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L’erreur, un outil pour enseigner - Eklablog

L’erreur, un outil pour enseigner Jean-Pierre Astolfi Collection Pratiques et enjeux pédagogiques L’erreur qui cache le progrès Apprendre, c’est toujours



L’erreur, un outil pour enseigner

L’erreur, un outil pour enseigner Jean-Pierre Astolfi ISBN E-PUB 978-2-7101-2379-8 ISBN PDF 978-2-7101-2380-4 128 pages - 9,99 € Réussir ses premiers cours Jean-Michel Zakhartchouk ISBN E-PUB 978-2-7101-2381-1



Lerreur un outil pour enseigner - La maîtresse geek

L’erreur, un outil pour enseigner Jean- Pierre ASTOLFI Erreur dans le quotidien est source de défis, dépassement de soi, différent de l’école : source d’angoisse et de stress 1 : Quel statut pour l’erreur à l’école ? à Le tapis roulant des connaissances : acte d’apprentissage : représentation partagée



L’erreur, un outil pour enseigner

L’erreur, un outil pour enseigner Extrait de la publication J ean-Pierre Astolfi est professeur de sciences de l’éducation à



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L’erreur, un outil pour enseigner - Jean Pierre Astolfi - réédition ESF 2009 Chapitre 1 : Quel statuts pour l’erreur à l’école? Edgar Morin : il convient de « toujours montrer la relativité d'une connaissance, sa dépendance par rapport à l'observateur et aux conditions d'observation, sans oublier qu'un grain de



« L’erreur, un outil pour enseigner - Académie de Bordeaux

« L’erreur, un outil pour enseigner » Jean-Pierre ASTOLFI Animationpédagogique du 21 11 2012 Sylvie LAXAGUE, CPCBiarritz et ASH Ouest



L’ERREUR : UN OUTIL POUR ENSEIGNER

Pistes pour enseigner avec les erreurs : - Pratiquer la métacognition : faire exprimer leur cheminement par les élèves par rapport à une production erronée en reprécisant le contexte (la situation dans laquelle l'erreur a été produite, puisque,



FICHE OUTIL : LE STATUT DE LERREUR DANS LAPPRENTISSAGE

FICHE OUTIL : LE STATUT DE L'ERREUR DANS L'APPRENTISSAGE Jean-Pierre Astolfi L’erreur, un outil pour enseigner, Paris : ESF éditeur; 1997 Synthèse proposée par l'INSA Toulouse Quel statut donner à l’erreur? L’erreur peut être considérée comme une faute dans un modèle d’apprentissage dit transmissif



LERREUR DANS LES APPRENTISSAGES JP ASTOLFI (1997) : L

d'éradiquer les erreurs mais en les faisant apparaître pour mieux les traiter Il s'agit de repérer « la logique de l'erreur » pour mieux la traiter, d'en tirer parti pour améliorer les apprentissages L'erreur peut être le signe d'un travail intellectuel 2) Erreur et faute On a parfois confondu erreur et faute (ex la faute d'orthographe)

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1/4 - Jean Pierre Astolfi - réédition ESF 2009

Chapitre 1 ?

Edgar Morin : il convient de " toujours montrer la relativité d'une connaissance, sa

dépendance par rapport à l'observateur et aux conditions d'observation, sans oublier qu'un grain de

connaissance sur un plan peut se payer par une ignorance sur un autre. » processus de déc connaissances chez - Les erreurs des élèves remettent en cause la pédagogie du maitre, son efficacité ? - : tout corriger pour montrer que le travail a été bien fait. - Difficile de mettre bout à bout la logique du savoir et la logique des élèves.

Les modèles :

- Modèle transmissif : - Modèle comportementaliste

Les modèles constructivistes

des élèves.

éressent enseignant

peuvent avoir. Certes, toutes les erreurs ne sont pas logiques, elles peuvent nous ne devons pas pour autant nous priver certaines occasions cacher un progrès. les connaissances acad

répétitives, paraissent échapper à cette règle, mais il ne concerne que de loin » J.P.

Astolfi

Chapitre 2

- Empirisme : priorité accordée aux faits. - Positivisme : recherche de la bonne méthode.

Les professeurs ne comprennent pas les erreurs des élèves car les uns et les autres ne

pensent pas avec le même cadre de référence

actuel de leurs disciplines, ceux que mobilisent en acte les élèves ont néanmoins leur propre logique

et les erreurs qui commettent ne sont pas exemptes de valeurs.

Du côté de Bachelard

2/4 er une rupture épistémologique : pour un jeune enfant, les dauphins peuvent être des poissons épistémologique pour que les dauphins passent dans la catégorie des mammifères). " Penser contre le cerveau.

Du côté de Piaget

généralisable ou de différenciable

déséquilibre, ces déséquilibres sont moteurs de la recherche et les progrès sont à rechercher dans la

rééquilibration. Les erreurs des élèves peuvent être interprétées comme la manière à laquelle sont

organisées les schèmes Ceux-ci se transforment et évoluent en fonction du milieu et de

désigne la logique cachée des erreurs. Le 1er souligne une aptitude de tout apprenant à construire des

règles rationnelles, à expérimenter de façon nouvelle grâce aux ressources cognitives. Le 2nd force le

trait de notre propension à revenir aux régularités rassurantes du déjà connu à reproduire à

, les erreurs sont liées à des schèmes, des connexions

non encore développées, pour Bachelard il y a une véritable difficulté à franchir un obstacle car il faut

réadapter sa façon de réfléchir, de penser.

