LA PITIÉ DANGEREUSE - Regartsorg
LA PITIÉ DANGEREUSE Le petit Louvre Salle Templiers 23, rue Saint Agricol 84000 Avignon 04 32 76 02 79 16h20 Pas facile d'adapter le roman de Stefan Zweig, pavé de quelques 380 pages Elodie Menant le fait avec bonheur, élaguant avec justesse pour ne garder que le huis-clos des sentiments dans une atmosphère
La Pitié dangereuse - La Filature
La Pitié dangereuse est le seul roman que Zweig ait jamais achevé Il a pour toile de fond, une Autriche qui, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, est en proie à la montée de l’antisémitisme McBurney dirige ses acteurs à la manière d’un chef d’orchestre, dissout les personnages et transforme le roman de
Dossier d’accompagnement
LA PITIÉ DANGEREUSE ? SIMON M cBURNEY :De manière tout à fait banale, il se produit parfois dans la vie des rencontres avec des livres, que je peux d’ailleurs avoir déjà lus Ainsi, un jour, dans une librairie de Londres, je cherchais des ouvrages de Josef Roth, quand mon regard est tombé sur La Pitié dangereuse J’ai pris le
Accueil La Pitié dangereuse - Théâtre National Populaire
La Pitié dangereuse est le seul roman que Zweig ait jamais achevé Il a pour toile de fond, une Autriche qui, à la veille de la Seconde Guerre mondiale, est en proie à la montée de l’antisémitisme McBurney dirige ses acteurs à la manière d’un chef d’orchestre, dissout les personnages et transforme le roman de
Stefan Zweig Simon McBurney vous accueille avant et après
La Pitié dangereuse, Le Livre de Poche Simon McBurney Acteur au cinéma et au théâtre, scénariste et réalisateur, il est né en 1975 à Cambridge Formé par Jacques Lecoq, il est le fondateur et le directeur artistique de la compagnie Théâtre de Complicité, aujourd’hui renom-mée Complicité En 1995, sa troupe obtient
Lettre invitation La pitié dangereuse - francescamagnicom
Le Théâtre Le Lucernaire et la Compagnie Carinae vous invitent à découvrir La Pitié Dangereuse Stefan Zweig Adaptation Elodie Menant Mise en scène Stéphane Olivié Bisson Avec Elodie Menant, Salima Glamine, Jean-Charles Rieznikoff Arnaud Denissel en alternance avec Maxime Bailleul, David Salles en Alternance avec Roger Miremont
« Il y deux sortes de pitié L’une, molle et sentimentale, qui
contre la souffrance étrangère Et l’autre, la seule qui compte, la pitié non sentimentale mais créatrice, qui sait ce qu’elle veut et est décidée à persévérer avec patience et tolérance jusqu’à l’extrême limite de ses forces, et même au-delà » Stefan Zweig, La pitié dangereuse (ou l’impatience du cœur) Prologue, 1939
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LA PITIÉ DANGEREUSE
Le petit Louvre
Salle Templiers
23, rue Saint Agricol
84000 Avignon
04 32 76 02 79
16h20Pas facile d'adapter le roman de Stefan Zweig, pavé de quelques 380 pages. Elodie Menant le fait avec
bonheur, élaguant avec justesse pour ne garder que le huis-clos des sentiments dans une atmosphère
tendue où l'émotion va crescendo, mettant l'accent sur les rapports humains, l'influence des conventions
sociales et le poids du regard des autres.La première scène, longue description dans le roman, est ici présentée dans le silence le plus complet,
des personnages en tenue de bal, des baisemains, quelques tours de valse pour finir sur la " gaffe » du
lieutenant invitant l'héroïne paralysée à danser. L'action est posée, le drame peut se nouer.
Peu de décor, quelques meubles dominés par l'imposant fauteuil de l'infirme. De très beaux costumes
qui recréent parfaitement l'époque, la fin de l'Empire austro-hongrois.Des dialogues ciselés, courts mais où chaque mot porte, une succession de scènes comme des tableaux
qui s'enchaînent au son d'une musique viennoise. Silences qui en disent long. C'est sobre mais éloquent, subtil mais intense, contenu mais émouvant. La réussite tient énormément à l'interprétation, les comédiens sont excellents.Elodie Menant est une Édith parfaite, d'une grâce émouvante, sincère dans ses faiblesses comme dans
ses révoltes, elle nous bouleverse par un jeu sobre et efficace.Arnaud Denisset nous fait partager avec conviction les hésitations, les colères, le désarroi du jeune
lieutenant pris à son propre piège. Le père, la cousine et le médecin sont incarnés avec une grande
justesse dans une mise en scène qui privilégie l'intériorisation aux déplacements intempestifs, faisant
ainsi ressortir la rigidité et l'incompréhension de cette société autrichienne en fin de parcours, rehaussée
de belles trouvailles : la scène des fiançailles, magnifique de simplicité et d'intensité, l'apparition finale
d'Édith en costume d'hirondelle, son surnom avant qu'elle ne perde l'usage de ses jambes.Voilà un bel exemple d'adaptation réussie à voir sans hésiter si vous aimez Stefan Zweig et une occasion
à ne pas manquer de découvrir son univers si vous ne le connaissez pas.