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16 cas cliniques en psychopathologie de l’adulte - Dunod

cas cliniques en psychopathologie de l’enfant (Paris, Dunod, 2008), F Marty, Psychopathologie de l’adulte: 10 cas cliniques (Paris, In Press, 2009), F Marty, Psychopathologie de l’adulte: 10 cas cliniques (Paris, In Press, 2010) Signes d’une nécessité sur le plan pédagogique mais plus



TRAITÉ DE PSYCHOPATHOLOGIE DE L’ADULTE - Dunod

« Psychopathologie et psychanalyse » Psychanalyse et psychopathologie sont décisivement liées, dès les débuts de l’oeuvre freudienne, comme le sont nécessairement une théorie, une clinique, une méthode impliquées dans une démarche épistémologique cherchant à analyser, à interpréter et à traiter les trou-bles psychiques



Jean-Michel Coq 10 cas cliniques en psychopathologie - Dunod

Vers une clinique de l’étude de cas à partir de la casuistique psychana-lytique, Prologue In D Castro (éd ), 9 études de cas en clinique projective adulte Paris : Dunod 3 Marty, F (2009) Psychopathologie de l’adulte : 10 cas cliniques Paris : In Press 4 Castro, D (2009) 9 études de cas en clinique projective adulte Paris



TRAITÉ DE PSYCHOPATHOLOGIE DE L’ADULTE Narcissisme - Dunod

Professeur de psychologie clinique et psychopathologie à l’Université Paris-Descartes, psychanalyste, membre de l’Association psychanalytique de France Avec la collaboration de : René KAËS Professeur émérite de psychologie clinique et psychopathologie à l’Université Lyon 2, psychanalyste Jacqueline LANOUZIÈRE



Agnès Bonnet Lydia Fernandez 23 notions - Dunod

23 grandes notions de Psychopathologie Enfant, adolescent, adulte et personne âgée 2e édition actualisée Agnès Bonnet Lydia Fernandez P001-240-9782100770038 indd 1 26/07/2017 16:36



Parcours Psychopathologie clinique, psychologie médicale et

- Psychopathologie Clinique, Psychologie Médicale et Psychothérapies psychopathologie de l’adulte 24 24 L’entretien clinique, Paris, Dunod : Topos



Psychopathologie de l’adolescent

8 cas cliniques en psychopathologie de l’adolescent et du jeune adulte Dunod, coll Univers Psy, 2018 Psychopathologie de l’enfant et de l’adolescent



B JACOBI Olivier Douville 10 entretiens

CLINIQUE DE L’ADULTE PSYCHO SUP PSYCHOLOGIE CLINIQUE COGNITIVE PSYCHOLOGIE SOCIALE PSYCHOLOGIE CLINIQUE OLIVIER DOUVILLE Maître de conférences des Universités, Laboratoire CRPM, université Paris 7 – Denis Diderot BENJAMIN JACOBI Professeur de psychopathologie clinique à l’université de Provence-Aix-Marseille 1 Avec la



Grandes Notions De Psychopathologie Enfant Adolescent Adulte

Psychopathologie Enfant Adolescent Adulte Psychologie Clinique history, amusement, and a lot more? It is your entirely own time to acquit yourself reviewing habit among guides you could enjoy now is grandes notions de psychopathologie enfant adolescent adulte psychologie clinique below If you want to stick to PDFs only, then you’ll want to

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[PDF] BULLETIN OFFICIEL

Agnès Bonnet Lydia Fernandez 23 notions - Dunod

Sous la direction de

Catherine Chabert

et Catherine Azoulay 2 e

édition

12 études

en clinique projective

© Dunod, Paris, 2019

ISBN 978-2-10-079397-6

Maquette de couverture: Le Petit Atelier

LISTE DES AUTEURS

Sous la direc

tion de:

Catherine

A

Professeur de psychologie clinique et de psy-

chopathologie, Laboratoire "

Psychologie

clinique, psychopathologie, psychanalyse (PCPP-EA 4056), Institut de psychologie,

Université Paris-Descartes, Sorbonne Paris-

Cité, psychologue clinicienne, psychanalyste.

Catherine C Professeur émérite de psychologie clinique et de psychopathologie, Laboratoire "

Psychologie

clinique, psychopathologie, psychanalyse (PCPP-EA 4056), Institut de psychologie,

Université Paris-Descartes, Sorbonne Paris-

Cité, psychanalyste APF.

Avec col la bo ra tion de: Jean-Yves C Professeur de psychologie clinique et de psy- chopathologie à l'Université Paris 13, UTRPP (EA4403), psychologue clinicien, psychanalyste. Aline C L Professeur de psychologie de l'enfant et de l'adolescent à l'Université Paris 13, UTRPP (EA 4403), psychologue clinicienne, psycha- nalyste, membre de la SPP.

Joël

C

Psychologue clinicien, docteur en psychologie

clinique et psychopathologie, chargé d'ensei- gnement, Institut de psychologie, Université

Paris-Descartes, SPC.

IV 12 ÉTUDES EN CLINIQUE PROJECTIVE

Marie-Laure

D

Psychologue clinicienne, psychanalyste, char-

gée d'enseignement, Institut de psychologie,

Université Paris-Descartes, SPC.

