Livret de formules pour le cours de mathématiques NM
Livret de formules pour le cours de mathématiques NM À utiliser en cours et durant les examens Premiers examens en 2014 Édition de 2015 (2e version)
Formulaire de dérivées - maths-francefr
Formulaire de dérivées Dérivées des fonctions usuelles Fonction Dérivée Domaine de définition Domaine de dérivabilité x n, n ∈ N∗ nx −1 R R 1 x − 1 x2 R∗ R∗ 1 xn, n ∈ N∗ −
RESUME DU COURS DE MATHEMATIQUES
Fiche 33 Formules de Taylor page 41 Fiche 34 Développements limités page 42 Fiche 35 Systèmes d’équations linéaires page 44 Fiche 36 Espaces vectoriels page 45 Fiche 37 Applications linéaires page 47 Fiche 38 Matrices page 49 Fiche 39 Changement de base page 51
Tout ce qu’il faut savoir en math
Tout ce qu’il faut savoir en math 1Pourcentage 2 Prendre un pourcentage t d’un quantité a : a t 100 2 Calculer le pourcentage d’une quantité a par rapport à une quantité b :
Formulaire de trigonométrie circulaire - maths-francefr
Formules d’Euler ∀x ∈ R, cosx = eix +e−ix 2 et eix +e−ix = 2cosx ∀x ∈ R, sinx = eix −e−ix 2i et eix −e−ix = 2isinx Formule de Moivre ∀x ∈ R, ∀n ∈ Z, (eix)n = einx 2 http ://www maths-france frc Jean-Louis Rouget, 2008 Tous droits réservés
TRIGONOMÉTRIE : FORMULAIRE
Formules de linéarisation cos2(a) = 1cos(2) 2 + a sin 2(a) = 1cos(2) 2 − a tan (a) = 1cos(2) 1cos(2) a a − + Extensions : cos3(a) = cos(3)3cos() 4 aa+ sin3(a) = sin(3)3sin() 4 −+aa tan3(a) = sin(3)3sin() cos(3)3cos() aa aa −+ + Au delà, utiliser les formules d'Euler Les formules d'Euler permettent également de montrer que : cos(a
Suite géométrique LES SUITES - Maths & tiques
Yvan Monka – Académie de Strasbourg – www maths-et-tiques LES SUITES n Le raisonnement par récurrence Principe : Si la propriété P est : - vraie au rang n0 (Initialisation), - héréditaire à partir du rang n0 (Hérédité), alors la propriété P est vraie pour tout entier n ≥ n0 n Limites Propriétés : - lim n→+∞ n
Répondre aux questions suivantes
Correction des exercices en groupe en faisant énoncer toutes les règles mathématiques utilisées (on multiplie les deux membres de l’égalité par la superficie, puis on divise les deux membres par 120 ) Partie 2 : Pour chacun des exercices ci-après dégager les règles mathématiques utiles
UniversitédeCaen - Christophe Chesneau
UniversitédeCaen Quelques notions mathematiques de base´ Christophe Chesneau https://chesneau users lmno cnrs fr/ Caen,le28Septembre2017
Première S - Statistiques descriptives - Variance et écart type
Dans l’exemple précédent on pourrait soustraire 50 à toutes les tailles on obtiendrait une nouvelle moyenne : U0,1 H :3 ;0,16 :2 ;0,24 :1 ; E0,3 H0 E0,18 H1 E0,02 H2 L F0,64 et on retrouve T en rajoutant 50 à U : T = – 0,64 + 50 = 49,36 3) Propriété 2 Si on multiplie toutes les valeurs de la série statistique par un même nombre
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Tout ce qu"il faut savoir en math
1P ourcentage
2Prendre un pourcentaget% d"un quantitéa:at100
2Calculer le pourcentage d"une quantitéapar rapport à une quantitéb:ab
1002Le coecient multiplicateurCMpour une augmentationa:CM=1+a100
2Le coecient multiplicateurCMpour une réductionr:CM=1r100
2On calcul le pourcentage d"évolution d"une quantité par :Valeur finalevaleur initialevaleur initiale
1+t100
n2Une quantitéAdiminuénfois successivement d"un même pourcentagetdevient :A 1t100 n2StatistiquesLamédianeMed"une série statistique est la valeur de la variable qui partage l"eectif total en deux
parties égales.LequartileQ1est la plus petite valeur de la variable telle qu"au moins 25 % des valeurs de la série lui
soient inférieures ou égales.LequartileQ3est la plus petite valeur de la variable telle qu"au moins 75 % des valeurs de la série lui
soient inférieures ou égales.LedécileD1est la plus petite valeur de la variable telle qu"au moins 10 % des valeurs de la série lui
soient inférieures ou égales. LedécileD9est la plus petite valeur de la variable telle qu"au moins 90 % des
valeurs de la série lui soient inférieures ou égales. On définitl"écart interquartilepar :Q3Q1etl"intervalle interquartilepar [Q1;Q3]Lediagramme en boîtesreprésente une série statistique ainsi que sa médiane, ses quartiles et ses