Chapitre 3 : Une typologie des erreurs

1 Des erreurs relevant de la compréhension des consignes de travail données à la classe, dans

la mesure où les termes employés pour introduire exercices et problèmes ne sont pas si "

transparents » qu'on l'imagine, et où la compréhension du lexique de chaque discipline est semée

d'embûches. Les questions sont toujours plus claires pour celui qui connait la réponse. Le vocabulaire

fonction affine, digestive, grammaticale).

2 Des erreurs résultant d'habitudes scolaires ou d'un mauvais décodage des attentes, lesquelles

jouent un rôle essentiel dans l'activité quotidienne de la classe et le " métier d'élève ». "

raisonne sous influence » Y. Chellard. (exemple : il partit courir ĺ il partit désespérer.)

3 Des erreurs témoignant des conceptions alternatives qui perdurent tout au long de la scolarité

et affleurent dans les productions et réponses de façon inattendue. La prise en compte didactique

, les comprendre, les faire identifier, les faire comparer, les faire

discuter, les suivre. Les moments de découverte essentiels sont ceux, souvent, qui permettent de voir

les choses autrement, sans nécessairement que nous en sachions plus.

4 Des erreurs liées aux opérations intellectuelles impliquées. Elles peuvent ne pas être

disponibles chez les élèves alors qu'elles paraissent " naturelles » à l'enseignant. Dans les problèmes

mathématiques comme en compréhension de lectures, il faudrait toujours se poser la question de

3/4

5 Des erreurs portant sur les démarches adoptées, celles-ci se révélant très diverses alors que le

professeur s'attend à l'emploi d'une procédure canonique et peut ne pas comprendre le cheminement

ou l'intention de l'élève qui a adopté une démarche trop différente.

6 Des erreurs dues à une surcharge cognitive en cours d'exercice. Les limites de la mémoire de

travail sont drastiques et la charge cognitive de l'activité souvent sous-estimée. Notamment dans les

nombreuses opérations mentales à retenir et à réaliser dans les problèmes de maths. C pas en compte en simultanéité le sens du texte.

La mémoire à long terme joue également, en particulier sur le vocabulaire engrangé et

compris

7 Des erreurs ayant leur origine dans une autre discipline, incomprises dans la mesure où le

transfert des compétences requises paraît natuest guère. Le problème du léthore. La théorie piagétienne grande réserve sur son existence. Les traits de surface comme le raisonnement par analogie semblent relativement tran faciles à transférer. connaissances est un des enjeux princip Meirieu le transfert passe par le raisonnement métacognitif.

8 Des erreurs causées par la complexité propre du contenu, laquelle n'est pas toujours perçue

comme telle par les analyses disciplinaires habituelles ni dans les progressions disciplinaires

adoptées.

La réduction de la complexité à un problème plus simple peut amener à une difficulté de

emple : la syllabe ne contient pas

toujours deux lettres or on simplifie pour apprendre la fusion phonémique, ensuite quelques élèves ont

du mal à comprendre la complexité des syllabes à quatre ou cinq lettres.)

Chapitre 4 ?

Les erreurs

4/4

Une typologie des erreurs

NATURE ou DIAGNOSTIC MEDIATIONS ET REMEDIATIONS

1. Erreurs relevant de la rédaction et de

la compréhension des consignes - Analyse de la lisibilité des textes scolaires -Travail sur la compréhension, la sélection, la formulation de consignes

2. Erreurs résultant d'habitudes

scolaires ou d'un mauvais décodage des attentes

3. Erreurs témoignant des

conceptions alternatives des élèves - Analyse du contrat et de la coutume didactiques en vigueur - Travail critique sur les attentes - Analyse des représentations et des obstacles sous-jacents à la notion étudiée -Travail d'écoute, de prise de conscience par les élèves et de débat scientifique au sein de la classe

4. Erreurs liées aux opérations

intellectuelles impliquées - Analyse des différences entre exercices d'apparence proche, mais qui mettent en jeu des compétences logico-mathématiques diverses - Sélection plus stricte des activités et analyse des erreurs dans ce cadre

5. Erreurs portant sur les démarches

adoptées - Analyse de la diversité des démarches "spontanées », à distance de la stratégie "canonique » attendue

- Travail sur différentes stratégies proposées pour favoriser les évolutions individuelles

6. Erreurs dues à une surcharge

cognitive au cours de l'activité - Analyse de la charge mentale de l'activité - Décomposition en sous-tâches d'ampleur cognitive appréhendable

7. Erreurs ayant leur origine dans une

autre discipline - Analyse des traits de structure communs et des traits de surface différentiels dans les deux disciplines - Travail de recherche des éléments invariants entre les situations

8. Erreurs causées par la complexité

propre du contenu - Analyse didactique des nde difficulté internes à la notion, insuffisamment analysésquotesdbs_dbs15.pdfusesText_21