Michèle E Professeur émérite de psychologie clinique et de psychopathologie, Laboratoire "

Psychologie

clinique, psychopathologie, psychanalyse (PCPP-EA 4056), Institut de psychologie,

Université Paris-Descartes, SPC, psychana-

lyste SPP.

Caroline

H

Psychologue clinicienne, département de psy-

chiatrie de l'adolescence, Institut Mutualiste

Montsouris, Paris.

Estelle

L Maître de conférences en psychologie clinique,

Laboratoire "

Psychologie clinique, psycho-

pathologie, psychanalyse

» (PCPP-EA 4056),

Institut de psychologie, Université Paris-

Descartes, SPC, psychologue clinicienne, ser

vice de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent du G.-H. Pitié-Salpêtrière, psychanalyste. Benoît V Professeur de psychologie clinique et de psycho- pathologie, Laboratoire "

Psychologie clinique,

psychopathologie, psychanalyse

» (PCPP-EA

4056), Institut de psychologie, Université Paris-

Descartes, Sorbonne Paris-Cité, psychologue

clinicien, psychanalyste. Sarah V

Psychologue clinicienne, maître de confé-

rences, Laboratoire "

Psychologie clinique,

psychopathologie psychanalyse

» (PCPP-EA

4056), Institut de psychologie, Université

Paris-Descartes, SPC, Département de psy

chiatrie de l'adolescence, Institut Mutualiste

Montsouris, Paris.

TABLE DES MATIÈRES

P VII P

D '

C 1

C

10 (A C L) 3 C 2 ' (J C) 19 C 3 L (J-Y C

M-L D)

49
C 4

C

C H) 71

VI 12 ÉTUDES EN CLINIQUE PROJECTIVE

D A C 5 U (M E) 95
C 6

U ' / :

(S V) 113
C 7 D (E L) 143
C 8

L : '

(C A) 165
P 3 C C 9 P ' (C C B V) 189

C 10 P

(C C) 209

C 11 F :

(M E C A) 229

C 12 U

(B V) 249 B 277
A 287

PRÉ FACE

Cet ouvrage pro pose une suite d'études cli niques en métho do logie projec tive, ayant pour objec tif de fami lia ri ser les lec teurs avec d'une part, le maté riel asso cia tif pro duit par les sujets ren contrés dans le cadre d'un exa men psy cho -

lo gique, d'autre part avec la méthode d'ana lyse et d'inter pré ta tion éla bo rée

depuis sa créa tion en 1966 par l'École de Paris à l'Ins ti tut de Psy cho logie de l'Uni ver sité René-Descartes, (Paris V, actuel le ment Paris-Descartes). L'École de Paris ini tiée et repré sen tée d'abord par Nina Rausch de Trau-

benberg, a été fon dée avec la col la bo ra tion de Didier Anzieu et de Pierre Fédida,

deux grandes gures d'uni ver si taires psy cha na lystes très atta chés, tout comme Nina Rausch de Traubenberg, à la for ma tion des psy cho logues cli ni ciens dans

la réfé rence à la psy cha na lyse, à ses théo ries du fonc tion ne ment psy chique, et

à leurs inci dences dans le domaine de la cli nique des varia tions de la nor male

et de la psy cho pa tho logie. Cette for ma tion s'ins crit d'emblée dans la prise en

compte des trois grands prin cipes de l'épis té mo logie freu dienne, qui conti - nuent de faire scan dale encore aujourd'hui, la reconnais sance de l'inconscient, l'importance de la psychosexualité et la dia lec tique entre nor mal et patho lo - gique, essen tielle dans l'étude du fonc tion ne ment psy chique : sans se four - voyer dans la confu sion qu'on lui prête trop sou vent, Freud af rme en effet la

conti nuité des moda li tés de fonc tion ne ment psy chique, les plus patho lo giques

offrant en quelque sorte un " grossissement » de phé no mènes obser vables par ailleurs dans les varia tions de la nor male, sans que soit ins tauré un cli vage déci sif entre la mala die et la bonne santé psy chique. Depuis sa créa tion, l'École de Paris n'a cessé de confron ter les épreuves projectives aux émer gences cli niques et aux mou ve ments théo riques qui se sont enga gés au sein de la psy cha na lyse et de la psy cho pa tho logie, et cela dans

une double perspec tive : s'étayer sur la cli nique et la méta psy cho logie freu -

diennes et les mettre à l'épreuve de cli niques dif fé rentes, nou velles, dont la

diver sité est impo sée par l'élar gis se ment des indi ca tions, bien sûr, mais aussi