valeurs extrêmes (éventuellement les déciles) :Une série statistique double dencouples (xi;yi) se représente, dans un repère orthogonal bien choisi,
par unnuage de points. Lepoint moyenGest le point dont les coordonnées sont :xG=¯x=n P i=1xin etyG=¯y=n P i=1yinPaul Milan 1 sur
8Terminale ES
3 PROBABILITÉS
Selon la forme du nuage, on peut l"ajuster de manière ane, quadratique (carre/racine carree) ou grâce
aux logarithmes/exponentielles (on pose, en general,zi=ln(yi)) Ajustement des extremes : Ajustement ane qui utilise les deux points extremes du nuage (le premier et le dernier) Ajustement de Mayer : Ajustement ane qui utilise les deux points moyens de deux sous-nuages du nuage global. Pour tous les ajustements anes, on peut calculer la somme des residusnP i=1[yi(axi+b)]2Ajustement par laméthode des moindres carres: La droite d"equationy=ax+btelle quea=Cov(x;y)V(x), et qui passe par le point moyenG(¯x; ¯y) est la droite qui rend minimale la somme des residus
n P i=1[yi(ax+b)]2. On obtient son équation en utilisant la calculatrice (Menu STAT, CALC, REG) 3Pr obabilités
L"univers
est l"ensemble des résultats possible d"une expérience aléatoire. UnévénementAest une partie de Pour tout événementA, 06P(A)61. On aP(?)=0etP()=1La somme des probabilités des événement élémentaires vaut 1.p1+p2++pn=1La probabilité d"un événement est égale à la somme des propabilité des événements élémentaires qui le
composent. Dans le cas d"équiprobabilité,P(A)=Card(A)Card( )=Nbre de cas favorablesNbre de cas possibles.Pour deux événementsAetB,P(A[B)=P(A)+P(B)P(A\B)Si les événéments sont incompatibles (A\B=?) alorsP(A[B)=P(A)+P(B)Pour tout événementA, on noteAl"événement contraire etP(A)=1P(A)3.1Conditionnement et indépendance
BsachantApar :
P A(B)=P(A\B)P(A),P(A\B)=P(A)PA(B)On a alors l"arbre suivant :Paul Milan 2 sur
8Terminale ES
4 ALGÈBRE
Les événementsAetBsontindépendantslorsque la réalisation de l"un n"influe pas sur la réalisation
de l"autre. On a alors : PA(B)=P(B) ouPB(A)=P(A))P(A\B)=P(A)P(B)
3.2V ariablealéatoir e
On définit une variable aléatoireXsur
lorsqu"on associe un nombre réel aux événements de . La loide probabilité de la variable aléatoireXest la fonctionk7!P(X=k), souvent présentée dans un tableau :valeurs possiblesx
1x 2...x nprobabilitép 1p 2...p netp1+p2++pn=1 L"espèrence mathématique de cette loi est le nombre notéE(X) défini par : E(X)=p1x1+p2x2++pnxn3.3Répétition d"épr euveLorsque qu"on répète plusieurs fois et
de manière indépendante une expè- rience n"ayant que deux issues (suc- cès et échec),Sde probabilitépet¯S de probabilitéq=1p, on eectue uneexpérience de Bernouilli.Sur l"ensemble des répétitions, on
peut compter le nombre de succès à l"aide d"un arbre. Ne pas oublier que l"évènement contraire de " obtenir au moins un succès » est " obtenir que des échec».4Algèbr e 4.1Le second degré
P(x)=ax2+bx+cle trinôme du second degré. Lediscriminant =b24ac Si>0, l"équationP(x)=0 admetdeux racinesréelles distinctes : x 1=b+p2aetx2=bp
2aFactorisation:
P(x)=a(xx1)(xx2)
LesignedeP(x) est du signe de
aà l"extérieur des racines et du signe deaà l"intérieur.Si =0, l"équationP(x)=0 admetune unique racineréelle "double» : x 0=b2aFactorisation:
P(x)=a(xx0)2
LesignedeP(x) s"annule enx0
et est du signe deaailleurs.Si<0, l"équationP(x)=0n"admetpas de racineréelleOnne peut pas factoriserP(x)
LesignedeP(x) est du signe de
a.Paul Milan 3 sur8 Terminale ES4 ALGÈBRE
4.2Domaine de définition d"une f onction
Il faut exclure les valeurs qui annulent le dénominateur.pu(x) existe ssiu(x)>0 ln (u(x))existe ssiu(x)>0 Les conditions peuvent se cumuler d"où des sytèmes et des intersections d"intervalles. 4.3Limites et asymptotes
On étudie les limites d"une fonction aux bornes de son ensemble de définition. On peut utiliser alors :
2Les limites des fonctions élémentaires : ( limx!+1x2= +1)
2Les limites de comparaison (théorème des gendarmes)
2Les opérations sur les limites (somme, produit et quotient). Attention aux formes indéterminées
+1 1;0 1;11 et002La limite en1d"un polynôme est celle de son terme du plus haut degré.
