwartz, Bernard Tricot), des
sociologues (Michel Crozier, Edgar Morin, Alain Touraine), un philosophe (Michel Serres), des économistes (Jacques Lesourne, Jacques Attali), un mathématicien (Robert Lattès). passeur » dans lamesure où, dans leur carrière comme dans leur position sociale, ils articulent fréquemment le
es Attali, de même que auteurs qui organisent un transfert entre ces " mondes interpréter la " carrière politiqueCôté politiques environnementales, le document qui fait en quelque sorte le pendant du
rapport Nora/Minc mais au niveau international est le rapport au Club de Rome de 1972. Ce8 Rapport Nora/Minc ; Annexe ; p. 134
7rapport, réalisé par une équipe du MIT et dirigé par Dennis Meadows, reposait sur une
simulation par ordinateur du fonctionnement du système planétaire. " Ce sont les travaux des économistes écologiques Kenneth E. Boulding (1966) et Herman E. Daly (1971) qui se trouvent en arrière- " » qui est mise en avant »9. Le message politique qui est exprimé dans ce rappor The Limits to Growth ».à Stockholm en 1972 que ce " message »
corps au concept politique écodéveloppement ».apparaît alors comme un choix diplomatique et stratégique, porté par le Secrétaire Général de
la Conférence afin de ne pas condamner les politiques développementalistes revendiquées par les pays du Sud en proposant des limites au développement des pays du Nord.ème Rapport
au Club de Rome, en 1976, qui se consacre de façon plus spécifique aux relations Nord/Sud et prolon Le Sommet de la Terre, qui se tient à Rio en 1992 vient en quelques sortes parachever ce premier cycle de réflexion oEuropéenne, qui, à travers le Livre Vert du le Développement Urbain Durable et à la
Campagne sur le Développement Urbain Durable, va assurer la traduction de ces enjeux vers leIncarnations et organisations politiques
De façon très nette, la figure politique qui a incarné au plus haut niveau, le plus durablement
et le plus évidemment les enjeux du développement des TIC pendant la décennie 1990 fut le vice-président Al Gore. USA, mais aussi, très rapidement, au niveau global, via la transposition du National Information Infrastructure assuré la promotion.Le fait que, après son échec aux élections présidentielles de 2000, il soit devenu le héraut de
ement mêlés, transcendant par là-même leurs divergences comme leurs convergences. On pourrait aussi considérer que si durant les années 1990, les enjeux relatifs au développement des TIC ont occupé une place éminente e, elles ont ensuite perdu ce rang au profit du développement durable. René Dumont, candidat aux élections présidentielles de 1974. tique figures politiques. Ce parti est peu à peu devenu suffisamment puissant pour que plusieurs deses représentants conquièrent des mairies, des Conseil Régionaux ainsi que des portefeuilles
ministériels.9 Franck-Dominique Vivien ; " Les antécédents conceptuels du développement soutenable » ; In B. Zuindeau
(ed.) ; Développement durable et territoire ; Ed. Septentrion ; 1010 ; p. 26. 8 société dequelconque alliance gouvernementale. Ainsi, le " Parti Pirate » né en Suède et qui se structure
commence-t-il à peine à essaimer en Europe.1.3. :
comparaison Union Européenne / France1.3.1. En Europe, la progression de ces préoccupations peut se lire dans la somme des
" Livres Verts » depuis le début des années 1990. es " Livres verts » publiés par la Commission européenne fournit les jalons de idées qui se constituent comme des thématiques et des enjeux de politiques communautaires. Livre vert », " l par les politiques européenn Les " Livres Blancs » font souvent (mais pas systématiquement) suite aux " Livres Verts communautairesDès lors, ce matériau fournit
questions innovantes dans le cadre de la réflexion de la Commission européenne. Sur un total de 164 Livres Verts déposés à la Commission européenne entre 1984 et2013, 11 % d 8 %
De 1984 à 2000, le thème " » domine de façon nette. Entre 1984 Verts réalisés, deux sont consacrés au thème " ». En 1994, soit un an après le Livre Blanc " Croissance, compétitivité,emploi. Les défis et les pistes pour entrer dans le XXIème siècle », sur les trois Livres
Verts produits, 3 sont consacrés à ce thème : 11% 81%8%
Sté d'Inf.
Autres
Dev. Dur.
9 avril-1994 ; Vers un environnement de communications personnelles: Livre vert sur une approche commune dans le domaine des communications mobiles et personnelles au sein de l'Union européenne COM(94) 145, avril 1994 ; Options stratégiques pour le renforcement de l'industrie des programmes dans le contexte de la politique audiovisuelle de l'Union européenne - Livre vert COM(94) 96,octobre 1994 ; Livre vert sur la libéralisation des infrastructures des télécommunications et
des réseaux de télévision par câble - Première partie, principe et calendrier COM(94) 440,
une inversion entre le rôle dévolu au Livre Blanc et celui des Livres Verts. Le LivreBlanc se veut en effet une exploration des " défis et des pistes pour entrer dans le