X 12 ÉTUDES EN CLINIQUE PROJECTIVE

par la réfé rence au modèle psy cha na ly tique du fonc tion ne ment de l'appa reil

psy chique et de ses compo santes dont nombre de psy cho logues cli ni ciens, res tent convain cus de la per ti nence et de la fécondité. C'est ainsi qu'en qua rante-cinq années d'exis tence, l'École de Paris

s'est déployée dans des direc tions par ti cu liè re ment pro li ques. Au début,

parallèlement aux déve lop pe ments des tra vaux de Nina Rausch de Traubenberg sur le Rorschach, Vica Shentoub et Rosine Debray se sont atta chées à pro -

mou voir l'inter pré ta tion psy cha na ly tique du T.A.T ., ce qui a for mi da ble ment

sou tenu et renforçé son utilisation, jus qu'alors trop rare en psy cho logie cli - nique et en psy cho pa tho logie. Par la suite, Catherine Chabert, dès ses pre mières contri bu tions aux tra vaux de l'École de Paris, a pro posé de ras sem bler la cli nique projective en met tant en avant la complé men ta rité des deux épreuv es 1 : elle montre la manière dont elles s'enri chissent l'une et l'autre dans le sens de l'appro fon dis se ment et de l'af ne ment de la compré hen sion du fonc tion ne ment psy chique du sujet. C'est

pour quoi, en assu rant la res pon sa bi lité de l'École de P aris, Catherine Chabert

a dé ni ti ve ment ins tauré dans l'ensei gne ment des méthodes projectiv es, tant

en for ma tion fon da men tale que dans le DUPP 2 , l'étude de cas conjointe du Rorschach et du T.A.T. Cette démarche permet ainsi d'ana ly ser les dif fé rentes

compo santes du fonc tion ne ment psy chique mobi li sées et dév oi lées par les

deux tests. Loin de consti tuer un obs tacle ou une entrave au diag nos tic, cette confron ta tion per met de sai sir les contrastes, les contra dic tions, v oire les cli vages pré sents chez le même sujet, en illus trant remar qua ble ment ce que Freud appelle la " bigar rure » de la psy ché humaine. Forte de ses nuances, de ses con its et de ses énigmes, la poly mor phie psy chique doit être respectée si l'on sou haite s'impli quer dans une pro cé - dure d'inves ti gation scien ti que ment rigou reuse. Celle- ci consiste en ef fet,

en s'éloi gnant des contraintes quan ti tati ves qui obligent à valo ri ser les traits

communs d'une popu la tion don née pour en garan tir la v ali dité sta tistique, à

prendre en compte, au- delà des similarités, ce qui dif fère, ce qui témoigne

de l'émer gence dis crète mais par fois essen tielle, de telle ou telle par ti cu la -

rité psychopathologique. C'est en tra quant les traces de l'inat tendu et de la

nou veauté que la psy cho logie cli nique, à l'ins tar des sciences fon da men tales,

peut avan cer. C'est ainsi que, par tant des études essen tiel le ment cen trées sur les névroses et les psy choses, les cliniciens- chercheurs de l'École de Paris ont, dès les pre miers tra vaux por tant sur les états- limites, engagé une entre prise de rema nie ments pro fonds dans l'ana lyse des fac teurs Rorschach (C. Chabert) et de la feuille de dépouille ment du T.A.T. (Rosine Debray, Françoise Brelet- Foulard).

1. C. Chabert, " Rorschach et T .A.T. : anti no mie et complé men ta rité », Psy cho logie Fran çaise,

1987, 32, 3, p. 141-144.

2. Diplôme d"Uni ver sité de Psy cho logie Projectiv e de l"Uni v er sité Paris Descartes.

VIII © Dunod - La photocopie non autorisée est un délit.

PRÉ FACE XI

Catherine Chabert a asso cié ses recherches sur le Rorschach et le T.A.T notam ment à par tir des tra vaux de Didier Anzieu, de J.-B. Pontalis et d'André Green sur les patho logies des limites, à par tir éga le ment des contri bu tions d'auteurs anglo-saxons comme Kernberg et Kohut. Dès lors, l'int

é rêt de

l'École de Paris pour les " nouvelles patho logies » a conduit à en cher cher les tra duc tions dans la cli nique projective de manière régu lière et inten sive : de nom breux doctorants - deve nus ensuite maître de conférences et professeurs

dans dif fé rentes uni ver si tés françaises-, ont for te ment contri bué aux modi -

ca tions et à la construc tion de nou velles moda li tés d'ana lyse des fac teurs,

en déga geant leurs signi ca tions beau coup plus diver si ées et nuan cées, en

tenant compte des registres de pro blé ma tiques et des mécanismes de défense sus cep tibles de les trai ter avec plus ou moins de suc cès, en étu diant minu -

tieu se ment les arti cu lations à la fois communes, plu rielles et sin gu lières qui

témoignent de leur spé ci cité et de la varia bi lité de leur sens. Les tra vaux psy cha na ly tiques sur les fonc tion ne ments limites ont nourri

la métho do logie projective en per met tant d'en déga ger les cri tères les plus

signi ca tifs au Rorschach et au T.A.T., ouvrant la voie à un champ très im por - tant de recherches, dans le domaine des dépres sions, des troubles du compor -

te ment ali men taire et plus géné ra le ment des pro blé ma tiques de l'agir et de la

dépen dance. Dans le cadre de la métho do logie, Catherine Azoulay, Catherine Chabert et Michèle. Emmanuelli ont construit et éla boré le schéma d'une " Synthèsequotesdbs_dbs30.pdfusesText_36