2La limites en1d"une fonction rationnelle est celle de son quotient simplifié des termes du plus
haut degré.2Les limites par croissance comparées (cf exponentielle et logarithmes)
Asymptote verticaleSi lim
x!af(x)=1, la droite d"équationx=aest asymptote verticale àCf.Il faut en général étudier la li-
mite à gauche et à droite dea.Asymptote horizontaleSi lim
x!1f(x)=`, la droite d"équationy=`est asymptote horizontale àCf.Asymptote obliqueSi lim
x!1[f(x)(ax+b)]=0, la droite d"équationy=ax+best asymptote oblique àCfen+1, 1.Position relative: il faut étudier
le signe def(x)(ax+b). 4.4Théorème des v aleursintermédiair es
alors pour toute valeurkcomprise entref(a) etf(b), l"équationf(x)=kadmet uneuniquesolution sur l"intervalle [a;b]. Ce théorème s"étend aux cas d"intervalles ouverts et aux bornes
infinieCas def(x)=0 : Sifest une fonction est dérivable (donc continue) et strictement monotone sur
l"intervalle [a;b] et sif(a)f(b)<0, alors il existe une unique solutionà l"équationf(x)=0 dans l"intervalle [a;b].Paul Milan 4 sur8 Terminale ES4 ALGÈBRE
4.5Déri véeet primiti ves
Si pour toutx2I,f0(x)>0 alorsfeststrictement croissantesurI. Si pour toutx2I,f0(x)<0 alorsfeststrictement décroissantesurI. Uneprimitivesur l"intervalleId"une fonctionfcontinue surIest une fonctionFdéfinie et dérivable surI, telle que :8x2I;F0(x)=f(x)
Les primitives sont définies à uneconstante près.FonctionDérivéeD 0 ff(x)=kf0(x)=0R
f(x)=xf0(x)=1R
f(x)=xnn2Nf0(x)=nxn1R
f(x)=1xf0(x)=1x
2R f(x)=1x nn2Nf0(x)=nx
n+1R f(x)=pxf0(x)=12
pxR +f(x)=ln(x)f0(x)=1xR
+f(x)=exf0(x)=exRFonctionPrimitiveD
Ff(x)=kF(x)=kxR
f(x)=xF(x)=x22R f(x)=xnF(x)=xn+1n+1R f(x)=1xF(x)=lnxR +f(x)=1x nF(x)=1(n1)xn1R R f(x)=1pxF(x)=2pxR +f(x)=exF(x)=exRDérivéeFormule
de la somme(u+v)0=u0+v0deku(ku)0=ku0du produit(uv)0=u0v+uv0de l"inverse 1u 0 =u0u2du quotient
uv0=u0vuv0v
2de la puissance(
un)0=nu0un1de la racine pu 0=u02 pu du logarithme( lnu)0=u0u de l"exponentielle( exp(u))0=u0exp(u)PrimitiveFormule de la sommeR (u+v)=Ru+RvdekuR (ku)=kRudeu0unR u0un=un+1n+1de u0uR u0u =lnjujde u0u nn,1R u0u n=1(n1)un1de u0puR u0pu =2pu deu0euR u0eu=euPaul Milan 5 sur8 Terminale ES4 ALGÈBRE
4.6 Représentation de la f onctionet du nombr edéri vé tativeCfde la fonctionfadmet au pointA(a;f(a)) une tangente de coecient directeurf0(a) dont l"équation est : y=f0(a)(xa)+f(a)Le coecient directeur de la tangente est la valeur du nombre dérivé. Ce coecient se lit sur la courbe en calculant le quotientyx.4.7La f onctionlogarithme et la f onctionexponentielleFonction logarithmeFonction exponentielle
lnxest définie sur ]0;+1[On a :
ln1=0 et lne=1 ln(ab)=lna+lnb;ln1b =lnb ln ab =lnalnb;lnan=nlna ln0(x)=1x
. La fonction ln est strictement crois- sante sur ]0;+1[.: exoùexp(x) est définie surRe'2;718On a :
e0=1 ete1=e
