Extrait de la publication

A travers ce poème, Alfred de Musset nous fait part de ses sentiments intimes et personnels à propos de l’amour Tout d’abord cela se perçoit grâce à son vocabulaire ; l’auteur utilise des mots ou termes forts et explicites tels que « aimer » ( : répétition, ligne 17, 18, 19, 21, 28, )

Alfred de Musset, La Nuit de mai, 1835

Alfred de Musset, La Nuit de mai, 1835 Dans Les Nuits, Musset réfléchit aux rapports entre la souffrance et la poésie La Nuit de mai confronte en un long dialogue le Poète et sa Muse Celle-ci exhorte le Poète à chanter et l'invite à tirer parti de sa souffrance ; ses propos sont illustrés par

Alfred de MUSSET (France)

Louis Charles Alfred de Musset-Pathay naquit le 11 décembre 1810 à Paris , au seuil du quartier Latin, 33 rue des Noyers (aujourd’hui, 57 boulevard Saint-Germain) Appartenant à une famille de toute petite noblessel était le fils d, i u vicomte Victor-Donatien de Musset-Pathay, chef de bureau au

DM sur « Nuit de décembre » de Musset

En son sein, Musset se distingue par sa vision du monde particulièrement mélancolique L’écriture du recueil composé de quatre longs poèmes intitulé Les Nuits, dont chacune correspond à une saison, fait suite à sa rupture avec la sulfureuse George Sand et se fait l’écho d’une crise morale et sentimentale chez Musset

Extrait Alfred de Musset : Oeuvres complètes

Alfred de Musset, sans avoir l'immense bagage li ©éraire de Balzac, n'est pas beaucoup plus aisé à recueillir Il était humoriste, nerveux, inconstant, dépendant de la moindre

72 Alfred de Musset: Lorenzaccio

mit der Musset 1833 und 1834 eine ebenso intensive wie von heftigen Zerwürf-nissen durchsetzte Liaison verband Als wehmütiger literarischer Nachgesang auf diese enttäuschte Liebe gelten die Gedichte der Nuits (1835 und 1837) sowie der autobiographisch unterlegte Roman La confession d’un enfant du siècle (1836)

La Confession dun enfant du siècle - Bouquineuxcom

Jamais il n’y eut tant de nuits sans sommeil que du temps de cet homme; jamais on ne vit se pencher sur les remparts des villes un tel peuple de mères désolées; jamais il n’y eut un tel silence autour de ceux qui parlaient de mort Et pourtant jamais il n’y eut tant de joie, tant de vie, tant de fanfares guerrières dans tous les

L’animal : métaphore du poète - WordPresscom

Musset, La Nuit de Mai, « Le Pélican », (extrait) Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots Lorsque le pélican, lassé d'un long voyage, Dans les brouillards du soir retourne à ses roseaux, 5 Ses petits affamés courent sur le rivage En le voyant au loin s'abattre sur les eaux