e a+b=eaeb;ea=1e a e ab=eae b;(ea)n=ena ex)0=ex. La fonctionexest strictement croissante surR.Paul Milan 6 sur8 Terminale ES4 ALGÈBRE
Fonction logarithmeFonction exponentielle
lim x!+1lnxx =0;limx!+1lnxx n=0 lim x!0+xlnx=0;limx!0+xnlnx=0lim x!+1e xx = +1;limx!+1e xx n= +1 lim x!1xex=0;limx!1xnex=04.8Equations et inéquations mêlant logarithmes et exponentielles Elles se traitent en utilisant la strictecroissancedes fonctions logarithme et exponentielle.Siaetbsont deux réel positifs alors :
lna=lnb,a=bet lna2Sia>1, la fonctionaxest strictement crois-
sante surR.2Si 0 décroissante surR.4.10Calcul intégral et calcul d"air es Toutes les fonctionsfetgsont continues sur [a;b] donc intégrable sur [a;b].Fdésigne une primitive
de la fonctionf. L"intégrale defentreaetbest le nombre défini par : Z b a f(x)dx=[F(x)]ba=F(b)F(a) On a les propriétés suivantes :
Z a a f(x)dx=0 etZ a b f(x)dx=Z b a f(x)dx Z c a f(x)dx=Z b a f(x)dx+Z c b f(x)dxrelation de Chasles Z b a (af(x)+bg(x))dx=aZ b a f(x)dx+bZ b a g(x)dxlinéarité de l"intégrale Sif(x)>0 sur [a;b] alorsZ
b a f(x)dx>0La réciproque est fausse Sif(x)>g(x) sur [a;b] alorsZ
b a f(x)dx>Z b a g(x)dxPaul Milan 7 sur8 Terminale ES 5 SUITE
La valeur moyenne defsur [a;b]=1baZ
b a f(x)dx Primitive définie par une intégrale :G(x)=Z
x a f(t)dtprimitive qui s"annule ena Calcul d"aire
Sif(x)>0 sur [a;b], le domaine délimitée
parCf, l"axe des abscisses et les droites d"équation x=aetx=b, est donné, en unité d"aire (ua) par :Zb a f(x)dx Sif(x)<0 sur [a;b],Rb
af(x)dxsera l"opposé de l"aire du domaine défini ci-dessus.Sif(x)6g(x) sur [a;b], l"aire du domaine limité parCf,Cget les droite d"équationsx=aetx=b
vaut :Rb a(f(x)g(x))dx 5 Suite Suites arithmétiques
(utilisées pour des variations absolues)Suite géométriques (utilisées pour des variations relatives (en %)Définition :un+1=un+ret un premier terme. rest la raison Terme général :
u n=u0+nrouun=up+(np)r Somme des termes :
S n=u0+u1++un=(n+1)u0+un2 D"une façon générale :
S n=Nbre de termestermes extrèmes2Définition :un+1=qunet un premier terme. qest la raison Terme général :
u n=u0qnouun=upqnp Somme des termes :
S n=u0+u1++un=u01qn+11qD"une façon générale : S n=1erterme1qNbre de termes1qLimites de suites :On examine le comportement des termesunlorsquentend vers+1.
On dit que la suite (un)converge, si la limite des termesunest finie soit limn!+1un=`. Dans tous les autres cas, on dit que la suite (un)diverge: soit limn!+1un=1soit limn!+1unn"existe pas
(exemple (1)n) Thèorème: Une suitegéométriquede raisonq: 2Converge vers 0 si1 2Diverge vers1siq>1 et limn!+1qn= +1
2est constante siq=1
2n"admet pas de limite siq61Paul Milan 8 sur8 Terminale ES
quotesdbs_dbs13.pdfusesText_19
2Diverge vers1siq>1 et limn!+1qn= +1
2est constante siq=1
2n"admet pas de limite siq61Paul Milan 8 sur8 Terminale ES
quotesdbs_dbs13.pdfusesText_19